sue – -Translation – Keybot Dictionary

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  THE LITTLE COAT: THE WR...  
fig. 5 Sue, Bob and Alan meet, 2005. (Photo: Bob and Sue Elliott, and DriverWorks Ink)
ill. 5 Sue, Bob and Alan meet, 2005. (Photo: Bob and Sue Elliott, and DriverWorks Ink)
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fig. 6 Bob Elliott on Liberation Day, Netherlands, 2005. (Photo: Bob and Sue Elliott, and DriverWorks Ink)
ill. 6 Bob Elliott on Liberation Day, Netherlands, 2005. (Photo: Bob and Sue Elliott, and DriverWorks Ink)
  THE LITTLE COAT: THE WR...  
fig. 1 Sussie at age 5 (5th from right, front row), 1939, Rossum School, Holland. (Photo: Bob and Sue Elliott, and DriverWorks Ink)
ill 1 Sussie at age 5 (5th from right, front row), 1939, Rossum School, Holland. (Photo: Bob and Sue Elliott, and DriverWorks Ink)
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fig. 2 The Cretier children (Kees, Gerard, Willem Jan and Sussie), 1948. (Photo: Bob and Sue Elliott, and DriverWorks Ink)
ill. 2 The Cretier children (Kees, Gerard, Willem Jan and Sussie), 1948. (Photo: Bob and Sue Elliott, and DriverWorks Ink)
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fig. 7 Wendy Zuliana of Ontario (daughter of Bob’s friend Ernie ‘Duke’ Dawson) with Bob and Sue Elliott at a Liberation Day ceremony, Netherlands, May 2009. (Photo: Bob and Sue Elliott, and DriverWorks Ink)
ill. 7 Wendy Zuliana of Ontario (daughter of Bob’s friend Ernie ‘Duke’ Dawson) with Bob and Sue Elliott at a Liberation Day ceremony, Netherlands, May 2009. (Photo: Bob and Sue Elliott, and DriverWorks Ink)
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The creative process took time, as war recollections are painful and difficult to discuss. Buick met Bob and Sue in 2005 during one of their visits to Canada (fig. 5). Over two years, he exchanged emails with the couple, piecing together their memories.11
La démarche créative demanda un certain temps, car les souvenirs de guerre sont douloureux et difficiles à partager. Buick rencontra Bob et Sue en 2005 lors d’une de leurs visites au Canada (fig. 5). Pendant deux ans, le couple et lui échangèrent des courriels11. Buick put ainsi reconstituer les évènements à travers les souvenirs des Elliott. Il a passé des milliers d’heures à travailler le manuscrit de leur histoire et à envoyer des brouillons au couple qui lui renvoyait ses révisions.
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fig. 4 Bob beside the Sexton self-propelled gun, Holland, 1945. (Photo: Bob and Sue Elliott, and DriverWorks Ink)
ill. 4 Bob beside the Sexton self-propelled gun, Holland, 1945. (Photo: Bob and Sue Elliott, and DriverWorks Ink)
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During his revisions to the manuscript, Buick wanted to find ways in which to portray the thoughts and feelings of the individuals represented. This was also a personal challenge for Sue and Bob. Writing this book with Buick involved exploring the emotional side of their memories.
Malheureusement, l’histoire demeurait incomplète même après qu’on eut confirmé les faits et reconstitué l’ordre chronologique. Lors de sa révision du manuscrit, Buick voulut trouver le moyen de rendre les pensées et les sentiments des personnes mentionnées. C’était aussi un défi personnel pour Sue et Bob. L’écriture du livre en concert avec Buick signifiait de devoir revisiter le côté émotif de leurs souvenirs. Comme l’a expliqué Driver :
  THE LITTLE COAT: THE WR...  
She was the reason they fought, and why they sacrificed so much to liberate the Dutch people from the oppression of the Nazis.7 As an adult, Sue felt that, next to her children, the coat she received from the soldiers was the most important thing in the world to her.
Pour Bob Elliott et les autres soldats canadiens postés à Alphen, Sussie était devenue le symbole de ce que représentait la guerre aux Pays-Bas. Elle était la raison pour laquelle ils combattaient et pour laquelle ils firent tant de sacrifices pour libérer le peuple hollandais de l’oppression nazie7. Même adulte, Sue a toujours considéré que le manteau qu’elle avait reçu des soldats était la chose la plus importante au monde pour elle après ses enfants8. Quoique Bob ne se soit jamais senti comme un héros, il en était un pour Sussie, tout comme les autres soldats qui ont libéré son pays après cinq ans de pauvreté, de crainte et de douleurs9.
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fig. 7 Wendy Zuliana of Ontario (daughter of Bob’s friend Ernie ‘Duke’ Dawson) with Bob and Sue Elliott at a Liberation Day ceremony, Netherlands, May 2009. (Photo: Bob and Sue Elliott, and DriverWorks Ink)
ill. 7 Wendy Zuliana of Ontario (daughter of Bob’s friend Ernie ‘Duke’ Dawson) with Bob and Sue Elliott at a Liberation Day ceremony, Netherlands, May 2009. (Photo: Bob and Sue Elliott, and DriverWorks Ink)
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fig. 5 Sue, Bob and Alan meet, 2005. (Photo: Bob and Sue Elliott, and DriverWorks Ink)
ill. 5 Sue, Bob and Alan meet, 2005. (Photo: Bob and Sue Elliott, and DriverWorks Ink)
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Questions of translation were also raised when trying to accurately document Sue’s memories. In one detail for the book, she explained how her father had hidden from the Germans in the eavestrough of a home before the family fled for Alphen.17
Les traductions qui ont été nécessaires pour documenter les souvenirs de Sue ont également soulevé des questions. Dans un passage du livre, elle explique que son père s’était caché derrière les gouttières suspendues d’une maison pour échapper aux Allemands avant que la famille ne s’enfuie à Alphen17. Au Canada, les gouttières ne sont pas assez solides pour qu’une personne s’y cache. Buick et Driver durent donc chercher le sens de cette anecdote. Sue utilisait-elle le mot « gouttière » pour signifier le toit ou le grenier ? Une photo de la maison où s’était caché son père a finalement permis de découvrir que les gouttières des maisons hollandaises sont assez grandes pour dissimuler un homme18. L’utilisation de supports visuels s’est donc révélée être le lien essentiel pour rendre la vérité malgré ces différences de cultures et de langues.
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From Driver’s perspective, the book “is symbolic of the difficult, painful story of the journey towards peace. We in Canada don’t experience this today, so it’s important to recognize that some of our people did go through it.”22 She hopes that it will bring awareness to Canadians about Remembrance Day, and “the horrors that people still carry today.”23Buick’s interest in the coat inspired Bob and Sue to donate it to the Canadian War Museum in 2006.
Du point de vue de Driver, le livre « est une représentation symbolique des difficultés et souffrances qu’il faut traverser pour obtenir la paix. Nous ne connaissons actuellement pas cette réalité au Canada, mais il est important de reconnaître que certains d’entre nous l’ont vécue22. » Driver espère sensibiliser les Canadiens à l’importance du jour du Souvenir et « aux horreurs que certaines personnes revivent encore aujourd’hui23 ». La façon dont Buick s’est intéressé au manteau a amené Bob et Sue à en faire don au Musée canadien de la guerre en 2006. Ce manteau est devenu l’un des objets les plus évocateurs du musée en raison de l’histoire profondément humaine qui lui est rattachée.
  THE LITTLE COAT: THE WR...  
Questions of translation were also raised when trying to accurately document Sue’s memories. In one detail for the book, she explained how her father had hidden from the Germans in the eavestrough of a home before the family fled for Alphen.17
Les traductions qui ont été nécessaires pour documenter les souvenirs de Sue ont également soulevé des questions. Dans un passage du livre, elle explique que son père s’était caché derrière les gouttières suspendues d’une maison pour échapper aux Allemands avant que la famille ne s’enfuie à Alphen17. Au Canada, les gouttières ne sont pas assez solides pour qu’une personne s’y cache. Buick et Driver durent donc chercher le sens de cette anecdote. Sue utilisait-elle le mot « gouttière » pour signifier le toit ou le grenier ? Une photo de la maison où s’était caché son père a finalement permis de découvrir que les gouttières des maisons hollandaises sont assez grandes pour dissimuler un homme18. L’utilisation de supports visuels s’est donc révélée être le lien essentiel pour rendre la vérité malgré ces différences de cultures et de langues.
  THE LITTLE COAT: THE WR...  
In November 2009, the memories of Bob and Sue Elliott were captured in the book The Little Coat, published by DriverWorks Ink. Over a five-year period, author Alan J. Buick had corresponded with the Elliotts by email, reliving their experiences of the war, the story of the coat, and their memories of each other.
En novembre 2009, les mémoires de Bob et Sue Elliot ont été compilées dans le livre The Little Coat, publié aux éditions DriverWorks Ink. Pendant cinq ans, l’auteur, Alan J. Buick, a correspondu avec les Elliott par courriel, revivant ainsi leur expérience de la guerre, l’histoire du manteau et les souvenirs qu’ils ont l’un de l’autre. L’élaboration d’un tel livre constituait un défi qui s’est révélé des plus gratifiants autant pour Buick que pour son éditrice, Deana Driver. Ce livre n’est pas une simple histoire tirée de faits vécus, mais bien un recueil de leurs mémoires et un résumé de leur histoire aussi près que possible de la réalité1.
  THE LITTLE COAT: THE WR...  
After learning about the coat’s history, and the fact that Bob and Sue were both alive and had married, Buick felt that someone should write a book about this unique and touching story of a Canadian bombardier and his little Dutch ‘soldier’.
En 2004, le poète et parolier saskatchewannais Alan Buick livrait une prestation avec son épouse dans une salle de la Légion royale canadienne à Olds, en Alberta. Il remarqua quelque chose de particulier parmi les médailles, les photographies et les souvenirs militaires qui tapissaient les murs de la salle : un manteau d’enfant. Après s’être fait raconté l’histoire du manteau et avoir appris que Bob et Sue étaient non seulement vivants, mais mariés, Buick eut le sentiment que cette histoire unique et touchante d’un bombardier canadien et de son petit « soldat » hollandais se devait d’être racontée dans un livre. Il était incapable de croire que cette histoire était restée en latence si longtemps10. Quand les Elliott reçurent une lettre de Buick, ils acceptèrent de travailler à la conception du livre avec lui.
  LEARNING TO FLY: STORIE...  
Though he grew up in Canada, Stuart Graham was born in Boston, Massachusetts and had to give up his American citizenship in order to enlist in the Canadian Military. Sue Smith, “Pioneer Pilot Trades Blizzards for Sunshine,”
Bien qu’il ait grandi au Canda, Stuart Graham est né à Boston, Massachusetts et a dû renoncer à sa citoyenneté américaine pour s’enrôler dans l’armée canadienne. Sue Smith, “Pioneer Pilot Trades Blizzards for Sunshine,”
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fig. 3 Sussie, Holland, 1944. (Photo: Bob and Sue Elliott, and DriverWorks Ink)
ill. 3 Sussie, Holland, 1944. (Photo: Bob and Sue Elliott, and DriverWorks Ink)
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Questions of translation were also raised when trying to accurately document Sue’s memories. In one detail for the book, she explained how her father had hidden from the Germans in the eavestrough of a home before the family fled for Alphen.17
Les traductions qui ont été nécessaires pour documenter les souvenirs de Sue ont également soulevé des questions. Dans un passage du livre, elle explique que son père s’était caché derrière les gouttières suspendues d’une maison pour échapper aux Allemands avant que la famille ne s’enfuie à Alphen17. Au Canada, les gouttières ne sont pas assez solides pour qu’une personne s’y cache. Buick et Driver durent donc chercher le sens de cette anecdote. Sue utilisait-elle le mot « gouttière » pour signifier le toit ou le grenier ? Une photo de la maison où s’était caché son père a finalement permis de découvrir que les gouttières des maisons hollandaises sont assez grandes pour dissimuler un homme18. L’utilisation de supports visuels s’est donc révélée être le lien essentiel pour rendre la vérité malgré ces différences de cultures et de langues.