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“Con el cese del fuego, muchas personas están regresando al país. La paz es de capital importancia ", dijo el Ministro Pe Thet Khin, y explicó que su país necesita mosquiteros y medicamentos para contener el riesgo de que las personas desplazadas internamente propaguen enfermedades. También dijo que su deseo era mejorar la asistencia sanitaria en las fronteras del país. Myanmar tiene una elevada carga de enfermedad para las tres enfermedades, incluidas formas resistentes de tuberculosis y malaria. Se calcula que en Myanmar 206.000 personas viven con el VIH, lo que representa una de las epidemias más graves de VIH/SIDA en Asia, y cada año mueren más de 23.000 personas a causa de la tuberculosis. El Ministro Pe Thet Khin añadió una dimensión personal a su compromiso. Mucho antes de llegar a ser Ministro de Salud de Myanmar, ya había experimentado de primera mano los devastadores efectos del VIH y el SIDA, la tuberculosis y la malaria en su país. “Yo fui víctima de la malaria y en mi pequeño dispensario traté a pacientes con VIH y tuberculosis”, recordó el Ministro Pe Thet Khin, médico especializado en Pediatría.
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Challenges remain, such as the risk of transmission by an influx of internally displaced persons, lack of human resources, hard-to-reach areas and funding gaps. “With the ceasefires, a lot of people are coming back to the country. Peace is of paramount importance," Minister Pe Thet Khin said, adding his country needs mosquito nets and medicines to contain the risk of internally displaced persons spreading diseases. He also said he wanted to improve health care at the country’s borders. Myanmar has a high disease burden for the three diseases, including resistant forms of TB and malaria. An estimated 206,000 people are living with HIV in Myanmar, one of the most severe HIV/AIDS epidemics in Asia. More than 23,000 people die from TB every year. Minister Pe Thet Khin added a personal dimension to his commitment. Long before becoming Myanmar’s Minister of Health, he had already experienced first-hand the devastating effects of HIV and AIDS, TB and malaria in his country. “I was a victim of malaria myself and at my small clinic I treated patients with HIV and TB,” said Minister Pe Thet Khin, a pediatrician by training. “I am personally involved in the three diseases.” Minister Pe Thet Khin said that Myanmar’s commitment to increasing its funding, together with Global Fund-supported programs, will raise anti-retroviral coverage to 85 percent of those affected.
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Il subsiste bien des écueils, comme le risque d’une transmission des maladies par un afflux de personnes déplacées, le manque de ressources humaines, les difficultés à atteindre certaines zones et des déficits de financement. « Les cessez-le-feu incitent de nombreuses personnes à rentrer au pays. La paix revêt une importance capitale », a déclaré M. Pe Thet Khin, ajoutant que son pays avait besoin de moustiquaires et de médicaments pour juguler le risque de voir les personnes déplacées propager des infections. Il a également dit vouloir améliorer les soins de santé aux frontières du pays. La charge de morbidité des trois maladies est très élevée au Myanmar, y compris pour ce qui est des formes résistantes de tuberculose et de paludisme. Selon les estimations, 206 000 personnes vivent avec le VIH dans le pays, ce qui constitue l’une des plus graves épidémies de sida en Asie. De même, la tuberculose ôte la vie à plus de 23 000 personnes chaque année. Du reste, l’engagement de M. Pe Thet Khin a des accents très personnels. Bien avant de devenir Ministre de la Santé du Myanmar, il avait déjà fait l’expérience directe des effets dévastateurs du VIH et du sida, de la tuberculose et du paludisme dans son pays. « J’ai moi-même été victime du paludisme et, dans mon petit dispensaire, j’ai soigné des patients porteurs du VIH et atteints de la tuberculose », a ainsi déclaré M. Pe Thet Khin, pédiatre de formation. « J’ai personnellement à cœur d’agir sur ces trois maladie. » M. Pe Thet Khin a indiqué que l’engagement du Myanmar à augmenter ses financements, associé aux programmes soutenus par le Fonds mondial, permettra d’assurer une couverture de 85 pour cent en antirétroviraux pour les personnes touchées.
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