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  euro|topics - Medias: A...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	Other media apply themselves exclusively to the topic of Europe in order to reach a transnational public. What is special about these transnational media?
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	D'autres médias se consacrent exclusivement au sujet européen afin d'atteindre un public transnational. Quelles sont les particularités des médias transnationaux ?

  euro|topics - Andrej Ch...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	To Belarusian poet Andrei Chadanovich, the fight between Russia and Belarus has its positive side: "We never notice some of our bodily organs - the small, unessential ones - unless they hurt. That is more or less what is happening in Western Europe: Suddenly it realizes there is a small country that can cause a lot of problems: Belarus. Of course, western Europe knew about this place before: a place defined by a certain lack of democracy and with 'the last dictator of Europe.' But should that be of any concern to us western Europeans? Not at all. And the dictator does not bother us either. It's just not our problem. Russia should cope with its 'little brother.' But now it is clear that this is not at all only a 'special Russian' problem. It's like a fight between hooligans, when the bystander gets caught up in the thrashing. The mutual Russian-Belarusian extortion is nothing other than a brawl between rioters. And every European who used to think that 'the EU is a world unto itself' is bearing the brunt."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Le poète biélorusse Andreï Chadanovitch juge positivement le différend opposant la Russie à la Biélorussie. "Nous ne prêtons jamais attention à certains organes de notre corps, les petits, ceux qui ne sont pas essentiels à la vie, sauf lorsqu'ils nous font mal. C'est un peu ce qui s'est produit en Europe occidentale. Elle a brutalement pris conscience qu'il y avait là un petit pays qui lui donnait bien du tracas : la Biélorussie. Bien entendu, ce pays n'était pas totalement inconnu... Il faut dire qu'il n'est pas particulièrement démocratique, et qu'il y règne le 'dernier dictateur d'Europe'. Mais en quoi cela nous intéresse-t-il, nous, les Européens de l'Ouest ? En rien. Et ce dictateur ne nous dérange pas non plus. Ce n'est pas notre problème. La Russie doit venir à bout de 'ses petits frères'. Il s'avère toutefois que ces problèmes 'spécifiquement russes' ne sont finalement pas si russes que cela. Cela revient un peu à se faire blesser pendant une bagarre opposant des hooligans, uniquement parce qu'on se trouve là. Le conflit entre Russes et Biélorusses n'est rien de plus qu'une bagarre entre voyous. Et elle a précisément touché ces Européens qui pensaient jusqu'alors : l'UE, c'est une toute autre histoire !"
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Der weißrussische Dichter Andrej Chadanowitsch gewinnt dem Streit zwischen Russland und Weißrussland auch Positives ab: "Viele Organe unseres Körpers, die kleinen, nicht lebenswichtigen, bemerken wir nie - außer wenn sie wehtun. Etwa so geht es gerade Westeuropa: Plötzlich bekommt es mit, dass es da ein kleines Land gibt, das ihnen eine Menge Scherereien macht: Weißrussland. Natürlich wussten einige schon früher von diesem Ort, in dem ein gewisses Demokratiedefizit und der 'letzte Diktator Europas' herrschen. Aber was interessiert das uns - Westeuropäer? Gar nicht. Und der Diktator stört uns auch nicht. Sind alles nicht unsere Probleme. Soll Russland mit seinen 'kleinen Brüdern' fertig werden. Nun aber zeigt sich, dass die 'speziell russischen' Probleme gar nicht nur russisch sind, so wie bei einer Schlägerei unter Hooligans jemand etwas abkriegt, der nur danebensteht. Die gegenseitige russisch-weißrussische Erpressung ist ja nichts anderes als eine Schlägerei unter Randalierern. Und es bekommen genau jene Europäer etwas ab, die bislang dachten: Die EU, das ist ein ganz anderer Stern!"

  euro|topics - Nabila Ra...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	Marine Le Pen should not be underestimated, warns the left-liberal daily The Guardian: "What is inescapable is that the current thrust of French politics is towards the right. President Nicolas Sarkozy, who last year instigated a national identity debate aimed at making people feel proud about their Gallic culture, is as aware as anyone that the 15% of voters who support the FN will prove crucial at the 2012 presidential elections. There has even been talk of a coalition between the FN and his ruling UMP party. Marine's strategic guile will be crucial to the contest. Those who write her off as pampered 'daughter-of' will, in the months and years ahead, be unpleasantly surprised."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Jean-Marie Le Pen, le vieux leader du Front National (FN), a remis ce week-end les rênes du parti d'extrême droite à sa fille. Il ne faut pas sous-estimer Marine Le Pen, met en garde le quotidien de centre-gauche The Guardian : "Ce qui est inéluctable, c'est l'actuelle poussée à droite de la politique française. Le président Nicolas Sarkozy, lequel a initié l'année dernière un débat sur l'identité nationale destiné à promouvoir la fierté des Français pour leur culture gauloise, est comme tout le monde conscient du fait que les 15 pour cent d'électeurs du FN seront déterminants pour les élections présidentielles de 2012. On a même évoqué l'éventualité d'une coalition entre le FN et le parti au pouvoir, l'UMP. L'habileté stratégique de Marine sera cruciale pour ce scrutin. Ceux qui la négligent en la qualifiant de 'fille à papa gâtée' risquent d'être désagréablement surpris au cours des prochains mois et des prochaines années."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Der greise Jean-Marie Le Pen hat am Wochenende den Vorsitz seiner rechtsradikalen Partei Front National (FN) an seine Tochter übergeben. Marine Le Pen ist nicht zu unterschätzen, warnt die linksliberale Tageszeitung The Guardian: "Es gibt derzeit einen Rechtsruck in der französischen Politik, dem nicht ausgewichen werden kann. Präsident Nicolas Sarkozy, der im vergangenen Jahr eine Debatte über nationale Identität angestiftet hatte, die darauf ausgerichtet war, den Stolz der Bürger auf ihre gallische Kultur zu wecken, weiß so gut wie jeder andere, dass die 15 Prozent der Wähler, die die FN unterstützen, bei den Präsidentschaftswahlen 2012 das Zünglein an der Waage sein werden. Es hat bereits Koalitionsgespräche zwischen der Regierungspartei UMP und der FN gegeben. Marines listige Strategie wird in dem Wettkampf entscheidend sein. Diejenigen, die sie als das 'verwöhnte Töchterchen von' abtun, werden in den kommenden Monaten und Jahren eine unangenehme Überraschung erleben."

  euro|topics - Jean-Bapt...  

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In an interview conducted by Jean-Baptiste Marongiu, the German sociologist and essayist Wolf Lepenies, who has just published a book called 'What is a European intellectual ?', explains that there is no such thing.

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Dans une interview menée par Jean-Baptiste Marongiu, le sociologue et essayiste allemand Wolf Lepenies, qui vient de publier 'Qu'est qu'un intellectuel européen ?' explique que celui-ci n'existe pas réellement. "A proprement parler, il n'y a d'intellectuels que français, britanniques, allemands, etc., mais il y a aussi quelque chose qui les lie en les différenciant, pour l'instant, du reste du monde, au sens où ils partagent la même idée de l'individu et de la liberté. Cet espace correspond en gros à ce qu'on appelle l'Ouest, l'Occident. (...) Laissons les différences exister, c'est très important. Pour moi, le véritable danger est que le nationalisme, que l'on a essayé de chasser de l'Europe des nations, resurgisse à l'échelle européenne. Une politique de l'esprit européen non eurocentriste prend acte que l'Europe n'est plus le continent qui donne la direction au monde entier. L'européanisation du monde, c'est fini ­ peut-être même à cause de son grand succès, puisqu'elle est désormais partout. Il faut réaliser qu'il y a maintenant d'autres centres."

  euro|topics - Main focus  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	Enrico Letta may enjoy Napolitano's trust but he lacks the courage to introduce genuine reforms, the conservative daily Frankfurter Allgemeine Zeitung comments: "He's approaching the upcoming negotiations with all the authority of someone who enjoys the full trust of the president. But will that be enough to lead for an entire legislature period a government which is determined to do what is necessary and has a majority in the Chamber of Deputies and the Senate to do just that? In his first statement, Letta has already distanced himself from a policy of austerity, as if Italy only had to spend more money for unemployment to disappear. The country is experiencing its longest recession in 20 years. In such a situation, a prime minister who's the same age as Cameron in Britain and Rutte in the Netherlands should have more to offer than the traditional social democratic fare. Courage, for example." (25/04/2013)
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Enrico Letta bénéficie de la confiance de Napolitano, mais il n'aura pas le courage d'entreprendre de vraies réformes, critique le quotidien conservateur Frankfurter Allgemeine Zeitung : "Dans les négociations à venir, il interviendra avec l'autorité de celui qui dispose de la confiance du président. Mais cela suffira-t-il à mener, pendant toute la législature, un gouvernement résolu à faire le nécessaire et obtenir pour cela la majorité de la chambre et du Sénat ? Lors d'un premier discours, Letta a déjà pris ses distances de l'austérité, comme si l'Italie devait seulement dépenser plus d'argent pour que le chômage disparaisse rapidement. L'Italie connaît la plus longue récession depuis 20 ans, et un chef de gouvernement du même âge que le Britannique Cameron et que le Néerlandais Rutte devrait avoir plus à offrir qu'une soupe sociale-démocrate. Du courage notamment." (25.04.2013)
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Letta genießt das Vertrauen Napolitanos, ihm fehlt aber der Mut für echte Reformen, kritisiert die konservative Frankfurter Allgemeine Zeitung: "In die kommenden Verhandlungen geht er mit der Autorität desjenigen, der das Vertrauen des Präsidenten genießt. Aber wird das reichen, um über die gesamte Legislaturperiode eine Regierung zu führen, die das Notwendige zu tun entschlossen ist und die dafür Mehrheiten in Kammer und Senat bekommt? In einer ersten Äußerung rückte Letta schon einmal von einer Politik des Sparens ab, so als ob Italien nur mehr Geld ausgeben müsste, und die Arbeitslosigkeit würde schnell verschwinden. Italien erlebt die längste Rezession seit zwanzig Jahren, da sollten gerade ein Regierungschef, der so alt ist wie der Brite Cameron und der Niederländer Rutte, mehr anzubieten haben als sozialdemokratische Hausmannskost. Mut etwa." (25.04.2013)

  euro|topics - Annamária...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	Economist Annamária Artner explains in the left-liberal daily Népszabadság the economic shortcomings of the Eurozone: "What is at stake here is the 'European Dream', or in other words the existence of the single currency. The latter ... leaves countries that are having difficulties (like Greece) no means to influence the economic processes with their own financial policy. This wouldn't be a problem if we were talking about a community of states in which the members were all at a high stage of development and in which all the market's control mechanisms (for example interest policy) were the same. But the Eurozone is far from conforming to this ideal."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Die Ökonomin Annamária Artner erläutert in der linksliberalen Tageszeitung Népszabadság die wirtschaftlichen Mängel der Eurozone: "Was auf dem Spiel steht, ist der 'europäische Traum', also die Existenz der gemeinsamen Währung. Diese ... gibt jenen Ländern, die Probleme haben (etwa Griechenland), keine Möglichkeit, um mit einer eigenen Geldpolitik auf die Wirtschaftsprozesse einzuwirken. Dies wäre nur dann kein Problem, wenn von einer Staatengemeinschaft die Rede wäre, in der die Mitglieder auf einem gleich hohen Entwicklungsniveau wären und in der alle elementaren Lenkungsmechanismen des Marktes (zum Beispiel die Zinspolitik) dieselben wären. Die Eurozone entspricht indes keineswegs diesem Idealbild."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	W dzienniku Népszabadság ekonomistka Annamária Artner naświetla gospodarcze wady strefy euro: "Stawką w grze jest 'europejski sen', a więc istnienie wspólnej waluty. Ta ... nie daje krajom, które mają problemy (tak, jak Grecja), możliwości wpływania na procesy gospodarcze za pomocą własnej polityki pieniężnej. Nie stanowiłoby to problemu, jeśli dotyczyłoby to wspólnoty państw, której członkowie byliby na podobnym poziomie rozwoju i w której wszystkie podstawowe mechanizmy kierowania rynkiem (np. polityka dyskontowa) byłyby takie same. Strefa euro w żadnym wypadku nie odpowiada temu ideałowi."

  euro|topics - George Ra...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	For the daily Adevărul this exposes above all the ignorance of many Romanians: "What is basically bad about the public uproar over witches who have cheated B-list celebrities out of a lot of money? Well: only a minority of the viewers see it as at all absurd for the so-called professionals of the witchcraft profession to be presented on television - at peak viewing times! By contrast the uneducated masses see only that above all footballers, photo models and supposed businessmen use the services of these performers of magic. ... School can't protect the Romanians from their own stupidity."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	De nombreuses chaînes de télévision roumaines évoquent actuellement la profession de devin et astrologue, considérée depuis le début de l'année en Roumanie comme une catégorie socioprofessionnelle reconnue. Plusieurs personnalités reprochent à certains devins professionnels d'encaisser plusieurs centaines de milliers d'euros. Pour le quotidien Adevărul, cela révèle en premier lieu l'inculture de nombreux Roumains : "Si des astrologues ont escroqué de grosses sommes d'argent à des célébrités de seconde zone et que cela suscite un tollé, quel est au juste le problème ? Seule une minorité de téléspectateurs juge ridicule que les soi-disant devins professionnels soient présentés, et ce, en prime-time. Les gens peu éduqués remarqueront seulement que ce sont surtout les footballeurs, les mannequins et de prétendus hommes d'affaires qui s'offrent les services des astrologues. … L'école ne peut pas protéger les Roumains de leur propre bêtise."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Viele rumänische TV-Sender berichten derzeit über die Arbeit von Hexen und Hellsehern, die seit Jahresanfang in Rumänien als anerkannte Berufsgruppe gelten. Mehrere Prominente werfen einigen diesen Zauberprofis vor, sie um mehrere hunderttausend Euro gebracht zu haben. Für die Tageszeitung Adevărul offenbart das in erster Linie die Unbildung vieler Rumänen: "Was ist eigentlich schlecht an der öffentlichen Aufregung über die Hexen, die zweitklassigen Promis auf betrügerische Weise viel Geld abgeknöpft haben? Nun: Nur eine Minderheit der Zuschauer findet es lächerlich, wenn die angeblichen Profis unter den Zauberinnen präsentiert werden - und das zur besten Sendezeit. Die Ungebildeten werden hingegen nur merken, dass vor allem Fußballer, Fotomodels und angebliche Geschäftsmänner die Hexendienste in Anspruch nehmen. ... Die Schule kann die Rumänen eben nicht vor eigener Dummheit schützen."

  euro|topics - Immanuel ...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	"The excuses given by [Spanish theologian] Sepúlveda, in the 16th century, to justify conquering Indian land [In South America] are, word for word, the same as those given today for what is termed interference. ... Sepúlveda's arguments are the following: the others are barbarians, we have to protect the innocents (massacred by the barbarians) - the constant justification for all kinds of interference-and, finally, universalism and supposedly universal values must be given free circulation. At the time, it was a question of the evangelisation and expansion of Christianity. Today the values are 'freedom and democracy'. But actually this is the same thing".
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Le sociologue américain Immanuel Wallerstein doute que liberté et démocratie soient des valeurs universelles. Interrogé par Olivier Doubre, il avance que leur promotion relève d'une forme d'impérialisme : "Les justifications que donnait [le théologien espagnol] Sepúlveda, au XVIe siècle, pour justifier les conquêtes des terres des Indiens [d'Amérique du Sud] sont, presque mot pour mot, les mêmes utilisées pour la colonisation, et qui sont données de nos jours pour ce qu'on appelle l'ingérence. (…) Les arguments de Sepúlveda étaient les suivants : les autres sont des barbares, il nous faut protéger les innocents (que les barbares massacrent) - justification constante de toutes les ingérences- et, enfin, il faut permettre la diffusion de l'universalisme, de valeurs supposées universelles. A l'époque, il s'agissait de l'évangélisation et de l'expansion de la chrétienté. Aujourd'hui, ces valeurs sont 'la liberté et la démocratie'. Mais c'est en fait la même chose."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Der amerikanische Soziologe Immanuel Wallerstein bezweifelt, dass Freiheit und Demokratie universelle Werte sind. Im Gespräch mit Olivier Doubre bezeichnet er ihre Propagierung als Form des Imperialismus: "Der spanische Theologe Sepúlveda rechtfertigte im 16. Jahrhundert die Eroberung indianischen Lands [in Südamerika] nahezu mit den gleichen Worten, mit denen man später den Kolonialismus rechtfertigte und womit man heutzutage 'Einflussnahme' für richtig erklärt... Die Argumente Sepúlvedas waren folgende: Die anderen sind Barbaren, wir müssen die Unschuldigen schützen (die von den Barbaren umgebracht werden). Jede Art der Einflussnahme wird so gerechtfertigt. Außerdem müssen wir vor allem dazu beitragen, den Universalismus beziehungsweise die vermeintlich universellen Werte zu verbreiten. Damals ging es um die Missionierung und die Verbreitung des Christentums. Heute heißen die Werte 'Freiheit und Demokratie'. Aber letztlich handelt es sich um das gleiche Prinzip."

  euro|topics - Alo Raun  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	Estonia is debating what is the best approach to take to tackle rising alcohol consumption. So far with little success, the daily Postimees criticises: "One day there are proposals to close stands selling alcohol, the next alcohol advertising is to be banned. There are those who favour issuing special licenses to sell alcohol or introducing drinks with a lower alcohol content. Of course it is a good thing that action is being taken to do something about alcohol abuse, for Estonia has a major problem here compared with other countries. But the fact is sometimes overlooked that campaigns of this kind can also have negative consequences. If, for example, you restrict alcohol sales in small shops, that would spell ruin for some shops in rural areas, so that people there would no longer be able to buy bread or milk either. Too stringent restrictions might also encourage an increase in black-market sales of alcohol."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Le débat est ouvert en Estonie pour trouver les mesures appropriées permettant de lutter contre la consommation d'alcool croissante. Il s'est avéré peu productif jusqu'à présent, critique le quotidien Postimees : "On a proposé de fermer les points de vente d'alcool, puis d'interdire les campagnes publicitaires sur l'alcool. D'autres propositions ont été faites, prévoyant la délivrance de licences spécifiques pour la vente d'alcool ou la commercialisation de boissons à faible teneur en alcool. C'est bien sûr une bonne chose de prendre des mesures actives pour lutter contre l'abus d'alcool, car l'Estonie a effectivement un gros problème à ce niveau par rapport aux autres pays. Mais en même temps, on oublie souvent que de telles campagnes peuvent avoir des effets négatifs. Par exemple, la vente d'alcool dans les petits commerces sera restreinte, ce qui signifie la faillite pour certains magasins du pays, et l'impossibilité pour les habitants d'acheter du pain ou du lait. Des restrictions trop strictes peuvent, en outre, entraîner une augmentation du marché noir."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Estland debattiert über eine geeignete Vorgehensweise gegen den steigenden Alkoholkonsum. Bislang mit wenig Erfolg, kritisiert die Tageszeitung Postimees: "Mal wird vorgeschlagen, Alkoholverkaufsstände zu schließen, dann wiederum soll die Alkoholwerbung verboten werden. Weitere Vorschläge sehen die Vergabe spezieller Lizenzen für den Alkoholverkauf oder die Einführung von Getränken mit geringerem Alkoholgehalt vor. Natürlich ist es schön, dass aktiv gegen den Alkoholmissbrauch vorgegangen wird, denn Estland hat hier im Vergleich mit anderen Ländern ein großes Problem. Aber dabei wird oft übersehen, dass solche Kampagnen auch negative Auswirkungen haben können. Wird beispielsweise der Alkoholverkauf in kleinen Läden eingeschränkt, bedeutet das für manche Geschäfte auf dem Land das Aus, sodass die Menschen dort auch kein Brot und keine Milch mehr kaufen können. Zu strikte Beschränkungen können außerdem zu einem Anstieg des Schwarzhandels führen."

  euro|topics - Rosa Mont...  

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"At last I understand what is going on in this country: grumpiness, clearly primitive ferocity, the stifling magma of irrationality, the insults, the moaning and permanent anger. It is not because of a nefarious sociological and cultural heritage, it is simply because we don't get enough sleep. Everyone knows how the Spanish are proud of being insomniacs, of dining late and going out all night long. Pleased with ourselves we laugh at the 'tourists' who wonder how we manage to sleep. Well now we have an answer for them: we don't manage. And that is why we are a furiously excessive population."

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Une récente étude universitaire américaine sur les méfaits dus au manque de sommeil inspire une réflexion amusée à la chroniqueuse espagnole Rosa Montero. "Je comprends enfin ce qui se passe dans ce pays : la mauvaise humeur, la férocité clairement primitive, le magma d'irrationalité qui nous étouffe, les insultes, la rouspétance et la colère permanente. Ce n'est pas à cause d'un héritage sociologique et culturel qui serait chargé de mauvaises intentions, c'est simplement parce que nous ne dormons pas assez. Tout le monde sait que les Espagnols sont fiers d'être insomniaques, de dîner à pas d'heure et de sortir toute la nuit. Contents de nous, nous rigolons de ces 'touristes' qui se demandent comment nous faisons pour dormir. Et bien nous avons maintenant la réponse : nous n'y arrivons pas. Et c'est pour cela que nous sommes un peuple excessif et rageur."

  euro|topics - Pampos Ka...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	Pampos Kaskanis analyses what is at stake in the legislative elections to be held on Sunday, May 21, "the first elections in a European Cyprus". ... » more
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Pampos Kaskanis analyse l'enjeu des législatives qui auront lieu dimanche 21 mai, les "premières élections d'une Chypre européenne". La campagne a notamment porté sur la ... » suite

  euro|topics - Philippe ...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	Philippe Ricard asks what is Europe's political role
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Philippe Ricard s'interroge sur le rôle politique de l'Europe

  euro|topics - Daniel Ve...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	What is Macedonia called?
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Comment s'appelle la Macédoine ?

  euro|topics - Palle Weis  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	Tomorrow, what is being referred to as the great newspaper war will begin in Denmark. The country already has two free newspapers, but now Denmark's ... » more
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Morgen beginnt in Dänemark das, was viele seit Monaten als den großen Zeitungskrieg bezeichnen. Zwei Gratiszeitungen gibt es im Land bereits, nun starten die beiden ... » mehr

  euro|topics - Ariane va...  

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Ariane van Caloen considers that "this crisis is worrying because it shows that banks still don't know what is on their balance sheets, credulously placing their trust in the often too flattering assessments that evaluating agencies give to debtors and different financial products. Long gone is the time when a banker had a clear idea of who the final borrower was. In today's world, liquidity is conveyed through countless opaque vehicles that seem to escape any surveillance. How can it be possible that numerous financial institutions, always on the lookout for higher returns, took so many risks without anyone sounding the alarm bell? This question is no doubt being asked within surveillance organisations without any answer being provided."

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Ariane van Caloen findet die Krise beunruhigend. "Sie zeigt, dass die Banken ihre eigenen Bilanzen nicht immer kennen. Ihr Umgang mit den oft zu positiven Einschätzungen der Rating-Agenturen von Schuldnern oder anderen Finanzprodukten zeugt von Gutgläubigkeit. Lang ist es her, dass ein Banker seinen endgültigen Kreditnehmer wirklich kannte. Heutzutage wird Liquidität durch eine Menge undurchsichtiger Finanzvehikel, die sich jeder Kontrolle zu entziehen scheinen, gesichert. Wie sonst ist es möglich, dass zahlreiche Finanzinstitutionen, immer auf der Suche nach der höchstmöglichen Rendite, so hohe Risiken eingehen, ohne dass jemand Alarm geschlagen hätte? Bei den zuständigen Kontrollinstanzen stellt man sich diese Frage mit Sicherheit, ohne jedoch eine Antwort zu haben."

  euro|topics - Nigel And...  

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"What is it with Berlin Film Festival juries ? At the end of every recent Berlinale, I have felt as if I were trapped in the final reel of 'The Cabinet of Dr Caligari'. Mad people in authority are making mad decisions and telling me it is on my behalf. Does the best film ever win at Berlin ? No. At the Potsdamerplatz Clinic for the Seriously Potty, tough love demands that the Golden Bear goes to the wrong movie each February. This year it went to the wrong Chinese movie, while the runner-up Grand Jury Prize and Best Actor Bear both went to an Argentinian film slaughtered by every critic. ... Happily, for 10 of the Berlinale's 11 days, we could enjoy the event without giving a cuss about prizes. We could follow our instincts, which for a critic are always more reliable than a jury's."

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Der britische Filmkritker Nigel Andrews beschwert sich über die Preisvergabe bei der Berlinale. "Was ist nur los mit den Berlinale-Jurys? Am Ende der Berlinale habe ich mich stets gefühlt, als sei ich in das 'Kabinett des Dr. Caligari' geraten. Verrückte Leute, ausgestattet mit Autorität, treffen verrückte Entscheidungen und wollen glauben machen, es sei zu meinem Besten. Hat in Berlin je der beste Film gewonnen? Nein. In der Potsdamer-Platz-Klinik für ernsthaft Bekloppte geht der Goldene Bär jeden Februar an den Falschen. Dieses Jahr ging er an den falschen chinesischen Film. Und der Große Preis der Jury und der Film für den besten Darsteller gingen an jenen argentinischen Film, den alle Kritiker extrem schlecht fanden... Zum Glück konnten wir zehn der elf Berlinale-Tage genießen, ohne auf die Preise schimpfen zu müssen. Wir konnten unserem Instinkt folgen, und der ist für einen Kritiker immer verlässlicher ist als der einer Jury."

  euro|topics - Wolf Lepe...  

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Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Der deutsche Soziologe Wolf Lepenies meint, dass es den europäischen Intellektuellen nicht wirklich gibt. "In Wirklichkeit gibt es nur französische, britische, deutsche Intellektuelle. Aber es ... » mehr

  euro|topics - Politics  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	Who's saying what » Is France falling behind?
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Suivre les débats » La France à la traîne ?
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Debatten verfolgen » Verliert Frankreich den Anschluss?

  euro|topics - George-He...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	What is the right immigration policy for Europe?
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Welche Einwanderungspolitik braucht Europa?

  euro|topics - Nicolas R...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	The new revelations by the Internet platform Wikileaks are unhelpful and weaken diplomacy, writes the left-liberal daily Süddeutsche Zeitung: "What is the higher interest in ... » more
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Les nouvelles révélations de la plate-forme Internet Wikileaks n'apportent rien et affaiblissent la diplomatie, écrit le quotidien de centre-gauche Süddeutsche Zeitung : "Où est donc ... » suite

  euro|topics - François ...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	"It is difficult to guess what is going to be changed by the fourth global report on climate change delivered under the patronage of the ... » more
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	"Difficile de deviner ce que le quatrième rapport mondial sur le climat, sous le patronage de l'ONU, va changer. En revanche, une chose est certaine, ... » suite

  euro|topics - Ariane va...  

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Ariane van Caloen stresses the fact that "this scandal is showing up what is lacking in fiscal guidelines for savings capital ... . The 2005 text stipulates the exchange of information between member states on the savings revenue of non-residents. But EU countries that practice banking secrecy (Belgium, Luxembourg, Austria), as well as European tax havens beyond the EU, such a Liechtenstein, have managed not to take part ... . It seems obvious that this text negotiated ... at a time when the EU only had 15 member states, is not an efficient tool for fighting fraud. First of all, it does not cover a series of revenues such as share dividends or other products created to dodge the directive. Secondly, it does not concern physical individuals. This explains the blossoming of foundations and all sorts of structures tat can be found in Liechtenstein and elsewhere."

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Für Ariane Caloen zeigt "der Steuerskandal die Lücken in den EU-Regeln zur Zinsbesteuerung... Der Text von 2005 sieht einen Informationsaustausch zwischen Mitgliedstaaten über die Zinserträge von Ausländern vor. Aber jene EU-Länder, die das Bankgeheimnis respektieren (Belgien, Luxemburg, Österreich), haben, genau wie die Steueroasen außerhalb der EU wie Liechtenstein, erreicht, dass sie davon ausgenommen sind... Es liegt auf der Hand, dass diese Direktive..., die aus einer Zeit stammt, als die EU nur 15 Mitglieder zählte, heute kein effizientes Mittel mehr darstellt, um Steuerbetrug zu bekämpfen. Erstens deckt sie bestimmte Arten von Einkommen nicht ab, zum Beispiel Dividenden aus Aktien oder andere Maßnahmen, die eigens dafür geschaffen wurden, diese EU-Regelung zu umgehen. Zweitens trifft sie nicht auf natürliche Personen zu. Darum gedeihen in Liechtenstein oder anderswo Stiftungen oder ähnliche Strukturen so gut."

  euro|topics - Meir Marg...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	"When Israel withdrew its troops from Lebanon in 1999, it believed Hizbollah was going to lay down its arms. The Israelis did not understand that the organisation was fighting not only for the withdrawal from Lebanon, but also for Israel's retreat from the Occupied Territories. ... What is happening in the land of the Cedar and in Gaza are so intimately linked that there will be no peace on the northern border as long as there is no peace in Gaza and the West Bank. For having failed to understand this, Israel has become embroiled in a new wave of violence from which it cannot emerge triumphant; not because it lacks the military force needed to conquer, but because no one can emerge a winner from such a war."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Meir Margalit, membre du mouvement pacifiste israélien 'La Paix Maintenant', estime qu'Israël s'est laissé entraîner par le Hezbollah dans la spirale de la violence. "Quand Israël a retiré ces troupes du Liban en 1999, il a cru que le Hezbollah allait abandonner les armes. Les Israéliens n'ont pas compris que l'organisation ne combattait pas seulement pour le retrait du Liban, mais aussi pour le retrait d'Israël des territoires occupés. (...) Les événements au pays du cèdre et à Gaza sont si intimement liés qu'il n'y aura pas d'apaisement à la frontière nord tant que la situation ne s'apaisera pas à Gaza et en Cisjordanie. Pour n'avoir pas compris cela, Israël s'est engagé dans une nouvelle vague de violence dont elle ne peut pas sortir triomphante ; non pas parce qu'elle n'a pas la puissance militaire nécessaire pour vaincre, mais parce que personne ne peut sortir gagnant d'une telle guerre."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Meir Margalit, Mitglied der israelischen Friedensbewegung, ist der Ansicht, dass sich Israel von der Hisbollah in eine Spirale der Gewalt hat locken lassen. "Als Israel 1999 seine Truppen aus dem Libanon abzog, glaubte es, die Hisbollah würde den bewaffneten Kampf aufgeben. Die Israelis haben nicht verstanden, dass die Organisation nicht nur für den Rückzug aus dem Libanon kämpfte, sondern auch für den Rückzug Israels aus den besetzten Gebieten... Die Ereignisse im Libanon und im Gazastreifen sind so eng miteinander verbunden, dass es keine Beruhigung an der Grenze im Norden geben wird, solange im Gazastreifen und im Westjordanland keine Ruhe einkehrt. Israel hat das nicht verstanden und sich neu in Gewalt gestürzt, aus der es nicht siegreich hervorgehen wird: Nicht, weil es nicht die für einen Sieg nötige militärische Macht hätte, sondern weil aus einem solchen Krieg niemand als Sieger hervorgeht."

  euro|topics - Christoph...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	Geert Wilders, head of the Dutch Freedom Party (PVV, far-right) has triggered a debate in the Netherlands around wheter or not to broadcast his anti-muslim film. "Constitutional law is supposed to draw borders between what is right and what is wrong in normal human behaviour", writes Christopher Caldwell.
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Geert Wilders, qui se trouve à la tête du Parti de la Liberté (PVV, extrême droite) a suscité une polémique aux Pays-Bas en annonçant la diffusion un film contre l'islam. Christopher Caldwell se demande s'il faut interdire un tel film. "La loi constitutionnelle est supposée tracer des frontières entre ce qui est juste et ce qui est mal dans le comportement humain normal. (...) Des provocations délibérées qui visent à franchir de telles limites sont parfois des actes de mauvaise foi. (...) Aucun droit n'est inconcevable et aucune tradition n'est trop sacrée pour ne pas être remise en question. De telles affaires sont artificielles mais la loi qu'elles engendrent est bien réelle. M. Wilders est devenu une sorte de croque-mitaine pour la bonne société néerlandaise. Ce ne devrait pas être ainsi. Cette tentative parfaitement légale lui permet de tester avec malice les limites, comme le font les libertaires quand ils veulent accélérer le changement social face à un électorat hostile et indifférent."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Christopher Caldwell schreibt über die niederländische Debatte zu dem Koran-kritischen Film des rechtspopulistischen Politikers Geert Wilders (PVV) - der bislang nicht gezeigt wurde. "Die Verfassung sollte eine klare Grenze ziehen, was Menschen dürfen und was nicht... Inszenierte Provokationen sind dazu da, diese Grenzen zu verschieben, aber sie geschehen manchmal auch als Akte bösen Willens... Es gibt kein Recht und keine Tradition, die zu ehrwürdig wären, um sie nicht auf die Probe zu stellen. Solche Fälle sind künstlich, aber die Gesetze, die aus ihnen folgen, sind real. Wilders ist derzeit der Buhmann der feinen niederländischen Gesellschaft. Das sollte er nicht sein. Sein Versuch ist legal. Er scheint mutwillig die Grenzen austesten zu wollen - so wie es Libertäre immer getan haben, wenn sie angesichts einer indifferenten oder ablehnenden Wählerschaft sozialen Wandel vorantreiben wollen."

  euro|topics - Politics  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	The liberal daily expresses surprise at all the praise for Lithuania the occasion prompted: "An oasis and a lighthouse of progress, stability and northern prosperity in Europe - this is the picture of our paradise painted by the entire political elite of the EU, including the reserved Germans. ... One can understand why the politicians are telling this fairytale. The states leading the EU urgently need [in times of crisis] a new political mythology, a 'success story'. ... What is incomprehensible however is that virtually all the media sang the same tune. Hardly any mention was made of the other side of the medallion - the emigration, poverty, unemployment, public debt, shadow economy, growing social gaps, stagnation and provincialism. Or of the dark side of Grybauskaitė's biography and personality." (13/05/2013)
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	La présidente lituanienne, Dalia Grybauskaitė, a reçu le 9 mai à Aix-la-Chapelle le prix Charlemagne 2013. Le quotidien libéral Lietuvos rytas s'étonne des louanges faites à l'endroit de la Lituanie : "Une oasis et un phare du progrès, de la stabilité et de la prospérité nordique en Europe. C'est en ces termes que l'ensemble de l'élite politique européenne a dépeint notre paradis, y compris les Allemands, d'ordinaire si réservés. ... Mais on comprend pourquoi les politiques racontent ce genre de fables. Les Etats qui gouvernent l'UE [en ces temps de crise] sont en mal de mythologie politique ; il leur faut de toute urgence une 'success story'. ... Ce qui est plus difficile à comprendre, c'est pourquoi presque tous les médias ont seriné la même mélodie. Tout en faisant l'impasse sur le revers de la médaille, à savoir l'émigration, la pauvreté et le chômage, la dette publique, l'économie souterraine, le fossé qui se creuse dans la société, le marasme et le provincialisme, sans oublier les zones d'ombre de la biographie et de la la personnalité de Grybauskaitė. (13.05.2013)
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Litauens Präsidentin Dalia Grybauskaitė hat am Donnerstag in Aachen den Karlspreis 2013 erhalten. Die liberale Tageszeitung Lietuvos rytas wundert sich über die Loblieder, die aus diesem Anlass auf Litauen angestimmt werden: "Eine Oase und ein Leuchtturm des Fortschritts, der Stabilität und des nördlichen Wohlstands in Europa - dieses Bild von unserem Paradies hat die ganze politische Elite der EU gemalt, sogar die zurückhaltenden Deutschen. ... Man kann noch verstehen, warum die Politiker diese Zaubermärchen erzählen. Die führenden EU-Staaten brauchen [in Krisenzeiten] dringend eine neue politische Mythologie, eine 'Erfolgsgeschichte'. ... Nicht zu begreifen ist jedoch, warum die Medien quasi alle das Gleiche geflötet haben. Über die andere Seite der Medaille - Emigration, Armut, Arbeitslosigkeit, Staatsverschuldung, Schattenwirtschaft, immer größer werdende soziale Differenzen, Stagnation und Provinzialismus - sowie über die Schattenseiten der Biografie und der Persönlichkeit von Grybauskaitė wurde kaum gesprochen." (13.05.2013)

  euro|topics - Philip Wi...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	Europe urgently needs to free itself from the stranglehold of the Greeks, the conservative news magazine Elsevier warns: "No one wants an escalation of the crisis. ... But the direction things are now taking won't lead anywhere. The Greeks are being rewarded even though they don't deserve it. And again and again they have demonstrated that this is what they want. ... What is required is resolute action. Ireland needed an emergency loan from Europe and the IMF after the credit crunch. Once it had it the country took drastic measures to clean up its public finances and the banking sector. The direct consequences were painful for the country and included a high level of unemployment. But now Ireland is recovering. ... European politicians would do well to force Greece to clean up its act - otherwise they mush give up on the euro. Trapped in this perpetual stranglehold, Europe can't make any progress."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Le gouvernement grec a annoncé dimanche ne pas pouvoir remplir à temps les conditions fixées par le Fonds monétaire international. L'Europe doit enfin se libérer de l'étau grec, demande le magazine d'information conservateur Elsevier : "Personne ne souhaite une escalade totale de la crise. … Mais vu la tournure actuelle des évènements, cela ne va pas bien se passer. Les Grecs se voient félicités alors qu'ils n'aboutissent à rien. Ils ne cessent pourtant de dire qu'ils en sont capables. … Pour cela, il faut se mettre à la tâche. Après la crise du crédit, l'Irlande a eu besoin d'un crédit d'urgence de l'Europe et du FMI. Le pays s'est ensuite résolument retroussé les manches en se lançant dans l'assainissement des finances publiques et du secteur bancaire. Les conséquences directes ont été douloureuses pour le pays, avec notamment un chômage élevé. Mais l'Irlande va mieux aujourd'hui. … Les politiques européens font bien de contraindre rigoureusement la Grèce à assainir son économie - ils devront sinon abandonner l'euro. Cette interminable prise en étau n'est pas un progrès."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Die griechische Regierung hat am Sonntag bekannt gegeben, die vom Internationalen Währungsfonds gestellten Auflagen nicht rechtzeitig zu erfüllen. Europa muss sich endlich aus dem Würgegriff der Griechen befreien, fordert das konservative Nachrichtenmagazin Elsevier: "Keiner will eine totale Eskalation der Krise. ... Aber so wie es jetzt läuft, wird es nicht gutgehen. Die Griechen werden belohnt, obwohl sie es nicht schaffen. Und immer wieder zeigen sie, dass sie das mögen. ... Dabei hilft Anpacken. Irland brauchte nach der Kreditkrise auch einen Notkredit von Europa und dem IWF. Das Land hat daraufhin knallhart eingegriffen, indem es die Staatsfinanzen und den Bankensektor sanierte. Die direkten Folgen waren schmerzlich für das Land, unter anderem eine hohe Arbeitslosigkeit. Aber inzwischen geht es Irland besser. ... Europas Politiker tun gut daran, Griechenland knallhart zum Sanieren zu zwingen - oder sie müssen den Euro als gescheitert aufgeben. Dieser endlose Würgegriff ist kein Fortschritt."

  euro|topics - Papadopou...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	This has angered Turkish Prime Minister Recep Tayyip Erdoğan, which according to the conservative Greek-Cypriot daily Simerinini reveals the true face of Turkey: "What is happening or will happen in the occupied areas creates ... the right conditions for us to turn to our EU partners and the international community. ... We have proof of the true intentions of Turkey and its dark plans. Now is the time to tell those who claim to be so concerned about the rights of the Turkish Cypriots who are the perpetrators and who are the victims in Cyprus. We should remind them that ... the Turkish occupation is the common enemy of Greek Cypriots and Turkish Cypriots alike. ... Turkey, a country on its way to becoming an EU member, should not be allowed to get off scot-free."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	La réduction prévue de l'aide financière turque à Chypre-Nord a entraîné de grandes manifestations dans la partie occupée de Nicosie fin janvier. L'accès de colère du Premier ministre turc Recep Tayyip Erdoğan contre les manifestants chypriotes turcs montre le véritable visage de la Turquie, écrit l'eurodéputée Antigoni Papadopoulou dans le quotidien conservateur chypriote-grec Simerini : "Ce qui se produit ou qui se produira dans les territoires occupés crée à mon avis des conditions appropriées pour nous adresser à nos partenaires européens et à la communauté internationale. ... Nous avons des preuves du véritable rôle de la Turquie, de ses intentions et de ses sombres desseins. C'est désormais le moment idéal pour dire à tous ceux qui se soucient soi-disant des droits des Chypriotes turcs qui sont les coupables et qui sont les victimes à Chypre. Nous devrions leur rappeler que l'ennemi commun des Chypriotes grecs et des Chypriotes turcs est la poursuite de l'occupation turque. … La Turquie, un pays sur la voie de l'adhésion à l'UE, ne peut pas s'en sortir impunément."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Die geplanten Kürzungen von Finanzhilfen der Türkei für den türkischen Teil Zyperns haben Ende Januar zu Großdemonstrationen im Nordteil der zyprischen Hauptstadt Nikosia geführt. Das wiederum hat den türkischen Premier Recep Tayyip Erdoğan erzürnt und das zeigt nach Ansicht der EU-Parlamentarierin Antigoni Papadopoulou in der konservativen griechisch-zyprischen Tageszeitung Simerini das wahre Gesicht der Türkei: "Was in den besetzten Gebieten passiert oder passieren wird, schafft die geeigneten Bedingungen um uns an unsere EU-Partner und die internationale Gemeinschaft zu wenden. … Wir haben Beweise für die wahren Absichten der Türkei und ihre dunklen Pläne. Jetzt ist der geeignete Zeitpunkt um all denjenigen, die sich angeblich so um die Rechte der Zyperntürken sorgen, zu sagen, wer die Täter und wer die Opfer auf Zypern sind. Wir sollten sie daran erinnern, dass … der gemeinsame Feind der Zyperngriechen und der Zyperntürken die türkischen Besatzer sind. ... Die Türkei, ein Land auf dem Weg in die EU, darf nicht ungeschoren davonkommen."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Planowane cięcia tureckiej pomocy finansowej dla tureckiej części Cypru były powodem ogromnych protestów na początku stycznia. Demonstracje miały miejsce w północnej części Nikozji. Rozgniewało to premiera Turcji Recepa Tayyipa Erdoğana. Według europosłanki Antigoni Papadopoulou odsłania to prawdziwe oblicze Turcji. Komentarz Papadopoulou zamieszcza konserwatywny grecko-cypryjski dziennik Simerini: "To, co dzieje się lub dopiero będzie działo na okupowanych terenach, stanowi wystarczający powód, byśmy mogli zwrócić się do naszych europejskich partnerów i wspólnoty międzynarodowej. ... Mamy dowody na rzeczywiste zamiary Turcji i na jej podstępne plany. Teraz nadszedł właściwy moment, by wszystkim, którzy podobno tak bardzo troszczą się o prawa cypryjskich Turków, uświadomić, kto tu jest ofiarą, a kto sprawcą. Powinniśmy przypomnieć im, że ... wspólny wróg greckich i tureckich Cypryjczyków to turecki najeźdźca. ... Nie może to ujść na sucho Turcji, krajowi znajdującemu się na drodze do UE."

  euro|topics - Antón Cos...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	Neo-liberal economic policy is holding sway even after the 2008 financial crisis, the Spanish economists Antón Costas and Xosé Carlos Arias note with surprise in the left-liberal daily El País, hoping it will soon come to an end: "It's surprising to see what is happening with economic conservatism. Although many had expected the 2008 crisis to be its doom, like a phoenix it has risen from the ashes and is defining our countries' economic policies - now under the guise of 'austerity policy'. Given that the crisis seemed to be the chance progressive politics had been waiting for to regain control after two decades of conservative rule, this swift comeback is an intriguing fact. ... With any luck the doctrine of austerity will turn out to be the swansong of economic conservatism before it is pushed aside by a new 'New Deal' between politics and the markets. There are many reasons to hope this is the case."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	La politique économique néolibérale continue de dominer même après la crise financière de 2008, s'étonnent les économistes espagnols Antón Costas et Xosé Carlos Arias dans le quotidien de centre-gauche El País, en espérant sa fin prochaine : "Il est étonnant de voir ce qui se produit avec le conservatisme politico-économique. Beaucoup pensaient que la crise de l'année 2008 lui avait été fatale. Mais il a su renaître, comme le phénix de ses cendres, pour déterminer la politique économique de nos pays. Il se présente aujourd'hui sous le nom de 'politique d'austérité'. Quand on songe que la crise est apparue comme une occasion de redonner l'avantage à la politique progressive après deux décennies de suprématie conservatrice, force est de constater que cette résurrection est préoccupante. … Espérons que la politique d'austérité marque le chant du cygne de la politique économique conservatrice avant que celle-ci ne soit supplantée par un nouveau 'New Deal' entre politique et marchés. Il y a de nombreuses raisons d'entretenir un tel espoir."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Die neoliberale Wirtschaftspolitik setzt sich auch nach der Finanzkrise von 2008 weiter durch, wundern sich die spanischen Wirtschaftswissenschaftler Antón Costas und Xosé Carlos Arias in der linksliberalen Tageszeitung El País und hoffen auf das baldige Ende: "Es ist erstaunlich, was mit dem wirtschaftspolitischen Konservatismus geschieht. Viele glaubten, dass ihm durch die Krise im Jahr 2008 bereits die Todesurkunde ausgestellt wurde. Nun ist er wieder auferstanden, wie Phönix aus der Asche, um die Wirtschaftspolitik unserer Länder zu bestimmen. Jetzt tritt er unter dem Namen der 'Sparpolitik' auf. Wenn wir bedenken, dass die Krise als Möglichkeit erschien, dass die progressive Politik nach zwei Jahrzehnten der konservativen Vorherrschaft wieder das Ruder übernehmen könnte, ist diese rasche Wiederauferstehung eine beunruhigende Tatsache. ... Hoffen wir, dass die Sparpolitik nur der Schwanengesang der konservativen Wirtschaftspolitik ist, bevor diese von einem neuen 'New Deal' zwischen Politik und Märkten verdrängt wird. Es gibt viele Gründe dafür, darauf zu hoffen."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Mimo kryzysu finansowego w 2008 r. neoliberalna polityka gospodarcza nadal jest kontynuowana, stwierdzają ekonomiści Antón Costas i Xosé Carlos Arias w lewicowo-liberalnym dzienniku El País. Costas i Arias wyrażają nadzieję, że wkrótce się to zmieni: "To, co dzieje się z konserwatyzmem gospodarczym, jest doprawdy zadziwiające. Wiele osób uważało, że kryzys w 2008 r. był dla niego równoznaczny z wyrokiem śmierci. Konserwatyzm ekonomiczny odrodził się jednak niczym Feniks z popiołów i nadal decyduje o naszej polityce gospodarczej. Teraz nazywany jest 'polityką oszczędnościową'. Jeśli uwzględnimy, że kryzys stanowił okazję do tego, aby po dwóch dziesięcioleciach dominacji konserwatyzmu do głosu doszła polityka postępowa, to takie szybkie zmartwychwstanie jest niepokojące. ... Miejmy nadzieję, że polityka oszczędnościowa jest łabędzim śpiewem konserwatywnej polityki gospodarczej i zniknie, zanim wyprze ją 'new deal' między politykami a rynkami. Wiele jest powodów, aby żywić taką nadzieję."

  euro|topics - Alo Raun  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	Alo Raun plays down the fears of the Estonians in the daily Postimees: "Why do almost all Estonians start getting in a flap as soon as the topic of ethnicity comes up? Why are all experts immediately stamped as traitors just for making new suggestions as to what is beneficial to Estonia and the Estonians? Why do we never try to tackle such questions seriously? No doubt it has to do with the Estonians' well-known fear of dying out, and the related continual fight for survival. ... The result is that unlike Western Europeans, we are far more afraid of being outdone by our neighbours. And on an abstract level, we fear that our biggest neighbour [Russia] will come and occupy Estonia, or that the Russians living in Estonia will turn our country into a second Russia. These fears may well have their origin in the Soviet era, because similar patterns can generally also be seen in other post-communist states. But it is no solution just to blame Stalin for all of today's problems in Estonia."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	En Estonie, le débat sur un processus de naturalisation plus simple pour les mineurs agite les esprits. Dans le quotidien Postimees, Alo Raun estime que les peurs des Estoniens sont exagérées : "Pourquoi les Estoniens paniquent-ils dès qu'il est question de nationalité ? Pourquoi les experts sont-ils immédiatement tous qualifiés de traîtres lorsqu'ils élaborent de nouvelles propositions sur ce qui serait profitable à l'Estonie et aux Estoniens ? Pourquoi n'essayons-nous pas d'abord de nous pencher sur ces idées ? Cela vient probablement de la peur bien connue des Estoniens de disparaître liée, dans leurs esprits, à une la lutte permanente pour la survie. … Nous avons beaucoup plus peur que les Européens occidentaux d'être moins forts que le voisin [de la maison d'à côté]. Et sur un plan plus abstrait, nous avons peur que le grand voisin [la Russie] vienne et occupe notre pays, ou bien que les Russes vivant en Estonie en fassent une deuxième Russie. Il est possible que ces craintes aient été causées par l'ère soviétique, car dans l'ensemble, on peut observer ce modèle également dans d'autres Etats postcommunistes. Mais reprocher à Staline tous les problèmes de l'Estonie d'aujourd'hui n'est pas une solution."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	In Estland sorgt eine Debatte über die vereinfachte Einbürgerung von Minderjährigen für Aufregung. Alo Raun hält in der Tageszeitung Postimees die Ängste der Esten für übertrieben: "Warum geraten fast alle Esten sofort in Aufregung, sobald es um die Frage der Volkszugehörigkeit geht? Warum werden alle Experten umgehend als Verräter abgestempelt, wenn sie neue Vorschläge erarbeiten, was für Estland und die Esten vorteilhaft ist? Warum versuchen wir gar nicht erst, uns mit diesen Ideen auseinanderzusetzen? Vermutlich ist es die altbekannte Angst der Esten vor dem Aussterben und der damit verbundene ständige Kampf ums Überleben. … Anders als die Westeuropäer haben wir darum viel mehr Angst davor, dem Nachbarn [im Haus nebenan] unterlegen zu sein. Und auf einer abstrakteren Ebene befürchten wir, dass der große Nachbar [Russland] kommt und Estland besetzt oder dass die in Estland lebenden Russen uns zu einem zweiten Russland machen. Möglicherweise wurden diese Ängste auch durch die Sowjetzeit verursacht, denn im Großen und Ganzen ist dieses Muster auch in anderen postkommunistischen Staaten festzustellen. Aber es ist keine Lösung, alle Probleme im Estland von heute immer nur Stalin anzulasten."

  euro|topics - Economy  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	The liberal business daily Jornal de Negócios calls for the matter to be cleared up as quickly as possible: "This case raises many questions that the current government, former politicians and company managers must answer. ... Whenever taxpayers' money is used for doing business the results are very strange. What is particularly bizarre is that those who waste the tax money almost always get off scot-free. It's not enough to begin renegotiating with the banks that palmed off these products [toxic swaps] on companies that didn't need them. The government must find out as quickly as possible who did what and why. This case must not go down in history as yet another grotesque episode, worthy of a banana republic that simply buries public money in the sand." (29/04/2013)
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Le gouvernement portugais a dévoilé la semaine dernière des modèles de financement hautement spéculatifs au sein de sociétés publiques de transport. Il redoute désormais la formation d'un déficit supplémentaire de trois milliards d'euros dans le budget. Le quotidien économique libéral Jornal de Negócios demande une élucidation rapide : "Cette affaire soulève beaucoup de questions auxquelles l'actuel gouvernement, les anciens politiques et les responsables des entreprises devront répondre. … Quand on fait des affaires avec l'argent du contribuable, des choses très étranges apparaissent toujours. Ce qui est particulièrement bizarre, c'est que ceux qui gaspillent l'argent public ne sont jamais condamnés. Maintenant, il ne suffit pas de renégocier avec les banques qui ont refourgué aux entreprises les produits toxiques dont elles n'avaient pas besoin. Il faut élucider le plus rapidement possible qui a fait quoi, et pourquoi. Cette affaire ne doit pas entrer dans l'histoire comme un nouvel épisode aberrant, digne seulement d'une république bananière, dans laquelle l'argent public s'évapore." (29.04.2013)
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Portugals Regierung hat vergangene Woche hochspekulative Finanzierungsmodelle bei öffentlichen Verkehrsunternehmen entdeckt. Sie fürchtet nun, dass diese ein weiteres Loch in Höhe von drei Milliarden Euro in den Haushalt reißen könnten. Die wirtschaftsliberale Tageszeitung Jornal de Negócios fordert eine rasche Aufklärung: "Dieser Fall wirft viele Fragen auf, die die derzeitige Regierung, die früheren Politiker und die Verantwortlichen der Unternehmen beantworten müssen. ... Immer wenn mit Geld der Steuerzahler Geschäfte gemacht werden, kommen sehr seltsame Dinge heraus. Besonders bizarr ist dabei, dass die, die Steuergelder vergeuden, eigentlich immer straffrei davonkommen. Es genügt jetzt nicht, mit den Banken neu zu verhandeln, die den Unternehmen diese Produkte [toxische Swaps] untergejubelt haben, die diese nicht brauchten. Man muss schleunigst herausfinden, wer was getan hat und warum. Dieser Fall darf nicht in die Geschichte eingehen als eine weitere skurrile Episode, die nur einer Bananenrepublik würdig ist, die öffentliche Gelder einfach in den Sand setzt." (29.04.2013)

  euro|topics - Andrea Ma...  

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"What is the significance of this Finnish ratification? At the end of the pause for reflection decreed by the European Union after the lost referendums [The French and Dutch voted 'no' to the constitution in 2005], the Finnish ratification smacks of a provocation. Only a little state with serious success and a sense of responsibility like Finland could get away with it".

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Als "das Rentier, das Europa anführt", bezeichnet der sozialistische Europa-Abgeordnete Andrea Manzella Finnland, das bis Ende des Jahres die EU-Ratspräsidentschaft inne hat. Er sieht in dem kleinen Land, das letzte Woche die EU-Verfassung ratifiziert hat, ein Modell: "Was bedeutet diese finnische Ratifizierung? In Hinsicht auf die von der EU verordnete Denkpause nach den verlorenen Referenden in Frankreich und den Niederlanden wirkt die finnische Ratifizierung wie eine Provokation. Nur so ein kleines Land, das sich mit Erfolg so seriös und verantwortungsvoll verhält wie Finnland, konnte sich das erlauben."

  euro|topics - Rafael Ba...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	The daily ABC reflects on the Europeans' yearning for peace in a world that has always been in a permanent state of war: "If [the ancient Greek general and historian] Thucydides lifted his head now he would perhaps be unable to comprehend the European Union, in which pacifism has suppressed violence, but he knew precisely how to interpret the rest of the world. The conflicts have not been resolved, and to acknowledge this it is not even necessary to point to what is happening in Georgia and the instinctive reflexes of Russia, which continues to consider itself a great power. We Western Europeans insist on believing in the end of war. In 1909 it was the Labour politician Norman Angell ... who predicted that because of the economic dependencies on the old continent there was no possibility whatsoever of a war between its major powers. ... The futurologist H.G. Wells ... said that the First World War would be the last of the great wars. ... In 1989 the American Francis Fukuyama ... announced the end of all wars following the triumph of liberalism. ... Peace is an invention; war a social phenomenon. You don't have to take a trip to Tiflis to realise this. The 21st century is simply yet another bloodstained century."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Le quotidien ABC s'interroge sur le désir de paix des européens dans un monde qui a connu jusqu'à présent un état de guerre permanent: "Si [le général et historien de la Grèce antique] Thucydide relevait la tête aujourd'hui, il ne serait peut-être pas en mesure de comprendre la situation de l'UE aujourd'hui, dans laquelle le pacifisme a supplanté mentalement la force, mais il saurait très bien comment analyser et comprendre le reste du monde. Les conflits n'ont pas disparu et il n'est pas nécessaire pour l'accepter de renvoyer à ce qui se passe actuellement en Géorgie et aux vieux réflexes instinctifs de la Russie qui se prend toujours pour un grand empire. Nous, les Européens occidentaux, avons toujours voulu croire à la fin de la guerre. En 1909, c'est Norman Angell, politique du Labour, qui … prédisait sans aucun doute qu'il n'était plus possible qu'il y ait des guerres sur le vieux continent entre les grandes puissances en raison des dépendances économiques. … Le futurologue H. G. Wells … disait que la Première Guerre mondiale serait la dernière des grandes guerres. ... En 1989, c'est l'américain Francis Fukuyama qui ... annonçait la fin de la guerre après la victoire du libéralisme. ... La paix est une invention, la guerre un phénomène de société. Nul besoin de passer ses vacances à Tbilissi pour s'en convaincre. Le XXIe siècle est simplement un autre siècle ensanglanté."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Die Tageszeitung ABC reflektiert über den Friedenswunsch der Europäer in einer Welt, die bislang permanent im Kriegszustand gewesen sei: "Wenn [der General und Geschichtsschreiber der griechischen Antike] Thukydides heute den Kopf heben würde, wäre er vielleicht nicht in der Lage, die Europäische Union zu verstehen, in der der Pazifismus mental die Gewalt verdrängt hat, aber er wüsste genau, wie er den Rest der Welt interpretieren muss. Die Konflikte sind nicht verschwunden, und um das zu akzeptieren, muss man nicht einmal auf das verweisen, was gerade in Georgien passiert und auf die alten instinktiven Reflexe Russlands, das sich nach wie vor als Großreich versteht. Wir Westeuropäer wollten immer an das Ende des Krieges glauben. 1909 war es der Labour-Politiker Norman Angell, der ... voraussagte, dass ohne jeden Zweifel aufgrund der wirtschaftlichen Abhängigkeiten auf dem alten Kontinent kein Krieg mehr zwischen seinen Großmächten möglich sein werde. ... Der Zukunftsforscher H.G. Wells ... sagte, dass der Erste Weltkrieg der letzte der großen Kriege sein würde. ... 1989 war es der Amerikaner Francis Fukuyama, der ... das Ende der Kriege nach dem Sieg des Liberalismus verkündete. ... Der Frieden ist eine Erfindung, der Krieg ein gesellschaftliches Phänomen. Man muss nicht Urlaub in Tiflis machen, um sich davon zu überzeugen. Das 21. Jahrhundert ist einfach ein weiteres blutiges Jahrhundert."

  euro|topics - Tomáš Leb...  

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Neither the incumbent Václav Klaus nor his challenger Jan Švejnar have succeeded in a winning majority support among the parliamentarians and senators. What is more, the electors have spent more time discussing electoral procedures than the political visions of the two candidates.

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Les trois premiers tours de l'élection présidentielle tchèque organisés les 8 et 9 février n'ont toujours pas permis de nommer un successeur à tête de l'Etat. Ni le président sortant Vaclav Klaus ni son opposant Jan Svejnar n'ont en effet reçu la majorité des voix des députés et des sénateurs. Les grands électeurs ont passé plus de temps à discuter du vote en lui-même que des projets des deux candidats. Le politologue Tomas Lebeda analyse la situation. "Les optimistes qui s'attendaient à une lutte digne et correcte pour la présidence doivent être choqués, tout comme les sceptiques qui espéraient bien que cette lutte donnerait lieu à un bras de fer. Les événements qui se sont déroulés au Château de Prague ont dépassé les prévisions les plus pessimistes des observateurs les plus endurcis. (...) Le Parlement n'a rien de sacré et même l'élection du chef de l'Etat a échoué dans sa quête de dignité."

  euro|topics - Viviane R...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	Such controls must remain an exception in the Schengen Area, writes EU Justice Commissioner Viviane Reding in the left-liberal daily Libération: "We must prevent governments from attempting to set up the conditions for reinstating border controls. Such a move would affect all of us and so must be approved by the institutions of the European Union. What is at stake here is the respect for the regulations of the European Union and the preservation of the rights that we have struggled hard to attain. To this effect the European Commission recently proposed that the entire rules of the Schengen Agreement be strengthened and that the biggest achievement of the EU be protected, namely the freedom of movement. After two devastating world wars, it took decades to abolish borders and create a climate of trust. Today the freedom of movement within Europe shortens distances and serves to unite us. We must assert and protect this right."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	La France mène déjà des contrôles sur sa frontière avec l'Italie pour accepter moins de réfugiés maghrébins. Cela doit rester une exception bien définie au sein de l'espace Schengen, demande la commissaire européenne à la Justice,Viviane Reding, dans le quotidien de centre-gauche Libération : "Il faut éviter que des gouvernements définissent eux-mêmes les conditions de réinstauration des contrôles aux frontières. Une telle décision, parce qu'elle nous affecterait tous, devrait nécessairement être approuvée par les institutions européennes. Il en va, en effet, du respect des règles de l'Union européenne et de la préservation des droits que nous avons acquis de haute lutte. A cet égard, la Commission européenne a récemment proposé de renforcer l'intégrité des règles de Schengen et de protéger la plus grande réalisation de l'Union européenne : la libre circulation. Après deux guerres mondiales dévastatrices, de nombreuses années ont été nécessaires pour parvenir à supprimer les frontières et à créer un climat de confiance. Aujourd'hui, la libre circulation à l'intérieur de l'Europe raccourcit les distances et est un facteur d'unité. Il nous faut exercer ce droit et en prendre soin."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Frankreich führt bereits an der Grenze zu Italien Kontrollen durch, um weniger Flüchtlinge aus Nordafrika aufzunehmen. Das muss eine genau geregelte Ausnahme im Schengen-Raum bleiben, fordert die EU-Justizkommissarin Viviane Reding in der linksliberalen Tageszeitung Libération: "Es muss vermieden werden, dass die Regierungen selbst über die Bedingungen einer Wiedereinführung der Grenzkontrollen bestimmen. Eine solche Entscheidung beträfe uns alle und bedarf daher unbedingt der Zustimmung der europäischen Institutionen. Tatsächlich geht es darum, die Regeln der europäischen Union zu respektieren und die Rechte zu bewahren, für die wir hart gekämpft haben. Die europäische Kommission hat vor kurzem vorgeschlagen, das gesamte Schengen-Abkommen zu stärken und die größte Errungenschaft der EU, die Personenfreizügigkeit, zu schützen. Nach zwei verheerenden Weltkriegen dauerte es Jahrzehnte, bis man die Grenzen zugunsten eines vertrauensvollen Klimas abgeschafft hat. Heute führt die Freizügigkeit innerhalb der EU zu Annäherung und sie ist ein Faktor der Einheit. Wir müssen dieses Recht wahrnehmen und es bewahren."

  euro|topics - Tony Barber  

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"What is most striking about the two sides' programmes is the number of questions left unaddressed - above all, how to raise Italy's productivity and restore its international business competitiveness. ... The ambiguities and lacunae in each camp's electoral programme also reflect their uncertain identities, as broad coalitions of distinct and sometimes clashing political interests. At the same time, the fragmented nature of the two coalitions reflects various cultural and historical tensions in Italian society : left against right, north against south, Catholic against secular, rich against less well-off, city against country."

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Dans une longue analyse que publie le quotidien financier, le journaliste Tony Barber juge que le match Prodi/Berlusconi ne fait qu'alimenter de vieux clivages politiques, sans qu'aucune solution aux problèmes les plus pressants du pays ne soit proposée. "Ce qui est le plus frappant, dans le programme des deux coalitions, c'est le nombre de questions laissées sans réponse, et par-dessus tout comment augmenter la productivité de l'Italie et restaurer sa compétitivité. (...) Les ambiguïtés et les lacunes des programmes de chaque coalition révèlent le manque d'identité de ces ensembles de partis, aux intérêts parfois conflictuels. (...) Cette fragmentation interne aux coalitions renvoie à différentes tensions culturelles et historiques en Italie : la gauche contre la droite, le Nord contre le Sud, les catholiques contre les partisans de la laïcité, les riches contre les pauvres, la ville contre la campagne."

  euro|topics - Csaba Varga  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	What is now an "enthralling, spontaneous transition simultaneously taking place at a local, national and global level will culminate in the birth of a "virtual Carpathian Basin" or a new "digital sub-region". ... "Central Europe as a whole, or perhaps just part of it, the Carpathian basin, is developing into a uniform information and communication region.
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	L'Europe centrale est au seuil de la société du savoir postcommuniste et postcapitaliste, écrit le sociologue hongrois Csaba Varga. L'actuelle "période de transition enthousiasmante et spontanée que l'on observe simultanément aux niveaux local, national et mondial" est en train de voir l'émergence d'un "bassin virtuel des Carpates" ou d'une nouvelle "sous-région numérique. (...) Toute l'Europe centrale, ou peut-être une partie seulement, le bassin des Carpates, est en train de se transformer en espace de communication et d'information unifié. Si le monde ne sombre pas dans une crise, l'Europe centrale est appelée à devenir, au cours des 20 années à venir, un espace du savoir qui collaborera aussi bien avec les alliances occidentales qu'avec l'Est (...). La nouvelle forme de compétitivité de l'Europe centrale pourrait donner naissance à une économie locale puissante et à une industrie du savoir supérieure à la moyenne".
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Mitteleuropa steht an der Schwelle zur postkommunistischen und postkapitalistischen Wissensgesellschaft, schreibt der Soziologe Csaba Varga. Aus dem jetzigen "hinreißenden, spontanen, auf lokaler, nationaler und globaler Ebene gleichzeitig stattfindenden Übergang" werde ein "virtuelles Karpatenbecken", oder eine neue "digitale Subregion" geboren… "Ganz Mitteleuropa oder vielleicht nur ein Teil von ihm, das Karpatenbecken, entwickelt sich zu einem einheitlichen Informations- und Kommunikationsraum. Wenn die Welt nicht in eine Krise stürzt, wird Mitteleuropa in den kommenden 20 Jahre zu einem Raum des Wissens werden, der mit den Staatenbündnissen des Westens und des Ostens zusammenarbeitet... Die neue Art der Wettbewerbsfähigkeit Mitteleuropas könnte eine starke lokale Wirtschaft und eine überdurchschnittliche Wissensindustrie entstehen lassen."

  euro|topics - Andrei Se...  

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If we look at what is going on in the world of film, for instance the rebirth of Romanian film by a young generation which is expressing some strong and rather discomforting ideas, then in comparison, theatre is in a phase of stagnation.

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Le réalisateur roumain Andrei Serban, qui a mis en scène de nombreuses pièces en Europe de l'Ouest et aux Etats-Unis, estime que le théâtre roumain est loin d'amorcer un vrai renouveau. "Lorsqu'on observe ce qui se passe dans le cinéma, notamment la renaissance du cinéma roumain initiée par la jeune génération qui s'exprime sur plusieurs thèmes forts et difficiles, on remarque que le théâtre stagne. Au début du siècle, il n'avait pas encore trouvé sa place. En proie au doute, les metteurs en scène redoutent désormais que le cinéma puisse les surpasser. Nous essayons de copier les films et d'appliquer les méthodes du cinéma au théâtre. (...) Cependant, cette tentative de modernisation appuyée par les technologies multimédia affaiblit l'art théâtral."

  euro|topics - Boris Aku...  

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"It is not just about Russian-Georgian relations. What is really at stake is the future of Russian society. I am not exaggerating. Can our country eradicate the xenophobic virus? ... This conflict is going to leave Russian society with some serious wounds. What is most dangerous is that, with this xenophobic campaign, Putin's popularity has increased substantially. Nationalist extremists have recognised him as their leader. And if Putin does not disavow such sympathisers fast, it will become clear to everyone that the current political regime has taken a turn towards Russian nationalism."

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Installé à Moscou depuis près de quarante ans, l'écrivain d'origine géorgienne Boris Akounine revient dans une interview réalisée par Rodrigo Fernandez sur la crise politique entre Moscou et Tbilissi et les expulsions de Russie de citoyens géorgiens. "Il ne s'agit pas que des relations russo-géorgiennes. Ce qui est vraiment en jeu, c'est le destin de la société russe. Je le dis sans exagérer : notre pays [la Russie] pourra t-il éradiquer le virus de la xénophobie ? (...) Ce conflit va laisser dans la société russe des blessures sérieuses et graves. Le plus dangereux est qu'avec cette campagne xénophobe, la popularité de Poutine a augmenté de manière substantielle. Les nationalistes extrémistes ont reconnu en lui leur chef. Et si Poutine ne renie pas rapidement de tels sympathisants, il deviendra clair pour tous que la politique du régime actuel a pris un virage vers le nationalisme russe."

  euro|topics - Philippe ...  

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"For elitist culture, if the floodgates are opened too wide, idiocy surfaces along with opinions. And yet, what is it that enthrals young Internet users? The knowledge that they are not alone in the world asking questions which have no answers in proven words, books and theories, that there's the possibility of meeting other people asking themselves the same questions. Without mentioning collective intelligence, this is a universe of encounters that is not exclusively a mouthpiece for opinion, but somewhere for feelings and desires for something different to be pooled. If you don't recognise that, you don't understand Internet."

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Der Unternehmer und Schriftsteller Philippe Lemoine verteidigt im Gespräch mit Jean-Philippe Pisanias und Vincent Remy das kreative Potenzial der Internetnutzer: "Die Elite denkt, wenn man alles laufen lässt, nimmt die Verdummung zu. Was begeistert die Jungen so am Sich-Vernetzen? Es ist das Gefühl, dass sie angesichts der Fragen, die sich ihnen stellen und auf die sie mit Worten, Büchern oder bekannten Theorien keine Antwort finden, auf dieser Welt nicht alleine sind. Sie stoßen auf andere, die sich die gleichen Fragen stellen. Abgesehen von dem Thema der kollektiven Intelligenz: Es handelt sich um eine Begegnungswelt, in der es nicht nur darum geht, seine Meinung auszudrücken, sondern auch bestimmte Gefühle und Sehnsüchte kundzutun. Wenn man das nicht erkennt, dann versteht man das Internet nicht."

  euro|topics - Klaus Bac...  

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Klaus Bachmann, German professor of politics and a former correspondent in Warsaw, criticises the debate culture between Poles and Germans in the Polish daily Fakt: "German-Polish relations have been strained by one thing above all others: the narrow horizons of those who discuss these relations. If we look at what is going on between Berlin and Warsaw one can't avoid the impression that the Germans are being patronising towards the Poles – acting arrogantly and condescendingly. … From this point of view the foundation of 'Visible Sign' and Erika Steinbach's role in it constitute an anti-Polish attempt to rewrite the history of the Second World War – as if the Germans were the victims and the Poles had sided with the evildoers. To a certain extent we can put this image into perspective by looking at what is happening in Europe now. All of a sudden the pipeline through the Baltic [the planned German-Russian pipeline project which Poland rejects] is not a project aimed against Poland but an attempt to diversify energy suppliers for Western Europe."

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Klaus Bachmann, professeur allemand de sciences politiques et ex-correspondant à Varsovie, critique dans le quotidien polonais Fakt la culture du débat entre Polonais et Allemands : "Une chose surtout a pesé sur les relations germano-polonaises ces dernières années : la vision étriquée de ceux qui débattent de celles-ci. Si l'on se penche sur ce qui se passe entre Berlin et Varsovie, on peut difficilement se défaire de l'impression que les Allemands traitent les Polonais de façon paternaliste - avec arrogance et condescendance. … De ce point de vue, la fondation du Centre 'Signes visibles' et la participation d'Erika Steinbach à celui-ci, constitue une tentative anti-polonaise de réécrire l'histoire de la seconde Guerre mondiale - comme si les Allemands en avaient été les victimes et si les Polonais s'étaient trouvés du côté des coupables. Cette image est quelque peu relativisée quand nous prenons comme point de repère ce qui se passe actuellement en Europe. La conduite dans la mer Baltique [un projet de gazoduc germano-russe que la Pologne rejette] n'est dès lors plus un projet qui s'oppose à la Pologne, mais la tentative de diversifier les livraisons d'énergie pour l'Europe occidentale."

  euro|topics - Reiner Wa...  

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The left-wing daily die tageszeitung voices surprise at the Spanish state prosecutors' failure to support Garzón's investigation, "considering that the number of victims amounted to tens of thousands. What is at issue here is a systematic wave of purges against all those who remained loyal to the democracy Franco toppled. Even international human rights organisations have accused Spain of not wanting to face its past. The bereaved are not the only ones to be shocked that a government that by law claims to champion the cause of remembering the past refuses to do this. It's a scandal. But once again it seems [Spain's Prime Minister] Zapatero is above all concerned with passing packages of legislation that look good in the headlines. Once things get concrete he does the same as all his predecessors did before him. He lifts the carpet then sweeps all the dirt under it."

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Le quotidien de gauche die tageszeitung s'étonne de l'attitude du parquet espagnol qui n'a pas soutenu l'instruction de Garzón "quand on sait que le nombre des victimes atteint des dizaines de milliers. Il s'est bien agi d'une vague d'épuration systématique contre ceux qui sont restés loyaux à la démocratie confisquée par Franco. Même les organisations internationales des droits de l'homme accusent l'Espagne de ne pas vouloir effectuer son travail de mémoire. Le fait que ce soit justement un gouvernement s'étant fixé pour objectif de faire vivre la mémoire historique qui se rende responsable de cette omission, n'étonne pas seulement les survivants. C'est un scandale. Mais il semble que [le Premier ministre espagnol] Zapatero est surtout attaché à adopter des lois dont l'efficacité n'est que médiatique. Si cela est avéré, il fera la même chose que tous ses prédécesseurs. Balayer la poussière de l'histoire sous le tapis."

  euro|topics - Szabolcs ...  

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Writing for the opinion portal Komment essayist Szabolcs Panyi welcomes the cuts and takes the view that the money for financing culture would be better used for the social benefits budget: "What is happening to Hungarian film? What is happening to its alternative theatre? These questions sound familiar. For in Hungary it is taken for granted … that contemporary art is subsidised with money from the state. … Hungary's culture policy should focus on two things: the views of the taxpayers and the maxim of social solidarity. Promoting the development of young poets is important, as is the survival of alternative theatres, but far more important is that the state should handle taxpayers' money responsibly. … Unfortunately there are millions of people in Hungary who are more dependent on public funding than for example an established director or writer. However their voices can't be heard."

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Le budget hongrois pour l'année à venir prévoit des coupes dans le domaine de l'art moderne. L'essayiste Szabolcs Panyi salue ces mesures d'austérité sur le portail d'opinion Komment, et juge que l'argent consacré à la culture serait plus utile ailleurs : "Qu'arrive-t-il au cinéma hongrois ? Que se passe-t-il avec le théâtre alternatif ? Ces questions semblent familières. En Hongrie, il semble en effet évident que l'art moderne soit subventionné par l'argent public. … La politique culturelle hongroise devrait surtout garder deux choses en tête : le point de vue du contribuable et le principe de solidarité sociale. L'épanouissement de jeunes poètes est important, tout comme l'existence du théâtre alternatif, mais il est préférable que l'Etat gère de manière responsable et prudente les recettes fiscales. … Malheureusement, des millions de personnes en Hongrie sont plus dépendantes de l'argent de l'Etat, que par exemple un réalisateur de renom ou un écrivain. Simplement, ces voix ne se font pas entendre."

  euro|topics - Christoph...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	Geert Wilders, head of the Dutch Freedom Party (PVV, far-right) has triggered a debate in the Netherlands around wheter or not to broadcast his anti-muslim film. "Constitutional law is supposed to draw borders between what is right and what is wrong in normal human behaviour", writes Christopher Caldwell.
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Geert Wilders, qui se trouve à la tête du Parti de la Liberté (PVV, extrême droite) a suscité une polémique aux Pays-Bas en annonçant la diffusion un film contre l'islam. Christopher Caldwell se demande s'il faut interdire un tel film. "La loi constitutionnelle est supposée tracer des frontières entre ce qui est juste et ce qui est mal dans le comportement humain normal. (...) Des provocations délibérées qui visent à franchir de telles limites sont parfois des actes de mauvaise foi. (...) Aucun droit n'est inconcevable et aucune tradition n'est trop sacrée pour ne pas être remise en question. De telles affaires sont artificielles mais la loi qu'elles engendrent est bien réelle. M. Wilders est devenu une sorte de croque-mitaine pour la bonne société néerlandaise. Ce ne devrait pas être ainsi. Cette tentative parfaitement légale lui permet de tester avec malice les limites, comme le font les libertaires quand ils veulent accélérer le changement social face à un électorat hostile et indifférent."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Christopher Caldwell schreibt über die niederländische Debatte zu dem Koran-kritischen Film des rechtspopulistischen Politikers Geert Wilders (PVV) - der bislang nicht gezeigt wurde. "Die Verfassung sollte eine klare Grenze ziehen, was Menschen dürfen und was nicht... Inszenierte Provokationen sind dazu da, diese Grenzen zu verschieben, aber sie geschehen manchmal auch als Akte bösen Willens... Es gibt kein Recht und keine Tradition, die zu ehrwürdig wären, um sie nicht auf die Probe zu stellen. Solche Fälle sind künstlich, aber die Gesetze, die aus ihnen folgen, sind real. Wilders ist derzeit der Buhmann der feinen niederländischen Gesellschaft. Das sollte er nicht sein. Sein Versuch ist legal. Er scheint mutwillig die Grenzen austesten zu wollen - so wie es Libertäre immer getan haben, wenn sie angesichts einer indifferenten oder ablehnenden Wählerschaft sozialen Wandel vorantreiben wollen."

  euro|topics - Szabolcs ...  

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Writing for the opinion portal Komment essayist Szabolcs Panyi welcomes the cuts and takes the view that the money for financing culture would be better used for the social benefits budget: "What is happening to Hungarian film? What is happening to its alternative theatre? These questions sound familiar. For in Hungary it is taken for granted … that contemporary art is subsidised with money from the state. … Hungary's culture policy should focus on two things: the views of the taxpayers and the maxim of social solidarity. Promoting the development of young poets is important, as is the survival of alternative theatres, but far more important is that the state should handle taxpayers' money responsibly. … Unfortunately there are millions of people in Hungary who are more dependent on public funding than for example an established director or writer. However their voices can't be heard."

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Le budget hongrois pour l'année à venir prévoit des coupes dans le domaine de l'art moderne. L'essayiste Szabolcs Panyi salue ces mesures d'austérité sur le portail d'opinion Komment, et juge que l'argent consacré à la culture serait plus utile ailleurs : "Qu'arrive-t-il au cinéma hongrois ? Que se passe-t-il avec le théâtre alternatif ? Ces questions semblent familières. En Hongrie, il semble en effet évident que l'art moderne soit subventionné par l'argent public. … La politique culturelle hongroise devrait surtout garder deux choses en tête : le point de vue du contribuable et le principe de solidarité sociale. L'épanouissement de jeunes poètes est important, tout comme l'existence du théâtre alternatif, mais il est préférable que l'Etat gère de manière responsable et prudente les recettes fiscales. … Malheureusement, des millions de personnes en Hongrie sont plus dépendantes de l'argent de l'Etat, que par exemple un réalisateur de renom ou un écrivain. Simplement, ces voix ne se font pas entendre."

  euro|topics - Antonio P...  

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"It is clear that there is no desire to turn the problem of leaky borders into a community issue. Shared perspectives in Europe are so feeble that North Europeans are incapable of seeing that immigrant saturation of Spain concerns them too. In fact, what is happening stresses the fact that the crisis in Europe, that has not stopped growing since the failure of the European constitution, is much more serious than initially thought. We are not facing a dead end in European construction, we are experiencing a regressive phase before the final foundering. ... The European political class and intelligentsia are obliged to activate and guide the European spirit once again so that the 'big idea' can regain its scope and its future."

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Le journaliste espagnol Antonio Papell déplore la gestion par Bruxelles du dossier de l'immigration clandestine. "On voit bien qu'il n'existe pas une volonté de 'communautariser' le problème de la perméabilité des frontières. Les perspectives communes en Europe sont si faibles que les Européens du Nord sont incapables de voir que la saturation d'immigrants en Espagne les concerne aussi. En fait, ce qui arrive souligne que la crise de l'Europe, qui ne cesse de grandir depuis l'échec de la Constitution européenne, est beaucoup plus grave que ce que l'on pensait. Nous ne sommes pas face à une 'impasse' dans le processus de construction européenne, nous vivons une phase de regression avant le dernier naufrage. (...) La classe politique européenne et l'intelligentsia ont le devoir d'activer et d'aiguillonner une fois de plus l'esprit européen pour que la 'grande Idée' retrouve son envergure et son avenir."

  euro|topics - Walter Hä...  

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The fact that technocrats are taking over the task of government in Greece and Italy symbolises the failure of party democracy, the state-run liberal daily Wiener Zeitung writes: "What is so annoying are the structural parallels of a system failure: the willingness to accept the total discrediting of democratic legitimisation so that in the end a large majority believes a temporary suspension of party democracy will bring about the longed-for rescue. In other words, we are witnessing the ultimate triumph of expertocracy over politics. ... This is the result of a widespread weariness with what is perceived as the laborious and crippling procedures of balancing antagonistic interests in parliament. Practical necessities are the only ostensible guide for the actions of experts. ... The job of the parties is to establish a consensus by means of public discourse and elections on which path to take. Both the Greeks and the Italians have failed miserably in this respect. Now the experts are taking the helm. ... This is without doubt a step forward in the midst of an existential crisis but it is also a declaration of bankruptcy for party democracy."

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Die Übernahme der Regierungen in Griechenland und Italien durch Technokraten symbolisiert das Scheitern der Parteiendemokratie, meint die staatliche liberale Wiener Zeitung: "Was so irritiert, sind die strukturellen Parallelen eines Systemversagens: die Inkaufnahme einer völligen Diskreditierung demokratischer Legitimation, sodass am Ende eine breite Mehrheit nur noch in der temporären Aussetzung der Parteiendemokratie die ersehnte Rettung zu erreichen können glaubt. Wir erleben, mit anderen Worten, den ultimativen Triumph der Expertokratie über die Politik. ... Dahinter steckt ein weit verbreiteter Überdruss am als mühsam und lähmend empfundenen Prozedere des parlamentarischen Ausgleichs antagonistischer Interessen. Für Experten ist der vorgeblich objektivierbare Sachzwang die einzige Handlungsrichtschnur. ... Aufgabe der Parteien wäre es, im öffentlichen Diskurs und via Wahlen Konsens darüber herzustellen, welcher Weg beschritten werden soll. Daran sind Griechen und Italiener grandios gescheitert. Jetzt übernehmen Experten das Ruder ... Ein Fortschritt inmitten einer existenziellen Krise, sicher, aber doch eine Bankrotterklärung für die Parteiendemokratie."

  euro|topics - Alexander...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	However, the research institutes in question are refuting the accusations: "This is only making matters worse. A virus that is clearly a laboratory virus, as unmistakable as a white mouse, turns up right next to what is supposed to be a high security laboratory complex - and the renowned operators are unable to find the weak spot in the security system. The regulations for protection against biological hazards are obviously far from being strict enough."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Le microbiologiste Alexander S. Kekulé remonte la piste du virus de la fièvre aphteuse de type O1/BFS/67 qui sévit actuellement dans le sud-est de l'Angleterre. Ce virus n'a plus causé d'épizootie naturelle depuis 1967, et doit donc provenir d'un des deux instituts de recherche qui se trouvent à seulement quelques kilomètres du foyer de la maladie. Toutefois, ces derniers rejettent ces accusations. "L'affaire n'en est que plus grave : un virus de laboratoire, aussi reconnaissable qu'une souris blanche, est retrouvé dans les environs immédiats d'un laboratoire soi-disant hautement sécurisé  - et ses exploitants pourtant renommés ne sont pas en mesure de détecter une quelconque faille dans leur système de sécurité. Les mesures de protection contre les risques biologiques ne sont manifestement plus assez strictes."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Der Mikrobiologe Alexander S. Kekulé nimmt die Spur des aktuellen Maul- und Klauenseuche-Virus vom Typ O1/BFS/67 auf. Seit 1967 sei dieser nicht mehr bei einem natürlichen Ausbruch der Krankheit aufgetaucht und müsse daher aus einem der Forschungsinstitute stammen, die sich nur wenige Kilometer vom Ausbruchsort der Krankheit entfernt befinden. Diese weisen jedoch die Vorwürfe zurück: "Das macht die Sache nur noch schlimmer: Ein eindeutiges Laborvirus, unverkennbar wie eine weiße Maus, wird direkt neben einem angeblich hoch gesicherten Laborkomplex gefunden – und die renommierten Betreiber sind nicht in der Lage, die Schwachstelle im Sicherheitssystem zu finden. Die Vorschriften zum Schutz vor biologischen Gefahren sind offenbar noch lange nicht streng genug."

  euro|topics - Henry Kamen  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	"What is clear is that the lyrics of an anthem should reflect an agreement on values both loved and hated. For the Spanish, who have never believed in patriotism and prefer to fight among themselves rather than against others, these shared values do not exist. Basically, there is no feeling of being a united nation and it is consequently impossible to agree on an anthem. ... Maybe the subject should first be submitted to a referendum. The Spanish should be asked if they think they are a nation and is if they should as a consequence have an anthem like in any other country. If they answer that they don't feel they are a nation, then the subject should be closed, since this would mean they have no desire to sing about an identity that doesn't exist."
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Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Der britische Historiker und Spanien-Kenner Henry Kamen fragt, ob die spanische Nationalhymne einen Text braucht, wie es derzeit in Spanien lebhaft diskutiert wird. "Sicher ist, dass der Text einer Hymne Werte, die man liebt und Dinge, die man hasst, widerspiegeln muss. Doch für die Spanier, die nie an Nationalismus geglaubt und statt dessen lieber gegen andere gekämpft haben, gibt es keine solche von allen geteilten Werte. Klarer ausgedrückt: Es gibt nicht das Gefühl, eine Nation zu sein, und folglich ist es unmöglich, sich auf einen Hymnentext zu einigen... Vielleicht müsste man ein Referendum abhalten: Man müsste die Spanier fragen, ob sie denn glauben, eine Nation zu sein, und ob sie deshalb eine Hymne mit Text haben wollen wie alle anderen Länder. Wenn sie antworten, dass sie sich nicht als Nation fühlen, könnte man das Thema vergessen, denn das würde bedeuten, dass sie eine Identität, die es nicht gibt, nicht besingen wollen."

  euro|topics - Jan Chris...  

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The conservative daily Svenska Dagbladet finds the indignation in the country exaggerated: "Historically speaking, Carl XVI Gustaf is rather a paragon of virtue. What is now being said about him is a bagatelle in comparison with earlier monarchs. ... Nevertheless it has created a media storm. But why? It can hardly be the alcohol. Very few Swedes drink no alcohol at all when they are invited to dinner. Was the security of the kingdom at stake? Is it a question accepting benefits? Were there illegal goings-on like visiting prostitutes or tax evasion? No, no one has said any of that. It is being made into a moral issue that the head of state was even in the same building as the supposed 'coffee maids', as they [the prostitutes] are called. Some people are indignant on Queen Silvia's behalf. This indignation outdoes even the puritanism of Britain's Queen Victoria."

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Książka pt. Karol XVI Gustaw - monarcha wbrew woli przedstawia szwedzkiego króla jako miłośnika życia nocnego. Publikacja wywołała w Szwecji ostrą dyskusję na temat moralności. Konserwatywny dziennik Svenska Dagbladet pisze, że oburzenie jest wyolbrzymione: "Z historycznego punku widzenia Karol XVI Gustaw jest ucieleśnieniem wszelkich cnót. To, co teraz się o nim mówi, to bagatela w porównaniu z przewinieniami byłych monarchów. ... Mimo to w mediach wrze. Dlaczego? Powodem tego nie może być przecież alkohol. Tylko niewielka część Szwedów rezygnuje z alkoholu podczas kolacji u znajomych. Czy na szwank wystawiono bezpieczeństwo państwa? Czy w rachubę wchodzi korupcja? Czy przyjęto korzyść majątkową? Czy doszło do naruszenia prawa, czy miała miejsce prostytucja lub oszustwa podatkowe? Nie, tego nikt nie twierdzi. Kwestią moralności stało się to, że szef państwa przebywał w tym samym budynku co tak zwane 'damy do towarzystwa'. Oburzenie niektórych jest wyrazem solidaryzowania się z królową Sylwią. To oburzenie przerosło nawet purytanizm brytyjskiej królowej Wiktorii."

  euro|topics - Philip Wi...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	The right-wing liberal weekly Elsevier rejects the idea of subsidies for publishing houses, pointing out that other hard-hit sectors are not being offered any aid: "Moreover, in providing such funding the government would simply be avoiding the basic problem, namely that it has created a network of public broadcasting services that is endowed with hundreds of millions in state money. ... Instead of cutting subsidies for broadcasting the state now plans to subsidise newspapers as well. This is the wrong solution, and it will only generate more problems. Many programmes contain what is really government news. It is entirely possible that the government will be unable to resist the temptation of demanding favours in return for its investment from the newspapers too."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Le gouvernement néerlandais veut mettre en place un fonds d'urgence pour les journaux. L'hebdomadaire progressiste de droite Elsevier refuse les subventions publiques pour les maisons d'édition. Après tout, les autres secteurs économiques en difficulté n'obtiennent pas non plus d'argent : "D'autre part, en accordant de telles aides financières le gouvernement élude le véritable problème qui est dû au fait qu'il a lui-même créé un système d'audiovisuel public qui reçoit de la part de l'Etat des centaines de millions chaque année. … Au lieu de supprimer les subventions pour l'audiovisuel, l'Etat veut à présent subventionner également la presse. Cette solution est erronée. Elle va en outre occasionner d'autres problèmes. Des nouvelles gouvernementales sont camouflées dans de nombreux programmes radio. Il est bien possible que le gouvernement ne résiste pas à la tentation de demander une contrepartie aux journaux en échange de ses investissements."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Die niederländische Regierung will einen Notfonds für Zeitungen einrichten. Das rechts-liberale Wochenblatt Elsevier lehnt staatliche Subventionen für die Verlage ab. Schließlich bekämen andere notleidende Wirtschaftssektoren auch kein Geld: "Außerdem weicht die Regierung durch solche finanziellen Hilfen dem eigentlichen Problem aus, dass sie nämlich selbst ein System von öffentlichen Rundfunkanstalten geschaffen hat, die jährlich hunderte Millionen staatlicher Mittel zur Verfügung haben. ... Statt die Subventionen für den Rundfunk zu streichen, will der Staat also nun auch die Zeitungen subventionieren. Diese Lösung ist schief. Außerdem wird sie für neue Probleme sorgen. In vielen Rundfunk-Programmen sind Regierungsnachrichten versteckt. Es ist sehr gut möglich, dass die Regierung der Versuchung nicht widerstehen kann, auch von den Zeitungen eine Gegenleistung für ihre Investitionen zu fordern."

  euro|topics - Guy Hermet  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	"With the abandonment of the old party system, [which pitted Christian democracy against the Communist party], populism nearly morphed into a political regime. ... If, this time around, Berlusconi and his allies have lost, we need to keep in mind that they were the victors twice in the past. They will be back. Italy, in a certain sense, is setting the tone because Berlusconi has introduced a completely new brand of populism. ... Berlusconi has made politics fun. Isn't this what the voters seemed to want? For politics to be less 'boring'? But what is even more important is that populism, in Italy, and in the rest of Europe, is forcing professional politicians to adapt."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Dans une interview menée par Dominique Berns, le politologue français Guy Hermet souligne que la défaite de Silvio Berlusconi ne signifie pas pour autant l'échec du populisme. "Avec la déréliction de l'ancien système de partis [qui opposait la Démocratie chrétienne au Parti communiste], le populisme s'est presque transformé en régime politique. (...) Si, cette fois, Berlusconi et ses alliés ont perdu, il faut se souvenir qu'ils ont gagné à deux reprises. Ils reviendront. L'Italie, d'une certaine manière, donne le ton parce que Berlusconi a donné un ton complètement nouveau au populisme. (...) Berlusconi a rendu la politique amusante. N'est-ce pas ce que semblaient désirer les populations ? Que cela soit moins 'barbant' ? Mais ce qui est aussi plus important, c'est que ce populisme, en Italie et dans le reste de l'Europe, oblige les professionnels de la politique à se mettre au diapason".
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Der französische Politologe Guy Hermet erklärt im Interview mit Dominique Berns, dass die Niederlage Silvio Berlusconis nicht das Ende des Populismus bedeutet. "Indem das alte Parteiensystem - Christdemokraten gegen Kommunisten - aufgegeben wurde, ist der Populismus fast zu einem politischen System geworden... Auch wenn Berlusconi und seine Verbündeten diesmal verloren haben, muss man sich bewusst sein, dass sie schon zweimal gewonnen haben. Sie kommen wieder. Italien gibt in gewisser Weise den Ton an, denn Berlusconi hat dem Populismus einen neuen Klang gegeben... Berlusconi hat die Politik zu einem Vergnügen gemacht. Ist es nicht das, was die Völker wollen? Dass Politik weniger 'langweilig' ist? Noch wichtiger ist aber, dass sich die Politiker - in Italien und in ganz Europa - auf diesen Populismus einstellen müssen."

  euro|topics - Giannis V...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	Economist Giannis Varoufakis says on web portal Protagon that it was a mistake from the start to count on the participation of private banks and investors: "Here in Greece, the country that has been harder hit than any other by the crisis, the participation of the private sector is still being hailed as a chief strategy for emerging from the crisis! ... But this strategy was a mistake right from the start. ... Since last July it has only led to the crisis intensifying. ... The question is: What is the alternative? If the European Central Bank issued euro bonds it would be a unique chance for Greece and the Eurozone to overcome the crisis together."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	La participation de l'économie privée à la décote accordée en octobre dernier à la Grèce n'avance pas vraiment d'après les médias. Sur le site Internet Protagon, l'économiste Giannis Varoufakis estime que c'était dès le départ une mauvaise idée que de compter sur la participation des banques et des investisseurs privés : "Ici, en Grèce, pays plus touché que tout autre par la crise, on continue de présenter la participation du secteur privé comme la stratégie principale pour sortir de la crise ! … Cette stratégie est pourtant erronée dès le départ. … Depuis juillet dernier, cela n'a fait qu'accroître et aggraver la crise. … On peut se demander quelle est l'alternative. L'émission d'euro-obligations par la Banque centrale européenne serait pour la Grèce et la zone euro l'unique chance de surmonter ensemble la crise."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Die Beteiligung der Privatwirtschaft an dem im vergangenen Oktober beschlossenen Schuldenschnitt für Griechenland kommt Medienberichten zufolge nur schleppend voran. Der Wirtschaftswissenschaftler Giannis Varoufakis meint im Onlineportal Protagon, dass es von Anfang an falsch war, mit der Beteiligung privater Banken und Investoren zu rechnen: "Hier in Griechenland, dem Land, das mehr als jedes andere von der Krise betroffen ist, wird die Beteiligung des Privatsektors immer noch als Hauptstrategie für einen Ausweg aus der Krise dargestellt! … Doch die Strategie war von Anfang an ein Fehler. … Seit vorigem Juli hat das nur dazu geführt, dass die Krise viel größer geworden ist und sich weiter verschärft hat. …Die Frage ist: Was ist die Alternative? Die Ausgabe von Euro-Anleihen durch die Europäische Zentralbank wäre für Griechenland und die Euro-Zone eine einzigartige Chance, um die Krise gemeinsam zu überwinden."

  euro|topics - Javier Cá...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	With the warning that it could fire the 'legal atom bomb' in the conflict with Hungary, EU Justice Commissioner Viviane Reding has issued an effective threat, the left-liberal daily Süddeutsche Zeitung writes: "What is being referred to is Article 7 - which is fact the most powerful weapon provided for in the EU treaties. When there is a 'clear danger of a serious violation' of Europe's basic values by a member state, penalties up to and including the loss of voting rights may be imposed. That means even the effective exclusion of a country. Consequently it is essential that, as Reding says, all parties should reflect 'two or even three times'. Now however, also in the Commission, a growing number of people could warm to the 'nuclear' option. This shows that patience with the right-wing populist Viktor Orbán is coming to an end. And that's not surprising."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	En indiquant vouloir recourir si nécessaire à l'article 7 du traité sur l'UE dans le litige avec la Hongrie, la commissaire européenne à la Justice Viviane Reding formule une menace efficace, analyse le quotidien de centre-gauche Süddeutsche Zeitung : "L'article 7 est effectivement l'arme la plus efficace fournie par le traité de l'UE : en cas de 'risque clair de violation grave' des valeurs fondamentales européennes par un Etat membre, les sanctions peuvent aller jusqu'à suspendre l'Etat concerné de ses droits de vote. Cela peut aller à l'exclusion de facto d'un pays. Il est donc justifié et urgent 'd'y réfléchir à deux fois', comme l'a également déclaré Reding. Mais la possible augmentation du nombre de commissaires favorables à cette option montre que l'on commence à perdre patience avec le populiste ultraconservateur Viktor Orbán. Ce n'est pas étonnant."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Mit der Warnung, im Streit mit Ungarn gegebenenfalls die 'juristische Atombombe' zu zünden, baut EU-Justizkommissarin Viviane Reding eine wirkungsvolle Drohkulisse auf, analysiert die linksliberale Süddeutsche Zeitung: "Gemeint ist damit Artikel 7 - tatsächlich die schärfste Waffe, die das EU-Vertragswerk bereithält: Wenn 'die eindeutige Gefahr einer schwerwiegenden Verletzung' der europäischen Grundwerte durch ein Mitgliedsland vorliegt, können Strafen bis hin zum Verlust der Stimmrechte verhängt werden. Das heißt: bis hin zum faktischen Ausschluss eines Landes. Es ist also richtig und dringend geboten, dass man, wie Reding ebenfalls sagt, 'zwei, drei Mal' nachdenkt. Dass nun aber auch in der Kommission die Zahl derer wächst, die sich für die Nuklearoption erwärmen können, zeigt, dass die Geduld mit dem rechtsnationalen Populisten Viktor Orbán zu Ende geht. Das ist kein Wunder."

  euro|topics - Tony Pate...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	Tony Paterson, Germany correspondent for the liberal daily The Independent, praises the German judicial system for bringing the case of the alleged Nazi war criminal John Demjanjuk to trial: "Germany's legal authorities can ... take credit for bringing Mr Demjanjuk to justice. They have failed to bring charges against many German Nazis in the past. But in the Demjanjuk case, they were the ones who were finally able to unearth evidence which may now lead to his conviction. Yet few German commentators were singing their praises yesterday. Perhaps not surprisingly most of the comment was provided by Germany's Central Council of Jews. Stephan Kramer, the organisation's general secretary, said that it was almost irrelevant whether Mr Demjanjuk was imprisoned for his crimes. 'What is important is that we will get a discussion about justice in post-war Germany and how the justice system has dealt with Nazi crimes,' he said. Many non-Jewish Germans would agree with him."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Considérant le cas du criminel nazi présumé John Demjanjuk, le correspondant à l'étranger du quotidien progressiste The Independent Tony Paterson loue la justice allemande : "C'est … grâce aux autorités judiciaires allemandes que Demjanjuk est déféré devant la justice. Ils ont échoué par le passé à poursuivre en justice de nombreux nazis allemands. Mais dans le cas de Demjanjuk, ce sont finalement eux qui ont pu mettre à jour des preuves pouvant mener maintenant à sa condamnation. Cependant, peu de commentateurs allemands chantaient hier leurs louanges. La majeure partie des commentaires provenait du Conseil central des Juifs, ce qui n'est probablement pas surprenant. Le secrétaire général de l'organisation, Stephan Kramer, a déclaré que c'était presque sans importance que Demjanjuk soit emprisonné pour ses crimes ou non. 'Ce qui est important, c'est que nous ayons une discussion sur la justice dans l'Allemagne de l'après-guerre, et la manière dont le système judiciaire allemand a traité les crimes nazis', a-t-il déclaré. De nombreux Allemands non-juifs seraient d'accord avec lui."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Mit Blick auf den Fall des mutmaßlichen NS-Verbrechers John Demjanjuk lobt der Auslandskorrespondent der liberalen Tageszeitung The Independent Tony Paterson die deutsche Justiz: "Es ist ... das Verdienst der deutschen Justizbehörden, dass Demjanjuk zur Rechenschaft gezogen wird. In der Vergangenheit haben sie es versäumt, gegen viele deutsche Nazis Anklage zu erheben. Aber im Fall Demjanjuk waren sie diejenigen, die letztlich Beweise ausgegraben haben, die jetzt zu seiner Verurteilung führen könnten. Dennoch sangen gestern nur wenige deutsche Kommentatoren ihr Lob. Es überraschte vielleicht wenig, dass ein Großteil des Kommentars vom deutschen Zentralrat der Juden stammte. Der Generalsekretär der Organisation Stephan Kramer sagte, es sei so gut wie irrelevant, ob Demjanjuk für seine Verbrechen eingesperrt werde. 'Wichtig ist, dass wir eine Diskussion über die deutsche Nachkriegsjustiz bekommen werden und wie sie mit den NS-Verbrechern umgegangen ist', sagte er. Viele nichtjüdische Deutsche würden ihm zustimmen."

  euro|topics - Petros Pa...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	"A typical example is the German Social Democratic Party (SPD). After its electoral defeat and loss of votes to the Lafontaine-Gysi 'Left', the new SPD president Kurt Beck heralded in the return of a Marxist analysis of society, a war against the offshoots of globalized capitalism and a return to 'democratic socialism', burying the much-touted 'Third Way'. The contest between the reformers – advocates of the Schroeder legacy – and born-again socialists threatens a rift at the SPD Party congress in Hamburg later this month. ... The similarities with what is currently taking place in PASOK [Greek Socialist opposition] are no coincidence. George Papandreou ... is now heralding a return to socialist roots. His remorse rings true in the tight circles of PASOK, but whether the public finds him equally convincing is a different story."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Le journaliste Petros Papaconstandinou constate la floraison en Europe d'un mouvement de 'socialistes born-again'. "Un exemple typique en est fourni par le Parti social-démocrate allemand (SPD), après sa défaite électorale et les votes qu'il a perdus au profit du parti La Gauche, le parti d'Oskar Lafontaine et de Gregor Gysi. Kurt Beck, le nouveau chef du SPD, est revenu à une analyse marxiste de la société et a proclamé une guerre contre les ramifications du capitalisme mondialisé et un retour au 'socialisme démocratique'. De la sorte, il enterre la 'troisième voie' tant vantée. La compétition entre les réformateurs, avocats de l'héritage laissé par le chancelier Schröder, et les socialistes 'born-again' menace le SPD d'implosion, lors de son congrès qui se tiendra à Hambourg à la fin du mois. (...) Toute ressemblance avec ce qui se passe actuellement au PASOK [le parti socialiste grec, dans l'opposition] n'est pas une coïncidence. George Papandreou [le chef du PASOK] (...) annonce maintenant un retour aux racines socialistes. Ses remords sonnent vrais dans les cercles fermés du parti. Quant à dire si le public le trouvera aussi convaincant, c'est une autre histoire."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Petros Papaconstantinou beschreibt das Phänomen der "wiedergeborenen Sozialisten" in Europa. "Ein typisches Beispiel ist die SPD in Deutschland: Nach ihrer Wahlniederlage und massiven Verlusten zugunsten der Linkspartei von Lafontaine und Gysi hat sich der SPD-Parteivorsitzende Kurt Beck einer Rückbesinnung auf die marxistischen Gesellschaftsanalyse verschrieben, einem Krieg gegen die Folgen des globalisierten Kapitalismus und der Rückkehr zum 'demokratischen Sozialismus'. Beerdigt wird damit der viel gepriesene 'dritte Weg'. Der Wettbewerb zwischen den Reformern - den Verfechtern von Schröders Erbe - und den wiedergeborenen Sozialisten könnte beim anstehenden SPD-Parteitag zu einer Spaltung führen... Die Ähnlichkeit zu dem, was gerade bei den griechischen Sozialisten, der PASOK, passiert, ist kein Zufall. Auch George Papandreou verkündet eine Rückkehr zu sozialistischen Wurzeln. Sein schlechtes Gewissen mag in PASOK-Kreisen gut ankommen, aber ob die Öffentlichkeit es ebenso überzeugend findet, ist eine andere Geschichte."

  euro|topics - Osvaldo G...  

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"Satirizing can be dangerous. But what is the worst danger ? Not censorship, but self-censorship ... . Other than the fact that it is dangerous for whoever practices it, satire is also tiring. It's like being in a steamboat facing the wind, set against the laws of physics. It's magical to go against the wind. When satire works, it's magic. But this is becoming more and more rare. Satirists have become miserly and satire doesn't seem to be bursting with health. This regression is very worrying".

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Le journaliste Osvaldo Guerrieri débat avec l'écrivain italien Dario Fo, prix Nobel de littérature en 1997, de l'évolution de l'art de la satire, qui a fait sa renommée. Fo regrette l'époque où il était possible de pratiquer la dérision sans risques. "Faire de la satire peut être dangereux. Mais quel est le pire des dangers ? Il ne s'agit pas de la censure mais de l'autocensure (...). Outre qu'elle est dangereuse pour celui qui la pratique, la satire est aussi fatigante. C'est comme être sur un bateau à voile et avancer contre le vent, à l'encontre des lois de la physique. C'est magique d'aller contre le vent. Quand la satire fonctionne c'est magique. Mais cela devient de plus en plus rare. Les satiristes sont devenus avares et la satire ne semble pas éclater de santé. Cette régression est très inquiétante".

  euro|topics - Francesco...  

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"European unity requires universal respect for the morals and customs, beliefs and conventions, even the specific diets of each individual country. We do not need the state or a political class to decide what is good and what is bad. Fears and distrust can be overcome by asking the people to vote far more often than at present, in electing MEPs for example, and for all the problems that concern them directly which are now handled directly by the bureaucracy in Brussels. Just like in Switzerland, which manages to hold all its ethnic groups together by respecting their differences."

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Die italiensche Tageszeitung Corriere della Sera sieht in einer stärkeren Bürgerbeteiligung einen Ausweg aus den Problemen der EU: "Die europäische Einheit braucht den Respekt aller für die Sitten und Bräuche, den Glauben und die Gepflogenheiten bis hin zu den Ernährungsunterschieden jedes einzelnen Landes. Man braucht keinen Staat und keine politische Klasse, die entscheidet, was gut oder schlecht ist. Um die Ängste und das Misstrauen zu überwinden, wäre es gut, wenn man das Volk noch viel häufiger zur Abstimmung bitten würde, bei der Wahl der Europaparlamentarier etwa und generell bei allen Problemen, die es direkt betreffen und die heute von der Bürokratie in Brüssel gehandhabt werden. Eben wie in der Schweiz, die alle ihre ethnischen Gruppen zusammenhält, indem sie die Unterschiede respektiert."

  euro|topics - Mary Kenny  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	Mary Kenny writes in the conservative daily Irish Independent that such developments may be particularly exacerbated in Ireland: "There is a detachment that didn't used to be part of Irish culture. This is especially true in Dublin, which is now, in my experience, a very unfriendly city. The old Dublin chat is gone. You check into a budget hotel in Dublin today and you're treated like a number which has come up on their screen. Efficiently, but seldom with humanity. It's obvious what is going on. People are so busy interacting with machines that they are not really focused on interacting with people, as people. There is a lot of studied silence now in communal places … where previously there'd be friendly exchange. Although the digital phenomenon is everywhere, maybe the changes are more noticeable in Ireland because it used to be renowned for its friendliness - its people skills."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Nicholas Carr analyse dans un nouveau livre comment l'utilisation constante de l'ordinateur et d'Internet peut entraîner un abrutissement et un manque de sociabilité. Cette évolution peut se faire particulièrement ressentir en Irlande, s'inquiète Mary Kenny dans le quotidien conservateur Irish Independent : "Il existe désormais un détachement qui ne fait pas partie de la culture irlandaise. Ceci est particulièrement vrai à Dublin, qui est aujourd'hui d'après mon expérience une ville très peu conviviale. Il n'y a plus l'ancien bavardage dublinois. Aujourd'hui, vous vous enregistrez dans un hôtel bon marché à Dublin et on vous considère comme si vous n'étiez qu'un numéro sur un écran. Efficacement, mais rarement avec humanité. Ce qui se passe est évident. Les gens sont tellement occupés à manipuler leurs ordinateurs qu'ils ne se concentrent pas vraiment sur les individus. Dans les lieux publics … un silence appliqué a remplacé les échanges amicaux. Bien que le phénomène numérique soit partout, les changements sont peut-être plus visibles en Irlande parce que le pays était connu pour son amabilité et sa sociabilité."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Wie der ständige Gebrauch von Computer und Internet zu Verdummung und mangelnder sozialer Kompetenz führen kann, analysiert ein neues Buch von Nicholas Carr. Möglicherweise ist diese Entwicklung in Irland besonders spürbar, sorgt sich Mary Kenny in der konservativen Tageszeitung Irish Independent: "Es gibt jetzt eine Distanziertheit, die nicht zur irischen Kultur gehört. Besonders in Dublin, das nach meiner Erfahrung heute eine sehr unfreundliche Stadt ist. Das alte Dubliner Geplauder gibt es nicht mehr. Heute checked man in Dublin in einem günstigen Hotel ein und wird behandelt, als sei man eine Nummer auf dem Bildschirm. Effizient, aber selten mit Menschlichkeit. Es ist offensichtlich, was vor sich geht. Die Menschen sind so beschäftigt mit Maschinen zu hantieren, dass sie sich nicht richtig auf andere Menschen konzentrieren. An öffentlichen Orten … hat beflissenes Schweigen den freundlichen Austausch ersetzt. Obwohl das digitale Phänomen überall ist, sind die Veränderungen in Irland vielleicht deutlicher zu spüren, weil es berühmt war für seine Freundlichkeit, seine soziale Kompetenz."

  euro|topics - Guido Car...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	The global crisis shows how aggressive and overpowering the economy has become, writes political scientist and Karl Marx expert Guido Carandini in the left-liberal daily La Repubblica: "What is being described as a cyclical financial and economic crisis is in reality an all-out counter-revolution of global capital. This capital has destroyed the power that the revolutions of the past centuries had given the national democracies. ... The crisis is a twilight of the idols of democratic politics, which from being a bastion of social rights have become the passive instrument of a new and boundless capitalist power. ... For democracy to regain its coherent role requires a transformation first and foremost among the key players of democracy themselves. ... It requires a democratic cultural revolution to deprive the religion of profit of its ascendancy over all other ethical values. An enormous task for the young generations."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	La crise mondiale montre combien l'économie est devenue agressive et toute-puissante, estime le politologue et spécialiste de Karl Marx Guido Carandini dans le quotidien de centre-gauche La Repubblica : "Ce que l'on présente comme une crise économique et financière cyclique est en réalité une véritable contre-révolution du capital qui, devenu global, a réduit en lambeaux les pouvoirs que les révolutions des siècles passés avaient conférés aux démocraties nationales. ... La crise actuelle est donc devenu le crépuscule d'une politique démocratique qui, de bastion des droits sociaux, s'est transformée en instrument passif d'un nouveau pouvoir capitaliste sans frontières. … Pour reconquérir un rôle cohérent, la démocratie a besoin d'une transformation qui concerne en premier lieu les sujets de la démocratie. … Il faut donc une révolution démocratique culturelle pour retirer à la religion du profit et de l'argent toute suprématie sur les valeurs éthiques. Une tâche immense pour les jeunes générations."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Światowy kryzys pokazuje, jak agresywna i potężna stała się gospodarka, pisze politolog i znawca filozofii Marksa Guido Carandini na łamach lewicowo-liberalnego dziennika La Repubblica: "To, co interpretuje się jako kryzys finansowy i gospodarczy, jest tak naprawdę kontrrewolucją globalnego kapitału. Kapitał zniszczył władzę, którą w ubiegłym stuleciu rewolucje nadały narodowym demokracjom. ... Kryzys to zmierzch polityki opartej na demokracji, która z twierdzy praw socjalnych stała się biernym instrumentem nowej, nie znającej granic kapitalistycznej władzy. ... Aby demokracja mogła na nowo stać się spoiwem, konieczna jest przemiana, w pierwszej kolejności samych osób działających na polu demokracji. ... Potrzeba demokratycznej kontrrrewolucji, aby odejść od dominacji kultu zysku nad każdą inną wartością. Będzie to dla nowego pokolenia niezwykle trudne zadanie."

  euro|topics - Philippe ...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	"The life of these provides the plot line for 'St Kilda, Island of the Birdmen', an opera and musical show to be presented this Friday June 22nd and Saturday 23rd in six towns: Mons (Belgium), Valenciennes (France), Düsseldorf (Germany), Hallstatt (Austria), Glasgow and Stornway. ... The audience in Mons will see what is happening in Düsseldorf while spectators in Stornway will be able to appreciate images in Valenciennes, and so on and so forth. This will no doubt be one of the first shows where ubiquity is neither fantasy, nor virtual."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	"Aussi impensable soit-il - c'est plus fréquent en Amazonie ou en Papouasie... -, plusieurs centaines de personnes ont vécu en autarcie complète et forcée pendant plusieurs millénaires, en Europe, et ce, jusqu'en 1830. En Europe ? Oui ! Mais loin, très loin. Entre le nord de l'Ecosse et l'Islande. A Saint Kilda, une île à 64 kilomètres des côtes les plus proches", relate Philippe Manche. "C'est la vie de ces hommes qui sert de trame à 'Kilda, l'île des hommes oiseaux', opéra ou spectacle musical présenté ces vendredi 22 et samedi 23 juin dans six villes : Mons (Belgique), Valenciennes (France), Düsseldorf (Allemagne), Hallstatt (Autriche), Glasgow et Stornoway. (...) Les spectateurs de Mons verront ce qui se passe à Düsseldorf, ceux de Stornoway apprécieront les images de Valenciennes, et ainsi de suite. C'est sans doute un des premiers spectacles où l'ubiquité n'est ni fantasme, ni virtuelle."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	"Es ist unvorstellbar - im Amazonasgebiet oder in Papua-Neuguinea kommt das häufiger vor - aber mehrere hundert Menschen haben bis 1830 mehrere Jahrtausende lang vollkommen autark in Europa gelebt. In Europa? Ja! Allerdings weit weg, sehr weit weg. Zwischen Schottland und Island. Auf der Insel St. Kilda, die 64 Kilometer von der nächsten Küste entfernt ist", berichtet Philippe Manche. "Das Leben dieser Menschen bildet die Grundlage von 'Kilda, die Insel der Vogel-Menschen', einer Oper, die am 22. und 23. Juni in sechs Städten gleichzeitig aufgeführt wird: Im belgischen Mons, im französischen Valenciennes, im deutschen Düsseldorf, im österreichischen Hallstatt und in Glasgow und Stornoway... Die Zuschauer in Mons werden sehen, was in Düsseldorf los ist, die in Stornoway bekommen die Bilder aus Valenciennes zu sehen und so weiter. Es ist eines der ersten Theaterstücke, bei dem Allgegenwart kein virtuelles Phantasma ist."

  euro|topics - São José ...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	São José Almeida expresses her outrage in the daily Público and has harsh words for the lax punishment meted out to the perpetrators: "It is extraordinary that we have so many laws on the protection of women, coupled with a prodigious social indifference as to whether or not they are implemented. That explains why despite the many lawsuits in the past decade only 59 men are currently serving out their sentences. ... Just as the role of women in society and their partnerships does not consist of 'passivity and the fulfilment of duties', so too can there be no talk of violence that is more or less bad. What is acceptable is the distinction between physical and mental violence, as well as lethal and non-lethal violence. There is no such thing as half freedom. Or to put it another way: there can be no freedom as long as women are de facto not allowed to live their lives for themselves as individuals."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Au Portugal, 16 femmes ont déjà été tuées par leur (ex-) mari ou partenaire depuis le début de l'année. São José Almeida exprime son indignation dans le quotidien Público et critique les peines trop laxistes infligées aux auteurs des ces crimes : "Il est anormal qu'il y ait autant de lois protégeant les femmes dans ce pays mais qu'une indifférence sociale effarante règne dans leur application au quotidien. Cela explique pourquoi, malgré un nombre incroyable de plaintes déposées au cours de la dernière décennie, seuls 59 hommes purgent aujourd'hui leur peine en prison. … De même que le rôle de la femme dans la société et son amour ne consiste pas en 'passivité et accomplissement du devoir', il n'y a pas non plus de violence plus ou moins grave. On pourrait permettre une distinction entre la violence corporelle et morale, mortelle ou non. Il n'y a pas de demie liberté - ou plus exactement, il n'y a pas de liberté tant qu'il ne sera pas permis de facto aux femmes de vivre leur vie, pour elles-mêmes, en tant que personnes."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	In Portugal sind in diesem Jahr bereits 16 Frauen von ihren (Ex-)Männern oder Lebenspartnern getötet worden. São José Almeida empört sich in der Tageszeitung Público und kritisiert die laxe Bestrafung der Täter: "Es ist außergewöhnlich, dass es hier so viele Gesetze zum Schutz der Frau gibt, aber eine ungeheure gesellschaftliche Gleichgültigkeit bei deren Umsetzung im Alltag. Das erklärt, warum trotz enorm vieler Anklagen im vergangenen Jahrzehnt derzeit lediglich 59 Männer im Gefängnis ihre Strafe absitzen. ... So wie die Rolle der Frau in der Gesellschaft und ihre Liebe nicht aus 'Passivität und Pflichterfüllung' besteht, so gibt es auch keine mehr oder weniger schlimme Gewalt. Zulässig wäre die Unterscheidung in körperliche und psychische Gewalt, und ob sie tötet oder nicht. Es gibt keine halbe Freiheit - oder: Es gibt keine Freiheit, solange es den Frauen nicht de facto erlaubt wird, als Individuen - für sich - ihr Leben zu leben."

  euro|topics - Walter Hä...  

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The fact that technocrats are taking over the task of government in Greece and Italy symbolises the failure of party democracy, the state-run liberal daily Wiener Zeitung writes: "What is so annoying are the structural parallels of a system failure: the willingness to accept the total discrediting of democratic legitimisation so that in the end a large majority believes a temporary suspension of party democracy will bring about the longed-for rescue. In other words, we are witnessing the ultimate triumph of expertocracy over politics. ... This is the result of a widespread weariness with what is perceived as the laborious and crippling procedures of balancing antagonistic interests in parliament. Practical necessities are the only ostensible guide for the actions of experts. ... The job of the parties is to establish a consensus by means of public discourse and elections on which path to take. Both the Greeks and the Italians have failed miserably in this respect. Now the experts are taking the helm. ... This is without doubt a step forward in the midst of an existential crisis but it is also a declaration of bankruptcy for party democracy."

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Die Übernahme der Regierungen in Griechenland und Italien durch Technokraten symbolisiert das Scheitern der Parteiendemokratie, meint die staatliche liberale Wiener Zeitung: "Was so irritiert, sind die strukturellen Parallelen eines Systemversagens: die Inkaufnahme einer völligen Diskreditierung demokratischer Legitimation, sodass am Ende eine breite Mehrheit nur noch in der temporären Aussetzung der Parteiendemokratie die ersehnte Rettung zu erreichen können glaubt. Wir erleben, mit anderen Worten, den ultimativen Triumph der Expertokratie über die Politik. ... Dahinter steckt ein weit verbreiteter Überdruss am als mühsam und lähmend empfundenen Prozedere des parlamentarischen Ausgleichs antagonistischer Interessen. Für Experten ist der vorgeblich objektivierbare Sachzwang die einzige Handlungsrichtschnur. ... Aufgabe der Parteien wäre es, im öffentlichen Diskurs und via Wahlen Konsens darüber herzustellen, welcher Weg beschritten werden soll. Daran sind Griechen und Italiener grandios gescheitert. Jetzt übernehmen Experten das Ruder ... Ein Fortschritt inmitten einer existenziellen Krise, sicher, aber doch eine Bankrotterklärung für die Parteiendemokratie."

  euro|topics - Łukasz Ad...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	"In Rome the leftist Italian trade union Flaica-uniti-Cub distributed flyers calling for a boycott on Jewish businesses in protest at Israel's attacks on Palestine. ... Italian journalists have noted the spirit of the fascist Italian Mussolini has been revived along along the Tiber River. Political expert ... Friedman Buttner has ... said that the teachings of Karl Marx have gone to the Italian Left's head. This is true, for nowadays we seldom recall the intense anti-Semitism of this idol of the Left. ... Marx's hatred of the bourgeois and capitalism led to the birth of an ideology that is among the most criminal in the history of mankind. ... In his work 'On the Jewish Question' Marx wrote: 'What is the secular basis of Judaism? Practical need, self-interest. What is his worldly God? Money.'"
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Le quotidien Polska évoque les manifestations anti-israéliennes en Italie et renvoie à leurs racines de gauche. "Lors de manifestations à Rome contre l'offensive israélienne en Palestine, le syndicat de gauche italien Flaica-uniti-Cub a distribué des tracts appelant au boycott des magasins juifs. ... Les journalistes italiens constatent le retour de l'esprit fasciste de Mussolini sur les rives du Tibre. Le politologue ... Friedman Buttner a ... déclaré que les thèses de Karl Marx étaient montées à la tête de la gauche italienne. C'est juste, car on oublie trop souvent le profond antisémitisme dont l'idole de la gauche a fait preuve. ... La haine de Marx contre la bourgeoisie et le capitalisme l'a conduit à élaborer l'une des idéologies les plus criminelles de l'histoire de l'humanité. ... Marx a écrit sur la 'question juive' dans son travail: 'quel est le culte sacré des Juifs? Le besoin pratique, le pur profit. Quel est son Dieu sacré? L'argent.'"
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Die Tageszeitung Polska geht auf die anti-israelischen Proteste in Italien ein und verweist auf deren linke Wurzeln. "Die linke italienische Gewerkschaft Flaica-uniti-Cub hat in Rom als Protest gegen die Angriffe Israels auf Palästina Flugblätter verteilt, die zum Boykott jüdischer Geschäfte aufforderten. ... Die italienischen Publizisten haben bemerkt, dass am Tiber der Geist des faschistischen Italieners Mussolini zurückgekehrt sei. Der Politologe ... Friedman Buttner hat ... gesagt, dass die Lektüre von Karl Marx der italienischen Linken zu Kopf gestiegen sei. Das ist zutreffend, denn heute erinnert man sich nur selten daran, mit welch großem Antisemitismus das Idol der Linken aufgetreten ist. ... Der Hass von Marx auf das Bürgertum und den Kapitalismus hat dazu geführt, eine Ideologie zu erfinden, die zu den verbrecherischsten in der Menschheitsgeschichte gehören. ... Marx hat in seiner Arbeit 'Die Judenfrage' geschrieben: 'Was ist der heilige Kult der Juden? Das praktische Bedürfnis, der reine Nutzen. Was ist sein heiliger Gott? Das Geld.'"

  euro|topics - Lina Pece...  

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The weekly Valstieciu seeks the causes: "It's not that our politicians are particularly bad or our press particularly vicious. And it's not that our people are aggressive. But these low ratings mean we are in the process of destroying our own state, and this has almost turned into a trend from which no one benefits, not even the political opposition. … What is needed now are open debates, for it's not clear what the government is trying to achieve with its anti-crisis plan. Does it want a more balanced budget, and should cutbacks affect everyone, with no exceptions?"

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Einer Umfrage zufolge ist das Vertrauen der Litauer zu ihren Politikern auf einen historischen Tiefstand gesunken. Die Wochenzeitung Valstieciu laikrastis sucht nach den Ursachen: "Es ist nicht so, dass unsere Politiker besonders schlecht oder die Medien besonders bissig wären. Es ist auch nicht so, dass die Menschen aggressiv wären. Aber die niedrigen Werte bedeuten, dass wir dabei sind, unseren eigenen Staat zu zerstören, und das ist schon fast eine Art Modeerscheinung von der niemand profitiert, auch nicht die politische Opposition. … Notwendig wären jetzt aber vielmehr offene Debatten, denn es ist unklar, worauf die Regierung mit ihrem Anti-Krisen-Plan eigentlich hinaus will. Wird ein ausgeglichener Haushalt angestrebt, und soll bei allen gleichermaßen und ohne Ausnahme gekürzt werden?"

  euro|topics - Łukasz Ad...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	"In Rome the leftist Italian trade union Flaica-uniti-Cub distributed flyers calling for a boycott on Jewish businesses in protest at Israel's attacks on Palestine. ... Italian journalists have noted the spirit of the fascist Italian Mussolini has been revived along along the Tiber River. Political expert ... Friedman Buttner has ... said that the teachings of Karl Marx have gone to the Italian Left's head. This is true, for nowadays we seldom recall the intense anti-Semitism of this idol of the Left. ... Marx's hatred of the bourgeois and capitalism led to the birth of an ideology that is among the most criminal in the history of mankind. ... In his work 'On the Jewish Question' Marx wrote: 'What is the secular basis of Judaism? Practical need, self-interest. What is his worldly God? Money.'"
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  euro|topics - Lucrezia ...  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	But the country is too quick to pin the blame on the EU, economist Lucrezia Rechlin argues in the liberal-conservative daily Corriere della Sera: "There is some truth to the observation that this was a vote against austerity and against Europe. ... Europe could in theory have been more lenient towards the countries in trouble. ... But the fact that a harsher stance was adopted is not in my opinion the result of cynical calculations on Germany's part but a lack of trust in a credible alternative. A distrust that is rooted in our own weakness, namely in the lack of social cohesion and public trust in the government. What is our steadily growing public debt but the result of a policy that only seeks approval; that is based on waste and subsidies because it lacks the power and the farsightedness to aim for a different balance that pursues the common good?"
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Les bons résultats de Berlusconi et Grillo, et la défaire de Monti, sont perçus par de nombreux chroniqueurs comme un rejet de l'austérité par les Italiens. Mais le pays choisit la facilité en accusant l'UE, rétorque l'économiste Lucrezia Rechlin dans le quotidien libéral-conservateur Corriere della Sera : "Un scrutin anti-austérité et anti-européen, il y a du vrai. … L'Europe aurait théoriquement pu se montrer plus indulgente vis-à-vis des pays en difficulté. … Si l'on a opté pour la rigueur, ce n'est pas en raison d'un calcul cynique de l'Allemagne, à mon sens, mais à cause du manque substantiel de confiance dans une alternative crédible. Une méfiance qui a ses racines dans nos propres faiblesses, à savoir le manque de cohésion sociale et de confiance des citoyens dans le gouvernement. Qu'est notre dette publique persistante, si ce n'est le résultat d'un processus développé pour créer un consensus politique, via le gaspillage et les allocations, la force et la lucidité manquant pour trouver un équilibre différent, basé sur la perception d'un intérêt commun ?"
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Das starke Abschneiden von Berlusconi und Grillo sowie die Niederlage Montis bei den Wahlen wird von vielen Kommentatoren als Absage der Italiener an den EU-Sparkurs gesehen. Doch das Land macht es sich zu leicht, der EU die Schuld zu geben, wendet die Ökonomin Lucrezia Rechlin in der liberal-konservativen Tageszeitung Corriere della Sera ein: "An der Anti-Sparkurs- und Anti-Europa-Wahl ist etwas Wahres dran. ... Europa hätte theoretisch den klammen Ländern gegenüber nachsichtiger sein können. ... Dass aber ein härterer Kurs eingeschlagen wurde, liegt meines Erachtens nicht am zynischen Kalkül Deutschlands, sondern am mangelnden Vertrauen in eine glaubwürdige Alternative. Ein Misstrauen, das seine Wurzeln in unserer eigenen Schwäche hat, nämlich in dem mangelnden gesellschaftlichen Zusammenhalt und dem mangelnden Vertrauen der Bürger in die Regierung. Was ist unsere stetig wachsende Staatsverschuldung, wenn nicht das Resultat einer Politik, der es nur um Zustimmung geht, die auf Verschwendung und Zuschüssen aufbaut, weil ihr die Kraft und die Klarheit fehlen, ein anderes Gleichgewicht anzustreben, das das gemeinsame Interesse verfolgt?"

  euro|topics - Ken Burns  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	"In the Untied States, the Second World War is referred to as the 'Good' war; nobody doubts that they fought for the right cause. But by using that word, battle is draped in mythology and the blood is forgotten, along with suffering and the arithmetic of death. ... [Today] to see a coffin come back from Iraq, you have to slip like a pornographer onto the Websites of those being fought by the United States! And no matter how much Americans hear about bombs and are told about their victims, they still don't see them. They therefore do not understand what is at stake. This is exactly what the government wants: to stop us from grasping the reality of war so that we make under-informed choices."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Le documentariste américain Ken Burns a réalisé une oeuvre de 14 heures sur la Deuxième Guerre mondiale, intitulée 'The War'. Dans une interview menée par Olivier Pascal-Moussellard, il analyse le rapport des Américains à la guerre. "Aux Etats-Unis, on appelle la Seconde Guerre mondiale la 'bonne' guerre, la certitude de s'être battu pour la bonne cause ne fait aucun doute. Mais avec ce mot on enrobe aussi la bataille de mythologie et on finit par oublier le sang, la souffrance et l'arithmétique de la mort. (...) [Aujourd'hui] pour voir un cercueil rentrant d'Irak, il faut se faufiler comme un pornographe sur les sites Internet de ceux contre lesquels se battent les Etats-Unis ! Les Américains ont beau entendre parler des bombes, savoir qu'il y a des victimes, ils ne les voient pas. Ils ne comprennent donc pas ce qui est en jeu. C'est exactement ce que cherche le gouvernement : nous empêcher de saisir la réalité de la guerre pour que nous fassions des choix sous-informés."
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Der amerikanische Dokumentarfilmer Ken Burns hat einen 14-Stunden-Film über den Zweiten Weltkrieg gedreht, der schlicht "The War" heißt. Im Gespräch mit Olivier Pascal-Moussellard beleuchtet er das Verhältnis der Amerikaner zum Krieg: "In Amerika nennt man den Zweiten Weltkrieg den 'guten' Krieg. Es besteht kein Zweifel, dass man sich für eine gute Sache geschlagen hat. Aber mit diesem Wort verschleiert und mythologisiert man den Kampf, man vergisst das Blut, das Leid und die Arithmetik des Todes... Will man [heutzutage] einen aus dem Irak zurückkehrenden Sarg sehen, muss man sich, als handele es sich um Pornographie, auf den entsprechenden Internetseiten der amerikanischen Kriegsgegner einschleichen! Die Amerikaner hören zwar von Bomben, sie wissen von Opfern, aber sie sehen sie nicht. Sie verstehen also nicht, worum es geht. Genau darum geht es der Regierung: Uns daran zu hindern, die Realität des Krieges zu erfassen, damit wir schlecht informiert unsere Wahl treffen."

  euro|topics  

Montrer texteMontrer source en cacheMontrer URL avec texte source	Market pressure, media concentration and new reading habits put traditional media and independent journalism under constant pressure. What is the role of politics and foundations in this context? A few proposals from the workshop "Towards a European Public Space".
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Pression économique, concentration des médias et le changement des habitudes de lecture compromettent les médias traditionelles et le journalisme indépendant. Quel pourrait être le rôle de la politique et des fondations dans ce contexte? Quelques propositions du séminaire "Towards a European Public Sphere". » suite
Comparer pages textesComparer pages HTMMontrer URL avec texte sourceMontrer URL avec langue cibleDéfinir eurotopics.net comme domaine prioritaire	Wirtschaftlicher Druck, Medienkonzentration und neue Lesegewohnheiten sind eine Gefahr für traditionelle Medien und freien Journalismus. Welche Rolle spielen Politik und Stiftungen in diesem Zusammenhang? Einige Vorschläge vom Workshop "Towards a European Public Space". » mehr

  euro|topics - Cristian ...  

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The daily Gândul writes that Romania's reputation in Europe has suffered greatly as a result of this dispute: "Europe doesn't really care much one way or the other whether it's Băsescu or Ponta who comes. What is important for the Union is how Romania positions itself. What we have really shown with this conflict is how weak we are as a country. ... No one stands to gain anything from the prime minister's trip to Brussels. On the contrary, we've suffered enormous losses. What we haven't done, primarily, is to show that we are a reliable partner for the future - one with whom communication channels are open and that isn't about to split up into adversarial camps. Such a mentality existed in the Middle Ages - and neither Traian Băsescu nor Victor Ponta have got over it. ... But that's just the start of our woes. ... Now the two are going to go on banging their heads together."

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Le Premier ministre roumain Victor Ponta représente son pays au sommet de l'UE à Bruxelles. Il est donc passé outre le verdict prononcé par la Cour constitutionnelle roumaine, laquelle avait statué mercredi que le président Traian Băsescu était le représentant habilité. Le quotidien Gândul estime que cette dispute nuit à la réputation de la Roumanie en Europe : "Que Băsescu ou Ponta soient présents ne fait ni chaud ni froid à l'Europe. Pour l'Union, c'est la manière dont la Roumanie se positionne. Mais par cette dispute, nous avons montré le degré de faiblesse de notre pays. … Que le Premier ministre se rende à Bruxelles n'a rien fait gagné, au contraire, nous avons beaucoup perdu. En agissant ainsi, nous ne montrons pas que nous sommes un partenaire fiable pour l'avenir, un partenaire avec lequel il est possible de communiquer et qui ne se divise pas en plusieurs camps. Cette mentalité était courante au Moyen-Age - Traian Băsescu et Victor Ponta n'ont pas tourné la page. … Et c'est seulement le début des hostilités. … Ils vont continuer à se faire la guerre."