cris – -Translation – Keybot Dictionary

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Keybot 7 Results  www.eurotopics.net
  euro|topics - Navid Ker...  
"Malgré tout ce qu'on a pu lire dernièrement au sujet de l'islam, ou contre l'islam, et malgré tous les cris d'orfraie, la cohabitation en société et la tolérance à ... » suite
"Was immer über oder gegen den Islam in jüngster Zeit geschrieben wird, bei allen schrillen Tönen - in der Gesellschaft funktioniert das Zusammenleben weitaus besser, ... » mehr
  euro|topics - Navid Ker...  
"Malgré tout ce qu'on a pu lire dernièrement au sujet de l'islam, ou contre l'islam, et malgré tous les cris d'orfraie, la cohabitation en société et la tolérance à ... » suite
"Was immer über oder gegen den Islam in jüngster Zeit geschrieben wird, bei allen schrillen Tönen - in der Gesellschaft funktioniert das Zusammenleben weitaus besser, ... » mehr
  euro|topics - Arvids Ka...  
"Tout jardinier sait que les mauvaises herbes envahissent les cultures lorsqu'elles ne sont pas arrachées à temps. C'est également vrai dans une société. Mais les démagogues 'humanistes' refusent de le reconnaître et nous imposent toutes sortes de perversions et de crimes. La 'civilisation occidentale' doit-elle dégénérer et s'écrouler, comme jadis l'Empire romain ? (...). Il est temps de se ressaisir et de rétablir la peine de mort dans les cas de culpabilité manifeste, et plus particulièrement dans les cas de récidive. Cela, la Pologne l'a déjà compris et n'a donc que faire des cris d'orfraie poussés par ces messieurs de l'Union européenne".
Arvids Kalme stellt sich auf die Seite derer, die in Polen die Todesstrafe wieder einführen wollen. "Jeder Gärtner weiß, dass Unkraut die Kulturpflanzen überwuchert, wenn es nicht rechtzeitig ausgerissen wird. Das gilt auch für die menschliche Gesellschaft. Aber demagogische 'Humanisten' erkennen dies nicht und zwingen uns alle möglichen Perversionen und Verbrechen auf. Soll die 'westliche Zivilisation' wirklich degenerieren und zusammenbrechen, wie seinerzeit das Römische Reich?... Es wird Zeit, zur Besinnung zu kommen und in unstrittigen Fällen, vor allem bei Rückfälligen, die Todesstrafe wieder einzuführen. In Polen hat man das bereits begriffen und kümmert sich dabei nicht um den Aufschrei all der Herren aus der EU."
  euro|topics - Pedro Alm...  
"Ce type de programme n'a désormais plus rien d'exceptionnel, c'est devenu un genre télévisé, qui a, à son tour, créé des sous-genres (l'affrontement à grands cris est l'un des plus prisés). Bien qu'on appelle cela de la 'télé-réalité', la réalité en est complètement absente. (...) La réalité n'apparaît nulle part, il s'agit de faits qui se situent dans une bulle coupée du temps et de l'espace. (...) A une autre époque, ces programmes m'auraient fait beaucoup rire (la sous-culture populaire m'a toujours intéressé), j'aurais su trouver de la matière pour de nombreuses parodies. Mais je suis incapable de m'en amuser. C'est triste."
The Spanish filmmaker Pedro Almodovar, interviewed by Ángel S. Harguindey on the day his new film 'Volver' opens in Spain, shares his feelings about reality TV shows. "There is no longer anything exceptional about this type of program, it has become a TV genre which, in turn, has spawned sub-genres (the shouting-match confrontation is one of the most popular). Although it is called 'reality-TV', it is in fact completely devoid of reality. ... Reality appears nowhere; it is rather a matter of things happening in a bubble removed from time and space. There is a time when these programs would have made me laugh a great deal (I've always been interested in pop culture). I would have been able to find material for lots of parodies. But I am unable to find them humorous. It's sad."
  euro|topics - Nathalie ...  
"La surveillance policière est discrète, et les manifestations de colère d'extrémistes religieux que redoutaient les organisateurs, inexistantes. La plupart des organisations musulmanes d'Allemagne avaient appelé à la modération. Sur scène non plus, il ne se passe pas grand-chose, malgré la gesticulation, les cris, les effets son et lumière que semble affectionner le dramaturge Uwe Eric Laufenberg. (...) La mise en scène de Laufenberg prend souvent les allures d'une mauvaise farce et le spectacle ne restera pas dans les annales du théâtre allemand. (...) Mais les critiques insistent surtout sur l'absence de ce dialogue interculturel qu'avait promis le théâtre. La pièce n'a somme toute guère d'autre mérite que celui d'exister."
Nathalie Versieux hat sich die erste Theateradaption der "Satanischen Verse" Salman Rushdies am Hans-Otto-Theater in Potsdam angeschaut. "Die Polizei agierte diskret und die wütenden Demonstrationen religiöser Fanatiker, die die Veranstalter befürchtet hatten, blieben aus. Die meisten muslimischen Organisationen in Deutschland hatten zur Mäßigung aufgerufen. Aber auch auf der Bühne passierte wenig - trotz all des Gestikulierens, Herumgeschreies und der Ton- und Lichteffekte, die der Regisseur Uwe-Eric Laufenberg offenbar bevorzugt... Laufenbergs Inszenierung hat an vielen Stellen eher etwas von einer schlechten Farce und wird sicher nicht in die deutsche Theatergeschichte eingehen... Die Kritiken reklamierten vor allem die Abwesenheit des interkulturellen Dialogs, den das Theater angekündigt hatte. Das Wichtigste an dem Stück ist, dass es dieses nun gibt."
  euro|topics - Bartosz W...  
"L'accord [du 5 février] (...) ne met pas fin au débat sur un lieu de commémoration des expulsions. Cette querelle n'a que trop duré. En Pologne et en Allemagne, de trop nombreux politiciens nourrissent une animosité mutuelle et cet accord ne peut pas y mettre un terme. Les membres du parti polonais Droit et justice (PiS) ont cloué le gouvernement au pilori à cause d'une prétendue capitulation devant l'Allemagne. L'organisation des expulsés allemands [Preussische Treuhand], quant à elle, poussera des grands cris car elle souhaite que ce soit elle qui dicte le souvenir des déportations et non le gouvernement allemand."
After nine years of debate, the dispute between Germany and Poland about a planned Centre against Expulsions in Berlin was officially resolved. Poland will not participate formally in the planned documentation centre in Berlin, but collaboration on the part of Polish historians was not ruled out. Bartosz T. Wieliński remains sceptical. "Yesterday's compromise ... did not end the discussion about a place of commemoration for the expellees. The dispute took too long. Too many politicians in Poland and in Germany bear mutual animosity for the agreements reached yesterday to be able to end their argument. Politicians of the [Polish party] PiS will continue to pillory the government because it allegedly capitulated to Germany. The German Federation of Expellees will cry out because it wants to dictate how people commemorate the deportations, not the German government."
  euro|topics - Johannes ...  
Pour cela, le musée d'histoire allemande de Berlin a montré beaucoup de tact, écrit le quotidien Dagens Nyheter, qui estime toutefois que l'objectif n'a pas été atteint : "L'exposition ne doit pas alimenter l'admiration pour Hitler, sous quelque forme que ce soit. C'était l'un des principaux points de départ du travail préalable à l'exposition. C'est la raison pour laquelle on ne voit nulle part Hitler en grand format. On y trouve beaucoup de matériel de propagande, auquel on accorde toutefois aucun espace ; on l'oppose plutôt, de manière cohérente, à d'autres images des actes des nazis : arrestation, violence, meurtres. Ce qui ressort également, c'est le silence qui règne dans les pièces. Il y a des images animées, mais on entend jamais les cris d'un Hitler agité. On a ainsi produit une atmosphère remarquablement calme. Si l'on se rend à Berlin dans l'idée de voir la première exposition sur Hitler, on le trouvera étrangement absent. On pourrait interpréter comme une faiblesse du musée d'histoire allemande de ne pas avoir eu le courage de se confronter de plus près à la question de l'identité d'Hitler. Le musée n'a pas osé mettre Hitler sous la lumière des projecteurs, mais a inséré le côté dangereux dans un cadre plus large et moins pesant."
W Niemieckim Muzeum Historycznym w Berlinie można zobaczyć wystawę poświęconą osobie Adolfa Hitlera. To precedens. Organizatorzy wykazali się należytym wyczuciem i taktem, ale koniec końców nie osiągnęli celu, analizuje dziennik Dagens Nyheter: "Wystawa nie może w żaden sposób zachęcać do podziwiania Hitlera. To było jedno z najważniejszych założeń w pracy nad ekspozycją. Dlatego też Hitler ani razu nie pojawia się w dużym formacie. Wystawiono materiały propagandowe, ale nigdy nie znajdują się one w odosobnieniu. Konsekwentnie zestawiane są z innymi zdjęciami przedstawiającymi praktyki nazistowskie: aresztowania, przemoc, zbrodnie. Co charakterystyczne, w salach wystawowych zalega przejmująca cisza. Są wprawdzie filmy, ale krzyczącego, żywo agitującego Hitlera nigdzie nie słychać. Zadbano o spokojną atmosferę. Jeśli ktoś jednak przybył do Berlina z zamiarem obejrzenia pierwszej wystawy o Hitlerze, w zaskakujący sposób zostanie skonfrontowany z jego nieobecnością. Można to postrzegać jako słabość Niemieckiego Muzeum Historycznego, które nie odważyło się bezpośrednio zmierzyć z tematem ekspozycji i udzielić odpowiedzi na pytanie, kim był Hitler. Muzeum zabrakło odwagi, by postawić Hitlera w świetle reflektorów. To, co groźne, zostało pokazane jako część większej całości, nie wzbudzającej już tak wielkich emocji."