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Keybot 73 Ergebnisse  www.caritas.org  Seite 3
  Intervention rapide en ...  
“J’ai de la chance,”affirme Elma, pendant qu’elle prend le traitement avec sa fille sous une tente médicale financée par Caritas. “Ma famille et moi-même…nous sommes vivantes.”
“Soy afortunada”, dice Elma, mientras recibe tratamiento en una carpa médica que recibe apoyo de Caritas. “Mi familia y yo - estamos vivos”.
  La solidarité des paysa...  
Une autre femme nous interpelle : « moi j’ai quitté mon village, car les rebelles nous ont attaqués. Je suis parti tardivement, car je recherchais mes 4 enfants. Je suis venue avec les deux plus jeunes, mais je n’ai pas de nouvelles des deux autres. »
"Nosotros huimos de nuestra aldea porque estábamos hambrientos", dice una anciana refugiada malí que se encuentra en el campamento de Mangaizé, al norte de Níger. Otra mujer nos cuenta: "Yo huí de mi aldea porque los rebeldes nos atacaron. Yo salí tarde porque buscaba a mis 4 hijos. Estoy aquí con los dos más pequeños y no tengo noticias de los otros dos".
  Le Chili pour le Chili:...  
A San Fernando, à environ 500 km de Concepcion, il s’est précipité chez ses voisins pour leur demander de donner tout ce dont ils pouvaient se passer. Il a tout chargé sur son camion, a pris l’autoroute et donné les articles aux premières personnes qu’il a rencontrées. “Je vais rentrer chez moi, recharger le camion et retourner ici”, annonce-t-il.
National solidarity is a big issue these days in Chile. “When things are normal, we very much look after ourselves,” says Gabriela Gutierrez,Executive Secretary of Caritas Concepción. “But in these exceptional times we Chileans develop a special sense for the needs of others. We get mobilised and try to help each other as much as we can. This is our special strength.”
En una de las camionetas viaja Roberto Pereira. En San Fernando, a unos 500 kilómetros de Concepción, se dirigió directamente a la casa de sus vecinos y les pidió que le dieran lo que les sobrara. Tras cargar todo en su vehículo, prosiguió su viaje por la autopista y repartió su carga a las primeras personas que encontró. “Voy a regresar a mi pueblo natal para cargar de nuevo de nuevo mi camión y volver”, dijo.
  John Bakoyego, petit-fi...  
« Ce jour-là, mon oncle et moi devions aller au village. Quand on y est arrivé, on n’a vu personne. Mais ceux de la LRA était cachés. Mon oncle les a vus, il n’a rien dit et s’est mis à courir. Mais il a couru dans la mauvaise direction.
That day, I was sent to the village with my uncle. When we reached it, we didn’t see anyone. But the LRA were sitting under the granary watching. My uncle saw them but didn’t say anything, and he started to run, but he ran in the wrong direction. I ran too. They caught him and I managed to escape because their attention was on catching him.
A mi tío lo agarraron, mientras yo pude escapar porque ellos estaban concentrados en apresarlo. Lo echaron abajo a patadas, mi tío lloraba, y mientras yo corría podía seguir escuchando sus llantos. Mi tío tenía 12 años.
  Une bouée de sauvetage ...  
“J’y rencontre des personnes qui ont lesmêmes problèmes que moi et jeme fais de nouveaux amis,”affirme Sanaa. “Nous avons parlé de l’Iraq et considéré les conséquences psychologiques d’avoir quitté notre pays. Ensemble, nous faisons aussi des travaux manuels et des choses. Le groupeme fait sentirmoins seule.”
“I met people with the same problems as me and I made new friends,” said Sanaa. “We talked about our country and we looked at the psychological impact of leaving our Iraq.We also did handicrafts together and made things. The group made me feel less lonely.”
“He conocido a personas que se enfrentan a los mismos problemas y hecho nuevas amigas”, dice Sanaa. “Hablamos acerca de nuestro pais y analizamos el impacto psicologico de haber dejado nuestro Irak. Tambien hacemos manualidades y otras cosas juntas. El grupo me ayudo a sentirme menos sola”.
  Le Sud-Soudan vote pour...  
« Je ne pouvais pas tenir mes feuilles correctement la première fois que j’ai animé une émission, tellement mes mains tremblaient, dit-il. Je suis très fier de moi, car aujourd’hui, je suis capable de le faire, même si j’ai dû m’enfuir de chez moi et que j’ai fréquenté une école défavorisée. »
Duku Martin John was one of many young men who had known nothing but war. Now he’s the host of “One People”, a radio show about reconciliation which is supported by the Sudan Catholic Radio Network. “I couldn’t handle the papers the first time I went on air,” he said, “My hands were shaking so much. I’m very proud of myself as I can do it now, even though I was forced from my home and came from a poor school.”
Duku Martin John fue uno de los muchos jóvenes que no sabía de nada más que de guerra. Ahora presenta “Un Pueblo”, un programa de radio sobre reconciliación apoyado por la Red de radios católicas de Sudán. “La primera vez que salí al aire no podía sostener los papeles”, dijo, “me temblaban demasiado las manos. Estoy muy orgulloso porque ahora lo puedo hacer, aunque fui obligado a abandonar mi hogar y estudié en una escuela pobre”.
  John Bakoyego, petit-fi...  
« Ce jour-là, mon oncle et moi devions aller au village. Quand on y est arrivé, on n’a vu personne. Mais ceux de la LRA était cachés. Mon oncle les a vus, il n’a rien dit et s’est mis à courir. Mais il a couru dans la mauvaise direction.
That day, I was sent to the village with my uncle. When we reached it, we didn’t see anyone. But the LRA were sitting under the granary watching. My uncle saw them but didn’t say anything, and he started to run, but he ran in the wrong direction. I ran too. They caught him and I managed to escape because their attention was on catching him.
A mi tío lo agarraron, mientras yo pude escapar porque ellos estaban concentrados en apresarlo. Lo echaron abajo a patadas, mi tío lloraba, y mientras yo corría podía seguir escuchando sus llantos. Mi tío tenía 12 años.
  Au Mexique, les migrant...  
« Je ne pouvais plus voyager sur le train à cause de ma grossesse, explique-t-elle. Impossible de courir pour monter à bord. Nous avons alors utilisé nos dernières économies pour acheter deux billets de bus, pour moi et pour Sofonia, mon beau frère de 15 ans. Nous n’avions plus assez d’argent pour un troisième billet. »
Stefani is 17, a teenager from Honduras. She is seven months pregnant. “I could not travel by the train anymore,” she says. “I could not run. I could not jump on and off the trains. It was too dangerous”. [View photo gallery]
Stefani tiene 17 años y es de Honduras. Está embarazada de siete meses. "Ya no podía seguir viajando en tren", dice. "No podía correr. No podía saltar de los trenes. Era demasiado peligroso". [Galería de fotos]
  La solidarité des paysa...  
« Nous voulons plus que tout retourner dans nos villages, dit Hamidou Maiga, jeune infirmière malienne qui a vu ce dont étaient capables les groupes rebelles. Ils ont tout pillé dans nos villages, terrorisent les populations civiles et ont même violé des jeunes filles. Je suis heureuse de l’accueil que nous avons reçu de la part de nos frères nigériens. Moi, j’essaye de rendre service à la population du camp et à la population locale en mettant mes connaissances d’infirmière au service de tous les malades. Mais si nous sommes réfugiés ici, c’est que nous n’avons pas d’autre choix. »
"Lo que más queremos es volver a nuestras aldeas", dijo Hamidou Maiga, una joven enfermera malí que ha sido testigo de lo que son capaces los grupos rebeldes. "Han saqueado nuestras aldeas, aterrorizado a las poblaciones civiles y han violado a las jóvenes. Yo estoy muy agradecida por la acogida que nos han dado nuestros hermanos nigerinos. Yo trato de poner mis conocimientos de enfermería al servicio de los enfermos, tanto en el campamento como en las poblaciones locales. Nosotros estamos refugiados aquí porque no teníamos otra opción".
  Au Soudan du Sud, l'édu...  
“Si mon frère tue quelqu'un, moi, une fille, je serai choisie pour être donnée à la famille de la victime”, dit-elle, ajoutant que si la fille résiste “elle sera battue. Vous n'avez rien à dire. Vous obéissez aux hommes. Si je crée des problèmes, ils peuvent me tuer”.
“When the girl reaches age 15, the parents can get cattle from an old man,” says Amone. “They feel the girls are wealth.” There are other reasons the girl might be married at a young age. “If my brother kills someone, if I am a girl, I am picked and given to the victim’s family,” she says, adding that if they resist “they’ll beat you up. You don’t have any voice. You follow what the men say. If I cause problems, they might kill me.”
"Cuando una muchacha llega a los 15 años, los padres pueden recibir ganado de un hombre mayor", dijo Rita. "Ellos consideran que las niñas representan riqueza". Existen otras razones por las que casan a una niña de corta edad. "Si mi hermano mata a alguien, si soy niña, me escogen y me dan a la familia de la víctima", dijo, añadiendo que si una se resiste "le pegan. Una no tiene voz. Hay que hacer lo que los hombres dicen. Si ocasiono problemas, incluso me pueden matar".
  Haà¯ti : Aider les enfa...  
Quelles que soient les motivations, les programmes remportent un franc succès auprès des plus jeunes. « Moi je reste là toute la journée », lance Simona, cinq ans. « C’est beaucoup plus drôle que chez moi ! Dès que je suis à la maison, je dois faire le ménage », ajoute la petite fille.
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  Le Sud-Soudan vote pour...  
« Je ne pouvais pas tenir mes feuilles correctement la première fois que j’ai animé une émission, tellement mes mains tremblaient, dit-il. Je suis très fier de moi, car aujourd’hui, je suis capable de le faire, même si j’ai dû m’enfuir de chez moi et que j’ai fréquenté une école défavorisée. »
Duku Martin John was one of many young men who had known nothing but war. Now he’s the host of “One People”, a radio show about reconciliation which is supported by the Sudan Catholic Radio Network. “I couldn’t handle the papers the first time I went on air,” he said, “My hands were shaking so much. I’m very proud of myself as I can do it now, even though I was forced from my home and came from a poor school.”
Duku Martin John fue uno de los muchos jóvenes que no sabía de nada más que de guerra. Ahora presenta “Un Pueblo”, un programa de radio sobre reconciliación apoyado por la Red de radios católicas de Sudán. “La primera vez que salí al aire no podía sostener los papeles”, dijo, “me temblaban demasiado las manos. Estoy muy orgulloso porque ahora lo puedo hacer, aunque fui obligado a abandonar mi hogar y estudié en una escuela pobre”.
  Caritas au Mexique: Aux...  
« Le médecin m’a donné des calmants pour la douleur. Cela va mieux. Je suis vivant et en sécurité ici. Tout le monde prend soin de moi ; il faut que je récupère des forces. Est-ce que je rentre chez moi au Honduras ou bien je tente de nouveau de passer aux États-Unis ? Au Honduras, ma mère et mes deux jeunes sœurs comptent sur moi. La plus jeune veut étudier, qu’est-ce que je vais faire ? »
When Jose returns from his medical check-up, he sits down at a table in the courtyard of the migrants reception home in Saltillo. He has to concentrate to shell nuts. His hands shake, his entire body hurts. Just as Luis Enrique, he tries to drive away the images haunting him. "The doctor gave me painkillers. I'm better. I'm alive and safe here. Everybody cares for me, I need to regain strength. Do I go home to Honduras, or do I try again to get into the United States? In Honduras, my mother and my two young sisters are counting on me. The youngest wants to study. What should I do? "
Al regresar de su visita al médico, José se instala en una mesa en el patio de la posada del migrante en Saltillo. Se debe concentrar para pelar nueces. Sus manos tiemblan, todo su cuerpo está adolorido. Con todo, Luis Enrique trata de olvidar las imágenes que lo atormentan. "Las medicinas que me dieron alivian el dolor. Está mejor. Aquí estoy seguro. Todos me cuidan, ahora debo recuperar las fuerzas. ¿Regresaré a mi casa en Honduras o intentaré de nuevo cruzar a los Estados Unidos? En Honduras, mi madre y mis dos hermanas pequeñas dependen de mí. La más joven quiere estudiar, ¿qué voy a hacer?"
  Caritas au Mexique: Aux...  
« Le médecin m’a donné des calmants pour la douleur. Cela va mieux. Je suis vivant et en sécurité ici. Tout le monde prend soin de moi ; il faut que je récupère des forces. Est-ce que je rentre chez moi au Honduras ou bien je tente de nouveau de passer aux États-Unis ? Au Honduras, ma mère et mes deux jeunes sœurs comptent sur moi. La plus jeune veut étudier, qu’est-ce que je vais faire ? »
When Jose returns from his medical check-up, he sits down at a table in the courtyard of the migrants reception home in Saltillo. He has to concentrate to shell nuts. His hands shake, his entire body hurts. Just as Luis Enrique, he tries to drive away the images haunting him. "The doctor gave me painkillers. I'm better. I'm alive and safe here. Everybody cares for me, I need to regain strength. Do I go home to Honduras, or do I try again to get into the United States? In Honduras, my mother and my two young sisters are counting on me. The youngest wants to study. What should I do? "
Al regresar de su visita al médico, José se instala en una mesa en el patio de la posada del migrante en Saltillo. Se debe concentrar para pelar nueces. Sus manos tiemblan, todo su cuerpo está adolorido. Con todo, Luis Enrique trata de olvidar las imágenes que lo atormentan. "Las medicinas que me dieron alivian el dolor. Está mejor. Aquí estoy seguro. Todos me cuidan, ahora debo recuperar las fuerzas. ¿Regresaré a mi casa en Honduras o intentaré de nuevo cruzar a los Estados Unidos? En Honduras, mi madre y mis dos hermanas pequeñas dependen de mí. La más joven quiere estudiar, ¿qué voy a hacer?"
  La génération perdue re...  
Quand la violence a commencé à Abyei, “on s’est tous éparpillés ” se souvient Maria Maluke, qui vit aujourd'hui à Agok. “Mon mari et deux hommes sont partis dans une direction. Les enfants et moi on a couru dans une autre direction”.
In places where returnees have nothing, Caritas distributes emergency items and shelter materials. “Everyone scattered” when the violence in Abyei began, remembers Maria Maluke, who now lives in Agok. “My husband and two men ran in one direction. The children and I ran in another.” Maria saw her older sister and three-year-old niece die as the family tried to escape, and searched eight days for her own husband before learning he was killed. As thousands of families slept outside, Caritas worked with a local priest, Father Biong Kwol, providing aid. “Father Biong gave us plastic sheeting, kangas [cloth], soap, and mosquito nets,” says Maria.
En algunos lugares, los refugiados no tienen nada, Caritas les distribuye artículos de emergencia y materiales para construir albergues. "Todos se dispersaron cuando estalló la violencia en Abyei", recuerda Maria Maluke, que ahora vive en Agok. "Mi esposo y dos hombres corrieron en una dirección. Los niños y yo corrimos en otra". Maria vio morir a su hermana mayor y su sobrina de tres años mientras la familia trataba de huir, y buscó a su esposo durante ocho días, hasta que se enteró de que había muerto. Mientras miles de familias dormían a la intemperie, Caritas trabajó con un sacerdote de la localidad, el padre Biong Kwol, para prestar ayuda. "El padre Biong nos dio plásticos, kangas [tela], jabón y mosquiteros", dice Maria.
  Haà¯ti : Aider les enfa...  
Quelles que soient les motivations, les programmes remportent un franc succès auprès des plus jeunes. « Moi je reste là toute la journée », lance Simona, cinq ans. « C’est beaucoup plus drôle que chez moi ! Dès que je suis à la maison, je dois faire le ménage », ajoute la petite fille.
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  Changement climatique e...  
D’après moi, pour y arriver, il est nécessaire de commencer à intensifier les efforts de travail de proximité et de prise de conscience sur la protection de l’environnement, la lutte contre toutes formes de pollution, et la mise en place d’une culture de protection de la nature et de ses ressources parmi les citoyens et les décideurs.
According to meteorological and environmental experts in Algeria, in the future it will be necessary to think about developing renewable sources of energy, public transport and insulation techniques in the construction sector, as well as setting up surveillance and warning systems for drought and heat waves in all vulnerable towns and cities. In my opinion, to achieve this it is necessary to begin by stepping up outreach and awareness-raising efforts regarding environmental protection, the fight against all forms of pollution, and establishment of a culture of protecting nature and its resources among citizens and decision makers.
Según expertos en meteorología y medioambiente en Argelia, en el futuro será necesario pensar en desarrollar fuentes energéticas renovables, transporte público y técnicas de aislamiento en la construcción, y establecer sistemas de vigilancia y alerta para la sequía y las olas de calor en todos los pueblos y ciudades vulnerables. En mi opinión, para lograr esto es necesario comenzar por intensificar los esfuerzos de extensión y concienciación relativos a la protección medioambiental, la lucha contra toda forma de contaminación y el desarrollo de una cultura para la protección de la naturaleza y sus recursos entre todos los ciudadanos y las autoridades.
  John Bakoyego, petit-fi...  
J’entendais ses cris en courant. Il avait 12 ans. J’avais peur qu’ils m’attrapent moi-aussi. J’ai couru vers la brousse, les LRA me suivaient toujours. J’ai couru vers un endroit où on avait caché quelques objet, au cas où il y aurait une attaque de la LRA – un jerrican, des assiettes et des casseroles.
They were kicking him down, he was crying, and when I was running I could still hear his cries. He was 12 years old. I was afraid I would also be arrested. I ran into the bush, the LRA still following me, but I was running faster. I ran past a place where we had hidden some items in the bush in case of an LRA attack – a jerrycan, plates and saucepans - and they started to take those items and forgot about me.
Yo temía que me apresaran a mí también. Corrí hacia la mata, los del LRA me estaban persiguiendo, pero yo corría más rápido. Pasé por un lugar en el que habíamos escondido algunos artículos ante la eventualidad de un ataque del LRA – un bidón, platos y cacerolas – y ellos comenzaron a recoger esas cosas y se olvidaron de mí. Después de haberlos dejado atrás, me metí en otra mata más profunda y cruce un arroyo; me encontré con dos mujeres a quienes le conté lo sucedido, pero no me creían.
  Caritas au Mexique: Aux...  
« Le médecin m’a donné des calmants pour la douleur. Cela va mieux. Je suis vivant et en sécurité ici. Tout le monde prend soin de moi ; il faut que je récupère des forces. Est-ce que je rentre chez moi au Honduras ou bien je tente de nouveau de passer aux États-Unis ? Au Honduras, ma mère et mes deux jeunes sœurs comptent sur moi. La plus jeune veut étudier, qu’est-ce que je vais faire ? »
When Jose returns from his medical check-up, he sits down at a table in the courtyard of the migrants reception home in Saltillo. He has to concentrate to shell nuts. His hands shake, his entire body hurts. Just as Luis Enrique, he tries to drive away the images haunting him. "The doctor gave me painkillers. I'm better. I'm alive and safe here. Everybody cares for me, I need to regain strength. Do I go home to Honduras, or do I try again to get into the United States? In Honduras, my mother and my two young sisters are counting on me. The youngest wants to study. What should I do? "
Al regresar de su visita al médico, José se instala en una mesa en el patio de la posada del migrante en Saltillo. Se debe concentrar para pelar nueces. Sus manos tiemblan, todo su cuerpo está adolorido. Con todo, Luis Enrique trata de olvidar las imágenes que lo atormentan. "Las medicinas que me dieron alivian el dolor. Está mejor. Aquí estoy seguro. Todos me cuidan, ahora debo recuperar las fuerzas. ¿Regresaré a mi casa en Honduras o intentaré de nuevo cruzar a los Estados Unidos? En Honduras, mi madre y mis dos hermanas pequeñas dependen de mí. La más joven quiere estudiar, ¿qué voy a hacer?"
  Synode pour le Moyen-Or...  
Les handicaps sont relatifs par rapport à notre système. Moi par exemple, je suis myope, si les lunettes n’existaient pas, je serais considéré comme un handicapé. Quant aux aveugles, les progrès récents dans l’informatique leur ont changé la vie.
Every person has a gift. Our task is to help people discover and express their talent. I am short-sighted for example. If glasses didn’t exist, I would be considered disabled. As for blind people, recent progress in information technology has changed their life. They can now write and receive emails and text messages thanks to special technologies, so their difference doesn’t keep them from fully participating in that field anymore.
  Les Ivoiriens qui fuien...  
Mais elle leur fournit ce qu’elle peut : un abri, de la nourriture, et même un lopin de terre à cultiver. “Ann nous a beaucoup aidés ma famille et moi,” déclare Kasong. “Je lui en suis plus que reconnaissant.”
With five grandchildren to feed, Ann doesn’t have much to give her guests. But she’s provided what she can: shelter, food, and even a piece of land for them to farm. “Ann has been very helpful to my family and me,” says Kasong. “I am more than grateful to her.”
Con cinco nietos que alimentar, Ann no tiene mucho que ofrecer a sus visitas. Pero les proporciona lo que puede: refugio, comida e incluso un pedazo de tierra para cultivar. “Ann ha sido de una gran ayuda para mí y mi familia,” dice Kasong. “Le estoy más que agradecida.”
  L’archevêque Oscar Rome...  
La mort de l’archevêque Oscar Romero a représenté pour moi l’un des moments les plus tristes de ma vie. Il a payé de sa propre vie pour s’être exprimé avec courage au nom des pauvres et des opprimés.
For me the death of Archbishop Oscar Romero is one of the saddest moments of my life. By bravely speaking out on behalf of the poor and oppressed he paid with his death.
Para mí, la muerte del Arzobispo Óscar Romero es uno de los momentos más tristes de mi vida. Porque el pagó con su vida, su valiente defensa de los pobres y oprimidos.
  Dans les camps du Sri L...  
“Ma mère est âgée et faible. Elle ne peut pas faire grand-chose pour moi. Caritas m'a beaucoup aidée. Au moins, je pourrai me déplacer toute seule dès que je serai habituée à porter la jambe artificielle”.
“My mother is old and feeble. She can only do so much for me. Caritas has helped me a great deal. At least I’ll be able to move about on my own once I get used to wearing the artificial limb.”
  Questions et réponses s...  
Et moi, que puis-je faire pour aider ?
¿Qué puedo hacer yo para ayudar?
  Le pape Franà§ois mobil...  
« Cette caractéristique de la tendresse est, selon moi, le noyau de la spiritualité de la Caritas: il faut que l'Eglise récupère la tendresse », a expliqué le pape François.
“For me, recovering this tenderness for the church is the core to which the spirituality of Caritas must refer itself," Pope Francis said.
"Para mí, recuperar esta ternura por la Iglesia es el centro al que la espiritualidad de Caritas debe referirse", dijo el Papa Francisco.
  Caritas Congo prête à  ...  
Je ne l’ai pas trouvé. C’est lorsque j’arrivais de nouveau à la maison que deux de ses amis sont arrivés en courant derrière moi. Ils m’ont dit, papa, papa, Léandre a pris une balle.
I couldn't find him. As I was arriving back home, two of his friends came running after me. Father, father, Léandre has been shot, they said.
No lo encontré. Y entonces, cuando volví a casa, dos de sus amigos llegaron corriendo detrás de mí. Y me dijeron que habían disparado a Léandre.
  Haà¯ti deux ans après l...  
« Il y a encore peu de temps, c’était très difficile pour moi de trouver de quoi manger. Je n’avais pas de force, je ne savais pas quoi faire et n’avais personne pour m’aider.
There are no pensions for the elderly in Haiti. They live off the financial and food aid they receive from their children. But many of these children had moved to Port-au-Prince or Jacmel to work.
“No hace mucho, para mí era muy difícil encontrar qué comer. Yo no tenía fuerzas, no sabía qué hacer y no había quien me ayudara. Ahora, he recuperado la energía”.
  Une histoire de séchere...  
“Les médicaments sont la chose la plus importante pour moi. Quand je les prends, je me sens vraiment bien,” explique Blantina. “Mais on ne peut pas les prendre sans nourriture. Si je les prends sans avoir mangé, je risque de vomir.”
“The drugs to me are the most important thing. When I use them, I feel really well,” Blantina says. “However, they can’t be used without food. If I take them without food, I might vomit.”
La lucha cotidiana contra el hambre resulta todavía más dura para las personas que viven con el VIH y toman medicamentos antirretrovirales, como Blantina Mutuvi, que nos dice:  “Las medicinas son lo más importante para mí. Cuando las tomo, me siento muy bien.  Sin embargo, no se pueden tomar sin ingerir alimentos, porque pueden causar vómitos”.
  La dernière ligne de dé...  
« Ne pleure pas Adjiera. Ne tire pas si fort sur mon sein. Je n’ai plus de lait et moi aussi j’ai faim. » Momeye doit avoir tout juste vingt ans. Elle est arrivée la veille au centre de récupération nutritionnelle de Saga, dans la banlieue de Niamey au Niger.
At the moment, eight mothers with children in acute danger are hospitalised in the centre. Thirty more less severe cases wait in the courtyard to receive food supplements for their children and food for themselves so they can resume breastfeeding. They receive enough for a week.
"No llores Adjiera. No chupes más fuerte mis pechos. Ya no tengo leche y yo también tengo hambre". Momeye tendrá unos veinte años. Ella llegó el día anterior al centro de recuperación nutricional del Sagan, en las afueras de Niamey en Níger. Su hija de un año parece de meses, está muy pequeña y flaca.
  à€ Cuba, Caritas fait f...  
« Je suis passée par les institutions psychiatriques du gouvernement. J’espère que le Pape pourra faire quelque chose pour permettre aux personnes malades comme moi de bénéficier de l’aide de l’Église et de Caritas. Car se sentir aimée, c’est se sentir en vie. »
Uno de los beneficiarios del grupo de Santo Domingo, en lágrimas, nos dice: «Yo he pasado por las instituciones psiquiátricas estatales. Espero que el Papa pueda hacer algo para consentir a esos enfermos como yo beneficiarse de la ayuda de la Iglesia y de Cáritas. Porque sentirse amado es sentirse vivo».
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