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The atmosphere is seething, and it is increasingly obvious how fragile a public sphere is, that is marked by the regulatory measures of the social state. Manifold studies have described the turn to a new paradigm of production, which has destroyed the compensation mechanisms for a (re-) distribution of produced wealth, as we know them from Fordist-Keynesian compromise[7]. Along with the changed production conditions, central categories such as productivity, employment, the socialization of risks, etc. have entered into a serious crisis. What seems to distinguish the protest movements is that precariously employed people are gradually trying to live their situation no longer solely as a deficiency in comparison with those in "guaranteed" employment situations. The turn in production, the transition to an added value on the basis of their forms of living, awareness, knowledge and communication, turns the subjects of communication (teachers and students, researchers, people working in the fields of telecommunication, transportation, creative industries, journalists, translators, ...) into desired beings and subjects of desire at the same time. To the same extent that more and more is expected of them, that their life is fragmented (flexibility), that people have to work for less and less money without any organizational specifications (autonomy, independence) and entirely without any statutory rights, the question arises for them, more than for those dependent on wages, where the boundaries between production and non-production or reproduction are to be found, where work starts and where it stops: what is the difference between work and not-work and consequently, what is the sense of this distinction?
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La baisse de productivité enregistrée par l'économie nationale italienne durant les dernières années, est entre autre expliquée comme étant due au fait que la demande de main d'oeuvre vient pour la plupart de petites et plus petites entreprises qui n'ont pas la possibilité d'investir dans des technologies onéreuses ou dans la recherche et le développement. L'on pourrait considérer cela comme un indice témoignant du fait que la plus grande part dans l'augmentation de la productivité qu'il y a eu à travers les progrès surtout dans le domaine de la technologie de l'information est partie aux entreprises privées de manière assez unilatérale durant les dernières années. En dehors du travail réglementé, qui, à travers le modèle des charges sociales sur salaire, doit porter la charge principale dans la socialisation des risques, se déroule ainsi une expérimentation collective qui sert non pas à "accroître l'efficacité", mais bien plus à discipliner les forces dont dépend la production. Au sein de ce "laboratoire", l'on trouve toutes les formes et conditions de travail que l'on associe entre-temps à la notion de précarité: contrats de travail à durée déterminée, pas de droit de cogestion au sein de l'entreprise, pas ou presque pas de cotisations de retraite, pas d'assurance chômage et une assurance maladie que rudimentaire.[8] Quelqu'un qui travaille dans de telles conditions précaires se demande donc: qu'ai-je le droit de vouloir? Comment dois-je agir?
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