capt – -Translation – Keybot Dictionary

Spacer TTN Translation Network TTN TTN Login Deutsch Français Spacer Help
Source Languages Target Languages
Keybot 11 Results  scc.lexum.org
  Supreme Court of Canada...  
None of the information verbal or written was given to Capt. Watt, notwithstanding the owner had gone to some expense to obtain it.
Aucun de ces renseignements verbaux ou écrits n’a été donné au capitaine Watt, malgré tous les frais que la propriétaire avait dû engager pour les obtenir.
  Supreme Court of Canada...  
The written report was on board the vessel in a drawer under the master’s bunk along with other papers of the ship, but Capt. Watt had not seen it, and no one seems to have told him about it. He said so far as he knew there was no stability information on the vessel at the time of the accident.
Le rapport écrit était à bord du navire dans un tiroir sous la couchette du capitaine avec d’autres documents de bord mais le capitaine Watt ne l’avait pas vu et personne ne semble lui en avoir parlé. D a déclaré qu’au meilleur de sa connaissance il n’y avait à bord du navire au moment de l’accident aucun renseignement sur la stabilité.
  Supreme Court of Canada...  
(3) (Page 268)—The evidence of Capt. Jorgensson and Mr. Munro establishes, in my opinion, that Munro Jorgensson was acting only as an agent for Chimo, seeking customers and acting as a go-between between them and Chimo, and preparing proposals for acceptance or rejection by them, but without any authority to make a contract for any of them.
(3) (Page 268)—À mon avis, les témoignages du Capitaine Jorgensson et de M. Munro démontrent que Munro Jorgensson n’agissait qu’à titre de mandataire de Chimo, en sollicitant des clients et en agissant comme intermédiaire entre ces clients et Chimo, et en préparant des propositions qu’ils acceptaient ou rejetaient, mais sans être autorisée à passer un contrat pour aucun d’entre eux. Elle n’était en rien propriétaire du Crosbie et elle n’avait aucun contrôle sur le navire ou son équipage. À mon avis, la preuve n’établit pas de lien contractuel entre Munro Jorgensson et
  Supreme Court of Canada...  
I think it clear from Capt. Watt’s evidence that he could not have utilized fully the information contained in the inclination test report, even if he had seen it, and of course it would have given him no information about the limits of trim, because Mr. Allan did not include that in his report, but covered it in verbal discussion with Mr. New.
Je pense qu’il ressort clairement de la déposition du capitaine Watt qu’il n’aurait pu pleinement utiliser les renseignements contenus dans le rapport sur les tests d’inclinaison, même s’il l’avait vu, et, naturellement, ce rapport ne lui aurait donné aucun renseignement sur les limites de l’assiette car M. Allan n’en parlait pas dans son rapport mais en avait simplement traité verbalement avec M. New. Le fait de placer à bord du navire le rapport concernant les tests d’inclinaison ne pouvait, à coup sûr, remplacer adéquatement des directives de chargement appropriées fondées sur ces tests.
  Supreme Court of Canada...  
The report showed a minimum safe freeboard midship of 1’6” at even trim, which would substantially exceed 2 feet at the stem. Capt. Torn said that he maintained a minimum freeboard of 2½ to 3 feet at the bow.
En 1960, la propriétaire a jugé souhaitable d’en apprendre un peu sur les caractéristiques hydrostatiques du «Brentwood» et à cette fin elle a fait effectuer des tests d’inclinaison sur le navire par M. Allan, architecte naval. L’objet de ces tests était «d’obtenir une indication du volume, de la répartition, et du poids» que le navire pouvait transporter. M. Allan a remis à la propriétaire un rapport écrit (Pièce 37). Le rapport indique un franc-bord minimum de sécurité de 1 pied et 6 pouces au milieu du navire lorsque l’assiette n’est pas inclinée, ce qui devait largement dépasser 2 pieds à l’étrave. Le capitaine Torn a dit qu’il maintenait un franc-bord minimum de 2½ pieds à
  Supreme Court of Canada...  
The lack of preparation which was apparent in the organization and conduct of this voyage, the haste shown by Capt. Kelch to get into the Port of Montréal, the flagrant lack of communication between the masters both before the turn at the Ile Ste‑Hélène buoy and while they were proceeding back up the river, the decision to turn at that location, their return speed, are all factors which helped to make the accident inevitable.
Mais la plus grande part de responsabilité incombe nécessairement au remorqueur de tête, l'«Ohio», son capitaine et ses propriétaires.  L'improvisation dont on a fait preuve dans l'organisation et au cours de ce voyage, l'empressement démontré par le capitaine Kelch pour entrer dans le port de Montréal, le manque de communication flagrant entre les capitaines tant avant de virer à la bouée de l'Île Ste‑Hélène que durant la remontée du fleuve, la décision de tourner à cet endroit, la vitesse de remontée, sont tous autant de facteurs qui ont contribué à rendre l'accident inévitable.  Par ailleurs, le bris mécanique survenu à la remorque qui était l'objet d'une tension extrême ne peut servir à disculper les propriétaires du «Ohio» à l'égard du «Rhône».
  Supreme Court of Canada...  
As I have pointed out, after the end of the cable had been used to wrap around the stanchion on the scow, there was left only about 15 feet of it. Capt. MacDonnell, giving expert evidence, testified that at 15:10 hours, the time when Bilton agreed he had left the booming grounds after the tie-up, the tide was 14.9 feet above the low water mark.
Il devient donc nécessaire de déterminer si Bilton, agissant soit lui-même soit par des instructions données à son second et au matelot, a été coupable de négligence dans l’amarrage des deux chalands. J’ai déjà décrit comment Bilton a accompli cette opération, description tirée en majeure partie de son propre témoignage. L’amarrage, en ce qui concerne l’avant des chalands, était au duc-d’albe n° 2; le câble qui en pendait du pilot y était attaché environ quatre pieds au-dessus de la ligne de marée haute. Comme je l’ai souligné, après que le bout de ce câble eût été enroulé autour du montant sur le chaland, il en restait seulement environ 15 pieds. Le capitaine MacDonnell, à titre d’expert, a témoigné qu’à 15h.10, heure à laquelle Bilton a admis avoir quitté le bassin des estacades après l’amarrage, la marée était à 14.9 pieds au-dessus de la ligne de marée basse. On doit présumer que cette donnée était alors à la disposition de Bilton aussi bien qu’à celle de MacDonnell. Il est évident qu’avec cette amarre de 15 pieds, même en ne tenant pas compte du fait que le câble était attaché au duc-d’albe quatre pieds au-dessus de la ligne de marée haute, la baisse de la marée devait
  Supreme Court of Canada...  
On the contrary, the evidence established that Capt. Lloyd was the person whose acts identified him most with the acts of the company so far as administration and general supervision are concerned, and it was abundantly clear from his testimony that he knew practically nothing of what was happening on board his tugs during this voyage, cared very little about it and gave his masters all possible latitude.
Bref, même en prenant pour acquis que la défenderesse G.L.T. a réussi à prouver l'identité des personnes dont les actes les identifiaient aux actes de la compagnie, elle est loin d'avoir démontré que ces personnes ne sont pas coupables de faute ou de complicité au sens qu'il faut donner à ces mots, comme on l'a précisé dans l'affaire du «Kathy K».  Au contraire, la preuve démontre que le capitaine Lloyd était celui dont les faits et gestes l'identifiaient davantage aux actes de la compagnie en ce qui concernait l'administration et la surveillance générale, et il ressort abondamment de son témoignage qu'il ignorait pratiquement tout de ce qui se passait à bord de ses remorqueurs durant ce voyage, s'en souciait fort peu et laissait toute la latitude voulue à ses capitaines.  Quant au bris mécanique survenu à bord du «Ohio», le responsable de l'entretien Jos White, n'en a fourni aucune explication plausible.  Enfin, le capitaine Kelch qui était responsable pour la compagnie non seulement de l'approvisionnement à bord des remorqueurs de la documentation nécessaire à un tel voyage, mais entre autres de l'embauche d'un quatrième remorqueur pour mener la barge à bon port, il a lamentablement failli à sa tâche en exerçant de façon négligente, à l'égard du «Rival», ses fonctions de dirigeant de la compagnie.
  Supreme Court of Canada...  
On the contrary, the evidence established that Capt. Lloyd was the person whose acts identified him most with the acts of the company so far as administration and general supervision are concerned, and it was abundantly clear from his testimony that he knew practically nothing of what was happening on board his tugs during this voyage, cared very little about it and gave his masters all possible latitude.
Bref, même en prenant pour acquis que la défenderesse G.L.T. a réussi à prouver l'identité des personnes dont les actes les identifiaient aux actes de la compagnie, elle est loin d'avoir démontré que ces personnes ne sont pas coupables de faute ou de complicité au sens qu'il faut donner à ces mots, comme on l'a précisé dans l'affaire du «Kathy K».  Au contraire, la preuve démontre que le capitaine Lloyd était celui dont les faits et gestes l'identifiaient davantage aux actes de la compagnie en ce qui concernait l'administration et la surveillance générale, et il ressort abondamment de son témoignage qu'il ignorait pratiquement tout de ce qui se passait à bord de ses remorqueurs durant ce voyage, s'en souciait fort peu et laissait toute la latitude voulue à ses capitaines.  Quant au bris mécanique survenu à bord du «Ohio», le responsable de l'entretien Jos White, n'en a fourni aucune explication plausible.  Enfin, le capitaine Kelch qui était responsable pour la compagnie non seulement de l'approvisionnement à bord des remorqueurs de la documentation nécessaire à un tel voyage, mais entre autres de l'embauche d'un quatrième remorqueur pour mener la barge à bon port, il a lamentablement failli à sa tâche en exerçant de façon négligente, à l'égard du «Rival», ses fonctions de dirigeant de la compagnie.