pele – -Translation – Keybot Dictionary

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Keybot 3 Results  www.tlaxcala.es
  TLAXCALA : O paradoxo a...  
Em 2002, os restos mortais do cacique Vaimaca Pirú foram transferidos de França para o Panteão Nacional de Uruguai. O órgão sexual mumificado e uma porção de pele de Senaqué, conservados no Museu do Homen, em Paris, foram «extraviados».
Ces hommes, qui avaient été combattants dans les guerres d’indépendance uruguayenne sous les ordres du général Artigas, ne pouvaient pas concevoir de vivre ailleurs que sur leurs terres et autrement qu’en liberté. Ils furent traités pire que des animaux.
  TLAXCALA : Os sítios ne...  
McCoy, o historiador, assinala que “estar muito tempo em pé” era uma técnica de interrogatório comum do K.G.B. No seu livro publicado em 2006, “A Question of Torture [Uma Questão de Tortura]”, ele escreve que os soviéticos perceberam que manter uma vítima em pé de 18 a 24 horas pode produzir “uma dor agonizante, com os tornozelos a duplicarem de tamanho, a pele a ficar tensa e muito dolorosa, aparecem bolhas pelo corpo, as batidas cardíacas multiplicam-se, os rins desligam-se, e acontecem alucinações.”
En plus de garder le prisonnier éveillé, le fait de rester debout peut à la longue causer des douleurs importantes. L’historien McCoy note que “la position debout prolongée” était une technique habituelle d’interrogatoire du KGB. Dans on livre paru en 2006, A Question of Torture (Une question de torture), il écrit que les Soviétiques avaient découvert que forcer une victime à rester debout de 18 à 24 heures peut provoquer “une douleur atroce : les chevilles doublent de volume, la peau se tend et devient intensément douloureuse, des ampoules de sérum aqueux se forment, le rythme cardiaque s’accélère, les reins cessent de fonctionner et des hallucinations surviennent.”
  TLAXCALA : Quando estiv...  
Chegar a Dakhla, um dos acampamentos de refugiados saarauís na Argélia cujo nome corresponde a uma das suas cidades sob a ocupação militar marroquina, é uma grande odisseia. É como se as peripécias se conjugassem para pôr à prova a determinação e a dureza da pele da viajante, apenas para recompensá-la com imagens e emoções irrepetíveis.
Arriver à Dakhla, un des camps de réfugiés sahraouis en Algérie dont le nom correspond à une de leurs villes sous occupation militaire marocaine, est une odyssée en règle. Comme si les péripéties se conjuguaient pour tester la détermination et la dureté de la peau de la voyageuse, simplement pour la récompenser par des images et des émotions uniques. Les heures dans un avion charter qui ressemble plus à un autobus loué par un groupe de camarades et le massage impitoyable que m’offre le transit tout-terrain depuis Tindouf sont le prix à payer pour le premier lever de soleil dans le désert. Mes yeux cessent d’épier et s’ouvrent comme des éventails, ensorcelés devant la vigueur du feu qui monte avec l'élan d'un dieu absolu. Dans peu de temps ils se fermeront, peut-être pour somnoler dans la khaima ou le gueton lorsque le corps refuse d'accompagner mon besoin de refaire le parcours et de me rappeler de tout.