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« Une des plus grandes sources de frustration dans l’exercice de la médecine auprès des patients hospitalisés, c’est qu’après les avoir traités, nous leur donnons congé en les laissant tomber pour ainsi dire dans le vide. Nous ne savons pas exactement ce qui leur arrive ensuite, explique le docteur Irfan Dhalla, interniste général à l’hôpital St. Michael’s et créateur du Service hospitalier virtuel. Cette situation est très courante et, à preuve, tous les membres de notre équipe pourraient vous citer des cas de patients susceptibles de glisser entre les mailles du système et qui, n’eût été le Service hospitalier virtuel, auraient dû être hospitalisés de nouveau. »
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