rat – Traduction – Dictionnaire Keybot

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Keybot 2 Résultats  www.eurotopics.net  Page 8
  euro|topics - Bernhard ...  
The newspaper Wiener Zeitung criticises the tabloids' sensationalist coverage of the outbreak: "This is the typical pattern of tabloid media hysterics, which instead of providing helpful explanations and putting things into perspective is mainly concerned with milking a catastrophe for all it can get. Who doesn't remember the BSE that put us off beef for a while, the salmonella that had us eating eggs with a guilty conscience? But legionella that thrive in stale water or botulism in tinned foods can also ruin our appetite. In such cases the word 'killer' is all too quickly attached to bacteria, viruses and all kinds of nasty creatures. It sells well; fear on the front pages - that always grabs people's attention."
Des chercheurs allemands ont confirmé la présence dans des concombres espagnols de la bactérie E-coli, un agent pathogène contagieux et mortel. Le journal Wiener Zeitung critique les reportages sur la bactérie réalisés par les tabloïds, qu'il juge peu sérieux : "C'est comme toujours le modèle connu de l'hystérie médiatique des tabloïds qui, au lieu de s'appliquer à expliquer et apporter une juste lumière sur les choses, s'intéresse principalement à annoncer une catastrophe. Qui ne se rappelle pas de la vache folle, qui avait momentanément empoisonné la viande de bœuf, ou de la salmonelle qui nous empêchait d'apprécier vraiment les œufs. Mais aussi la légionellose dans l'eau stagnante ou le botulisme dans les boîtes de conserve, qui suffisent à nous gâcher l'appétit. On emploie trop rapidement dans de tels cas le mot 'tueur', au choix pour des bactéries, des virus ou la moindre bestiole néfaste. La peur en gros titre, ça se vend bien - ça attire toujours."
  euro|topics - Moise Guran  
Rumours that the horsemeat may come from Romania will do huge damage to the country, journalist Moise Guran fears in his blog Biziday: "When the topic is consumer protection and food products, the front pages of Western newspapers outdo themselves with headlines and lurid photos. The Romanian horse is now more famous than the BSE cow. And after the scandal the name 'Romania' will remain emblazoned in the memory of British and French consumers - whether or not Romanian companies are to blame. They will scan labels for our country's name. ... Because how can they know if the pork isn't dog meat or the chicken isn't wild pigeon? No one will take the risk of buying food products marked 'Romania'."
L'UE souhaite s'attaquer à la fraude aux étiquettes des produits alimentaires en procédant à des tests ADN. C'est ce qu'a annoncé mercredi Tonio Borg, commissaire à la Santé et à la Consommation, après la découverte de viande chevaline à la place de la viande de bœuf dans un nombre croissant de pays. On soupçonne que cette viande provient de Roumanie, ce qui nuirait énormément au pays, craint le journaliste Moise Guran sur son blog Biziday : "Quand il est question de protection des consommateurs et de nourriture, les journaux occidentaux se précipitent avec leurs gros titres et leurs photos à sensation en unes. Le cheval roumain est désormais plus célèbre que la vache folle. A la fin, le nom 'Roumanie' restera gravé dans la mémoire du consommateur britannique et français, même après le scandale, que les entreprises roumaines soient responsables ou non. Le consommateur lira attentivement les étiquettes alimentaires et cherchera si la Roumanie y figure. … Car comment savoir s'il s'agit de viande de porc et non de chien, ou que le poulet rôti n'est pas un pigeon ? Personne ne voudra plus prendre le risque d'acheter des aliments d'origine roumaine."
Die EU will mit DNA-Tests gegen Etikettenschwindel vorgehen. Das kündigte Verbraucherkommissar Tonio Borg am Mittwoch an, nachdem in immer mehr Ländern als Rindfleisch deklariertes Pferdefleisch auftaucht. Der Verdacht, das Pferdefleisch könnte womöglich aus Rumänien stammen, wird dem Land enorm schaden, fürchtet der Journalist Moise Guran in seinem Blog Biziday: "Wenn es um Verbraucherschutz und Lebensmittel geht, dann überschlagen sich die westlichen Zeitungen mit ihren Schlagzeilen und reißerischen Fotos auf den Titelseiten. Das rumänische Pferd ist nun berühmter als die BSE-Kuh. Und am Ende wird der Name 'Rumänien' dem britischen und französischen Verbraucher auch nach dem Skandal in Erinnerung bleiben - ganz gleich, ob nun rumänische Firmen die Schuld tragen oder nicht. Der Konsument wird die Warenetiketten aufmerksam nach unserem Land absuchen. ... Denn woher kann er wissen, ob das Schweine- nicht Hundefleisch ist oder das Brathähnchen keine Wildtaube? Niemand wird mehr das Risiko eingehen, Lebensmittel zu kaufen, auf denen 'Rumänien' steht."