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The assessment of this first surrealist oeuvre in film history by the British censorship authorities at the time says it all: a film that is ‘devoid of any meaning, and if one can be found it is without a doubt offensive.’ While the statement may not fully do justice to the film, it does contain a central moment.
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Un film qui est "dépourvu de tout sens, et si l'on peut en trouver un, il est, sans aucun doute, offensant". Telle était l'évaluation de cette première oeuvre surréaliste de l'histoire du cinéma par les autorités de censure britannique de l'époque. Bien que cette déclaration ne fasse pas pleinement justice au film, il en capture l'élément central. Les hallucinations érotiques d'un pasteur et l'esprit décalé du jeu des acteurs visent toujours à en révéler une part cachée, l'inconscient.
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Der zeitgenössische Befund der britischen Zensurbehörde über das erste surrealistische Werk der Filmgeschichte spricht Bände: Der Film entbehre jeglichen Sinnes, wenn er jedoch einen Sinn habe, dann sei dieser zweifelsohne anstössig. Auch wenn diese Feststellung dem Film sicherlich nicht gerecht wird, erfasst sie doch eine zentrales Moment. Die erotischen Halluzinationen eines Geistlichen und das gleitende Spiel der trügerischen Oberflächen zielen stets auf etwas darunter oder dahinter Liegendes, das Unbewusste.
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