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Le concept d'interruption de travail s'applique à la personne qui a occupé un emploi ou travaillé à son compte durant une certaine période (les 12 derniers mois, l'année civile précédente et les cinq dernières années constituent les périodes de référence habituellement utilisées) avant de perdre ou de quitter cet emploi ou ce travail à son compte et qui n'a pas travaillé en échange d'un salaire ou d'un profit durant une période minimale, généralement un certain nombre de semaines ou de mois (ou même d'années) consécutifs. Une interruption de travail englobe les périodes de chômage et d'inactivité (il faut toujours utiliser les définitions de l'Enquête sur la population active pour déterminer la situation vis-à-vis l'activité du répondant ou de la répondante). Si une personne quitte ou perd son emploi, mais en commence un autre au terme d'une période minimale (p. ex. une semaine), l'interruption peut être ignorée. À des fins de normalisation, on recommande d'utiliser deux périodes de référence : la dernière année civile et les cinq dernières années. L'interruption de travail doit durer une semaine ou plus. Il convient également de déterminer les dates de début et de fin de chaque interruption.
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