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Keybot 10 Results  www5.agr.gc.ca
  Lacombe Research Centre...  
Improving the efficiency of forage-based beef production in the prairie Parkland vegetation zone of Canada
Amélioration de l'efficacité de l'élevage de bovins à base de fourrage dans la zone de végétation des prairies-parcs du Canada.
  Cimicifuga racemosa (L....  
is a native of eastern North America, occurring both in Canada and the US. In Canada it is native to a small portion of the Carolinian zone of Ontario, but is cultivated, and occasionally escapes outside of this region.
est indigène de l'est de l'Amérique du Nord, poussant à la fois aux États-Unis et au Canada. Au Canada, l'espèce ne pousse à l'état indigène que dans une petite partie de la zone carolinienne de l'Ontario, mais elle est cultivée à l'extérieur de cette zone et s'échappe parfois de culture. La plante est considérée comme rare au Canada.
  Geospatial Products - ...  
Class 3A climate rating is completely surrounded by class 2A, in south western Saskatchewan and south eastern Alberta and includes the cities of Drumheller, Lethbridge, Kindersley and Moose Jaw and reaches as far south as the Canadian border. This area is mostly the Brown soil zone of the Canadian prairies.
La classe 3A, qui est enclavée dans la classe 2A, dans le sud-ouest de la Saskatchewan et le sud-est de l'Alberta, comprend les villes de Drumheller, de Lethbridge, de Kindersley et de Moose Jaw, et s'étend vers le sud jusqu'à la frontière canado-américaine. Elle couvre surtout la zone de sols bruns des Prairies et comporte une petite zone centrale couverte également par la classe 2A et deux petites zones de la classe 4A.
  Stainless oat. - Agricu...  
Stainless had high kernel weight, intermediate percent plump kernels, intermediate percent thin kernels, and high levels of total dietary fibre. Stainless exhibited high yielding capacity in the eastern portion of the Black soil zone of western Canada where resistance to rust diseases is important.
Stainless est un cultivar d’avoine de printemps (Avena sativa L.) à balle grise qu’on croit porter le gène de résistance à la rouille couronnée Pc91, efficace contre les pathotypes courants de la rouille couronnée qui sévissaient dans les Prairies canadiennes au moment de son homologation. Stainless pourrait également porter un ou plusieurs des gènes de résistance à la rouille couronnée Pc38, Pc39 et Pc68 . Cette varié té se caracté rise par une très bonne résistance au charbon couvert et au charbon nu, par une bonne résistance aux races de la rouille de la tige présentes dans les Prairies (sans doute à cause des gènes Pg2, Pg13 et Pga) et par une tolérance modérée au virus du nanisme jaune de l’orge. Stainless a un poids d’amande élevé, un pourcentage moyen de grains charnus, un pourcentage moyen de grains minces et une concentration élevée de fibres alimentaires. Stainless présente un grand potentiel de rendement dans la partie est de la zone de sols noirs de l’Ouest canadien, ou` il est important de cultiver des varié tés résistantes à la rouille. L’homologation de Stainless a rec¸u l’appui du Prairie Grain Development Committee en fé vrier 2007. Stainless a été homologuée (n8 d’enregistrement 6422) le 7 avril 2008.
  CERBERUS, a novel U-box...  
CERBERUS expression was detected in the roots and nodules, and was enhanced after inoculation of Mesorhizobium loti. Strong expression was detected in developing nodule primordia and the infected zone of mature nodules.
L’infection des légumineuses par les bactéries endosymbiotes du genre Rhizobium se fait par des filaments d’infection qui se forment dans les poils racinaires et transportent les bactéries à l’intérieur des cellules des nodosités. En dépit des récents progrès accomplis dans l’élucidation du processus de reconnaissance symbiotique et de déclenchement des cascades de signalisation chez les légumineuses hôtes, les mécanismes moléculaires intervenant dans les processus d’infection par la bactérie et d’organogenèse des nodosités sont encore très peu connus. Nous avons isolé un nouveau mutant symbiote du Lotus japonicus, désigné cerberus, qui présente des anomalies dans la formation des filaments d’infection et dans l’organogenèse des nodosités. Grâce à un clonage cartographique du gène en cause, nous avons pu identifier le gène CERBERUS, qui code une nouvelle protéine à domaine U-box et à répétitions WD-40. L’expression de CERBERUS a été observée dans les racines et les nodosités et devenait plus importante après inoculation du Mesorhizobium loti. Une forte expression du gène a été observée dans les ébauches de nodosités et dans la zone infectée des nodosités complètement formées. Chez les mutants cerberus, les Rhizobium colonisaient l’extrémité des poils racinaires mais pénétraient à peine dans les cellules des poils. La plupart des quelques filaments qui se sont formés dans les cellules des poils racinaires ne traversaient pas l’épiderme. L’organogenèse des nodosités avortait prématurément, avec pour résultat la formation de nombreuses petites protubérances ne renfermant aucune bactérie endosymbiote. Nos analyses phénotypiques et génétiques et une comparaison avec d’autres mutants de légumineuses présentant des anomalies dans la formation des filaments d’infection montrent que CERBERUS joue un rôle essentiel dès les premières étapes de la formation des filaments d’infection ainsi que dans la formation et la différenciation des nodosités.
  Effects of input manage...  
Producers in the semi-arid Dark Brown Chernozemic (Typic Boroll) soil zone of the Canadian Prairie are contemplating changes to land-use practices, moving away from conventional high-input production systems that specialize in one or two annual grain crops to more diversified and extended cropping systems that use reduced-input and organic management practices.
Les producteurs de la zone de sol semi-aride chernozémique brun foncé (boroll typique) des Prairies canadiennes envisagent d’apporter certains changements à leurs pratiques d’utilisation des terres, en délaissant les systèmes de production classiques nécessitant beaucoup d’intrants qui sont axés sur une ou deux cultures céréalières par année pour se tourner vers des systèmes culturaux élargis et plus diversifiés permettant de réduire les intrants et de recourir à des pratiques de gestion biologiques. La présente étude porte sur les avantages économiques de neuf systèmes de culture, constitués d’une combinaison factorielle de trois méthodes de gestion des intrants et de trois niveaux de diversification des cultures. Elle a été menée de 1996 à 2007 sur un sol loameux à Scott, en Saskatchewan. Les traitements avec intrants appliqués ont été les suivants : 1) intrants élevés (IE), avec travail du sol classique et taux maximum recommandé d’engrais et de pesticides « au besoin »; 2) intrants réduits (IR), avec conservation du sol et gestion intégrée des mauvaises herbes et des éléments nutritifs afin de réduire les besoins en combustible, en engrais et en pesticides et 3) intrants biologiques (IB), avec travail du sol, lutte antiparasitaire non chimique, taux de semis élevés, ensemencement retardé et cultures de légumineuse pour la restitution des éléments nutritifs du sol. Les traitements de diversification des cultures suivants ont été évalués : 1) rotation faiblement diversifiée avec jachère (RFD); 2) rotation diversifiée avec céréales, oléagineuses et légumineuses à grains (RDGA) et 3) rotation diversifiée avec céréales annuelles et plantes fourragères vivaces (RDAV). Tous les essais ont duré 6 ans. Au coût de production et au prix des intrants de 2007, les avantages nets moyens et les valeurs actuelles nettes sur 12 ans étaient plus élevés pour les traitements biologiques que pour les autres types de traitements, le mode de diversification des cultures avec intrants biologiques et rotation faiblement diversifiée étant celui qui présentait le plus d’avantages (rendement net de 234 $ ha-1 an-1 et valeur actuelle nette de 1 953 $ ha-1). En moyenne, le rendement net était d’environ 10 % inférieur pour le traitement IB-RDGA en comparaison avec le système le plus avantageux, et d’environ 22 % inférieur pour les traitements IE-RDGA et IR-RDGA (les meilleurs systèmes non biologiques). Les traitements RDAV qui comprenaient des plantes fourragères n’ont pas rivalisé