fui – -Translation – Keybot Dictionary

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Keybot 14 Results  www.caritas.org
  Migrantes lo arriesgan ...  
"Yo me fui para que mi familia pueda tener paz y seguridad", dice Stefani. "Pero para los migrantes de Centroamérica, este viaje es demasiado difícil, demasiado peligroso, todo lo que queremos es sobrevivir ”.
“I left so that my family can know peace and safety, says Stefani. “But for the migrants of Central America, this voyage is too difficult, too dangerous, we only seek to survive. ”
« Je suis parti pour que notre famille puisse s’épanouir dans la paix et la sécurité, dit Stefani. Mais pour nous, les migrants d’Amérique centrale, ce voyage est trop difficile, trop dangereux, alors que nous ne voulons que survivre »
  Un mensaje de esperanza...  
Fui a ver la desvatación de Haití, tras el violento terremoto del pasado 12 de enero, y era como una lúcida pesadilla de escombros, de vidas perdidas, de decena de miles de personas apiñadas en campamentos improvisados.
Witnessing the devastation of Haiti from the 12 January earthquake as I have done is to be lost in a waking nightmare of the debris from lost lives, of maimed children, and of tens of thousands of people huddled in makeshift camps.
Assister, comme je l’ai fait, à la dévastation d’Haïti à la suite du séisme du 12 janvier est un cauchemar éveillé où se mêlent des débris de vies perdues, des enfants mutilés et des dizaines de milliers de personnes entassées dans des camps de fortune.
  Caritas Congo lista par...  
Estaba tendido en el suelo, a unos 200 ó 300 metros de casa. Yo lo cogí en brazos y me fui al dispensario más cercano, pero allí me dijeron que fuera a un centro médico más grande. Cuando llegué al centro médico, mi hijo ya estaba muerto.
I ran to find my son. He was lying on the ground, 200 or 300 metres from the house. I held him in my arms. I went to a nearby clinic, but they told me to go to a larger medical centre. By the time we got to the medical centre, my son was already dead. He was 20 years old."
J’ai couru trouver mon fils. Il était étendu sur sol à 200 ou 300 mètres de la maison. Je l’ai pris dans mes bras. Je suis allé dans un dispensaire à côté, mais on m’a dit d’aller dans un centre médical plus grand. En arrivant au centre médical, mon fils était déjà mort. Il avait 20 ans. »
  Caritas Congo lista par...  
Mi mujer ya estaba acostada. Fui a comprobar si los niños habían entrado ya en casa, pero no ví a Léandre. Entonces pregunté a sus hermanos y hermanas dónde estaba él y me contestaron que estaba fuera con unos amigos.
"I came home at 7pm. My wife had already gone to bed. I checked to see if the children had come home, but I didn't see Léandre, so I asked where he was. His brothers and sisters told me he'd gone out with his friends.
« Je suis rentré à la maison à 19 h. Ma femme était déjà couchée. J’ai vérifié que les enfants étaient rentrés, mais je n’ai pas vu Léandre. J’ai alors demandé où il était. Ses frères et sœurs m’ont dit qu’il était allé dehors avec des amis.
  El sur de Sudà¡n vota p...  
“La primera vez que salí al aire no podía sostener los papeles”, dijo, “me temblaban demasiado las manos. Estoy muy orgulloso porque ahora lo puedo hacer, aunque fui obligado a abandonar mi hogar y estudié en una escuela pobre”.
Duku Martin John was one of many young men who had known nothing but war. Now he’s the host of “One People”, a radio show about reconciliation which is supported by the Sudan Catholic Radio Network. “I couldn’t handle the papers the first time I went on air,” he said, “My hands were shaking so much. I’m very proud of myself as I can do it now, even though I was forced from my home and came from a poor school.”
Duku Martin John était un parmi de nombreux jeunes hommes à n’avoir connu que la guerre. Aujourd’hui, il est l’hôte de « One People » (Un seul peuple), une émission de radio sur la réconciliation qui bénéficie du soutien du Réseau de radio catholique du Soudan. « Je ne pouvais pas tenir mes feuilles correctement la première fois que j’ai animé une émission, tellement mes mains tremblaient, dit-il. Je suis très fier de moi, car aujourd’hui, je suis capable de le faire, même si j’ai dû m’enfuir de chez moi et que j’ai fréquenté une école défavorisée. »
  Entrevista a S.E. Mons....  
Una mujer, compañera mía del jardín de infancia, perdió la casa. Fui a visitar a su familia. Estaban traumatizados pero, afortunadamente, no tuvieron que lamentar víctimas mortales en familia. Daban gracias a Dios, pero ellos tampoco imaginaron en toda su vida que algo así podía pasar.
Je suis allé rendre visite à sa famille. Ils étaient en état de choc, mais soulagés qu’aucun membre de la famille n’ait été tué. Ils sont reconnaissants, mais ils n’auraient jamais cru qu’une telle chose puisse se produire de leur vivant. Ils en ont été profondément affectés.
  Una voz en los escombro...  
Fui con algunos miembros de los brigada de salvamento de Caritas de México y otros de de Sudáfrica al hospital cubano un día que quería escribir sobre la labor que realizaba el hospital. Mientras nos encontrábamos en el lugar, un perro de una brigada de salvamento alemana halló signos de vida entre los escombros de la catedral cercana.
I went with the Caritas rescuers from Mexico and some rescuers from South Africa to the Cuban hospital one day as I wanted to write about what the hospital was doing. While we were there a dog from a German rescue team found signs of life in the rubble of the nearby cathedral. The rescue teams split up and started looking in different places.
Un jour, je suis allée avec les secouristes de Caritas Mexique et quelques secouristes d’Afrique du Sud à l’hôpital cubain parce que je voulais écrire sur le travail de cet hôpital. Sur place, un chien d’une équipe de secourisme allemande a décelé des signes de vie dans les décombres de la cathédrale voisine. Les équipes de secours se sont divisées et ont commencé à fouiller différents endroits.
  Caritas Congo lista par...  
Yo le pedí que fuera a la esquina de la calle, para ver si estaba allí. Ella fue y dijo que no estaba allí. Entonces me vestí y fui a dar una vuelta por el barrio. Los niños sabían que había que entrar en casa a las 21.00 como muy tarde.
I asked her to go to the corner of the street to see if he was there. She came back and said no. I got dressed so I could have a look around the neighbourhood. The children had instructions to be back home by 9pm at the latest.
Je lui ai demandé d’aller au coin de la rue voir s’il n’était pas là. Elle est revenue et m’a dit que non. Je me suis alors habillé pour faire le tour du quartier. Les enfants avaient la consigne de rentrer à la maison à 21 h au plus tard.
  Hambre o VIH, algunas m...  
"Yo fui a hacerme la prueba del VIH, porque dos de mis hijos habían muerto", me cuenta Thabisile, con la ayuda del traductor. Un tercer hijo murió de una enfermedad vinculada al SIDA, a pesar de que ya estaba en tramiento, igual que su marido.
Thabisile, 37, takes me up a long rough track to the remote mud hut where she lives with her 12-year-old daughter. I'm out of breath from the effort in the heat. A persistent cough rattles Thabisile's lungs as we walk. She has TB.
Thabisile me raconte qu’elle a mange du "porridge aigre" à base de maïs le matin. Elle ne mange que cela pratiquement tous les jours. La source près de sa maison s’est desséchée, elle ne peut donc se procurer de l’eau que si elle a de l’argent pour l’acheter.
  La construccià³n de paz...  
Ahora es muy popular con sus alumnos, que le rodean mientras no habla del programa ‘Embajadores de la paz’. “A mí me gusta Samuel”, nos dice Herkin, de siete años. Y un niño más grande concluye: “Él es un buen profesor. Fui feliz cuando llegó, porque es una persona educada”.
So Wario began teaching at the rural school. “At first I was a little frightened, but with time I interacted with them,” he says. He’s popular with his students, who crowd around him as he talks about the Peace Ambassadors programme. “I like Samuel,” says seven-year-old Herkin. An older boy adds, “He teaches us well. I was happy when he came here, because he’s educated.”
Alors Wario a commencé à enseigner dans cette école rurale. “Au début, j'avais un peu peur mais, avec le temps, j'ai fait leur connaissance ” se souvient-il. Il est apprécié de ses élèves qui l’entourent alors qu'il nous parle du programme Ambassadeurs de la Paix. “J'aime bien Samuel”, s'exclame Herkin, un garçonnet de sept ans. Un enfant plus âgé ajoute, “C'est un bon maître. Je suis content qu'il soit venu parce qu'il sait beaucoup de choses”.
  Llevamos el mensaje del...  
Yo fui a la ONU para hablar a los estados miembros del Consejo de Seguridad y agradecerles sus esfuerzos en la RDC, así como para recordarles urgentemente las numerosas consecuencias de todos estos años de violencia, que implican inestabilidad para todos.
That's a long story! During 15 plus years of war and conflict, we have been working at the grassroots doing peacebuilding education and teaching national civil rights among many other things. I came to the UN to speak to Security Council Member States to thank them for their efforts in DRC, but to urgently remind them of the diverse effects of so many years of violence which sustains instability for all but we need even more support and serious engagement from all sectors in the international community.
C’est une longue histoire! Pendant plus de 15 ans de guerre et de conflit, nous avons travaillé à la base, notamment pour instiller les principes du retour à la paix et enseigner les droits civiques nationaux. Je suis venu au Siège des Nations Unies pour m’adresser aux Etats Membres du Conseil de sécurité et les remercier des efforts qu’ils ont déployés en République démocratique du Congo (RDC), mais pour leur rappeler aussi de manière pressante les effets de toutes ces années de violence qui nourrissent une instabilité généralisée. Nous avons besoin d’encore plus d’aide et d’un engagement sérieux de la part de tous les secteurs de la communauté internationale.
  El tren de los mil peli...  
Edwin ha sido testigo estos últimos años de la degradación de las condiciones de seguridad para los migrantes: «La primera vez que crucé México y la frontera, no había problemas. Mientras hoy viajar en los trenes se ha convertido en una lucha constante contra la muerte. Claro, eso sin olvidar también el cansancio, el hambre y el frío. Es grande el riesgo de dormirse y caerse del tren. Pero las bandas de criminales que roban, violan y secuestran a quienes encuentran en los trenes, son peor que todo lo demás. Yo también fui víctima de robo y me dieron una paliza. Sin embargo, para las mujeres la situación es peor, es terrible. Ellas siempre se ven sometidas a las peores violencias. Por ese motivo, nunca dejé que mis hermanas emprendieran ese viaje. Yo fui testigo de violencias terribles y no quiero que ellas corran el riesgo de sufrir igual suerte».
"The first time I crossed Mexico and the border there weren't any problems. Today, travelling on trains has become a permanent struggle against death. Of course, there's fatigue, hunger and cold. The risk of going to sleep and falling off the train is great. But the criminal gangs who rob, rape and kidnap the men and women on the trains are the worst of all. I had all my things stolen and I was also beaten up.Women have to put up with the most terrible situation. They're always subjected to the worst violence. That's why I've never let my sisters set out on this journey. I don't want them to run the risk of experiencing what I've seen."
« La première fois que j’ai traversé le Mexique et la frontière, il n’y avait pas de problèmes. Aujourd’hui, voyager sur les trains est devenu un combat permanent contre la mort. Bien sûr il y a la fatigue, la faim et le froid. Le risque de s’endormir et de tomber du train est grand. Mais les bandes de criminels qui volent, violent et séquestrent ceux et celles qui sont sur les trains sont pires que tout le reste. Moi-même, j’ai déjà été dépouillé de tout ce que j’avais et j’ai été battu aussi. C’est pour les femmes que la situation est la plus terrible. Elles sont toujours soumises aux plus dures violences. C’est pour cela que je n’ai jamais laissé mes sœurs entreprendre ce voyage. Je ne veux pas qu’elles courent le risque de vivre ce dont j’ai été témoin. »
  El tren de los mil peli...  
Edwin ha sido testigo estos últimos años de la degradación de las condiciones de seguridad para los migrantes: «La primera vez que crucé México y la frontera, no había problemas. Mientras hoy viajar en los trenes se ha convertido en una lucha constante contra la muerte. Claro, eso sin olvidar también el cansancio, el hambre y el frío. Es grande el riesgo de dormirse y caerse del tren. Pero las bandas de criminales que roban, violan y secuestran a quienes encuentran en los trenes, son peor que todo lo demás. Yo también fui víctima de robo y me dieron una paliza. Sin embargo, para las mujeres la situación es peor, es terrible. Ellas siempre se ven sometidas a las peores violencias. Por ese motivo, nunca dejé que mis hermanas emprendieran ese viaje. Yo fui testigo de violencias terribles y no quiero que ellas corran el riesgo de sufrir igual suerte».
"The first time I crossed Mexico and the border there weren't any problems. Today, travelling on trains has become a permanent struggle against death. Of course, there's fatigue, hunger and cold. The risk of going to sleep and falling off the train is great. But the criminal gangs who rob, rape and kidnap the men and women on the trains are the worst of all. I had all my things stolen and I was also beaten up.Women have to put up with the most terrible situation. They're always subjected to the worst violence. That's why I've never let my sisters set out on this journey. I don't want them to run the risk of experiencing what I've seen."
« La première fois que j’ai traversé le Mexique et la frontière, il n’y avait pas de problèmes. Aujourd’hui, voyager sur les trains est devenu un combat permanent contre la mort. Bien sûr il y a la fatigue, la faim et le froid. Le risque de s’endormir et de tomber du train est grand. Mais les bandes de criminels qui volent, violent et séquestrent ceux et celles qui sont sur les trains sont pires que tout le reste. Moi-même, j’ai déjà été dépouillé de tout ce que j’avais et j’ai été battu aussi. C’est pour les femmes que la situation est la plus terrible. Elles sont toujours soumises aux plus dures violences. C’est pour cela que je n’ai jamais laissé mes sœurs entreprendre ce voyage. Je ne veux pas qu’elles courent le risque de vivre ce dont j’ai été témoin. »