morel – Übersetzung – Keybot-Wörterbuch

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In this case, Agence France Presse (AFP) was seeking a declaration from the Courts that it had not infringed any existing copyrights residing in pictures taken by Mr. Morel of the 2010 earthquake in Haïti that he himself uploaded to the Twitter social networking service.
Dans ce cas, l’Agence France Presse (AFP) avait demandé à la Cour de constater qu’elle n’avait pas violé les droits d’auteur rattachés aux photographies prises par M. Morel lors du tremblement de terre de 2010 en Haïti. Ce photographe avait téléchargé ses photos sur le service de réseau social Twitter/Twitpic. L’AFP avait alors obtenu ces photos sans demander l’autorisation préalable de M. Morel et les avait ensuite vendues, par le biais d’un intermédiaire, à CNN et CBS à des fins de diffusion. L’AFP faisait valoir que puisque M. Morel avait téléchargé et partagé les photos via son interface Twitter, il les avait rendues accessibles aux autres utilisateurs de Twitter. Ainsi, il donnait une licence implicite de partager ou de republier ses photos. En d’autres termes, l'AFP alléguait qu'il n’y avait pas de risque de contrefaçon puisque M. Morel avait donné une permission générale d’utiliser ses photos, compte tenu que la nature même de Twitter requiert que le contenu soit publié, partagé et publié à nouveau par autrui.
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In this case, Agence France Presse (AFP) was seeking a declaration from the Courts that it had not infringed any existing copyrights residing in pictures taken by Mr. Morel of the 2010 earthquake in Haïti that he himself uploaded to the Twitter social networking service.
Dans ce cas, l’Agence France Presse (AFP) avait demandé à la Cour de constater qu’elle n’avait pas violé les droits d’auteur rattachés aux photographies prises par M. Morel lors du tremblement de terre de 2010 en Haïti. Ce photographe avait téléchargé ses photos sur le service de réseau social Twitter/Twitpic. L’AFP avait alors obtenu ces photos sans demander l’autorisation préalable de M. Morel et les avait ensuite vendues, par le biais d’un intermédiaire, à CNN et CBS à des fins de diffusion. L’AFP faisait valoir que puisque M. Morel avait téléchargé et partagé les photos via son interface Twitter, il les avait rendues accessibles aux autres utilisateurs de Twitter. Ainsi, il donnait une licence implicite de partager ou de republier ses photos. En d’autres termes, l'AFP alléguait qu'il n’y avait pas de risque de contrefaçon puisque M. Morel avait donné une permission générale d’utiliser ses photos, compte tenu que la nature même de Twitter requiert que le contenu soit publié, partagé et publié à nouveau par autrui.
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In this case, Agence France Presse (AFP) was seeking a declaration from the Courts that it had not infringed any existing copyrights residing in pictures taken by Mr. Morel of the 2010 earthquake in Haïti that he himself uploaded to the Twitter social networking service.
Dans ce cas, l’Agence France Presse (AFP) avait demandé à la Cour de constater qu’elle n’avait pas violé les droits d’auteur rattachés aux photographies prises par M. Morel lors du tremblement de terre de 2010 en Haïti. Ce photographe avait téléchargé ses photos sur le service de réseau social Twitter/Twitpic. L’AFP avait alors obtenu ces photos sans demander l’autorisation préalable de M. Morel et les avait ensuite vendues, par le biais d’un intermédiaire, à CNN et CBS à des fins de diffusion. L’AFP faisait valoir que puisque M. Morel avait téléchargé et partagé les photos via son interface Twitter, il les avait rendues accessibles aux autres utilisateurs de Twitter. Ainsi, il donnait une licence implicite de partager ou de republier ses photos. En d’autres termes, l'AFP alléguait qu'il n’y avait pas de risque de contrefaçon puisque M. Morel avait donné une permission générale d’utiliser ses photos, compte tenu que la nature même de Twitter requiert que le contenu soit publié, partagé et publié à nouveau par autrui.
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In this case, Agence France Presse (AFP) was seeking a declaration from the Courts that it had not infringed any existing copyrights residing in pictures taken by Mr. Morel of the 2010 earthquake in Haïti that he himself uploaded to the Twitter social networking service.
Dans ce cas, l’Agence France Presse (AFP) avait demandé à la Cour de constater qu’elle n’avait pas violé les droits d’auteur rattachés aux photographies prises par M. Morel lors du tremblement de terre de 2010 en Haïti. Ce photographe avait téléchargé ses photos sur le service de réseau social Twitter/Twitpic. L’AFP avait alors obtenu ces photos sans demander l’autorisation préalable de M. Morel et les avait ensuite vendues, par le biais d’un intermédiaire, à CNN et CBS à des fins de diffusion. L’AFP faisait valoir que puisque M. Morel avait téléchargé et partagé les photos via son interface Twitter, il les avait rendues accessibles aux autres utilisateurs de Twitter. Ainsi, il donnait une licence implicite de partager ou de republier ses photos. En d’autres termes, l'AFP alléguait qu'il n’y avait pas de risque de contrefaçon puisque M. Morel avait donné une permission générale d’utiliser ses photos, compte tenu que la nature même de Twitter requiert que le contenu soit publié, partagé et publié à nouveau par autrui.
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Therefore, from a practical perspective, even though the user retains ownership to the content they post, the entity providing the social network itself is nonetheless given a non-exclusive license to freely use and distribute the content, thereby devaluing the concept of actual ownership. This was the very nature of a recent American dispute: Agence France Presse v. Morel - F.Supp.2d ----, 2011 WL 147718 (S.D.N.Y. Jan 14, 2011) (NO. 10 CIV 2730 WHP).
Ces contrats d’utilisation peuvent parfois être en désaccord avec des applications pratiques du «monde réel» qui portent sur les droits des utilisateurs. À titre d’exemple, la plupart des contrats d’utilisation de réseaux sociaux se targuent que leurs utilisateurs conservent tous leurs droits de propriété sur le contenu qu’ils génèrent. Cependant, en lisant ces contrats plus soigneusement, on réalisera que, dans l’ensemble, un utilisateur est en réalité en train d’accepter de fournir à ces sites (de même que les sites apparentés et partenaires) une licence non exclusive, gratuite et définitive de leurs contenus, ce qui inclut le droit de concéder des sous-licences à autrui. Ainsi, dans une perspective pratique, même si les utilisateurs conservent la propriété du contenu qu’ils publient, l’entité qui fournit le réseau social se voit accorder une licence non exclusive pour librement utiliser et distribuer ledit contenu, dévaluant alors la notion de propriété. Ceci était au coeur d’un récent litige américain, soit Agence France Presse v. Morel - F.Supp.2d ----, 2011 WL 147718 (S.D.N.Y. Jan 14, 2011) (NO. 10 CIV 2730 WHP).