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Depuis l’arrêt Spencer, la police et les organismes responsables de la sécurité nationale ont de la difficulté à obtenir les RBA de façon efficace et rapide. Ce qui limite leur capacité d’exécuter leur mandat, notamment les enquêtes par les organismes d’application de la loi sur les crimes. Si le gouvernement élaborait une réponse législative à ce problème, dans quelles circonstances les RBA (nom, adresse, numéro de téléphone et adresse courriel) devraient-ils être accessibles à ces organismes? Par exemple, certaines circonstances pourraient comprendre, entre autres : les situations urgentes, l’aide pour trouver une personne disparue, s’il y a soupçon d’un crime, pour suivre une piste d’enquête, etc.
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