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La société Central a reçu 4 rapports relatifs à des d'extincteurs « sous eau » et 9 rapports relatifs à des extincteurs « sous air » qui ne se sont pas mis en marche lors d'un incendie. Ces rapports ont entraîné deux demandes d'indemnisation de dommages matériels. Les essais en laboratoire ont démontré que, même si la majorité des extincteurs automatiques se mettaient en marche, certains exigeaient une pression supérieure à la pression disponible dans certains édifices. Selon ces essais, 26 % des échantillons exigeaient une pression d'entrée supérieure à 5 lb/po2 pour se mettre en marche, tandis que 7 % exigeaient une pression d'entrée supérieure à 40 lb/po2. Les Underwriters' Laboratories (UL) ont annoncé qu'à partir de janvier 2003 l'utilisation de joints toriques dans le fabrication des extincteurs automatiques ne serait plus permise en fonction de la mise en application de la norme 199 «
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