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And there were the horrors of the nights of perpetual bombing from which we had escaped. And worst, there were the reports from eye-witnesses among the refugees, some of whom had escaped from the Russians several times and in the process had lost members of their families.
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Cette peur etait le resultat d'un horrible melange provenant des histoires horribles des nazis "Maintenant, ces creatures sous-humaines viennent pour se venger ! " Tout le monde connaissait les visages laids des bolcheviques - Ils avaient ete dessines presque quotidiennement dans le "Volkische Beobachter" et ils etaient desormais profondement enfouis dans les esprit, particulierement les notres, ceux des enfants. Et il ne fallait pas oublier les horreurs des perpetuelles attaques aeriennes qui avaient lieu la nuit et auxquelles on avait echappe. Pire meme, il y avait les comptes rendus des temoins qui se trouvaient parmi les refugies et qui avaient vu des choses, certains d'entre eux avaient echappe aux Russes plusieurs fois et avaient perdu tous les membres de leur famille dans l'aventure. Il y avait ceux qui avaient du regarder comme les autres, principalement des femmes et des enfants, qui ont paye de leur vie les horreurs que les nazis ont perpetres parmi les gens d'Europe de l'Est. Il y avait les soldats allemands qui fuyaient, souvent pour de bonnes raisons, la prison russe : Toutes les divisions de Panzer SS se ruaient vers l ouest, en esperant que les americains s'uniraient avec eux pour repousser une fois encore les russes hors d'Allemagne.
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Ihre Angst war eine schreckliche Mischung: von den Horrorgeschichten der Nazis "jetzt kommen diese untermenschenartigen Kreaturen, um schreckliche Rache zu nehmen!" Jeder kannte diese hässlichen bolschewistischen Gesichter - sie waren fast täglich im 'Völkischen Beobachter' porträtiert worden, und sie waren nun tief in unsere Seelen eingegraben, besonders bei uns Kindern. Und es gab den Horror der Nächte mit den dauernden Bombardierungen, denen wir entkommen waren. Und das Schlimmste war, dass es die Berichte von Augenzeugen unter den _berlebenden gab, von denen einige mehrmals vor den Russen geflohen waren, und die dabei Familienmitglieder verloren hatten. Es gab jene, die mitansehen mussten, wie andere, hauptsächlich Frauen und Kinder, mit ihrem Leben für den Horror, den die Nazis unter den osteuropäischen Völkern angefangen hatten, bezahlen mussten. Und es gab deutsche Soldaten, die oft aus guten Gründen vor der Gefangennahme durch die Russen flohen: ganze SS-Panzer-Divisonen drängten nach Westen, in der Hoffnung, dass die Amerikaner sich mit ihnen verbünden würden, um die Russen aus Deutschland zu vertreiben.
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