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  Ethos - Schweizerische ...  
· Boni-Rückzahlung bei American International Group
· American International Group: Bonuses Returned under Pressure
· American International Group: Remboursement des bonus
  Ethos - Schweizerische ...  
Die Durchschnittsvergütung der Mitglieder der Geschäftsleitung beläuft sich dagegen auf 2,4 Millionen Franken. Ausserdem hat sich die Transparenz der Vergütungen insbesondere bei den Boni kaum verbessert und übersteigt selten das gesetzliche Minimum.
In 2008, the executive remuneration in the 47 companies included in the SMI Expanded Index fell by 22%. The average remuneration of the non executive Chairmen was CHF 2 million and CHF 300'000 for a non executive director. The average remuneration of executive management was CHF 2.4 million. Moreover, the transparency with regard to remuneration, in particular the annual bonus, was not improved and still does not exceed the minimum required by law. Finally, an important part of long term share based incentive plans does not include performance targets, which is contrary to international best practice rules.
En 2008, la rémunération des instances dirigeantes des 47 sociétés comprises dans l'indice SMI Expanded a baissé de 22%. La rémunération moyenne des présidents non exécutifs s'est élevée à 2 millions de francs, celle des autres membres non exécutifs des conseils d'administration à 300'000 francs, alors que la rémunération moyenne des membres de la direction générale a atteint 2,4 millions de francs. De plus, la transparence en matière de rémunérations, notamment en ce qui concerne les bonus, ne s'est pas améliorée et ne dépasse souvent guère le minimum légal. Finalement, une grande partie des plans de participation en actions et en options ne prévoient pas d'objectifs de performance pour l'exercice des titres, ce qui est contraire aux règles internationales de bonne pratique.
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Ungeachtet dieses grossen Widerstandes fährt die Bank fort, jährlich mehr als 3% des Kapitals in Form von Aktien und Optionen zuzuteilen, obwohl die Best Practice das akzeptable Maximum auf 1% pro Jahr festlegt. Zudem sind die Performancekriterien für die Ausübung der Optionen ungenügend und die Boni unbegrenzt.
Ethos has therefore decided to vote against the re-election of Mr. Peter Spuhler, member of the Remuneration Committee, at the UBS Annual General Meeting of shareholders (18 April 2007). This decision doesn’t call into question Mr. Spuhler’s entrepreneurial skills. Nevertheless, as member of the Remuneration Committee, Mr. Spuhler participates in the establishment of UBS’ remuneration policy, which in many aspects is not in line with best practice. At last year’s annual meeting, 25% of votes opposed the creation of a pool of conditional capital for stock option plans. In spite of this substantial opposition, UBS continues to set aside more than 3% of capital every year for shares and options, whereas the maximum accepted under best practice is 1% per year. Moreover, the performance criteria for exercising stock options are not sufficiently challenging and the bonuses are not capped. Finally, UBS refuses to allow the shareholders to vote on the remuneration policy, even though last year the Chairman of the Remuneration committee stated that he was personally in favour of an advisory vote of the shareholders.
Ethos a ainsi décidé, lors de l’assemblée générale de l’UBS (18.4.2007), de s’opposer à la réélection de M. Peter Spuhler, membre du Comité de rémunération. Cette décision ne met nullement en cause les capacités d’entrepreneur de M. Spuhler. Par contre, en tant que membre du Comité de rémunération, il participe à la mise en place de la politique de rémunération de l’UBS. Or cette politique contrevient largement à la bonne pratique. Lors de l’assemblée générale de l’année dernière, 25% des voix se sont opposées à la création d’un capital conditionnel pour les plans d’options. Malgré cette importante opposition, la Banque continue à octroyer annuellement plus de 3% du capital sous forme d’actions et d’options, alors que la bonne pratique fixe le maximum acceptable à 1% par an. Parallèlement, les critères de performance pour l’exercice des options sont insuffisants et les bonus ne sont pas plafonnés. Finalement, l’UBS refuse de donner aux actionnaires la possibilité de voter sur la politique de rémunération, ceci malgré que l’année dernière le Président du Comité de rémunération, à titre personnel, se soit prononcé positivement vis-à-vis d’un vote consultatif.