gfa – -Translation – Keybot Dictionary

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Rosengren, L.E., Kjellstrand, P., Aurell, A. and Haglid, K.G. (1986) Irreversible effects of dichloromethane on the brain after long term exposure: a quantitative study of DNA and the glial cell marker proteins S-100 and GFA.
Rodkey, F.L. et Collison, H.H. (1977) Biological oxidation of [14C] methylene chloride to carbon monoxide and carbon chloride by the rat. Toxicol. Appl. Pharmacol. 40 : 33-38.
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Rosengren, L.E., P. Kjellstrand, A. Aurell, and K.G. Haglid. 1986. Irreversible effects of dichloromethane on the brain after long term exposure: a quantitative study of DNA and the glial cell marker proteins S-100 and GFA. Br.
(L.) [Coleoptera: Curculiondae] and Triloblium castaneum (Herbst) [Coleoptera: Tenebrionidae] exposed to acrylonitrile, adjuvants of acrylonitrile, acrylonitrile-adjuvant mixtures and other modern fumigants», Bull. Entomol. Res., n°71, 1981, p. 163-169.
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Significant differences were also observed in the 350-ppm group in the concentration of S-100 protein (a marker for brain damage-related astroglial cell increases after brain injury) and GFA protein (a marker for brain damage-related astroglial fibre increases after brain injury) per wet weight in the frontal cerebral cortex and sensorimotor cerebral cortex.
Dans une étude similaire portant sur les souris, Serota et coll. (1986b) ont administré du dichlorométhane à des souris B6C3F1 (50 par sexe par dose) dans de l'eau potable à des concentrations cibles de 0, 60, 125, 185 et 250 mg/kg p.c. par jour pendant 24 mois. La consommation quotidienne moyenne réelle était de 0, 61, 124, 177 et 234 mg/kg p.c. par jour chez les mâles et de 0, 59, 118, 172 et 238 mg/kg p.c. par jour chez les femelles. Les chercheurs n'ont observé aucune différence entre les témoins et les souris exposées en ce qui concerne les taux de mortalité, le poids des organes, la pathologie macroscopique et les observations cliniques. Ils ont étudié les effets histologiques dans une grande variété de tissus, mais les seuls effets observés attribuables au traitement étaient des changements morphologiques correspondant à une augmentation du contenu lipidique du foie, changements qui ont été observés chez les mâles et les femelles des groupes recevant environ 250 mg/kg p.c. par jour. Une augmentation des adénomes et carcinomes hépatocellulaires combinés a été observée chez les mâles, mais il n'y avait pas de tendance liée à la dose et l'observation n'était pas significative par rapport aux témoins. La seule observation significative dont Serota et coll. (1986b) font état est l'augmentation des carcinomes hépatocellulaires chez les mâles ayant reçu une dose élevée à l'essai comparativement à un seul des deux groupes témoins. Les chercheurs ont également mentionné que le nombre de petites masses dans les poumons avait légèrement augmenté chez les femelles ayant reçu une dose élevée, mais ils n'ont pas indiqué le degré d'importance de ces constats ni les groupes de doses en question.
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Significant differences were also observed in the 350-ppm group in the concentration of S-100 protein (a marker for brain damage-related astroglial cell increases after brain injury) and GFA protein (a marker for brain damage-related astroglial fibre increases after brain injury) per wet weight in the frontal cerebral cortex and sensorimotor cerebral cortex.
Le NTP (1986) a effectué une étude dans laquelle le dichlorométhane était administré par inhalation 6 heures par jour, 5 jours par semaine, pendant 102 semaines à des rats Fischer 344 et des souris B6C3F1 (50 par sexe par concentration) à des concentrations de 0, 1 000, 2 000 et 4 000 ppm chez les rats et de 0, 2 000 et 4 000 ppm chez les souris. Les rats et les souris femelles exposés à 4 000 ppm et les souris mâles exposées aux deux concentrations avaient un taux de survie significativement inférieur à celui des témoins. Les rats étaient agités et se donnaient des coups de patte aux yeux et au museau lorsqu'ils étaient exposés à des concentrations de 4 000 ppm. Des changements histologiques ont été observés dans le foie des rats et des souris des deux sexes, certains augmentant en fonction de la dose. Des changements histologiques ont aussi été observés dans les testicules, les ovaires, les reins, l'estomac et la rate des souris. Il y avait des augmentations significatives, ou des tendances associées à l'exposition, de certains types de tumeurs chez les rats comme chez les souris, les augmentations les plus pertinentes étant celles des adénomes et fibroadénomes mammaires (rats femelles exposés à 1 000, 2 000 et 4 000 ppm et rats mâles exposés à 4 000 ppm), des adénomes et carcinomes bronchiolaires et alvéolaires (souris femelles et mâles exposées à 2 000 et 4 000 ppm), et des adénomes et carcinomes hépatiques (souris femelles et mâles exposées à 2 000 et 4 000 ppm). Le NTP (1986) a conclu qu'il y avait certains éléments probants quant à la cancérogénicité chez les rats mâles Fischer 344 et une preuve évidente de cancérogénicité chez les rats femelles Fischer 344 et les souris mâles et femelles B6C3F1.