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  Case Law of the Boards ...  
The board noted that, under these circumstances, even if BM. itself had imposed on its employees or third parties a confidentiality obligation in this respect, vis-à-vis the opponent it was not bound to do so.
Dans ces circonstances, la chambre a indiqué que même si BM. avait imposé à ses salariés ou à des tiers un devoir de confidentialité à cet égard, elle n'était pas tenue d'agir ainsi vis-à-vis de l'opposant. En d'autres termes, si BM. avait transmis des informations obtenues de l'opposant en exécutant le contrat SE, elle n'aurait pas porté atteinte à ce contrat, et cet aspect était déterminant pour sa qualification en tant que membre du public. Pour ces motifs, la chambre a conclu que le contenu technique du dessin D2 était compris dans l'état de la technique au sens de l'art. 54(2) CBE 1973 avant la date de priorité du brevet litigieux.
Unter diesen Umständen, so die Kammer, sei BM. auch dann, wenn sie selbst ihren Arbeitnehmern oder Dritten diesbezüglich Geheimhaltung auferlegt habe, dem Einsprechenden gegenüber hierzu nicht ebenfalls verpflichtet gewesen. Mit anderen Worten, selbst wenn BM. Informationen weitergegeben hätte, die sie vom Einsprechenden im Rahmen der Umsetzung der SE-Vereinbarung erhalten habe, hätte sie damit den Vertrag nicht verletzt, und das sei dafür entscheidend, ob sie der Öffentlichkeit zugerechnet werden könne. Aus diesen Gründen wurde festgestellt, dass der technische Inhalt der Zeichnung D2 vor dem Prioritätstag des streitigen Patents Stand der Technik im Sinne von Art. 54 (2) EPÜ 1973 geworden war.
  Case Law of the Boards ...  
The board noted that, under these circumstances, even if BM. itself had imposed on its employees or third parties a confidentiality obligation in this respect, vis-à-vis the opponent it was not bound to do so.
Dans ces circonstances, la chambre a indiqué que même si BM. avait imposé à ses salariés ou à des tiers un devoir de confidentialité à cet égard, elle n'était pas tenue d'agir ainsi vis-à-vis de l'opposant. En d'autres termes, si BM. avait transmis des informations obtenues de l'opposant en exécutant le contrat SE, elle n'aurait pas porté atteinte à ce contrat, et cet aspect était déterminant pour sa qualification en tant que membre du public. Pour ces motifs, la chambre a conclu que le contenu technique du dessin D2 était compris dans l'état de la technique au sens de l'art. 54(2) CBE 1973 avant la date de priorité du brevet litigieux.
Unter diesen Umständen, so die Kammer, sei BM. auch dann, wenn sie selbst ihren Arbeitnehmern oder Dritten diesbezüglich Geheimhaltung auferlegt habe, dem Einsprechenden gegenüber hierzu nicht ebenfalls verpflichtet gewesen. Mit anderen Worten, selbst wenn BM. Informationen weitergegeben hätte, die sie vom Einsprechenden im Rahmen der Umsetzung der SE-Vereinbarung erhalten habe, hätte sie damit den Vertrag nicht verletzt, und das sei dafür entscheidend, ob sie der Öffentlichkeit zugerechnet werden könne. Aus diesen Gründen wurde festgestellt, dass der technische Inhalt der Zeichnung D2 vor dem Prioritätstag des streitigen Patents Stand der Technik im Sinne von Art. 54 (2) EPÜ 1973 geworden war.
  Case Law of the Boards ...  
In T 163/03 on appeal, the appellant (opponent) contended that the technical details of the apparatus as shown in the drawing D2 became state of the art when this drawing was given, without any confidentiality restriction, to BM.
Dans l'affaire T 163/03, le requérant (opposant) a soutenu que les détails techniques du dispositif tels que présentés dans le dessin D2 étaient compris dans l'état de la technique depuis que ce dessin avait été confié, sans aucune restriction de confidentialité, à BM. en mai 1990, c'est-à-dire avant la date de priorité du brevet litigieux. A l'appui de ses requêtes, le requérant avait signalé qu'en fin de compte, contrairement à une coentreprise où les associés partagent les coûts et les risques liés au développement d'une nouvelle technologie, le projet SE, tel que convenu entre l'opposant et BM., avait pour objectif de gagner du temps, en préparant la fabrication d'un nouveau produit parallèlement à son développement. De l'avis de l'intimé, plusieurs clauses du contrat indiquaient clairement que la coopération entre l'opposant et BM. n'avait en fait pas la forme d'une relation de client à fournisseur, mais plutôt celle d'une coentreprise pour laquelle la confidentialité est généralement admise implicitement.
In T 163/03 behauptete der Beschwerdeführer (Einsprechende) im Beschwerdeverfahren, die technischen Einzelheiten der in der Zeichnung D2 dargestellten Vorrichtung seien Stand der Technik geworden, als diese Zeichnung ohne jede Einschränkung hinsichtlich ihrer Vertraulichkeit im Mai 1990, d. h. vor dem Prioritätstag des streitigen Patents, an BM. weitergegeben worden sei. Zur Stützung seiner Anträge führte der Beschwerdeführer aus, immerhin sei mit dem zwischen dem Einsprechenden und BM. vereinbarten SE-Projekt anders als bei einem Joint-Venture, bei dem sich die Partner die Kosten und Risiken der Entwicklung einer neuen Technologie teilen, bezweckt worden, Zeit zu gewinnen, indem parallel zur Entwicklung eines neuen Produkts dessen Herstellung vorbereitet worden sei. Die Beschwerdegegner hielten dem entgegen, dass aus mehreren Bestimmungen des Vertrags klar hervorgehe, dass es sich bei der Zusammenarbeit zwischen dem Einsprechenden und BM. nicht um eine Beziehung zwischen Lieferanten und Kunde gehandelt habe, sondern um ein Joint-Venture, für das üblicherweise implizit Vertraulichkeit vereinbart werde.
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In T 163/03 on appeal, the appellant (opponent) contended that the technical details of the apparatus as shown in the drawing D2 became state of the art when this drawing was given, without any confidentiality restriction, to BM.
Dans l'affaire T 163/03, le requérant (opposant) a soutenu que les détails techniques du dispositif tels que présentés dans le dessin D2 étaient compris dans l'état de la technique depuis que ce dessin avait été confié, sans aucune restriction de confidentialité, à BM. en mai 1990, c'est-à-dire avant la date de priorité du brevet litigieux. A l'appui de ses requêtes, le requérant avait signalé qu'en fin de compte, contrairement à une coentreprise où les associés partagent les coûts et les risques liés au développement d'une nouvelle technologie, le projet SE, tel que convenu entre l'opposant et BM., avait pour objectif de gagner du temps, en préparant la fabrication d'un nouveau produit parallèlement à son développement. De l'avis de l'intimé, plusieurs clauses du contrat indiquaient clairement que la coopération entre l'opposant et BM. n'avait en fait pas la forme d'une relation de client à fournisseur, mais plutôt celle d'une coentreprise pour laquelle la confidentialité est généralement admise implicitement.
In T 163/03 behauptete der Beschwerdeführer (Einsprechende) im Beschwerdeverfahren, die technischen Einzelheiten der in der Zeichnung D2 dargestellten Vorrichtung seien Stand der Technik geworden, als diese Zeichnung ohne jede Einschränkung hinsichtlich ihrer Vertraulichkeit im Mai 1990, d. h. vor dem Prioritätstag des streitigen Patents, an BM. weitergegeben worden sei. Zur Stützung seiner Anträge führte der Beschwerdeführer aus, immerhin sei mit dem zwischen dem Einsprechenden und BM. vereinbarten SE-Projekt anders als bei einem Joint-Venture, bei dem sich die Partner die Kosten und Risiken der Entwicklung einer neuen Technologie teilen, bezweckt worden, Zeit zu gewinnen, indem parallel zur Entwicklung eines neuen Produkts dessen Herstellung vorbereitet worden sei. Die Beschwerdegegner hielten dem entgegen, dass aus mehreren Bestimmungen des Vertrags klar hervorgehe, dass es sich bei der Zusammenarbeit zwischen dem Einsprechenden und BM. nicht um eine Beziehung zwischen Lieferanten und Kunde gehandelt habe, sondern um ein Joint-Venture, für das üblicherweise implizit Vertraulichkeit vereinbart werde.
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In T 163/03 on appeal, the appellant (opponent) contended that the technical details of the apparatus as shown in the drawing D2 became state of the art when this drawing was given, without any confidentiality restriction, to BM.
Dans l'affaire T 163/03, le requérant (opposant) a soutenu que les détails techniques du dispositif tels que présentés dans le dessin D2 étaient compris dans l'état de la technique depuis que ce dessin avait été confié, sans aucune restriction de confidentialité, à BM. en mai 1990, c'est-à-dire avant la date de priorité du brevet litigieux. A l'appui de ses requêtes, le requérant avait signalé qu'en fin de compte, contrairement à une coentreprise où les associés partagent les coûts et les risques liés au développement d'une nouvelle technologie, le projet SE, tel que convenu entre l'opposant et BM., avait pour objectif de gagner du temps, en préparant la fabrication d'un nouveau produit parallèlement à son développement. De l'avis de l'intimé, plusieurs clauses du contrat indiquaient clairement que la coopération entre l'opposant et BM. n'avait en fait pas la forme d'une relation de client à fournisseur, mais plutôt celle d'une coentreprise pour laquelle la confidentialité est généralement admise implicitement.
In T 163/03 behauptete der Beschwerdeführer (Einsprechende) im Beschwerdeverfahren, die technischen Einzelheiten der in der Zeichnung D2 dargestellten Vorrichtung seien Stand der Technik geworden, als diese Zeichnung ohne jede Einschränkung hinsichtlich ihrer Vertraulichkeit im Mai 1990, d. h. vor dem Prioritätstag des streitigen Patents, an BM. weitergegeben worden sei. Zur Stützung seiner Anträge führte der Beschwerdeführer aus, immerhin sei mit dem zwischen dem Einsprechenden und BM. vereinbarten SE-Projekt anders als bei einem Joint-Venture, bei dem sich die Partner die Kosten und Risiken der Entwicklung einer neuen Technologie teilen, bezweckt worden, Zeit zu gewinnen, indem parallel zur Entwicklung eines neuen Produkts dessen Herstellung vorbereitet worden sei. Die Beschwerdegegner hielten dem entgegen, dass aus mehreren Bestimmungen des Vertrags klar hervorgehe, dass es sich bei der Zusammenarbeit zwischen dem Einsprechenden und BM. nicht um eine Beziehung zwischen Lieferanten und Kunde gehandelt habe, sondern um ein Joint-Venture, für das üblicherweise implizit Vertraulichkeit vereinbart werde.
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The board examined the issue of confidentiality in order establish whether the alleged prior use met the requirements for being acknowledged as prior art within the meaning of Art. 54(2) EPC 1973. In the case at issue there was no need to decide whether the SE project qualified as a joint venture which lead to implicit secrecy obligations on the part of the opponent and/or BM.
La chambre a examiné la question de la confidentialité, afin de déterminer si l'usage antérieur allégué remplissait les conditions pour être reconnu comme état de la technique au sens de l'art. 54(2) CBE 1973. En l'espèce, il n'était pas nécessaire de déterminer si le projet SE répondait aux critères d'une coentreprise entraînant des obligations implicites de secret pour l'opposant et/ou BM. Lorsque, comme dans cette affaire, les conditions d'une coopération technique, y compris les obligations de secret, ont été expressément précisées et approuvées par les partenaires au moyen d'un contrat écrit, les dispositions contractuelles prévalent et ne permettent pas de conclure à des obligations implicites des parties qui présenteraient une divergence ou une incompatibilité eu égard à ce dont les partenaires étaient réellement convenus, selon une interprétation correcte du contrat. La chambre a estimé qu'en l'absence de toute obligation de secret explicite, il n'y avait aucune raison de supposer que BM. aurait quand même pu être soumise à une obligation implicite de garder secrète la technique de fabrication que l'opposant lui avait divulguée dans le cadre du projet SE. Cette conclusion n'était pas mise en cause par un éventuel intérêt de BM. à garder secrets les détails du projet SE et le savoir-faire s'y rapportant, du moins jusqu'à la commercialisation du moteur M60.
Die Kammer setzte sich mit der Frage der Vertraulichkeit auseinander, um beantworten zu können, ob die angebliche Vorbenutzung die Voraussetzungen für eine Anerkennung als Stand der Technik im Sinne von Art. 54 (2) EPÜ 1973 erfüllte. Vorliegend müsse nicht entschieden werden, ob das SE-Projekt als Joint-Venture einzustufen sei, aus dem sich implizit Geheimhaltungsverpflichtungen für den Einsprechenden und/oder BM. ergäben. Seien wie im vorliegenden Fall die Modalitäten und Bedingungen einer technischen Zusammenarbeit einschließlich diesbezüglicher Geheimhaltungsverpflichtungen von den Kooperationspartnern in einer schriftlichen Vereinbarung ausdrücklich festgelegt und vereinbart worden, so seien diese Vertragsbestimmungen maßgeblich und ließen keinen Raum für ein Hineindeuten von impliziten Verpflichtungen der Parteien, die sich von dem bei richtiger Vertragsauslegung vertraglich Vereinbarten unterschieden oder damit unvereinbar seien. Die Kammer konnte keinen Grund erkennen, trotz Fehlen einer ausdrücklichen Geheimhaltungsverpflichtung anzunehmen, BM. könne dennoch implizit verpflichtet gewesen sein, die ihr vom Einsprechenden im Rahmen des SE-Projekts offenbarte Herstellungstechnologie geheim zu halten. Diese Schlussfolgerung werde auch nicht dadurch widerlegt, dass BM. möglicherweise ein Interesse daran gehabt habe, Einzelheiten des SE-Projekts und damit zusammenhängendes Know-how zumindest bis zur Markteinführung des M60-Motors geheim zu halten.
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The board examined the issue of confidentiality in order establish whether the alleged prior use met the requirements for being acknowledged as prior art within the meaning of Art. 54(2) EPC 1973. In the case at issue there was no need to decide whether the SE project qualified as a joint venture which lead to implicit secrecy obligations on the part of the opponent and/or BM.
La chambre a examiné la question de la confidentialité, afin de déterminer si l'usage antérieur allégué remplissait les conditions pour être reconnu comme état de la technique au sens de l'art. 54(2) CBE 1973. En l'espèce, il n'était pas nécessaire de déterminer si le projet SE répondait aux critères d'une coentreprise entraînant des obligations implicites de secret pour l'opposant et/ou BM. Lorsque, comme dans cette affaire, les conditions d'une coopération technique, y compris les obligations de secret, ont été expressément précisées et approuvées par les partenaires au moyen d'un contrat écrit, les dispositions contractuelles prévalent et ne permettent pas de conclure à des obligations implicites des parties qui présenteraient une divergence ou une incompatibilité eu égard à ce dont les partenaires étaient réellement convenus, selon une interprétation correcte du contrat. La chambre a estimé qu'en l'absence de toute obligation de secret explicite, il n'y avait aucune raison de supposer que BM. aurait quand même pu être soumise à une obligation implicite de garder secrète la technique de fabrication que l'opposant lui avait divulguée dans le cadre du projet SE. Cette conclusion n'était pas mise en cause par un éventuel intérêt de BM. à garder secrets les détails du projet SE et le savoir-faire s'y rapportant, du moins jusqu'à la commercialisation du moteur M60.
Die Kammer setzte sich mit der Frage der Vertraulichkeit auseinander, um beantworten zu können, ob die angebliche Vorbenutzung die Voraussetzungen für eine Anerkennung als Stand der Technik im Sinne von Art. 54 (2) EPÜ 1973 erfüllte. Vorliegend müsse nicht entschieden werden, ob das SE-Projekt als Joint-Venture einzustufen sei, aus dem sich implizit Geheimhaltungsverpflichtungen für den Einsprechenden und/oder BM. ergäben. Seien wie im vorliegenden Fall die Modalitäten und Bedingungen einer technischen Zusammenarbeit einschließlich diesbezüglicher Geheimhaltungsverpflichtungen von den Kooperationspartnern in einer schriftlichen Vereinbarung ausdrücklich festgelegt und vereinbart worden, so seien diese Vertragsbestimmungen maßgeblich und ließen keinen Raum für ein Hineindeuten von impliziten Verpflichtungen der Parteien, die sich von dem bei richtiger Vertragsauslegung vertraglich Vereinbarten unterschieden oder damit unvereinbar seien. Die Kammer konnte keinen Grund erkennen, trotz Fehlen einer ausdrücklichen Geheimhaltungsverpflichtung anzunehmen, BM. könne dennoch implizit verpflichtet gewesen sein, die ihr vom Einsprechenden im Rahmen des SE-Projekts offenbarte Herstellungstechnologie geheim zu halten. Diese Schlussfolgerung werde auch nicht dadurch widerlegt, dass BM. möglicherweise ein Interesse daran gehabt habe, Einzelheiten des SE-Projekts und damit zusammenhängendes Know-how zumindest bis zur Markteinführung des M60-Motors geheim zu halten.
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The board examined the issue of confidentiality in order establish whether the alleged prior use met the requirements for being acknowledged as prior art within the meaning of Art. 54(2) EPC 1973. In the case at issue there was no need to decide whether the SE project qualified as a joint venture which lead to implicit secrecy obligations on the part of the opponent and/or BM.
La chambre a examiné la question de la confidentialité, afin de déterminer si l'usage antérieur allégué remplissait les conditions pour être reconnu comme état de la technique au sens de l'art. 54(2) CBE 1973. En l'espèce, il n'était pas nécessaire de déterminer si le projet SE répondait aux critères d'une coentreprise entraînant des obligations implicites de secret pour l'opposant et/ou BM. Lorsque, comme dans cette affaire, les conditions d'une coopération technique, y compris les obligations de secret, ont été expressément précisées et approuvées par les partenaires au moyen d'un contrat écrit, les dispositions contractuelles prévalent et ne permettent pas de conclure à des obligations implicites des parties qui présenteraient une divergence ou une incompatibilité eu égard à ce dont les partenaires étaient réellement convenus, selon une interprétation correcte du contrat. La chambre a estimé qu'en l'absence de toute obligation de secret explicite, il n'y avait aucune raison de supposer que BM. aurait quand même pu être soumise à une obligation implicite de garder secrète la technique de fabrication que l'opposant lui avait divulguée dans le cadre du projet SE. Cette conclusion n'était pas mise en cause par un éventuel intérêt de BM. à garder secrets les détails du projet SE et le savoir-faire s'y rapportant, du moins jusqu'à la commercialisation du moteur M60.
Die Kammer setzte sich mit der Frage der Vertraulichkeit auseinander, um beantworten zu können, ob die angebliche Vorbenutzung die Voraussetzungen für eine Anerkennung als Stand der Technik im Sinne von Art. 54 (2) EPÜ 1973 erfüllte. Vorliegend müsse nicht entschieden werden, ob das SE-Projekt als Joint-Venture einzustufen sei, aus dem sich implizit Geheimhaltungsverpflichtungen für den Einsprechenden und/oder BM. ergäben. Seien wie im vorliegenden Fall die Modalitäten und Bedingungen einer technischen Zusammenarbeit einschließlich diesbezüglicher Geheimhaltungsverpflichtungen von den Kooperationspartnern in einer schriftlichen Vereinbarung ausdrücklich festgelegt und vereinbart worden, so seien diese Vertragsbestimmungen maßgeblich und ließen keinen Raum für ein Hineindeuten von impliziten Verpflichtungen der Parteien, die sich von dem bei richtiger Vertragsauslegung vertraglich Vereinbarten unterschieden oder damit unvereinbar seien. Die Kammer konnte keinen Grund erkennen, trotz Fehlen einer ausdrücklichen Geheimhaltungsverpflichtung anzunehmen, BM. könne dennoch implizit verpflichtet gewesen sein, die ihr vom Einsprechenden im Rahmen des SE-Projekts offenbarte Herstellungstechnologie geheim zu halten. Diese Schlussfolgerung werde auch nicht dadurch widerlegt, dass BM. möglicherweise ein Interesse daran gehabt habe, Einzelheiten des SE-Projekts und damit zusammenhängendes Know-how zumindest bis zur Markteinführung des M60-Motors geheim zu halten.