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Consistent with results observed in earlier studies and toxicokinetic data that indicate slower clearance of the active metabolite, BAA, and greater activity of the relevant isoenzyme in females (see Section 2.4.3.11), in general, the severity of hematological effects was greater in females than in males, with alterations in multiple parameters being observed at the lowest concentration tested (i.e., 31.2 ppm [151 mg/m3], considered to be the LOEL), while only mean cell volume was affected in males at this concentration.
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L'incidence des phéochromocytomes (bénins pour la plupart : un cas de tumeur maligne) de la glande surrénale a légèrement augmenté chez les rats femelles à la concentration maximale (125 ppm [604 mg/m3]), laquelle, bien que peu élevée en comparaison des témoins simultanés, dépassait l'incidence observée de cette lésion chez les témoins antérieurs du NTP. Il y a aussi eu une augmentation non statistiquement significative de l'incidence de l'hyperplasie des médullosurrénales chez les femelles, à 125 ppm (604 mg/m3). Cette augmentation n'a pas été observée chez les mâles. Parmi les autres changements histopathologiques observés chez les rats, on compte l'incidence accrue d'une dégénérescence hyaline minime de l'épithélium olfactif (considérée comme adaptative ou protective plutôt que défavorable), de la pigmentation des cellules hépatiques de Kupffer chez les deux sexes, aux deux concentrations maximales et des fibroses spléniques chez les mâles à 62,5 ppm (302 mg/m3) et plus. À partir de ces résultats, les responsables du NTP ont conclu à l'absence de preuve d'activité cancérogène chez les rats mâles F344/N et au caractère demeurant douteux de cette preuve pour les femelles de la même souche, puisque la légère augmentation des phéochromocytomes ne pouvait être attribuée avec certitude à l'exposition au 2-butoxyéthanol.
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