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Keybot 5 Results  www.dfait.gc.ca
  Cultural Information - ...  
Pay increases are acceptable, but not based on preference. If an employee has done a good job and people know that, it is ok to call that person to have lunch or supper at your home or in a restaurant giving him or her special privileges.
Les collègues ou les employés s’attendent naturellement à recevoir des faveurs spéciales, selon la relation personnelle que vous avez avec eux. Les demandes de recrutement d’amis ou de membres de la famille sont très courantes en milieu de travail. Il est également acceptable d’accorder des augmentations salariales à condition de ne pas faire de favoritisme. Il est convenable d’inviter un employé qui travaille bien et qui est bien perçu à déjeuner ou à souper chez vous ou dans un restaurant et de lui accorder des privilèges. Évitez de prendre parti pour une équipe ou un groupe en milieu de travail. Essayez de montrer aux autres où sont les limites à ne pas franchir sur le plan professionnel en ce qui vous concerne, et ne vous limitez pas à un groupe d’amis proches et aux membres de leur famille.
  Cultural Information - ...  
Mexicans usually dress more formally than Canadians for work. Blue jeans and sandals are not acceptable. Better to go more formal the first day and ask how other people are dressed before choosing a style. Hard to go wrong by being dressed formally. People are judged a lot by their looks: the clean, elegant, and formal looks are always well accepted; the opposite is not. Women are usually expected to wear pantyhose and high heels, even in hot weather; particularly if working at an office or school. Women wear makeup and have their hair done. A woman who shows up at work with no makeup will for sure not make a good impression. Make-up is usually heavier than in Canada.
On doit vouvoyer les superviseurs en utilisant le « Usted » et le nom de famille. Les Canadiens et les autres expatriés devraient être ponctuels, respecter les délais et ne pas s’absenter, contrairement à leurs homologues mexicains. Ce comportement des Mexicains vaut aussi pour les réunions et il faut en tenir compte en réservant une marge de temps suffisante, pour soi et pour les autres, au cas où il y aurait des retards ou des absences. Il est conseillé de fixer les échéances une semaine à l’avance. En effet, les Mexicains considèrent que la famille et les amis ont la priorité par rapport au travail. Si un décès ou une maladie survient dans la famille, ils iront tous avec leur famille, au lieu d’assister à une réunion ou de travailler pour respecter un délai. Par conséquent, organisez le travail en conséquence et assurez-vous de toujours avoir une solution de rechange.
  The Menace of General I...  
The classic example – well-known to students of development assistance – is the one that often arises with the introduction of farm tractors (and I understand we have recently done a bit of this in Kandahar).
Ce phénomène peut même se produire en réponse à l’innovation la plus prosaïque. Un exemple classique – bien connu des étudiants spécialisés dans l’aide au développement – est celui de l’introduction de tracteurs agricoles (et je crois comprendre que c’est un peu ce que nous avons fait récemment à Kandahar). La production agricole devient alors plus efficiente, mais par voie de conséquence, un grand nombre de jeunes hommes sans instruction perdent leur emploi, sont ainsi laissés à eux-mêmes sans aucun autre débouché, non seulement dans l’immédiat mais dans un avenir prévisible. Les familles étendues deviennent économiquement dysfonctionnelles et éclatent. De telles trajectoires évolutives peuvent avoir des conséquences très néfastes sur le tissu des sociétés qui, à maints égards, sont l’antithèse même du monde libéral avec lequel nous sommes familiers aujourd’hui – un monde où l’individualisme atomistique est une valeur fondamentale et où la mobilité des travailleurs est un préalable à la création de la richesse matérielle à laquelle nous sommes si fortement attachés.
  The Menace of General I...  
I am reminded of a conversation I had some time ago with a well-informed person in Ottawa (not in Foreign Affairs) who shall remain nameless. I said to him that I was making a hobby of trying to find out whether anyone in government had done a serious policy-analysis of the problem in Afghanistan before we decided to commit our forces.
Je me rappelle une conversation que j’ai eue il y a quelque temps avec une personne bien renseignée à Ottawa (qui ne travaille pas aux Affaires étrangères) et dont je préserverai l’anonymat. Je lui ai dit que dans mes loisirs j’essayais de voir si quelqu’un au gouvernement s’était livré à une sérieuse analyse politique de la situation en Afghanistan avant que nous décidions d’y engager nos forces. Je savais, bien sûr, que de grands intérêts diplomatiques étaient en jeu. Un important déploiement canadien renforcerait sans conteste notre position au sein de l’OTAN. Il pourrait réparer de graves dommages à Washington. De manière plus précise, nos dirigeants politiques, soutenus par des membres influents du cabinet du premier ministre, ont peut-être pensé qu’il s’agissait d’une solution de rechange acceptable à l’intervention sur le terrain en Iraq, un point de vue qui pourrait en théorie avoir été partagé, bien qu’avec une certaine dose de déception, à Washington. Bref, de façon générale, nos amis – c’est-à-dire ceux qui ont les mêmes dispositions d’esprit que nous – étaient tous en faveur d’une telle intervention et il y allait de notre intérêt de faire cause commune avec des amis qui pensent comme nous. Mais le problème réel, il me semble, était de savoir si la tâche elle-même pouvait être menée à bien – et pour pouvoir formuler quelques commentaires à ce sujet, une analyse globale des conditions sur le terrain aurait semblé nécessaire. Évidemment, nous aurions pu accepter et ensuite faire nôtres les analyses d’autres sources, si nous les avions trouvées convaincantes. Sur des questions aussi complexes, en tout cas, rien n’est jamais certain. Mais l’incertitude est une question de degré. Avons-nous essayé, dans la mesure du possible, d’évaluer à l’avance les dangers? Savions-nous dans quoi nous nous embarquions?