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Keybot 225 Results  www5.agr.gc.ca  Page 10
  British Columbia - Agri...  
BC Greenhouse Growers Association
BC Greenhouse Growers Association (en anglais seulement)
  Lowery, Tom, Ph.D. - Ag...  
Member Research and Development Committee, BC Grape Growers' Association
Membre du comité de recherche et développement, BC Grape Growers' Association
  Kawchuk, Lawrence, Ph.D...  
Kawchuk, L.M. (2012). "Advances in potato pest management.", 54th Annual Horticulture Growers’ Short Course, Abbotsford, BC, Canada, January 26-28, 2012, pp. 2.
Kawchuk, L.M. (2012). « Advances in potato pest management. », 54th Annual Horticulture Growers’ Short Course, Abbotsford, BC, Canada, January 26-28, 2012, p. 2.
  Lowery, Tom, Ph.D. - Ag...  
Member of the BC Interior Minor Use Committee
Membre, BC Interior Minor Use Committee
  Pacific Agri-Food Resea...  
Agassiz location consists of 310 hectares, with a 7.5 hectare field site in Abbotsford, BC
L'installationd'Agassiz comprend 310 hectares, dont 7,5 hectares de champs à Abbotsford(Colombie-Britannique)
  Kawchuk, Lawrence, Ph.D...  
Kawchuk, L.M. (2010). "Potato Pest Management.", 52nd Annual Horticulture Growers’ Short Course, Abbotsford, BC, Canada, January 28-30, 2010, pp. 44.
Kawchuk, L.M. (2010). « Potato Pest Management. », 52nd Annual Horticulture Growers’ Short Course, Abbotsford, BC, Canada, January 28-30, 2010, p. 44.
  Cliff, Margaret, Ph.D. ...  
Cliff, M.A. (2010). "Exploring Urban Consumer Preferences for Apple Cultivars.", UBC Botanical Garden Apple Festival, Vancouver, BC, Canada, October 16-17, 2010.
Cliff, M.A. (2010). « Examen des préférences des consommateurs urbains en matière de cultivars de pomme. », UBC Botanical Garden Apple Festival, Vancouver, BC, Canada, October 16-17, 2010.
  Cliff, Margaret, Ph.D. ...  
Relating sensory and physio-chemical analyses: Evaluating anthocyanins, phenols and astringency in BC commercial red wines.
Lien entre les analyses sensorielles et physico-chimiques : évaluation des anthocyanines, des phénols et de l'astringence présents dans les vins rouges commerciaux de la Colombie-Britannique
  Bowen, Patricia, Ph.D. ...  
Ex Officio Member, BC Wine Grape Council
Membre d'office, BC Wine Grape Council
  British Columbia - Agri...  
BC Association of Farmers' Markets
BC Association of Farmers' Markets (en anglais seulement)
  Bakkeren, Guus, Ph.D. -...  
Adjunct Professor, Department of Botany, University of British Columbia, Vancouver, BC, Canada
Professeur auxiliaire, Département de botanique, Université de la Colombie-Britannique
  Pesticide Risk Reductio...  
Surrey, BC
Surrey (C.-B.)
  British Columbia - Agri...  
BC Landscape Nursery Association
BC Landscape Nursery Association (en anglais seulement)
  British Columbia - Agri...  
BC Cranberry Growers Association
BC Cranberry Growers Association (en anglais seulement)
  Resources - Price Pooli...  
Abbotsford, BC
Abbotsford, C-B
  Delta Farmland & Wildli...  
4690 Kirkland Road, Delta, BC
4690 Kirkland Road, Delta (Colombie-Britannique)
  Lowery, Tom, Ph.D. - Ag...  
Member of the BC, Ontario, and AAFC Grape Phytoplasma Working Groups.
Membre des groupes de travail de la phytoplasmose de la vigne de la Colombie-Britannique, de l'Ontario et d'AAC
  Industrial Hemp Statist...  
BC
C.-B.
  Distribution and Potent...  
Japanese knotweed (JK) is one of the most aggressive invasive plants known in the U.K., where its biology has been well-studied. It was introduced into Canada around 1900, but only recently has it become a serious concern in the province of British Columbia (BC).
L’espèce a été introduite au Canada vers 1900, mais ce n’est que récemment qu’elle est devenue préoccupante en Colombie-Britannique. Nous avons simulé les conditions climatiques des localités de la Colombie-Britannique pour lesquelles la renouée du Japon est répertoriée, y compris l’accumulation annuelle de degrés-jours et la moyenne annuelle des températures minimales, à l’aide du logiciel BioSIM, à partir des normales et des valeurs quotidiennes des variables météorologiques obtenues sur une longue période. Nous avons comparé les résultats avec les valeurs seuils publiées (degrés-jours = 2 505; température minimale = 30,2 °C; température de référence = 0 °C). En Colombie-Britannique, le seuil de degrés-jours est plus limitant pour la renouée du Japon que la température minimale moyenne (la superficie de la province propice à l’espèce est de 12,3 % si le calcul est fondé sur l’accumulation de degrés-jours, comparativement à 26 % s’il est fondé sur la moyenne des températures minimales). Nous avons établi un seuil de précipitations de 735 mm/année à partir de 95 % des stations connues de la renouée en Colombie-Britannique. Le meilleur modèle de régression logistique était celui qui tenait compte à la fois des degrés-jours et des précipitations annuelles; son efficacité de prédiction de la présence ou de l’absence de la renouée dépassait 97 %. À l’heure actuelle, la renouée du Japon occupe en Colombie-Britannique un peu plus de la moitié de la superficie de milieu qui lui est propice, ce qui signifie qu’elle pourrait encore envahir une superficie importante. À l’inverse, dans le sud de l’Ontario, la renouée du Japon était limitée davantage par la température minimale moyenne (superficie propice comprise entre 35 et 53 %), l’accumulation de degrés-jours et les précipitations annuelles n’étant pas limitantes pour l’espèce. Calculée à partir des normales pour la période de 1971 à 2000, la superficie du sud de l’Ontario qui est propice à l’espèce est de 35 %; si l’on tient compte des températures élevées enregistrées entre 2000 et 2008, cette proportion passe à 53 %. Une différence entre provinces quant aux seuils climatiques limitant la renouée du Japon pourrait se traduire par la sélection de différents génotypes de l’espèce, ce qui aurait des répercussions pour la lutte biologique puisque les différents génotypes n’auraient peut-être pas tous la même valeur comme hôte de l’agent de lutte employé. La cartographie des milieux propices à la renouée du Japon pe
  Diversity of non-native...  
Major ports on the east and west coasts, on Lake Erie and Lake Ontario are the main points of entry for exotic species directly introduced, and southern British Columbia (BC), Ontario (ON) and Québec (QC) are the major points of entry for species spreading from the USA.
Une liste des insectes et acariens phytophages non indigènes associés aux plantes ligneuses (arbres, arbustes, plantes grimpantes) au Canada a été établie d’après les données tirées de la littérature spécialisée et l’avis de taxinomistes. Les 419 espèces répertoriées incluent des Hémiptères (53 % de toutes les espèces), des Lépidoptères (22 %), des Coléoptères (13 %) et des Hyménoptères (9 %). Presque toutes ces espèces sont originaires de la zone paléarctique, en particulier d’Europe, ce qui reflète les tendances commerciales passées. Environ 41 % des espèces ont été introduites directement au Canada à partir de leur pays d’origine, tandis que les autres se sont dispersées à partir des États-Unis après s’y être établies initialement. Les principaux ports répartis le long des côtes de l’Atlantique et du Pacifique et des lacs Érié et Ontario sont les principaux points d’entrée des espèces exotiques directement introduites au Canada, tandis que le sud de la Colombie-Britannique, de l’Ontario et du Québec constitue le principal point d’entrée des espèces qui se propagent depuis les États-Unis. En conséquence, les plus fortes diversités d’espèces non indigènes sont observées en Colombie-Britannique, en Ontario, au Québec et en Nouvelle-Écosse, et les plus faibles, dans les provinces des Prairies et les territoires du Nord. Pour une espèce donnée, l’étendue de l’aire de répartition varie en fonction du temps écoulé depuis son introduction au Canada, du nombre d’introductions et de la capacité de dispersion de l’espèce. Presque tous les genres de plantes ligneuses indigènes du Canada ont été envahis par des phytophages exotiques. La vaste majorité des phytophages attaquent les angiospermes. De façon générale, ce sont les genres de plantes ligneuses les plus largement répartis, comportant le plus grand nombre d’espèces et les plus abondants à l’échelle locale, qui servent d’hôtes aux plus grands nombres d’espèces non indigènes. Parmi ceux-ci, mentionnons les genres Picea, Pinus, Malus, Prunus, Salix, Betula, Quercus, Pyrus et Populus. Le nombre d’introductions d’espèces au Canada s’est accru de la fin du XIXe siècle jusqu’à environ 1960, pour ensuite chuter rapidement. L’adoption de lois sur la quarantaine aux États Unis en 1912 et au Canada en 1976 semble avoir contribué à réduire le nombre d’invasions d’insectes.
  Salmon River Watershed ...  
The BC Ministry of Environment water quality monitoring sites are located at: McInnis Creek (in the western portion of the watershed), Falkland (around the centre of the watershed), at the Farm A site (close to Glenemma) and at Silver Creek (within the north west of the watershed).
Les limites du bassin hydrographique de la rivière Salmon, situé dans le centre-sud de la Colombie-Britannique. Le bassin hydrographique s'étend sur 1 500 kilomètres carrés. La carte indique le relief (à l'aide de l'altimétrie numérique), les routes locales, les autoroutes, les rivières et les municipalités. Deux zones distinctes sont mises en évidence sur la carte. Du côté gauche, dans la partie ouest du bassin hydrographique, la zone autour de Westwold est mise en évidence et identifiée comme étant la zone d'étude de l'EPBH en matière d'efficacité d'irrigation. Plus à droite, près de la limite est du bassin hydrographique, la zone d'étude sur la délimitation de la zone d'exclusion du bétail est mise en évidence. Cette zone d'exclusion du bétail comprend l'emplacement de trois fermes expérimentales de l'EPBH le long de la rivière, la ferme A est située à l'extrême ouest, la ferme B se trouve au nord-nord-ouest de la précédente et la ferme C est située au nord de la ferme B. Les emplacements de surveillance de la qualité de l'eau du ministère de l'Environnement de la Colombie-Britannique se trouvent à McInnis Creek (dans la partie ouest du bassin hydrographique), à Falkland (près du centre du bassin hydrographique), sur la ferme A (près de Glenemma) et à Silver Creek (dans le nord-ouest du bassin hydrographique). Un emplacement additionnel de surveillance (poste hydrométrique), exploité conjointement par le ministère de l'Environnement de la Colombie-Britannique et Environnement Canada, est indiqué à la décharge du bassin hydrographique, juste avant que la rivière Salmon se jette dans le lac Shuswap, à l'intersection de la route transcanadienne.
  Crop Profile for Raspbe...  
Janice Elmhirst, Elmhirst Diagnostics and Research, Abbottsford, BC.
Janice Elmhirst, Elmhirst Diagnostics and Research, Abbottsford (Colombie-Britannique).
  Salmon River Watershed ...  
The BC Ministry of Environment water quality monitoring sites are located at: McInnis Creek (in the western portion of the watershed), Falkland (around the centre of the watershed), at the Farm A site (close to Glenemma) and at Silver Creek (within the north west of the watershed).
Les limites du bassin hydrographique de la rivière Salmon, situé dans le centre-sud de la Colombie-Britannique. Le bassin hydrographique s'étend sur 1 500 kilomètres carrés. La carte indique le relief (à l'aide de l'altimétrie numérique), les routes locales, les autoroutes, les rivières et les municipalités. Deux zones distinctes sont mises en évidence sur la carte. Du côté gauche, dans la partie ouest du bassin hydrographique, la zone autour de Westwold est mise en évidence et identifiée comme étant la zone d'étude de l'EPBH en matière d'efficacité d'irrigation. Plus à droite, près de la limite est du bassin hydrographique, la zone d'étude sur la délimitation de la zone d'exclusion du bétail est mise en évidence. Cette zone d'exclusion du bétail comprend l'emplacement de trois fermes expérimentales de l'EPBH le long de la rivière, la ferme A est située à l'extrême ouest, la ferme B se trouve au nord-nord-ouest de la précédente et la ferme C est située au nord de la ferme B. Les emplacements de surveillance de la qualité de l'eau du ministère de l'Environnement de la Colombie-Britannique se trouvent à McInnis Creek (dans la partie ouest du bassin hydrographique), à Falkland (près du centre du bassin hydrographique), sur la ferme A (près de Glenemma) et à Silver Creek (dans le nord-ouest du bassin hydrographique). Un emplacement additionnel de surveillance (poste hydrométrique), exploité conjointement par le ministère de l'Environnement de la Colombie-Britannique et Environnement Canada, est indiqué à la décharge du bassin hydrographique, juste avant que la rivière Salmon se jette dans le lac Shuswap, à l'intersection de la route transcanadienne.
  Field application on Me...  
In British Columbia, root weevil adults are also becoming a problem as contaminants of harvested highbush blueberries and raspberries. There are very few chemical options for management of root weevils in Canada, and those products available (carbofuran, malathion, azinphos-methyl in BC) are of environmental concern.
Les insectes adultes de diverses espèces de charançon des racines (Coleoptera, Curculionidae, Entiminae) sont parthénogénétiques, très féconds et incapables de voler. Les larves se nourrissent de racines de plantes, ce qui cause des dommages économiques aux récoltes, notamment les conifères, les rhododendrons et azalées, les petits fruits et les raisins. Les insectes adultes hivernent souvent dans la végétation environnante et se déplacent depuis les extrémités jusqu'à l'intérieur des champs. Le charançon des racines est nuisible pour un certain nombre de récoltes de petits fruits au Canada, notamment les fraises, les bleuets et les framboises. Dans le cadre de la production de fraises partout au Canada, le charançon, même si on le considère souvent comme un ravageur occasionnel, peut atteindre des niveaux de population nécessitant la destruction du champ. En Colombie-Britannique, le charançon des racines adulte devient aussi un problème, car il contamine les bleuets cultivés et les framboises déjà récoltés. Il existe bien peu d'options chimiques permettant de contrôler le charançon des racines au Canada, et les produits offerts (le carbofuran, le malathion, l'azinphos-méthyl en C.-B.) sont causes d'inquiétudes environnementales. L'industrie des petits fruits doit, partout au Canada, trouver des produits à faible risque qui ciblent les larves. Des champignons insectivores comme le Metarhizium anisopliae et le Beauveria bassiana, constituent des agents de contrôle des insectes efficaces et sont homologués pour divers ravageurs de récoltes agricoles dans de nombreux pays de l'OCDE, notamment le charançon des racines. Nombre d'études ont montré que le Metarhizium anisopliae F52 (aussi connu sous les appellations 275-86 et Bio1020 en Europe) est très pathogène pour le charançon noir de la vigne et très efficace pour la culture de pépinières conteneurisée. D'autres isolats du M. anisopliae se sont montrés efficaces contre le charançon de la vigne dans les fraisiers. La société Novozymes Biologicals demande présentement l'homologation au Canada du produit Met52, insecticide commercial à base de M. anisopliae (souche F52). Ce produit est homologué aux États Unis pour le contrôle du charançon des racines dans des utilisations non alimentaires. Au cours du présent projet, on effectuera des essais d'efficacité sur le terrain afin d'étayer l'homologation du Met52 au Canada pour les cultures de petits fruits.
  Geospatial Products - ...  
BC Peace Region
Environnement Canada
  Diversity of non-native...  
Major ports on the east and west coasts, on Lake Erie and Lake Ontario are the main points of entry for exotic species directly introduced, and southern British Columbia (BC), Ontario (ON) and Québec (QC) are the major points of entry for species spreading from the USA.
Une liste des insectes et acariens phytophages non indigènes associés aux plantes ligneuses (arbres, arbustes, plantes grimpantes) au Canada a été établie d’après les données tirées de la littérature spécialisée et l’avis de taxinomistes. Les 419 espèces répertoriées incluent des Hémiptères (53 % de toutes les espèces), des Lépidoptères (22 %), des Coléoptères (13 %) et des Hyménoptères (9 %). Presque toutes ces espèces sont originaires de la zone paléarctique, en particulier d’Europe, ce qui reflète les tendances commerciales passées. Environ 41 % des espèces ont été introduites directement au Canada à partir de leur pays d’origine, tandis que les autres se sont dispersées à partir des États-Unis après s’y être établies initialement. Les principaux ports répartis le long des côtes de l’Atlantique et du Pacifique et des lacs Érié et Ontario sont les principaux points d’entrée des espèces exotiques directement introduites au Canada, tandis que le sud de la Colombie-Britannique, de l’Ontario et du Québec constitue le principal point d’entrée des espèces qui se propagent depuis les États-Unis. En conséquence, les plus fortes diversités d’espèces non indigènes sont observées en Colombie-Britannique, en Ontario, au Québec et en Nouvelle-Écosse, et les plus faibles, dans les provinces des Prairies et les territoires du Nord. Pour une espèce donnée, l’étendue de l’aire de répartition varie en fonction du temps écoulé depuis son introduction au Canada, du nombre d’introductions et de la capacité de dispersion de l’espèce. Presque tous les genres de plantes ligneuses indigènes du Canada ont été envahis par des phytophages exotiques. La vaste majorité des phytophages attaquent les angiospermes. De façon générale, ce sont les genres de plantes ligneuses les plus largement répartis, comportant le plus grand nombre d’espèces et les plus abondants à l’échelle locale, qui servent d’hôtes aux plus grands nombres d’espèces non indigènes. Parmi ceux-ci, mentionnons les genres Picea, Pinus, Malus, Prunus, Salix, Betula, Quercus, Pyrus et Populus. Le nombre d’introductions d’espèces au Canada s’est accru de la fin du XIXe siècle jusqu’à environ 1960, pour ensuite chuter rapidement. L’adoption de lois sur la quarantaine aux États Unis en 1912 et au Canada en 1976 semble avoir contribué à réduire le nombre d’invasions d’insectes.
  Distribution and Potent...  
Japanese knotweed (JK) is one of the most aggressive invasive plants known in the U.K., where its biology has been well-studied. It was introduced into Canada around 1900, but only recently has it become a serious concern in the province of British Columbia (BC).
L’espèce a été introduite au Canada vers 1900, mais ce n’est que récemment qu’elle est devenue préoccupante en Colombie-Britannique. Nous avons simulé les conditions climatiques des localités de la Colombie-Britannique pour lesquelles la renouée du Japon est répertoriée, y compris l’accumulation annuelle de degrés-jours et la moyenne annuelle des températures minimales, à l’aide du logiciel BioSIM, à partir des normales et des valeurs quotidiennes des variables météorologiques obtenues sur une longue période. Nous avons comparé les résultats avec les valeurs seuils publiées (degrés-jours = 2 505; température minimale = 30,2 °C; température de référence = 0 °C). En Colombie-Britannique, le seuil de degrés-jours est plus limitant pour la renouée du Japon que la température minimale moyenne (la superficie de la province propice à l’espèce est de 12,3 % si le calcul est fondé sur l’accumulation de degrés-jours, comparativement à 26 % s’il est fondé sur la moyenne des températures minimales). Nous avons établi un seuil de précipitations de 735 mm/année à partir de 95 % des stations connues de la renouée en Colombie-Britannique. Le meilleur modèle de régression logistique était celui qui tenait compte à la fois des degrés-jours et des précipitations annuelles; son efficacité de prédiction de la présence ou de l’absence de la renouée dépassait 97 %. À l’heure actuelle, la renouée du Japon occupe en Colombie-Britannique un peu plus de la moitié de la superficie de milieu qui lui est propice, ce qui signifie qu’elle pourrait encore envahir une superficie importante. À l’inverse, dans le sud de l’Ontario, la renouée du Japon était limitée davantage par la température minimale moyenne (superficie propice comprise entre 35 et 53 %), l’accumulation de degrés-jours et les précipitations annuelles n’étant pas limitantes pour l’espèce. Calculée à partir des normales pour la période de 1971 à 2000, la superficie du sud de l’Ontario qui est propice à l’espèce est de 35 %; si l’on tient compte des températures élevées enregistrées entre 2000 et 2008, cette proportion passe à 53 %. Une différence entre provinces quant aux seuils climatiques limitant la renouée du Japon pourrait se traduire par la sélection de différents génotypes de l’espèce, ce qui aurait des répercussions pour la lutte biologique puisque les différents génotypes n’auraient peut-être pas tous la même valeur comme hôte de l’agent de lutte employé. La cartographie des milieux propices à la renouée du Japon pe
  Distribution and Potent...  
Japanese knotweed (JK) is one of the most aggressive invasive plants known in the U.K., where its biology has been well-studied. It was introduced into Canada around 1900, but only recently has it become a serious concern in the province of British Columbia (BC).
L’espèce a été introduite au Canada vers 1900, mais ce n’est que récemment qu’elle est devenue préoccupante en Colombie-Britannique. Nous avons simulé les conditions climatiques des localités de la Colombie-Britannique pour lesquelles la renouée du Japon est répertoriée, y compris l’accumulation annuelle de degrés-jours et la moyenne annuelle des températures minimales, à l’aide du logiciel BioSIM, à partir des normales et des valeurs quotidiennes des variables météorologiques obtenues sur une longue période. Nous avons comparé les résultats avec les valeurs seuils publiées (degrés-jours = 2 505; température minimale = 30,2 °C; température de référence = 0 °C). En Colombie-Britannique, le seuil de degrés-jours est plus limitant pour la renouée du Japon que la température minimale moyenne (la superficie de la province propice à l’espèce est de 12,3 % si le calcul est fondé sur l’accumulation de degrés-jours, comparativement à 26 % s’il est fondé sur la moyenne des températures minimales). Nous avons établi un seuil de précipitations de 735 mm/année à partir de 95 % des stations connues de la renouée en Colombie-Britannique. Le meilleur modèle de régression logistique était celui qui tenait compte à la fois des degrés-jours et des précipitations annuelles; son efficacité de prédiction de la présence ou de l’absence de la renouée dépassait 97 %. À l’heure actuelle, la renouée du Japon occupe en Colombie-Britannique un peu plus de la moitié de la superficie de milieu qui lui est propice, ce qui signifie qu’elle pourrait encore envahir une superficie importante. À l’inverse, dans le sud de l’Ontario, la renouée du Japon était limitée davantage par la température minimale moyenne (superficie propice comprise entre 35 et 53 %), l’accumulation de degrés-jours et les précipitations annuelles n’étant pas limitantes pour l’espèce. Calculée à partir des normales pour la période de 1971 à 2000, la superficie du sud de l’Ontario qui est propice à l’espèce est de 35 %; si l’on tient compte des températures élevées enregistrées entre 2000 et 2008, cette proportion passe à 53 %. Une différence entre provinces quant aux seuils climatiques limitant la renouée du Japon pourrait se traduire par la sélection de différents génotypes de l’espèce, ce qui aurait des répercussions pour la lutte biologique puisque les différents génotypes n’auraient peut-être pas tous la même valeur comme hôte de l’agent de lutte employé. La cartographie des milieux propices à la renouée du Japon pe
  Comparing fossil CO  
Québec greenhouse crops had the lowest CO2 emission intensity and the least difference with trucking CO2 emissions, while BC greenhouse crops had the highest CO2 emission intensity and the most difference with trucking CO2 emissions.
Les émissions de CO2 attribuables à la combustion de combustibles fossiles et à la consommation d’énergie de l’industrie canadienne de la culture de légumes en serre ont été évaluées à l’aide des statistiques compilées sur cette industrie de 2002 à 2007. Les émissions de CO2 issues de la combustion de combustibles fossiles ont été comparées à celles émises durant le transport par camion et par avion d’un poids égal de produits alimentaires de deux centres de production horticole dans le sud des États-Unis jusqu’à quatre emplacements au Canada. Le présent article inclut les calculs de l’utilisation d’énergie pour le chauffage de l’industrie canadienne de la culture en serre qui ont été validés à l’aide des données d’enquête sur l’utilisation d’énergie dans des exploitations agricoles recueillies auprès d’exploitants de serre en 1996. En procédant à des extrapolations jusqu’en 1996 à partir de la période de 2002‑2007, les données d’enquête ont été sous‑estimées de 12 %. Comme les données d’enquête n’ont pas été corrigées pour tenir compte d’une utilisation possible d’énergie domestique par les exploitants de serre, on s’attendait à ce que les calculs sous‑estiment l’énergie thermique. Les émissions de CO2 associées à l’utilisation de combustibles fossiles dans les serres au Canada s’élevaient à 0,35 Mt. Cette estimation est environ deux fois plus élevée que les émissions de CO2 attribuables au carburant diesel utilisé pour transporter, du sud au nord, une quantité de légumes d’un poids semblable, mais elle est légèrement inférieure à la moitié des émissions de CO2 liées au transport par avion de la même quantité de légumes. Au Québec, les cultures en serre présentaient l’intensité d’émissions de CO2 la plus basse et l’écart le plus mince avec les émissions de CO2 associées au transport par camion, contrairement à la Colombie Britannique, où les cultures en serre affichaient l’intensité d’émissions de CO2 la plus élevée et l’écart le plus prononcé avec les émissions de CO2 issues du transport par camion. L’étude a mis en évidence le potentiel de certaines mesures d’atténuation des émissions de CO2, dont les carburants de remplacement, tels que les granulés de paille ou les copeaux de bois, les biogaz et les déchets urbains combustibles et non recyclables provenant des installations de traitement des déchets municipaux ou des systèmes de stockage de fumier. L’atténuation de la perte d’énergie thermique pourrait exiger l’isolation des conduites de chauffage de
  Characteristics of stra...  
Such bioreactor-derived tissue culture (BC) plantlets obtained from sepal explants were grown ex vitro and compared with those propagated by tissue culture on gelled medium (GC) and by conventional runner cuttings (RC), for growth, morphology, anthocyanin content, and antioxidant activity after three growth seasons.
Nous avons établi un protocole reproductible standard pour la régénération de plantules entières de fraisier (Fragaria ananassa Duch.) « Bounty » au moyen d’une combinaison de milieu gélifié et de système à bioréacteur. Les sépales, les disques foliaires et les demi-pétioles ont produit des bourgeons et des pousses multiples lorsque nous les avons mis en culture pendant 4 semaines sur un milieu gélifié semi-solide renfermant 4 µM de thidiazuron (TDZ) puis pendant encore 4 semaines dans un milieu liquide renfermant 2 µM de TDZ, dans un système à bioréacteur. L’utilisation de seulement 0,1 µM de TDZ dans le bioréacteur induisait également une prolifération des pousses, mais elle inhibait leur élongation. Nous avons ensuite cultivé les pousses in vitro sur milieu gélifié renfermant 2 µM de zéatine, afin qu’elles allongent et produisent des racines. Nous avons cultivé ex vitro les plantules obtenues à partir d’explants de sépale par culture tissulaire en bioréacteur (CTB) et les avons comparées à celles obtenues par culture tissulaire sur milieu gélifié (CTG) ou par la méthode classique faisant appel à des boutures de stolons (BS), quant à la croissance et à la morphologie des plantes ainsi qu’à la teneur en anthocyanes et à l’activité antioxydante des fruits au bout de trois saisons de culture. Les plants CTB et CTG ont produit plus de touffes, de stolons, de feuilles et de fruits que les plants BS, mais le poids total de fruits par plant ne présentait aucune différence significative. Les fruits des plants CTB et CTG avaient une teneur en anthocyanes et une activité antioxydante plus élevées que les plants BS. Par ailleurs, une épreuve au moyen de marqueurs ISSR (intersimple sequence repeat) a révélé que les plants obtenus par culture tissulaire et les plants donneurs témoins présentaient un profil d’amplification homogène, ce qui confirme la fidélité clonale des plants issus du microbouturage. La culture in vitro sur milieux nutritifs renfermant du TDZ et de la zéatine semble avoir induit un taux de ramification juvénile favorisant une meilleure croissance végétative ainsi que la production d’un plus grand nombre de touffes, de stolons, de feuilles et de fruits.
  AgriStability and AgriI...  
BC Livestock Drought Assistance Program (LDAP) Federal Portion
Programme pilote de protection contre les marges négatives (Colombie-Britannique)
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