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Keybot 142 Résultats  www.masterandmargarita.eu  Page 5
  De meester en Margarita...  
Anderhalf jaar later, in juni 1932, kwam ze voor het eerst weer buiten, en liep ze Boelgakov tegen het lijf. De eerste woorden die hij zei waren: «Ik kan zonder jou niet leven.» Deze keer was het voorgoed.
Mikhail Bulgakov and Elena Sergeevna left the party at the Moyseenko's together and went for a stroll through Moscow. Just like the master and Margarita, they were both married to someone else when they met, and they fell instantly in love. In the diary of Elena Sergeevna we read: «When I met Bulgakov I knew this was my destiny, no matter what, regardless of the incredibly difficult tragedy of a divorce. It was fast, unusually fast for me at least, it was love for lifetime». Until early 1931, they met each other often, but when Elena Sergeevna's husband, Yevgeny Aleksandrovich Shilovsky (1889-1952), found out about the affair, she tried to avoid Bulgakov, swearing that she would not go out anymore, that she would not answer any phone calls, and that she didn't want to receive any letters from him. Eighteen months later, in June 1932, she went out again for the first time, and she walked into Bulgakov. The first words he said were: «I can not live without you». This time it was for good. In September, she got divorced and on October 4, she married Bulgakov, one day after his divorce from Lyubov Evgenevna Belozerskaya (1895-1987). They would stay together until Bulgakov's death.
Mikhaïl Boulgakov et Elena Sergueïevna sont partis ensemble de la fête chez les Moseïenko pour flâner dans les rues de Moscou. Juste comme le maître et Marguerite, ils étaient mariés à quelqu'un d'autre quand ils se sont rencontrés, et ils ont été instantanément amoureux. Dans le journal d'Elena Sergueïevna nous pouvons lire: «Quand j'ai rencontré Boulgakov, je savais que c'était mon destin, il n'y avait rien à faire, indépendamment de la tragédie incroyablement difficile d'un divorce, tout s'est passé de façon rapide, inhabituellement rapide pour moi du moins, un amour pour la vie». Jusqu'au début 1931, ils se sont rencontrés régulièrement, mais quand le mari d'Elena Sergueïevna, Yevgueni Aleksandrovitch Chilovski (1889-1952), a découvert leur affaire, elle a essayé d'éviter de voir Boulgakov, alors qu'elle a juré qu'elle ne sortirait plus jamais, qu'elle ne répondrait pas le téléphone, et qu'elle ne voulait plus jamais recevoir une lettre de sa part. Dix-huit mois plus tard, en juin 1932, elle a resorti pour la première fois, et elle a rencontré Boulgakov. Les premiers mots qu'il dit furent: «Je ne peux pas vivre sans toi.» Cette fois c'était pour de toujours. En septembre, elle a divorcé et le 4 octobre elle a épousé Boulgakov, un jour après son divorce de Lioubov Evgenievna Belozerskaïa (1895-1987). Ils sont restés ensemble jusqu'à la mort de Boulgakov.
Михаил Булгаков и Елена Сергеевна ушли с праздника вместе, чтобы прогуляться по улицам Москвы. Совсем как в истории Мастера и Маргариты к моменту встречи он был женат, а она - замужем, но это была любовь с первого взгляда. В дневнике Елены Сергеевны можно прочитать следующее: «Когда я встретила Булгакова случайно в одном доме, я поняла, что это моя судьба, несмотря на все, несмотря на безумно трудную трагедию разрыва. Я пошла на все это, потому что без Булгакова для меня не было бы ни смысла жизни, ни оправдания ее». До1931 года они постоянно встречались, однако, когда муж Елены Сергеевны узнал о происходящем, она начала избегать Булгакова, более того, она поклялась себе, что больше никогда не выйдет из дома, не ответит ни на один телефонный звонок и не примет ни одного письма. Спустя 18 месяцев, в июне 1932 года, она впервые после долгого времени вышла на улицу и встретила М.Булгакова. Первой фразой, которую он сказал, была: «Я не могу без тебя жить», и больше они не расставались. В сентябре Елена Сергеевна развелась с мужем, а 4 октября стала женой М.Булгакова (на следующий день после его развода с Любовью Евгеньевной). После этого они были вместе до самой смерти писателя.
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In de Russische tekst worden de mannen die verdwijnen in de accusatief gezet, zonder dat er een onderwerp of een werkwoord aan te pas komt. Waarmee Boelgakov via een taalspelletje aanduidt dat ze het voorwerp zijn van een actie, uitgevoerd door de «onbenoembare» geheime politie.
Bulgakov uses again an impossibly high number for a department issuing passports. The number 412 will come back in chapter 27 of the novel,, when the secret police will find Grigory Danilovich Rimsky, the findirector of the Variety Theatre, in room number 412 of the
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Maar Stalin moest er niet veel van hebben en besloot alleen het sociaal-realisme als architectuurstijl toe te laten en ruïneerde daarmee de carrière van Melnikov. Die heeft overigens nog het geluk gehad dat hij tot zijn dood in zijn constructivistische huis mocht blijven wonen zonder opgepakt te worden.
Une des victimes les lus connues de la politique culturelle rigide à l'Arbat était l'architecte constructiviste réputé Konstantin Stepanovitch Melnikov (1890-1974). Près de l'Arbat il avait construit, en 1927, la seule résidence privée d'après la révolution, c'était un constructoin fait de deux cylindres, conçus comme le prototype pour la construction de maisons dans la nouvelle Russie. Mais Staline ne l'a pas aimé trop et il a décidé d'accepter seulement le réalisme social comme le style pour l'architecture, par quoi il a ruiné la carrière de Melnikov. Bien Melnikov a eu de la chance. On lui a permis de vivre dans sa maison constructiviste jusqu'à sa mort et il n'a jamais été arrêté. La maison de Melnikov est sur la liste du patrimoine mondial d'UNESCO, mais c'est très délabré et les héritiers de Melnikov luttent pour les droits de propriété de la maison.
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«ze zijn hier lang genoeg zonder een echte feestje geweest.» Hijzelf werd echter teruggeroepen naar Washington voor overleg met de president, en zijn raadgever, John Cooper Wiley (1893-1967), moest in zijn plaats optreden als gastheer.
(1951). Ambassador Bullitt, who was not really impressed by the «party circuit» in Stalin's Moscow, had ordered his staff to organise a unique reception for the American Colony in Moscow. «And make it good», he insisted. «They've been long enough without a real shindig.» Unfortunately, he was called back to Washington before the holiday for consultation with the President, and his Counselor, John Cooper Wiley (1893-1967), was to act as host instead.
(1951). L'ambassadeur Bullitt, qui n'était pas vraiment impressionné par le «circuit des soirées» dans le Moscou de Staline, avait ordonné à son personnel d'organiser une réception unique pour la colonie américaine à Moscou. «Faites quelque chose de bien», at-il dit. «Ils ont resté assez longtemps sans une véritable fête». Mais Bullitt a été rappelé à Washington pour des consultations avec le président et son conseiller, John Cooper Wiley (1893-1967), devait fonctionner comme hôte à sa place.
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Aleksandr Morozov, een fervent tegenstander van Boelgakov die in hetzelfde gebouw woonde, had de graffiti overklad met spuitbussen. Het bleek onmogelijk om de vernielingen te verwijderen zonder de graffiti te beschadigen, en dus is de traphal nu weer netjes geschilderd met flets groene verf.
Between 1984 and 1986 the building, the stair well and the apartment were subject of a struggle between officials, the house's caretaker and the graffiti artists. The graffiti were completely removed and  whitewashed but "the scum" always came back to put new graffiti and new demands. More than once the caretaker changed the security code at the entrance, but it got hacked every time again. Eventually the officials gave up. In the spring of 1988 the city authorities gave the permission to start an official museum, but it would take much more time to get there.
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Hij is directeur van het psychiatrisch ziekenuis - «een kliniek, waar niemand u zal vasthouden zonder geldige reden» - waarin meer dan één protagonist van het verhaal terechtkomt om uiteenlopende redenen.
Le docteur Stravinski est un homme de quarante-cinq ans environ, rasé comme un acteur, avec un regard avenant, quoique extrêmement perçant, et des manières courtoises. Il est le directeur de l'hôpital psychiatrique - «non pas une maison de fous, mais une clinique, où il ne viendra à l’idée de personne de garder Quelqu'un de force si cela n’est pas nécessaire» - dans lequel certains des protagonistes arrivent pour des raisons différentes. Le Maître et Ivan Nikolaïevitch Ponyriev, évidemment, mais aussi Nicanor Ivanovitch Bossoï, le «gros à la figure cramoisie, qui ne cessait de marmonner on ne sait quoi à propos de devises dans une bouche d’aération». Et dans la chambre 120 était apporté quelqu'un qui «réclamait sans cesse qu’on lui rendît sa tête».
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Een totaal van 12.000 anti-Sovjet elementen dus. De quota waren ramingen, en konden in principe niet worden overschreden zonder de persoonlijke toestemming van Nikolai Ivanovitsj Jesjov (1895-1940), bijgenaamd
Selon les instructions, les koulaks, les criminels et les autres éléments antisoviétiques devaient être divisés en deux catégories. La première catégorie était destinée pour être fusillée, la deuxième pour être déportée aux camps de travail. Chaque catégorie avait des quotas définis par région. Pour la Biélarus, par exemple, le quota a été estimé à 2.000 personnes dans la première catégorie et 10.000 dans le deuxième. Ce qui fait un total de 12.000 éléments antisoviétiques. Les quotas étaient des estimations et, comme un principe, ne pouvaient pas être excédé sans l'approbation personnelle de Nikolaï Ivanovitch Iejov (1895-1940), surnommé
A NKVD-troika - НКВД тройка  - was a commission of three people employed as an additional instrument of extrajudicial punishment introduced to supplement the legal system with a means for quick punishment of anti-Soviet elements. The chairman of a NVDK-troika was, in general, the chief of the corresponding territorial subdivision of NKVD. The second member usually was the prosecutor of the republic, krai or oblast in question, and the third person was usually the Communist Party secretary of the corresponding regional level. The decisions of the troika were passed to the corresponding operational group that had to execute the punishment. Time and place of the executions had to be kept secret.
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En hoe is Woland, de «gastprofessor uit Duitsland,» in staat om de Moskovieten toe te spreken in hun moedertaal zonder waarneembaar accent (behalve als hij er zelf voor kiest om met een accent te spreken)?
Хотя кажется, что Воланд отвечает на вопрос серьезно и вдумчиво, Булгаков не скрывает сарказма. В своём дневнике от 9 августа 1924 года, он пишет, что в Москве добавили автобусов, но недостаточно. 20-21 декабря 1924 года он пишет: «Они работают над новой схемой движения... Но нет движения, потому что там нет трамваев. И это смешно, то есть только восемь автобусов для всей Москвы». Зная, как Булгаков проклинал систему общественного транспорта, можно представить себе, сколько сарказма скрыто в этих фразах. Воланд, который, говорит, что кажется, город изменился внешне (и, без сомнения, хвала власти, достигнувшей мелких улучшений в общественном транспорте), хотя на самом деле нет никаких существенных изменений к лучшему. Между тем, Григорий Римский бледнеет, он напряжен, он в страхе от предчуствия что Воланд может сказать.
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Priesters werden door de Roden op palen gespiesd, en Witte officieren werden kooien met ratten op het lichaam gebonden, die vervolgens verhit werden waardoor de ratten zich door de lichamen heen vraten. Klagers werden zonder pardon tegen de muur gezet.
The civil war was a very cruel one - on both sides. The Whites killed 100.000 Jews in organised pogroms. General Pyotr Nikolayevich Wrangel (1878-1928) executed Red officers to persuade their soldiers to join his army, while general Aleksandr Vasiliyevich Kolchak (1874-1920) in Omsk massacred a complete Red army. White cossacks dragged Red prisoners over the ground with lasso's, and they cooked guerrilla fighters in the kettles of locomotive engines. The reds had little to learn from them, they massacred complete villages. Priests were speared on poles, and on the bodies of White officers were tied cages with rats, the cages were then heated so that the rats gnawed their way through the bodies.
La guerre civile était très cruelle - des deux côtés. Les Blancs ont tué 100.000 Juifs dans des pogroms organisés. Le général Piotr Nikolaïevitch Wrangel (1878-1928) a exécuté des officiers Rouges pour persuader leurs soldats de rejoindre son armée, pendant que le général Alexandre Vassilievitch Koltchak (1874-1920) à Omsk a massacré une armée Rouge complète. Les cosaques Blancs ont traîné des prisonniers Rouges sur la terre avec des lassos et ont fait cuire des bagarreurs de guérilleros dans les chaudières de locomotives. Le Rouges avait peu à apprendre d'eux, ils ont massacré des villages complets. Les prêtres étaient empalés sur des pôles et sur les corps d'officiers Blancs étaient attachées des cages avec des rats, les cages ont alors été chauffées pour que les rats aient rongé leur voie par les corps.
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Soms gebruikt hij onbepaalde naamwoorden - «een burger kwam binnen en fluisterde iets», soms vage algemene begrippen - «één der Moskouse instellingen», soms werkwoorden zonder logische agens, met de suggestie dat de slachtoffers zelf de oorzaak waren van wat er gebeurde - «mensen begonnen spoorloos te verdwijnen», of «de derde dag vertrok Anna Frantsevna andermaal haastig naar haar datsja... Overbodig te zeggen dat zij niet terugkeerde!», soms beschreef hij een resultaat of een effect van wat er gebeurde zonder referentie naar de aanleiding - «hij werd bleek» of «de nieuweling fluisterde Pjatnazjko iets in het oor, waarop deze totaal ontredderd overeind kwam, en een seconde later stond Poplavski alleen in de bestuurskamer».
Boulgakov ne mentionne jamais la police secrète par son nom. Quel-quefois il a utilisé des périphrases indéterminées comme «un citoyen entra dans la salle et chuchota quelques mots», des descriptions générales vagues comme «tout un étage d’un établissement moscovite», ou quelque-fois des verbes sans agent logique, en suggérant que les victimes eux-mêmes étaient la cause de ce qui leur est arrivé comme dans «des gens disparaissaient de cet appartement sans laisser de traces», ou «Anna Frantzevna se rendit une fois de plus en hâte à sa maison de campagne... Est-il nécessaire de dire qu’elle ne revint pas?». Quelquefois il a décrit un résultat ou un effet de ce qui est arrivé sans faire allusion à la cause comme dans «l’homme assis pâlit derrière sa table» ou «l’intrus lui chuchota quelques mots à l’oreille. Aussitôt, dans un grand désarroi, il se leva de sa chaise, et, quelques secondes plus tard, Poplavski se retrouvait seul dans la salle déserte.»
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De vertalers moeten het niet altijd gemakkelijk hebben gehad. Wanneer de Meester aan Ivan vertelt dat hij «dezelfde jas aanhad, maar dan zonder knopen», dan weet de geïnformeerde lezer dat hij gearresteerd werd.
est ainsi une utilisation de mots ayant un sens innocent aux étrangers, mais très significatif pour les initiés ou ceux qui sont informés. La langue russe offre beaucoup de possibilités pour le faire et Boulgakov les utilise en abondance. Les traducteurs doivent avoir eu un travail de Romain. Quand le Maître dit à Ivan qu'il était «dans ce même manteau mais dont tous les boutons étaient arrachés», le lecteur informé sait qu'il avait été arrêté. Parce que dans l'Union soviétique de Staline les boutons des vêtements des gens arrêtés étaient détachés.
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in 2005. Want ook deze grafische roman kan je immers niet lezen zonder eerst de roman van Boelgakov gelezen te hebben. Wie het boek van Klimowski en Schejbal zonder voorkennis ter hand neemt, vraagt zich van in het begin af waar het eigenlijk over gaat.
Qu'est-ce que l'on peut dire encore sur ce livre ? Et bien... Klimowski et Schejbal semblent connaître assez bien la série télévisée de Vladimir Bortko de 2005, parce qu'ils présentent les scènes de Moscou en noir et blanc et les scènes bibliques en couleur, comme Bortko l'a fait. Les dessins en noir et blanc ne sont pas impressionnants, mais néanmoins mieux que les gouaches en couleur, qui sont peintes sans aucune profondeur.
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De historische Pilatus zou een onbuigzaam en meedogenloos harde natuur gehad hebben, zijn stadhouderschap werd gekenmerkt door corruptie, gewelddaden, mishandelingen, voortdurende terechtstellingen zonder veroordeling en grenzeloze wreedheid.
The historical Pilate would have been an inflexible and ruthlessly hard character, his rule was marked by corruption, violence, assaults, ongoing executions without convictions and limitless cruelty. Pilate had his residence in Caesarea Stratonova. In January he sent a garrison of soldiers to Jerusalem in winter quarters. Riots followed. Against his will Pilate returned to Jerusalem himself and stayed in the palace of Herod the Great, which inspired Bulgakov for writing the following dialogue between the man with the hood (Aphranius) and Pilate:
Le Pilate historique aurait été une personne inflexible et impitoyablement dure, son régime était marqué par la corruption, la violence, les attaques, les exécutions incessantes sans convictions et une cruauté illimitée. Pilate avait sa résidence à Césarée (Caesarea Stratonova). En janvier il avait envoyé une garnison de soldats à Jérusalem dans les quartiers d'hiver. Les émeutes en étaient le résultat. À contrecoeur Pilate est revenu à Jérusalem pour y résider dans le palais de Hérode le Grand, cequi a inspiré Boulgakov pour écrire le dialogue suivant entre l'homme avec le capuchon (Afranius) et Pilate:
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Soms gebruikt hij onbepaalde naamwoorden - «een burger kwam binnen en fluisterde iets», soms vage algemene begrippen - «één der Moskouse instellingen», soms werkwoorden zonder logische agens, met de suggestie dat de slachtoffers zelf de oorzaak waren van wat er gebeurde - «mensen begonnen spoorloos te verdwijnen», of «de derde dag vertrok Anna Frantsevna andermaal haastig naar haar datsja... Overbodig te zeggen dat zij niet terugkeerde!», soms beschreef hij een resultaat of een effect van wat er gebeurde zonder referentie naar de aanleiding - «hij werd bleek» of «de nieuweling fluisterde Pjatnazjko iets in het oor, waarop deze totaal ontredderd overeind kwam, en een seconde later stond Poplavski alleen in de bestuurskamer».
Boulgakov ne mentionne jamais la police secrète par son nom. Quel-quefois il a utilisé des périphrases indéterminées comme «un citoyen entra dans la salle et chuchota quelques mots», des descriptions générales vagues comme «tout un étage d’un établissement moscovite», ou quelque-fois des verbes sans agent logique, en suggérant que les victimes eux-mêmes étaient la cause de ce qui leur est arrivé comme dans «des gens disparaissaient de cet appartement sans laisser de traces», ou «Anna Frantzevna se rendit une fois de plus en hâte à sa maison de campagne... Est-il nécessaire de dire qu’elle ne revint pas?». Quelquefois il a décrit un résultat ou un effet de ce qui est arrivé sans faire allusion à la cause comme dans «l’homme assis pâlit derrière sa table» ou «l’intrus lui chuchota quelques mots à l’oreille. Aussitôt, dans un grand désarroi, il se leva de sa chaise, et, quelques secondes plus tard, Poplavski se retrouvait seul dans la salle déserte.»
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