fui – -Translation – Keybot Dictionary

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Keybot 14 Results  www.caritas.org
  Migrantes lo arriesgan ...  
"Yo me fui para que mi familia pueda tener paz y seguridad", dice Stefani. "Pero para los migrantes de Centroamérica, este viaje es demasiado difícil, demasiado peligroso, todo lo que queremos es sobrevivir ”.
“I left so that my family can know peace and safety, says Stefani. “But for the migrants of Central America, this voyage is too difficult, too dangerous, we only seek to survive. ”
« Je suis parti pour que notre famille puisse s’épanouir dans la paix et la sécurité, dit Stefani. Mais pour nous, les migrants d’Amérique centrale, ce voyage est trop difficile, trop dangereux, alors que nous ne voulons que survivre »
  Llevamos el mensaje del...  
Yo fui a la ONU para hablar a los estados miembros del Consejo de Seguridad y agradecerles sus esfuerzos en la RDC, así como para recordarles urgentemente las numerosas consecuencias de todos estos años de violencia, que implican inestabilidad para todos.
That's a long story! During 15 plus years of war and conflict, we have been working at the grassroots doing peacebuilding education and teaching national civil rights among many other things. I came to the UN to speak to Security Council Member States to thank them for their efforts in DRC, but to urgently remind them of the diverse effects of so many years of violence which sustains instability for all but we need even more support and serious engagement from all sectors in the international community.
C’est une longue histoire! Pendant plus de 15 ans de guerre et de conflit, nous avons travaillé à la base, notamment pour instiller les principes du retour à la paix et enseigner les droits civiques nationaux. Je suis venu au Siège des Nations Unies pour m’adresser aux Etats Membres du Conseil de sécurité et les remercier des efforts qu’ils ont déployés en République démocratique du Congo (RDC), mais pour leur rappeler aussi de manière pressante les effets de toutes ces années de violence qui nourrissent une instabilité généralisée. Nous avons besoin d’encore plus d’aide et d’un engagement sérieux de la part de tous les secteurs de la communauté internationale.
  El sur de Sudà¡n vota p...  
“La primera vez que salí al aire no podía sostener los papeles”, dijo, “me temblaban demasiado las manos. Estoy muy orgulloso porque ahora lo puedo hacer, aunque fui obligado a abandonar mi hogar y estudié en una escuela pobre”.
Duku Martin John was one of many young men who had known nothing but war. Now he’s the host of “One People”, a radio show about reconciliation which is supported by the Sudan Catholic Radio Network. “I couldn’t handle the papers the first time I went on air,” he said, “My hands were shaking so much. I’m very proud of myself as I can do it now, even though I was forced from my home and came from a poor school.”
Duku Martin John était un parmi de nombreux jeunes hommes à n’avoir connu que la guerre. Aujourd’hui, il est l’hôte de « One People » (Un seul peuple), une émission de radio sur la réconciliation qui bénéficie du soutien du Réseau de radio catholique du Soudan. « Je ne pouvais pas tenir mes feuilles correctement la première fois que j’ai animé une émission, tellement mes mains tremblaient, dit-il. Je suis très fier de moi, car aujourd’hui, je suis capable de le faire, même si j’ai dû m’enfuir de chez moi et que j’ai fréquenté une école défavorisée. »
  El tren de los mil peli...  
Edwin ha sido testigo estos últimos años de la degradación de las condiciones de seguridad para los migrantes: «La primera vez que crucé México y la frontera, no había problemas. Mientras hoy viajar en los trenes se ha convertido en una lucha constante contra la muerte. Claro, eso sin olvidar también el cansancio, el hambre y el frío. Es grande el riesgo de dormirse y caerse del tren. Pero las bandas de criminales que roban, violan y secuestran a quienes encuentran en los trenes, son peor que todo lo demás. Yo también fui víctima de robo y me dieron una paliza. Sin embargo, para las mujeres la situación es peor, es terrible. Ellas siempre se ven sometidas a las peores violencias. Por ese motivo, nunca dejé que mis hermanas emprendieran ese viaje. Yo fui testigo de violencias terribles y no quiero que ellas corran el riesgo de sufrir igual suerte».
"The first time I crossed Mexico and the border there weren't any problems. Today, travelling on trains has become a permanent struggle against death. Of course, there's fatigue, hunger and cold. The risk of going to sleep and falling off the train is great. But the criminal gangs who rob, rape and kidnap the men and women on the trains are the worst of all. I had all my things stolen and I was also beaten up.Women have to put up with the most terrible situation. They're always subjected to the worst violence. That's why I've never let my sisters set out on this journey. I don't want them to run the risk of experiencing what I've seen."
« La première fois que j’ai traversé le Mexique et la frontière, il n’y avait pas de problèmes. Aujourd’hui, voyager sur les trains est devenu un combat permanent contre la mort. Bien sûr il y a la fatigue, la faim et le froid. Le risque de s’endormir et de tomber du train est grand. Mais les bandes de criminels qui volent, violent et séquestrent ceux et celles qui sont sur les trains sont pires que tout le reste. Moi-même, j’ai déjà été dépouillé de tout ce que j’avais et j’ai été battu aussi. C’est pour les femmes que la situation est la plus terrible. Elles sont toujours soumises aux plus dures violences. C’est pour cela que je n’ai jamais laissé mes sœurs entreprendre ce voyage. Je ne veux pas qu’elles courent le risque de vivre ce dont j’ai été témoin. »
  El tren de los mil peli...  
Edwin ha sido testigo estos últimos años de la degradación de las condiciones de seguridad para los migrantes: «La primera vez que crucé México y la frontera, no había problemas. Mientras hoy viajar en los trenes se ha convertido en una lucha constante contra la muerte. Claro, eso sin olvidar también el cansancio, el hambre y el frío. Es grande el riesgo de dormirse y caerse del tren. Pero las bandas de criminales que roban, violan y secuestran a quienes encuentran en los trenes, son peor que todo lo demás. Yo también fui víctima de robo y me dieron una paliza. Sin embargo, para las mujeres la situación es peor, es terrible. Ellas siempre se ven sometidas a las peores violencias. Por ese motivo, nunca dejé que mis hermanas emprendieran ese viaje. Yo fui testigo de violencias terribles y no quiero que ellas corran el riesgo de sufrir igual suerte».
"The first time I crossed Mexico and the border there weren't any problems. Today, travelling on trains has become a permanent struggle against death. Of course, there's fatigue, hunger and cold. The risk of going to sleep and falling off the train is great. But the criminal gangs who rob, rape and kidnap the men and women on the trains are the worst of all. I had all my things stolen and I was also beaten up.Women have to put up with the most terrible situation. They're always subjected to the worst violence. That's why I've never let my sisters set out on this journey. I don't want them to run the risk of experiencing what I've seen."
« La première fois que j’ai traversé le Mexique et la frontière, il n’y avait pas de problèmes. Aujourd’hui, voyager sur les trains est devenu un combat permanent contre la mort. Bien sûr il y a la fatigue, la faim et le froid. Le risque de s’endormir et de tomber du train est grand. Mais les bandes de criminels qui volent, violent et séquestrent ceux et celles qui sont sur les trains sont pires que tout le reste. Moi-même, j’ai déjà été dépouillé de tout ce que j’avais et j’ai été battu aussi. C’est pour les femmes que la situation est la plus terrible. Elles sont toujours soumises aux plus dures violences. C’est pour cela que je n’ai jamais laissé mes sœurs entreprendre ce voyage. Je ne veux pas qu’elles courent le risque de vivre ce dont j’ai été témoin. »