cass – Übersetzung – Keybot-Wörterbuch

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  Supreme Court of Canada...  
28.                     French civil law has adopted similar solutions.  The Court of Cassation stated the following in Cass. soc., February 4, 1988, Bull. civ. V, No. 96, p. 65:
28 Le droit civil français retient des solutions semblables.  La Cour de cassation, dans la décision Cass. soc., 4 février 1988, Bull. civ. V, no 96, p. 65, affirme:
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Terrebonne, No. 700-12-019558-923, May 13, 1996;  Attorney General of Canada v. Law Society of British Columbia, [1982] 2 S.C.R. 307;  Pearlman v. Manitoba Law Society Judicial Committee, [1991] 2 S.C.R. 869;  R. v. McClure, [2001] 1 S.C.R. 445, 2001 SCC 14;  Pauzé v. Gauvin, [1954] S.C.R. 15;  Garcia Transport Ltée v. Royal Trust Co., [1992] 2 S.C.R. 499;  In re Réserves du Nord (1973) Ltée: Biega v. Druker, [1982] C.A. 181;  Malartic Hygrade Gold Mines Ltd. v. The Queen in Right of Quebec (1982), 142 D.L.R. (3d) 512, [1982] C.S. 1146;  Cass.
Arrêts mentionnés : Gagnon c. Prévost, C.S. Terrebonne, no 700-12-019558-923, 13 mai 1996;  Procureur général du Canada c. Law Society of British Columbia, [1982] 2 R.C.S. 307;  Pearlman c. Comité judiciaire de la Société du Barreau du Manitoba, [1991] 2 R.C.S. 869;  R. c. McClure, [2001] 1 R.C.S. 445, 2001 CSC 14;  Pauzé c. Gauvin, [1954] R.C.S. 15;  Garcia Transport Ltée c. Cie Trust Royal, [1992] 2 R.C.S. 499;  In re Réserves du Nord (1973) Ltée: Biega c. Druker, [1982] C.A. 181;  Malartic Hygrade Gold Mines (Québec) Ltd. c. R. (Québec), [1982] C.S. 1146;  Cass. civ. 1re, 16 décembre 1992, Bull. civ. X, no 316;  Cass. civ. 2e, 11 mars 1992, Bull. civ. III, no 79;  Millette c. 2862-2678 Québec Inc., C.S. Laval, no 540-05-002176-968, 27 novembre 1996;  Dubé c. Beaulieu, C.Q. Beauharnois, no 760-22-000024-979, 25 juin 1997;  Andrews c. Law Society of British Columbia, [1989] 1 R.C.S. 143.
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This Court held that no appeal lay from the decision of a judge renewing a wiretap authorization. In so doing, McIntyre J., for the Court, adopted the following passage from R. v. Cass (1985), 71 A.R. 248:
Le droit provincial en matière de procédure est inapplicable seulement en ce qui a trait aux procédures qui sont de nature exclusivement criminelle.  En vertu du par. 91(27) de la Loi constitutionnelle de 1867, le Parlement a une compétence législative exclusive relativement au droit criminel et à la procédure en matière criminelle.  Les questions qui découlent d'une loi adoptée exclusivement en vertu de la compétence en matière de droit criminel doivent être traitées sous le régime des lois fédérales, y compris les lois en matière de procédure.  Un exemple récent se dégage de l'arrêt R. c. Meltzer, [1989] 1 R.C.S. 1764.  Notre Cour a conclu qu'il n'était pas possible d'interjeter appel contre la décision d'un juge de renouveler une autorisation d'écoute électronique.  Ce faisant, le juge McIntyre, s'exprimant au nom de la Cour, a fait sien le passage suivant de l'arrêt R. v. Cass (1985), 71 A.R. 248:
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, October 17, 1974, Banque populaire du Nord v. Castel Maurice, Lavenne Georges et autres, Gaz. Pal. 1975.1.321; Paris, 3e Ch. , June 23, 1977, Banque régionale d'escompte et de dépôts (B.R.E.D.) v. Jeannin, D. 1980. I.R. 11, aff'd Cass. Civ. , 1re Ch. , October 17, 1979, D. 1980.
Banque populaire du Nord c. Castel Maurice, Lavenne Georges et autres, Gaz. Pal. 1975.1.321; Paris, 3’ Ch., 23 juin 1977, Banque régionale d’escompte et de dépôts (B.R.E.D.) c. Jeannin, D. 1980. I.R. 11, confirmé par Cass. Civ., l” Ch„ 17 octobre 1979, D. 1980. I.R. 198; Paris, 15’ Ch. A., 28 avril 1980, Ernault et autres c. Banque populaire de la région Ouest de Paris, D. 1981. I.R. 15; Cass. Corn., 14 novembre 1980, Consorts Grandin et autres c. Banque nationale de Paris, Bull. civ. 1980, IV, n° 371, p. 299.
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, October 17, 1974, Banque populaire du Nord v. Castel Maurice, Lavenne Georges et autres, Gaz. Pal. 1975.1.321; Paris, 3e Ch. , June 23, 1977, Banque régionale d'escompte et de dépôts (B.R.E.D.) v. Jeannin, D. 1980. I.R. 11, aff'd Cass. Civ. , 1re Ch. , October 17, 1979, D. 1980.
Banque populaire du Nord c. Castel Maurice, Lavenne Georges et autres, Gaz. Pal. 1975.1.321; Paris, 3’ Ch., 23 juin 1977, Banque régionale d’escompte et de dépôts (B.R.E.D.) c. Jeannin, D. 1980. I.R. 11, confirmé par Cass. Civ., l” Ch„ 17 octobre 1979, D. 1980. I.R. 198; Paris, 15’ Ch. A., 28 avril 1980, Ernault et autres c. Banque populaire de la région Ouest de Paris, D. 1981. I.R. 15; Cass. Corn., 14 novembre 1980, Consorts Grandin et autres c. Banque nationale de Paris, Bull. civ. 1980, IV, n° 371, p. 299.
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(See:  Cass. soc. , January 21, 1988, Bull. civ. V, No. 58, p. 39; Cass. soc. , February 4, 1988, No. 96, supra; Cass. soc. , February 25, 1988, Bull. civ. V, No. 140, p. 93; Cass. soc. , November 15, 1988, Bull.
(Voir:  Cass. soc., 21 janvier 1988, Bull. civ. V, no 58, p. 39; Cass. soc., 4 février 1988, no 96, précité; Cass. soc., 25 février 1988, Bull. civ. V, no 140, p. 93; Cass. soc., 15 novembre 1988, Bull. civ. V, no 594, p. 382; voir également: B. Teyssié, Droit du travail, vol. 1, Relations individuelles de travail (2e éd. 1992), aux pp. 592 à 596; J. Rivero et J. Savatier, Droit du travail (12e éd. 1991), aux pp. 509 et 510.)
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(See:  Cass. soc. , January 21, 1988, Bull. civ. V, No. 58, p. 39; Cass. soc. , February 4, 1988, No. 96, supra; Cass. soc. , February 25, 1988, Bull. civ. V, No. 140, p. 93; Cass. soc. , November 15, 1988, Bull.
(Voir:  Cass. soc., 21 janvier 1988, Bull. civ. V, no 58, p. 39; Cass. soc., 4 février 1988, no 96, précité; Cass. soc., 25 février 1988, Bull. civ. V, no 140, p. 93; Cass. soc., 15 novembre 1988, Bull. civ. V, no 594, p. 382; voir également: B. Teyssié, Droit du travail, vol. 1, Relations individuelles de travail (2e éd. 1992), aux pp. 592 à 596; J. Rivero et J. Savatier, Droit du travail (12e éd. 1991), aux pp. 509 et 510.)
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(See:  Cass. soc. , January 21, 1988, Bull. civ. V, No. 58, p. 39; Cass. soc. , February 4, 1988, No. 96, supra; Cass. soc. , February 25, 1988, Bull. civ. V, No. 140, p. 93; Cass. soc. , November 15, 1988, Bull.
(Voir:  Cass. soc., 21 janvier 1988, Bull. civ. V, no 58, p. 39; Cass. soc., 4 février 1988, no 96, précité; Cass. soc., 25 février 1988, Bull. civ. V, no 140, p. 93; Cass. soc., 15 novembre 1988, Bull. civ. V, no 594, p. 382; voir également: B. Teyssié, Droit du travail, vol. 1, Relations individuelles de travail (2e éd. 1992), aux pp. 592 à 596; J. Rivero et J. Savatier, Droit du travail (12e éd. 1991), aux pp. 509 et 510.)
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Referred to:  Perron-Malenfant v. Malenfant (Trustee of), [1999] 3 S.C.R. 375; Grobstein v. A. Hollander and Son Ltd., [1963] Que. Q.B. 440; Cass. civ. 1re, May 10, 1983, D.1984.433 (Soc. suisse d’assur. Winterthur v. Soc. anon. Réaltrade).
Arrêts mentionnés : Perron-Malenfant c. Malenfant (Syndic de), [1999] 3 R.C.S. 375; Grobstein c. A. Hollander and Son Ltd., [1963] B.R. 440; Cass. civ. 1re, 10 mai 1983, D.1984.433 (Soc. suisse d’assur. Winterthur c. Soc. anon. Réaltrade).
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(See:  Cass. soc. , January 21, 1988, Bull. civ. V, No. 58, p. 39; Cass. soc. , February 4, 1988, No. 96, supra; Cass. soc. , February 25, 1988, Bull. civ. V, No. 140, p. 93; Cass. soc. , November 15, 1988, Bull.
(Voir:  Cass. soc., 21 janvier 1988, Bull. civ. V, no 58, p. 39; Cass. soc., 4 février 1988, no 96, précité; Cass. soc., 25 février 1988, Bull. civ. V, no 140, p. 93; Cass. soc., 15 novembre 1988, Bull. civ. V, no 594, p. 382; voir également: B. Teyssié, Droit du travail, vol. 1, Relations individuelles de travail (2e éd. 1992), aux pp. 592 à 596; J. Rivero et J. Savatier, Droit du travail (12e éd. 1991), aux pp. 509 et 510.)
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We have not considered the appeals on their merits because we consider ourselves bound to follow our decision in R. v. Cass (May 16, 1985 unreported (Alta. C.A.)) that there is no right of appeal from the order of the learned Chambers Judge.
[TRADUCTION] Nous n'avons pas examiné les appels au fond parce que nous nous considérons tenus de suivre notre arrêt R. v. Cass [16 mai 1985, inédit, (C.A. Alb.)] suivant lequel il n'existe aucun droit d'appel contre l'ordonnance que le juge a rendue dans son cabinet.
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Referred to:  Oldfield v. Transamerica Life Insurance Co. of Canada, [2002] 1 S.C.R. 742, 2002 SCC 22; Schilling Estate v. Transamerica Life Insurance Co. of Canada (1997), 108 O.A.C. 306, aff’g (1997), 40 C.C.L.I. (2d) 237; Brissette Estate v. Westbury Life Insurance Co., [1992] 3 S.C.R. 87; Canadian Indemnity Co. v. Walkem Machinery & Equipment Ltd., [1976] 1 S.C.R. 309; Mutual of Omaha Insurance Co. v. Stats, [1978] 2 S.C.R. 1153, aff’g (1976), 14 O.R. (2d) 233; Pickford Black Ltd. v. Canadian General Insurance Co., [1977] 1 S.C.R. 261; Cass.
Arrêts mentionnés : Oldfield c. Cie d’Assurance-Vie Transamerica du Canada, [2002] 1 R.C.S. 742, 2002 CSC 22; Schilling Estate c. Transamerica Life Insurance Co. of Canada (1997), 108 O.A.C. 306, conf. (1997), 40 C.C.L.I. (2d) 237; Brissette, succession c. Westbury Life Insurance Co., [1992] 3 R.C.S. 87; Canadian Indemnity Co. c. Walkem Machinery & Equipment Ltd., [1976] 1 R.C.S. 309; Mutuelle d’Omaha Compagnie d’Assurances c. Stats, [1978] 2 R.C.S. 1153, conf. (1976), 14 O.R. (2d) 233; Pickford Black Ltd. c. Compagnie d’Assurance Canadienne Générale, [1977] 1 R.C.S. 261; Cass. civ. 1re, 3 mars 1993, R.G.A.T. 1993.648 (Castrassur c. Camat); Godbout c. Longueuil (Ville de), [1995] R.J.Q. 2561, conf. par [1997] 3 R.C.S. 844; Brasserie Labatt ltée c. Villa, [1995] R.J.Q. 73; Cameron c. Canadian Factors Corp., [1971] R.C.S. 148; Bélair c. Lasalle, [1970] C.A. 275; Foncière Compagnie d’Assurance de France c. Perras, [1942] B.R. 231, conf. par [1943]  R.C.S. 165.
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The insured must seek not only to bring about the event that is the object of the risk, but also to bring about the damage itself. In French law, which has strong similarities with Quebec insurance law on this point, the Cour de Cassation has clearly stated that rule (Cass.
33 La notion d’acte intentionnel doit être bien comprise.  L’assuré doit rechercher non seulement la réalisation du risque, mais aussi celle du dommage même.  En droit français, qui présente sur ce point de fortes similitudes avec le droit des assurances du Québec, la Cour de cassation a rappelé clairement cette règle (Cass. civ. 1re, 3 mars 1993, R.G.A.T. 1993.648 (Castrassur c. Camat), note P. Rémy).
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THE CHIEF JUSTICE—We do not need to hear you, Mr. Atkinson and Mr. Cass. We are all of the opinion that no reason has been shown to differ from the conclusion reached in the majority judgment of the Ontario Court of Appeal.
LE JUGE EN CHEF—Il ne sera pas nécessaire de vous entendre, Me Atkinson et Me Cass. Nous sommes tous d’avis qu’on ne nous a fourni aucune raison de modifier la conclusion à laquelle est arrivée la Cour d’appel à la majorité. Le pourvoi est par conséquent rejeté.
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P.Y. Atkinson and F.D. Cass, for the respondent Eldorado Nuclear Ltd.
P.Y. Atkinson et F.D. Cass, pour l’intimée Eldorado Nucléaire Ltée.
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(Cass., 2e Ch. civ., 10 February 1966, D.1967.315, Annot. Prévault, at p. 317.)
(Cass., 2e Ch. civ., 10 février 1966, D.1967.315, note Prévault, à la p. 317.)
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He then referred to the disposition made of this argument in the Alberta Court of Appeal in R. v. Cass, supra, and quoted the following passage from the words of Laycraft C.J.A. in that case:
Il a alors mentionné la décision que la Cour d'appel de l'Alberta a rendue sur cet argument dans l'arrêt R. v. Cass, précité, et a cité l'extrait suivant des propos tenus par le juge en chef Laycraft dans cette affaire:
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In the view of Seaton J.A., with which I agree, R. v. Cass cannot be distinguished.
Selon le juge Seaton, avec qui je suis d'accord, l'arrêt R. v. Cass ne pourrait faire l'objet d'une distinction.
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Fred D. Cass, John D. McCamus and John J. Longo, for the  respondent.
Fred D. Cass, John D. McCamus et John J. Longo, pour l’intimée.
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P.Y. Atkinson and F.D. Cass, for the respondent.
P.Y. Atkinson et F.D. Cass, pour l’intimée.
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(Cass., 2e Ch. civ., 10 February 1966, D.1967.315)
(Cass., 2e Ch. civ., 10 février 1966, D.1967.315)
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Ronald W. Cass, Q.C., for the intervenant Chief Donald R. Brant.
Ronald W. Cass, c.r., pour l’intervenant, le chef Donald R. Brant.
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Solicitor for the intervenant Chief Donald R. Brant: Ronald W. Cass, Belleville.
Procureur de l’intervenant le chef Donald R. Brant: Ronald W. Cass, Belleville.
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Considered:  Wilson v. The Queen, [1983] 2 S.C.R. 594; referred to:  Re Turangan and Chui and The Queen (1976), 32 C.C.C. (2d) 249; R. v. Cass (1985), 71 A.R. 248; R. v. Storgoff, [1945] S.C.R. 526; Mills v. The Queen, [1986] 1 S.C.R. 863.
Arrêt examiné:  Wilson c. La Reine, [1983] 2 R.C.S. 594; arrêts mentionnés:  Re Turangan and Chui and The Queen (1976), 32 C.C.C. (2d) 249; R. v. Cass (1985), 71 A.R. 248; R. v. Storgoff, [1945] R.C.S. 526; Mills c. La Reine, [1986] 1 R.C.S. 863.
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Terrebonne, No. 700-12-019558-923, May 13, 1996;  Attorney General of Canada v. Law Society of British Columbia, [1982] 2 S.C.R. 307;  Pearlman v. Manitoba Law Society Judicial Committee, [1991] 2 S.C.R. 869;  R. v. McClure, [2001] 1 S.C.R. 445, 2001 SCC 14;  Pauzé v. Gauvin, [1954] S.C.R. 15;  Garcia Transport Ltée v. Royal Trust Co., [1992] 2 S.C.R. 499;  In re Réserves du Nord (1973) Ltée: Biega v. Druker, [1982] C.A. 181;  Malartic Hygrade Gold Mines Ltd. v. The Queen in Right of Quebec (1982), 142 D.L.R. (3d) 512, [1982] C.S. 1146;  Cass.
Arrêts mentionnés : Gagnon c. Prévost, C.S. Terrebonne, no 700-12-019558-923, 13 mai 1996;  Procureur général du Canada c. Law Society of British Columbia, [1982] 2 R.C.S. 307;  Pearlman c. Comité judiciaire de la Société du Barreau du Manitoba, [1991] 2 R.C.S. 869;  R. c. McClure, [2001] 1 R.C.S. 445, 2001 CSC 14;  Pauzé c. Gauvin, [1954] R.C.S. 15;  Garcia Transport Ltée c. Cie Trust Royal, [1992] 2 R.C.S. 499;  In re Réserves du Nord (1973) Ltée: Biega c. Druker, [1982] C.A. 181;  Malartic Hygrade Gold Mines (Québec) Ltd. c. R. (Québec), [1982] C.S. 1146;  Cass. civ. 1re, 16 décembre 1992, Bull. civ. X, no 316;  Cass. civ. 2e, 11 mars 1992, Bull. civ. III, no 79;  Millette c. 2862-2678 Québec Inc., C.S. Laval, no 540-05-002176-968, 27 novembre 1996;  Dubé c. Beaulieu, C.Q. Beauharnois, no 760-22-000024-979, 25 juin 1997;  Andrews c. Law Society of British Columbia, [1989] 1 R.C.S. 143.
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446; Besançon, 1re Ch. , February 6, 1884, Héritiers Verdant v. Consorts Tournier, D.P. 1885. II. 31; Cass. Com. , November 14, 1966, Banque Franco-Chinoise pour le Commerce et l'Industrie v. Augoyard, Gaz.
Jurisprudence: Banque Canadienne Nationale c. Brousseau (1930), 70 C.S. 167; Banque Provinciale du Canada c. Murray et Lapierre, [1957] R.L. 7; Grace and Company c. Perras (1921), 62 R.C.S. 166; Industrial Fuel and Refrigeration Co. Ltd. c. Pennboro Coal Co., [1957] R.C.S. 160; Gabias c. Mainville (1921), 33 B.R. 32; Stevenson c. Brique Champlain Ltée, [1943] B.R. 196; Larouche c. La Progressive, [1952] B.R. 244; Labrador Realties Ltd. c. Legault, [1960] C.S. 228; Louis et Genet Entreprises Inc. c. Dubé, [1962] C.S. 335; Punger c. Héritiers Serega, [1962] C.S. 702; Dame Schnabel c. Empire Life Insurance Co., [1970] C.S. 313; Union Electric Supply Co. Ltd. c. Bourassa, [1964] R.L. 174; Sinyor Spinners of Canada Ltd. c. Leesona Corporation, [1976] C.A. 395; W.T. Rawleigh Co. c. Dumoulin, [1926] R.C.S. 551; La Haye, 8 juillet 1825, Demoiselle van B . c. Receveur général de la loterie, Pas. 1824-25. 446; Besançon, 1re Ch., 6 février 1884, Héritiers Verdant c. Consorts Tournier, D.P. 1885. 11. 31; Cass. Com., 14 novembre 1966, Banque Franco-Chinoise pour le Commerce et l’Industrie c. Augoyard, Gaz. Pal. 1967.1.77; Cass. Civ., 1” R., 16 décembre 1969, Banque Franco-Chinoise pour le Commerce et l’Industrie c. Augoyard, J.C.P. 70. IV. 33; Amiens, 2° Ch., 17 octobre 1974,
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See also: Cass. com. , April 27, 1971, J.C.P. 1972, II, 17280, 1re espèce, note Boitard and Rabut; Cass. com. , May 15, 1972, Bull. 1972, IV, No. 144, p. 143; Cass. com. , October 16, 1973, Bull. 1973, IV, No. 285, p. 256; Ph. Malinvaud, note under Cass.
Voir également: Cass. com., 27 avril 1971, J.C.P. 1972, II, 17280, 1re espèce, note Boitard et Rabut; Cass. com., 15 mai 1972, Bull. 1972, IV n° 144, p. 143; Cass. com., 16 octobre 1973, Bull. 1973, IV, n° 285, p. 256; Ph. Malinvaud, note sous Cass. civ. 1re, 5 janvier 1972, J.C.P. 1973, II, 17340, et la jurisprudence citée.
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See also: Cass. com. , April 27, 1971, J.C.P. 1972, II, 17280, 1re espèce, note Boitard and Rabut; Cass. com. , May 15, 1972, Bull. 1972, IV, No. 144, p. 143; Cass. com. , October 16, 1973, Bull. 1973, IV, No. 285, p. 256; Ph. Malinvaud, note under Cass.
Voir également: Cass. com., 27 avril 1971, J.C.P. 1972, II, 17280, 1re espèce, note Boitard et Rabut; Cass. com., 15 mai 1972, Bull. 1972, IV n° 144, p. 143; Cass. com., 16 octobre 1973, Bull. 1973, IV, n° 285, p. 256; Ph. Malinvaud, note sous Cass. civ. 1re, 5 janvier 1972, J.C.P. 1973, II, 17340, et la jurisprudence citée.
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See also: Cass. com. , April 27, 1971, J.C.P. 1972, II, 17280, 1re espèce, note Boitard and Rabut; Cass. com. , May 15, 1972, Bull. 1972, IV, No. 144, p. 143; Cass. com. , October 16, 1973, Bull. 1973, IV, No. 285, p. 256; Ph. Malinvaud, note under Cass.
Voir également: Cass. com., 27 avril 1971, J.C.P. 1972, II, 17280, 1re espèce, note Boitard et Rabut; Cass. com., 15 mai 1972, Bull. 1972, IV n° 144, p. 143; Cass. com., 16 octobre 1973, Bull. 1973, IV, n° 285, p. 256; Ph. Malinvaud, note sous Cass. civ. 1re, 5 janvier 1972, J.C.P. 1973, II, 17340, et la jurisprudence citée.
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Referred to:  Asbestos Corporation Ltd. v. Cook, [1933] S.C.R. 86; Columbia Builders Supplies Co. v. Bartlett, [1967] Que. Q.B. 111; Soupes Campbell Ltée v. Cantin, D.T.E. 91T‑741; Standard Broadcasting Corporation Ltd. v. Stewart, [1994] R.J.Q. 1751; Cass.
Arrêts mentionnés:  Asbestos Corporation Ltd. c. Cook, [1933] R.C.S. 86; Columbia Builders Supplies Co. c. Bartlett, [1967] B.R. 111; Soupes Campbell Ltée c. Cantin, D.T.E. 91T‑741; Standard Broadcasting Corporation Ltd. c. Stewart, [1994] R.J.Q. 1751; Cass. soc., 4 février 1988, Bull. civ. V, no 96, p. 65; Cass. soc., 21 janvier 1988, Bull. civ. V, no 58, p. 39; Cass. soc., 25 février 1988, Bull. civ. V, no 140, p. 93; Cass. soc., 15 novembre 1988, Bull. civ. V, no 594, p. 382; Lavigne c. Sidbec‑Dosco Inc., [1985] C.S. 26, conf. C.A. Mtl., no 500‑09‑001556‑844, 4 mai 1988; Montreal Public Service Co. c. Champagne (1916), 33 D.L.R. 49; Rubis c. Gray Rocks Inn Ltd., [1982] 1 R.C.S. 452; Driver c. Coca‑Cola Ltd., [1961] R.C.S. 201; Hallé c. Canadian Indemnity Co., [1937] R.C.S. 368; Desrosiers c. The King (1920), 60 R.C.S. 105; Royal Trust Co. c. Tucker, [1982] 1 R.C.S. 250; Pauze c. Gauvin, [1954] R.C.S. 15; In re Rubel Bronze and Metal Co. and Vos, [1918] 1 K.B. 315; Stewart c. MacMillan Bloedel Ltd. (1992), 42 C.C.E.L. 225, conf. (1991), 37 C.C.E.L. 292; Cox c. Royal Trust Corp. of Canada (1989), 26 C.C.E.L. 203, autorisation de pourvoi refusée, [1989] 2 R.C.S. x; Mifsud c. MacMillan Bathurst Inc. (1987), 60 O.R. (2d) 58; Schwann c. Husky Oil Operations Ltd. (1989), 27 C.C.E.L. 103; Saint John Shipbuilding Ltd. c. Snyders (1989), 29 C.C.E.L. 26; Farquhar c. Butler Bros. Supplies Ltd. (1988), 23 B.C.L.R. (2d) 89; Baker c. Burns Foods Ltd. (1977), 74 D.L.R. (3d) 762; Cayen c. Woodwards Stores Ltd. (1993), 45 C.C.E.L. 264; Poole c. Tomenson Saunders Whitehead Ltd. (1987), 16 B.C.L.R. (2d) 349; Orth c. MacDonald Dettwiler & Assoc. Ltd. (1986), 8 B.C.L.R. (2d) 1; Reber c. Lloyds Bank International Canada (1985), 61 B.C.L.R. 361; Chouinard c. Groupe Commerce, compagnie d’assurances (1995), 67 Q.A.C. 83; Daigneault c. Coopexcel, coopérative agricole (1991), 42 C.C.E.L. 128; Roy c. Caisse populaire de Thetford Mines, [1991] R.J.Q. 2693; Nyveen c. Russell Food Equipment Ltd. (1987), 19 C.C.E.L. 227; Vigeant c. Canadian Thermos Products Ltd., D.T.E. 88T‑295; Désormeaux c. Banque de Montréal, D.T.E. 87T‑210; Reilly c. Hotels of Distinction (Canada) Inc., [1987] R.J.Q. 1606; Rémi Carrier Inc. c. Nolan, D.T.E. 86T‑370; Lynch c. Mac Carter Ltd. (1995), 17 C.C.E.L. (2d) 292; Pulak c. Algoma Publishers Ltd. (1995), 10 C.C.E.L. (2d) 111; McNeil c. Presstran Industries (1992), 45 C.C.E.L. 78; Johnson c. Moncton Chrysler Dodge (1980) Ltd. (1991), 34 C.C.E.L. 164; Sherrard
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This rule is only modified in the case where the legislator has positively created an exception (Cass. July 26, 1826, Sirey 27, 1, 100).
Cet argument n’est pas admissible en face de la généralité des expressions de l’art. 2038 C.C.; elle contredit formellement la maxime: «qu’on ne peut transmettre à autrui plus de droit à une chose qu’on n’en a soi-même.»
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Referred to:  Asbestos Corporation Ltd. v. Cook, [1933] S.C.R. 86; Columbia Builders Supplies Co. v. Bartlett, [1967] Que. Q.B. 111; Soupes Campbell Ltée v. Cantin, D.T.E. 91T‑741; Standard Broadcasting Corporation Ltd. v. Stewart, [1994] R.J.Q. 1751; Cass.
Arrêts mentionnés:  Asbestos Corporation Ltd. c. Cook, [1933] R.C.S. 86; Columbia Builders Supplies Co. c. Bartlett, [1967] B.R. 111; Soupes Campbell Ltée c. Cantin, D.T.E. 91T‑741; Standard Broadcasting Corporation Ltd. c. Stewart, [1994] R.J.Q. 1751; Cass. soc., 4 février 1988, Bull. civ. V, no 96, p. 65; Cass. soc., 21 janvier 1988, Bull. civ. V, no 58, p. 39; Cass. soc., 25 février 1988, Bull. civ. V, no 140, p. 93; Cass. soc., 15 novembre 1988, Bull. civ. V, no 594, p. 382; Lavigne c. Sidbec‑Dosco Inc., [1985] C.S. 26, conf. C.A. Mtl., no 500‑09‑001556‑844, 4 mai 1988; Montreal Public Service Co. c. Champagne (1916), 33 D.L.R. 49; Rubis c. Gray Rocks Inn Ltd., [1982] 1 R.C.S. 452; Driver c. Coca‑Cola Ltd., [1961] R.C.S. 201; Hallé c. Canadian Indemnity Co., [1937] R.C.S. 368; Desrosiers c. The King (1920), 60 R.C.S. 105; Royal Trust Co. c. Tucker, [1982] 1 R.C.S. 250; Pauze c. Gauvin, [1954] R.C.S. 15; In re Rubel Bronze and Metal Co. and Vos, [1918] 1 K.B. 315; Stewart c. MacMillan Bloedel Ltd. (1992), 42 C.C.E.L. 225, conf. (1991), 37 C.C.E.L. 292; Cox c. Royal Trust Corp. of Canada (1989), 26 C.C.E.L. 203, autorisation de pourvoi refusée, [1989] 2 R.C.S. x; Mifsud c. MacMillan Bathurst Inc. (1987), 60 O.R. (2d) 58; Schwann c. Husky Oil Operations Ltd. (1989), 27 C.C.E.L. 103; Saint John Shipbuilding Ltd. c. Snyders (1989), 29 C.C.E.L. 26; Farquhar c. Butler Bros. Supplies Ltd. (1988), 23 B.C.L.R. (2d) 89; Baker c. Burns Foods Ltd. (1977), 74 D.L.R. (3d) 762; Cayen c. Woodwards Stores Ltd. (1993), 45 C.C.E.L. 264; Poole c. Tomenson Saunders Whitehead Ltd. (1987), 16 B.C.L.R. (2d) 349; Orth c. MacDonald Dettwiler & Assoc. Ltd. (1986), 8 B.C.L.R. (2d) 1; Reber c. Lloyds Bank International Canada (1985), 61 B.C.L.R. 361; Chouinard c. Groupe Commerce, compagnie d’assurances (1995), 67 Q.A.C. 83; Daigneault c. Coopexcel, coopérative agricole (1991), 42 C.C.E.L. 128; Roy c. Caisse populaire de Thetford Mines, [1991] R.J.Q. 2693; Nyveen c. Russell Food Equipment Ltd. (1987), 19 C.C.E.L. 227; Vigeant c. Canadian Thermos Products Ltd., D.T.E. 88T‑295; Désormeaux c. Banque de Montréal, D.T.E. 87T‑210; Reilly c. Hotels of Distinction (Canada) Inc., [1987] R.J.Q. 1606; Rémi Carrier Inc. c. Nolan, D.T.E. 86T‑370; Lynch c. Mac Carter Ltd. (1995), 17 C.C.E.L. (2d) 292; Pulak c. Algoma Publishers Ltd. (1995), 10 C.C.E.L. (2d) 111; McNeil c. Presstran Industries (1992), 45 C.C.E.L. 78; Johnson c. Moncton Chrysler Dodge (1980) Ltd. (1991), 34 C.C.E.L. 164; Sherrard
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The Cass court held that advances in medical science rendered the original purpose of the “born alive” rule irrelevant, and it should no longer be followed in homicide cases.
Dans l’arrêt Cass, la cour a conclu que les progrès de la science médicale avaient enlevé toute pertinence à l’objet original du principe de la «naissance vivante» et que celui‑ci ne devait plus être appliqué dans les affaires d’homicide.
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Referred to:  Asbestos Corporation Ltd. v. Cook, [1933] S.C.R. 86; Columbia Builders Supplies Co. v. Bartlett, [1967] Que. Q.B. 111; Soupes Campbell Ltée v. Cantin, D.T.E. 91T‑741; Standard Broadcasting Corporation Ltd. v. Stewart, [1994] R.J.Q. 1751; Cass.
Arrêts mentionnés:  Asbestos Corporation Ltd. c. Cook, [1933] R.C.S. 86; Columbia Builders Supplies Co. c. Bartlett, [1967] B.R. 111; Soupes Campbell Ltée c. Cantin, D.T.E. 91T‑741; Standard Broadcasting Corporation Ltd. c. Stewart, [1994] R.J.Q. 1751; Cass. soc., 4 février 1988, Bull. civ. V, no 96, p. 65; Cass. soc., 21 janvier 1988, Bull. civ. V, no 58, p. 39; Cass. soc., 25 février 1988, Bull. civ. V, no 140, p. 93; Cass. soc., 15 novembre 1988, Bull. civ. V, no 594, p. 382; Lavigne c. Sidbec‑Dosco Inc., [1985] C.S. 26, conf. C.A. Mtl., no 500‑09‑001556‑844, 4 mai 1988; Montreal Public Service Co. c. Champagne (1916), 33 D.L.R. 49; Rubis c. Gray Rocks Inn Ltd., [1982] 1 R.C.S. 452; Driver c. Coca‑Cola Ltd., [1961] R.C.S. 201; Hallé c. Canadian Indemnity Co., [1937] R.C.S. 368; Desrosiers c. The King (1920), 60 R.C.S. 105; Royal Trust Co. c. Tucker, [1982] 1 R.C.S. 250; Pauze c. Gauvin, [1954] R.C.S. 15; In re Rubel Bronze and Metal Co. and Vos, [1918] 1 K.B. 315; Stewart c. MacMillan Bloedel Ltd. (1992), 42 C.C.E.L. 225, conf. (1991), 37 C.C.E.L. 292; Cox c. Royal Trust Corp. of Canada (1989), 26 C.C.E.L. 203, autorisation de pourvoi refusée, [1989] 2 R.C.S. x; Mifsud c. MacMillan Bathurst Inc. (1987), 60 O.R. (2d) 58; Schwann c. Husky Oil Operations Ltd. (1989), 27 C.C.E.L. 103; Saint John Shipbuilding Ltd. c. Snyders (1989), 29 C.C.E.L. 26; Farquhar c. Butler Bros. Supplies Ltd. (1988), 23 B.C.L.R. (2d) 89; Baker c. Burns Foods Ltd. (1977), 74 D.L.R. (3d) 762; Cayen c. Woodwards Stores Ltd. (1993), 45 C.C.E.L. 264; Poole c. Tomenson Saunders Whitehead Ltd. (1987), 16 B.C.L.R. (2d) 349; Orth c. MacDonald Dettwiler & Assoc. Ltd. (1986), 8 B.C.L.R. (2d) 1; Reber c. Lloyds Bank International Canada (1985), 61 B.C.L.R. 361; Chouinard c. Groupe Commerce, compagnie d’assurances (1995), 67 Q.A.C. 83; Daigneault c. Coopexcel, coopérative agricole (1991), 42 C.C.E.L. 128; Roy c. Caisse populaire de Thetford Mines, [1991] R.J.Q. 2693; Nyveen c. Russell Food Equipment Ltd. (1987), 19 C.C.E.L. 227; Vigeant c. Canadian Thermos Products Ltd., D.T.E. 88T‑295; Désormeaux c. Banque de Montréal, D.T.E. 87T‑210; Reilly c. Hotels of Distinction (Canada) Inc., [1987] R.J.Q. 1606; Rémi Carrier Inc. c. Nolan, D.T.E. 86T‑370; Lynch c. Mac Carter Ltd. (1995), 17 C.C.E.L. (2d) 292; Pulak c. Algoma Publishers Ltd. (1995), 10 C.C.E.L. (2d) 111; McNeil c. Presstran Industries (1992), 45 C.C.E.L. 78; Johnson c. Moncton Chrysler Dodge (1980) Ltd. (1991), 34 C.C.E.L. 164; Sherrard
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[TRANSLATION] The architect and the contractor, bound by contract to the owner by separate agreements, are third parties in their personal relations and can be liable to each other in quasi-delict, even if the wrongful act giving rise to such liability constitutes at the same time a breach of a contractual obligation toward the owner (Cass. civ. 1, Oct. 14, 1958: J.C.P. 58, IV, ed. G., 162; Bull. civ. I, No. 429, p. 345).
L’architecte et l’entrepreneur, liés contractuellement au maître de l’ouvrage par des conventions distinctes, sont des tiers dans leurs rapports personnels et peuvent engager, l’un vis-à-vis de l’autre, leur responsabilité quasi délictuelle, même si le fait dommageable, générateur de cette responsabilité, constitue en même temps un manquement à une obligation contractuelle envers le maître de l’ouvrage (Cass. civ. 1, 14 oct. 1958: J.C.P. 58, IV, éd. G., 162; Bull. civ. I, n° 429, p. 345).
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112 Hughes followed precedent from two other state appellate court decisions: that of Supreme Judicial Court of Massachusetts in Commonwealth v. Cass, 467 N.E.2d 1324 (1984), and of the Supreme Court of South Carolina in State v. Horne,  319 S.E.2d 703 (1984).
112                    Dans Hughes, deux arrêts rendus par la cour d’appel de deux autres États ont été appliqués, soit l’arrêt Commonwealth c. Cass, 467 N.E.2d 1324 (1984), de la Supreme Judicial Court du Massachusetts et l’arrêt State c. Horne, 319 S.E.2d 703 (1984), de la Supreme Court de la Caroline du Sud.  Ces deux arrêts ont statué que, pour l’application des lois de l’État en matière d’homicide, le principe de la «naissance vivante» devait être abandonné.  Dans Cass, le juge en chef Hennessey a fait remarquer, à la p. 1328, ce qui suit:
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This right has been recognized, inter alia, in the case of tenants (Cass. civ. I, Oct. 24, 1967: Bull. civ. 1, No. 309, p. 232) and in the case of a victim in the collapse of a balcony (Caen, April 16, 1947: J.C.P. 47, II, ed. G., 3667).
Dans le cas précis des contrats de construction, la jurisprudence française a reconnu au tiers étranger le droit de poursuivre l’entrepreneur et l’architecte. Entre autres, ce droit a été reconnu aux locataires (Cass. civ. I, 24 oct. 1967: Bull. civ. 1, n° 309, p. 232) et à la victime de l’effondrement d’un balcon (Caen 16 avril 1947: J.C.P. 47, II, éd. G., 3667).
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(See the French equivalent: art. L. 311‑21 of the Code de la consommation; and the following decisions of the Cour de cassation: Cass. civ. 1re, December 16, 1992, Bull. civ. X, No. 316, and Cass. civ. 2e, March 11, 1992, Bull. civ. III, No. 79.)  However, other than in specific legislation so providing, extended nullity occurs only exceptionally.
38 En principe, la nullité d’un acte ne saurait s’étendre à d’autres actes juridiques distincts :  H., L. et J. Mazeaud et F. Chabas, Leçons de droit civil, t. II, vol. 1, Obligations--théorie générale (9e éd. 1998), par. 329-2; Picod, op. cit., nos 99-102. Il peut toutefois arriver que, par nature, un acte soit l’accessoire d’un autre ou qu’il existe une réelle interdépendance entre eux de sorte que la nullité de l’un emporte la nullité de l’autre. Cette théorie de l’accessoire prévaut notamment en matière de sûretés. Il arrive également que la nullité d’un contrat principal soit étendue au contrat de crédit ayant servi à le financer. Il en est ainsi au Québec en vertu de l’art. 116 de la Loi sur la protection du consommateur, L.R.Q., ch. P-40.1, selon lequel le consommateur qui a utilisé le capital net d’un contrat de prêt d’argent pour payer en totalité ou en partie l’achat ou le louage d’un bien ou d’un service, peut, si le prêteur d’argent et le commerçant vendeur ou locateur collaborent régulièrement en vue de l’octroi de prêts d’argent à des consommateurs, opposer au prêteur d’argent les moyens de défense qu’il peut faire valoir à l’encontre du commerçant vendeur ou locateur. (Voir l’équivalent français :  art. L. 311-21 du Code de la consommation; et les arrêts de la Cour de cassation suivants :  Cass. civ. 1re, 16 décembre 1992, Bull. civ. X, no 316, et Cass. civ. 2e, 11 mars 1992, Bull. civ. III, no 79.)  Par contre, au-delà des textes de loi spécifiques qui le prévoient, la nullité n’est qu’exceptionnellement élargie. Elle ne s’étend aux autres actes juridiques que lorsque les deux actes sont intimement liés, ont été conclus entre les mêmes parties et pour une fin commune.
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Similarly, in France, the Court of Cassation held that a document challenging right-wing extremism in general and associating it with criminal and racist purposes was not defamatory, because it [translation] “contained no imputation or allegation of a specific fact about a specific natural or legal person” (Cass. crim., May 26, 1987, Bull. crim., No. 217, at p. 597).
De même, en France, la Cour de cassation a jugé qu’un écrit mettant en cause la doctrine d’extrême droite en général, l’associant à des visées criminelles à caractère raciste, ne constituait pas de la diffamation, puisqu’il « ne contenait aucune imputation ni allégation d’un fait précis à l’égard d’une personne physique ou morale déterminée » (Cass. crim., 26 mai 1987, Bull. crim., no 217, p. 597). Elle a aussi décidé que des critiques à l’endroit d’un type de production agricole n’atteignaient que la profession considérée dans son ensemble, laissant la réputation de ses membres intacte (Cass. crim., 16 septembre 2003, Bull. crim., no 161).
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Consequently, both the professional seller and the manufacturer must notify the purchaser of the latent defects in the thing sold (Cass. 1er civ., October 4, 1977, G.P. 1977, II, Pan. 359). By keeping silent they commit a “dol” that nullifies the clause which excludes all warranty or only the consequences thereof.
Lorsqu’un acheteur d’occasion achète une chose neuve du concessionnaire du manufacturier, il a le droit de recevoir une chose qui est exempte de vices cachés, c’est‑à‑dire qui n’est pas impropre à l’usage pour lequel elle a été fabriquée ou vendue. La solution retenue par la jurisprudence française à cet égard me semble pleinement justifiée, et je vois d’autant moins de raison de s’en écarter qu’elle est inspirée des principes mêmes qui ont présidé à l’élaboration des dispositions pertinentes du Code civil et qu’elle n’en contredit d’ailleurs pas le texte.
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Similarly, in France, the Court of Cassation held that a document challenging right-wing extremism in general and associating it with criminal and racist purposes was not defamatory, because it [translation] “contained no imputation or allegation of a specific fact about a specific natural or legal person” (Cass. crim., May 26, 1987, Bull. crim., No. 217, at p. 597).
De même, en France, la Cour de cassation a jugé qu’un écrit mettant en cause la doctrine d’extrême droite en général, l’associant à des visées criminelles à caractère raciste, ne constituait pas de la diffamation, puisqu’il « ne contenait aucune imputation ni allégation d’un fait précis à l’égard d’une personne physique ou morale déterminée » (Cass. crim., 26 mai 1987, Bull. crim., no 217, p. 597). Elle a aussi décidé que des critiques à l’endroit d’un type de production agricole n’atteignaient que la profession considérée dans son ensemble, laissant la réputation de ses membres intacte (Cass. crim., 16 septembre 2003, Bull. crim., no 161).
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79. The following decisions and academic articles are to the same effect: Cass. civ. 1re Ch. , October 26, 1976, Rev. arb. , 1977.336 (Cayrol c. Cayrol); Cass. civ. 2e Ch. , June 7 and November 30, 1978, Rev. arb.
78.                     Les décisions et articles de doctrine suivants sont au même effet: Cass. civ. 1re Ch., 26 octobre 1976, Rev. arb., 1977.336 (Cayrol c. Cayrol); Cass. civ. 2e Ch., 7 juin et 30 novembre 1978, Rev. arb., 1979.343 (Pentecost c. Pantaloni; Société Creaciones Reval c. Société Cerruti 1881), note Roland‑Levy; Paris, 1re Ch. C., 12 janvier 1979, Rev. arb., 1980.83 (Belon c. Maurey), note Rubellin‑Devichi; Nancy, 1re Ch., 12 décembre 1985, Rev. arb., 1986.255 (Langlais c. Bruneau); de Boisséson, op. cit., à la p. 193; Loquin, L'amiable composition en droit comparé et international (1980), aux pp. 10 et 11.
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79. The following decisions and academic articles are to the same effect: Cass. civ. 1re Ch. , October 26, 1976, Rev. arb. , 1977.336 (Cayrol c. Cayrol); Cass. civ. 2e Ch. , June 7 and November 30, 1978, Rev. arb.
78.                     Les décisions et articles de doctrine suivants sont au même effet: Cass. civ. 1re Ch., 26 octobre 1976, Rev. arb., 1977.336 (Cayrol c. Cayrol); Cass. civ. 2e Ch., 7 juin et 30 novembre 1978, Rev. arb., 1979.343 (Pentecost c. Pantaloni; Société Creaciones Reval c. Société Cerruti 1881), note Roland‑Levy; Paris, 1re Ch. C., 12 janvier 1979, Rev. arb., 1980.83 (Belon c. Maurey), note Rubellin‑Devichi; Nancy, 1re Ch., 12 décembre 1985, Rev. arb., 1986.255 (Langlais c. Bruneau); de Boisséson, op. cit., à la p. 193; Loquin, L'amiable composition en droit comparé et international (1980), aux pp. 10 et 11.
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The French decisions submitted by the appellant, to the effect that the non‑insurance resulting from intentional fault by the insured applies [TRANSLATION] "to all parties" (Parfait v. Assurance générale et Nationale incendie, supra, at p. 334; Cass.
La jurisprudence française soumise par l'appelante, à l'effet que la non-assurance qui résulte de la faute intentionnelle de l'assuré vaut "à l'égard de tous" (Parfait c. Assurance générale et Nationale incendie, précité, à la p. 334;  Cass. civ., 28 février 1939, La Confiance c. Le Phénix (1939), 10 Rev. gén. ass. terr. 469;  Cass. civ., 4 décembre 1946, Consorts Poudenx c. Cie d'assurance La France, D.1947.25) ne vise que les droits des créanciers hypothécaires en vertu de l'art. 37 de la Loi du 13 juillet 1930.  Je reproduis ici en parallèle le premier alinéa de cet article ainsi que le premier alinéa de l'art. 2586 C.c.B.-C., inspiré du précédent:
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74. This decision appears to be consistent with earlier decisions and has also been approved by commentators (Cass. civ. , June 9, 1961, Rev. arb. , 1961.186 (Soc. Distilleries réunies de Bretagne et de Normandie c. Sofridex); Cass.
73.                     Cette décision semble conforme aux arrêts antérieurs et reçoit également l'assentiment de la doctrine (Cass. civ., 9 juin 1961, Rev. arb., 1961.186 (Soc. Distilleries réunies de Bretagne et de Normandie c. Sofridex); Cass. com., 8 mai 1961, Bull. civ., III, no 192, p. 169 (Société Idéal Coiffeur c. Société Raimon); Paris, 1re Ch. supp., 5 février 1976, Rev. arb., 1976.255 (S.C.I. Résidence Les Tilleuls c. S.A. Promeric); Trib. civ. Seine, 1re Ch., 8 février 1956, Rev. arb., 1957.25 (Distilleries de Bretagne et de Normandie c. Société privée d'exploitation immobilière); de Boisséson, Le droit français de l'arbitrage (1983), à la p. 193; Motulsky, Écrits: études et notes sur l'arbitrage (1974), à la p. 41; Rubellin‑Devichi, Rev. arb., 1980.87, note; Ravon, Traité de l'arbitrage et de l'expertise (1905), à la p. 91; Rocher, De l'arbitrage en matière civile (1907), à la p. 8).
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I agree with this statement of Chief Justice Laycraft in R. v. Cass, Alberta Court of Appeal, May 16, 1985 (unreported), in its application to the present case: "In my view it cannot be argued that a wire tap authorization, or a review of it, or an appeal from such a review, is anything other than a criminal matter."
[TRADUCTION]  La décision du juge Meredith est une décision judiciaire sur des question de fait et de droit qui se posaient dans des procédures visées à la partie IV.1 du Code criminel (Atteintes à la vie privée) et qui avaient trait aux accusations d'actes criminels alors pendantes contre Meltzer et Laison.  Il ne fait pas de doute que la demande dont il était saisi soulevait des questions relevant du droit criminel.  Je suis d'accord avec l'affirmation suivante qu'a fait le juge en chef Laycraft dans l'arrêt R. v. Cass de la Cour d'appel de l'Alberta rendu le 16 mai 1985 (inédit) et qui s'applique à l'espèce:  "À mon avis, on ne saurait prétendre qu'une autorisation d'écoute électronique, ou une révision de cette autorisation, ou un appel de cette révision, est autre chose qu'une affaire de nature criminelle."
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Considered: Ménard v. Ménard, J.E. 81‑882 C.A., aff'g [1981] C.S. 50; Legault v. Figueroa, [1978] C.A. 82; Gohier‑Desfossés v. Gohier, J.E. 79‑23; Droit de la famille‑‑86, [1983] C.S. 1017; Droit de la famille‑‑110, [1984] C.S. 99; Droit de la famille‑‑228, [1985] C.S. 808; referred to: Droit de la famille‑‑52, [1983] C.A. 388; Droit de la famille‑‑236, [1985] C.A. 566; Droit de la famille‑‑32, [1983] C.S. 79; Droit de la famille‑‑130, [1984] C.A. 184; Cass.
Arrêts examinés: Ménard c. Ménard, J.E. 81‑882 C.A., conf. [1981] C.S. 50; Legault c. Figueroa, [1978] C.A. 82; Gohier‑Desfossés c. Gohier, J.E. 79‑23; Droit de la famille‑‑86, [1983] C.S. 1017; Droit de la famille‑‑110, [1984] C.S. 99; Droit de la famille‑‑228, [1985] C.S. 808; arrêts mentionnés: Droit de la famille‑‑52, [1983] C.A. 388; Droit de la famille‑‑236, [1985] C.A. 566; Droit de la famille‑‑32, [1983] C.S. 79; Droit de la famille‑‑130, [1984] C.A. 184; Cass. civ. 1ère, 14 avril 1982, Bull. 1982, I, no 125, p. 110 (arrêt Vidal); Droit de la famille‑‑77, [1983] C.S. 692; Droit de la famille‑‑195, [1985] C.S. 349; S.A. c. J.‑C.L., [1986] R.L. 587; Hébert c. Landry, [1975] C.A. 108.
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I note the trend in French civil law, where the legal authors, using the concept of a [translation] "group of contracts", have forged contractual links between the subcontractor and the owner (see B. Teyssie, Les groupes de contrats (1975)). The courts have exhibited greater reserve in their judgments (Cass.
Étant donné l'absence de lien contractuel direct, l'action de la Banque doit donc se fonder sur la responsabilité délictuelle d'Hydro-Québec.  Je note l'évolution du droit civil français, où la doctrine, ayant recours à la notion de "groupe de contrats", a tissé des liens contractuels entre le sous-traitant et le maître de l'ouvrage (voir B. Teyssie, Les groupes de contrats (1975)).  La jurisprudence s'est montrée plus réservée (Cass. Ass. plén., 12 juillet 1991, Besse c. Protois, Bull. civ. 1991. Ass. plén., no 5, J.C.P.1991.II.21743 (voir note G. Viney), et C. Larroumet, "L'effet relatif des contrats et la négation de l'existence d'une action en responsabilité nécessairement contractuelle dans les ensembles contractuels", J.C.P.1991.I.3531).  Il ne m'est pas nécessaire de considérer cette question ici, car cette affaire peut être tranchée sur une base délictuelle.
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74. This decision appears to be consistent with earlier decisions and has also been approved by commentators (Cass. civ. , June 9, 1961, Rev. arb. , 1961.186 (Soc. Distilleries réunies de Bretagne et de Normandie c. Sofridex); Cass.
73.                     Cette décision semble conforme aux arrêts antérieurs et reçoit également l'assentiment de la doctrine (Cass. civ., 9 juin 1961, Rev. arb., 1961.186 (Soc. Distilleries réunies de Bretagne et de Normandie c. Sofridex); Cass. com., 8 mai 1961, Bull. civ., III, no 192, p. 169 (Société Idéal Coiffeur c. Société Raimon); Paris, 1re Ch. supp., 5 février 1976, Rev. arb., 1976.255 (S.C.I. Résidence Les Tilleuls c. S.A. Promeric); Trib. civ. Seine, 1re Ch., 8 février 1956, Rev. arb., 1957.25 (Distilleries de Bretagne et de Normandie c. Société privée d'exploitation immobilière); de Boisséson, Le droit français de l'arbitrage (1983), à la p. 193; Motulsky, Écrits: études et notes sur l'arbitrage (1974), à la p. 41; Rubellin‑Devichi, Rev. arb., 1980.87, note; Ravon, Traité de l'arbitrage et de l'expertise (1905), à la p. 91; Rocher, De l'arbitrage en matière civile (1907), à la p. 8).
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When comments are made about a group, these requirements are satisfied if the group is [translation] “small enough that each member can feel affected” (Cass. crim., January 29, 2008, Bull. crim., No. 23, at p. 94).
[62] En France, hormis certains mécanismes prévus par la loi, dont le caractère particulier limite l’utilité pour les besoins de notre comparaison, la Loi sur la presse exige que la réparation soit accordée sur la base d’un intérêt et d’un dommage personnels. Lorsque les propos ont été tenus à l’endroit d’un groupe, ces exigences sont satisfaites si la collectivité est « suffisamment restreinte pour que chacun de ses membres puisse se sentir atteint » (Cass. crim., 29 janvier 2008, Bull. crim., no 23, p. 94). La Cour de cassation a par exemple qualifié de diffamatoires des propos tenus à l’endroit d’une équipe médicale formée de dix chirurgiens (Cass. crim., 6 décembre 1994, Dr. pénal 1995, comm. 93, obs. M. Véron). Elle a aussi conclu que quatre membres d’un comité d’action politique avaient été suffisamment visés par des propos référant au comité (Cass. crim., 16 janvier 1969, Bull. crim., no 35). Elle a par contre rejeté le recours en diffamation lorsque les propos litigieux portaient sur le clergé catholique en général (Cass. crim., 22 novembre 1934, D.P. 1936.1.27, note M. Nast).
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Referred to:  Asbestos Corporation Ltd. v. Cook, [1933] S.C.R. 86; Columbia Builders Supplies Co. v. Bartlett, [1967] Que. Q.B. 111; Soupes Campbell Ltée v. Cantin, D.T.E. 91T‑741; Standard Broadcasting Corporation Ltd. v. Stewart, [1994] R.J.Q. 1751; Cass.
Arrêts mentionnés:  Asbestos Corporation Ltd. c. Cook, [1933] R.C.S. 86; Columbia Builders Supplies Co. c. Bartlett, [1967] B.R. 111; Soupes Campbell Ltée c. Cantin, D.T.E. 91T‑741; Standard Broadcasting Corporation Ltd. c. Stewart, [1994] R.J.Q. 1751; Cass. soc., 4 février 1988, Bull. civ. V, no 96, p. 65; Cass. soc., 21 janvier 1988, Bull. civ. V, no 58, p. 39; Cass. soc., 25 février 1988, Bull. civ. V, no 140, p. 93; Cass. soc., 15 novembre 1988, Bull. civ. V, no 594, p. 382; Lavigne c. Sidbec‑Dosco Inc., [1985] C.S. 26, conf. C.A. Mtl., no 500‑09‑001556‑844, 4 mai 1988; Montreal Public Service Co. c. Champagne (1916), 33 D.L.R. 49; Rubis c. Gray Rocks Inn Ltd., [1982] 1 R.C.S. 452; Driver c. Coca‑Cola Ltd., [1961] R.C.S. 201; Hallé c. Canadian Indemnity Co., [1937] R.C.S. 368; Desrosiers c. The King (1920), 60 R.C.S. 105; Royal Trust Co. c. Tucker, [1982] 1 R.C.S. 250; Pauze c. Gauvin, [1954] R.C.S. 15; In re Rubel Bronze and Metal Co. and Vos, [1918] 1 K.B. 315; Stewart c. MacMillan Bloedel Ltd. (1992), 42 C.C.E.L. 225, conf. (1991), 37 C.C.E.L. 292; Cox c. Royal Trust Corp. of Canada (1989), 26 C.C.E.L. 203, autorisation de pourvoi refusée, [1989] 2 R.C.S. x; Mifsud c. MacMillan Bathurst Inc. (1987), 60 O.R. (2d) 58; Schwann c. Husky Oil Operations Ltd. (1989), 27 C.C.E.L. 103; Saint John Shipbuilding Ltd. c. Snyders (1989), 29 C.C.E.L. 26; Farquhar c. Butler Bros. Supplies Ltd. (1988), 23 B.C.L.R. (2d) 89; Baker c. Burns Foods Ltd. (1977), 74 D.L.R. (3d) 762; Cayen c. Woodwards Stores Ltd. (1993), 45 C.C.E.L. 264; Poole c. Tomenson Saunders Whitehead Ltd. (1987), 16 B.C.L.R. (2d) 349; Orth c. MacDonald Dettwiler & Assoc. Ltd. (1986), 8 B.C.L.R. (2d) 1; Reber c. Lloyds Bank International Canada (1985), 61 B.C.L.R. 361; Chouinard c. Groupe Commerce, compagnie d’assurances (1995), 67 Q.A.C. 83; Daigneault c. Coopexcel, coopérative agricole (1991), 42 C.C.E.L. 128; Roy c. Caisse populaire de Thetford Mines, [1991] R.J.Q. 2693; Nyveen c. Russell Food Equipment Ltd. (1987), 19 C.C.E.L. 227; Vigeant c. Canadian Thermos Products Ltd., D.T.E. 88T‑295; Désormeaux c. Banque de Montréal, D.T.E. 87T‑210; Reilly c. Hotels of Distinction (Canada) Inc., [1987] R.J.Q. 1606; Rémi Carrier Inc. c. Nolan, D.T.E. 86T‑370; Lynch c. Mac Carter Ltd. (1995), 17 C.C.E.L. (2d) 292; Pulak c. Algoma Publishers Ltd. (1995), 10 C.C.E.L. (2d) 111; McNeil c. Presstran Industries (1992), 45 C.C.E.L. 78; Johnson c. Moncton Chrysler Dodge (1980) Ltd. (1991), 34 C.C.E.L. 164; Sherrard
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(See the French equivalent: art. L. 311‑21 of the Code de la consommation; and the following decisions of the Cour de cassation: Cass. civ. 1re, December 16, 1992, Bull. civ. X, No. 316, and Cass. civ. 2e, March 11, 1992, Bull. civ. III, No. 79.)  However, other than in specific legislation so providing, extended nullity occurs only exceptionally.
38 En principe, la nullité d’un acte ne saurait s’étendre à d’autres actes juridiques distincts :  H., L. et J. Mazeaud et F. Chabas, Leçons de droit civil, t. II, vol. 1, Obligations--théorie générale (9e éd. 1998), par. 329-2; Picod, op. cit., nos 99-102. Il peut toutefois arriver que, par nature, un acte soit l’accessoire d’un autre ou qu’il existe une réelle interdépendance entre eux de sorte que la nullité de l’un emporte la nullité de l’autre. Cette théorie de l’accessoire prévaut notamment en matière de sûretés. Il arrive également que la nullité d’un contrat principal soit étendue au contrat de crédit ayant servi à le financer. Il en est ainsi au Québec en vertu de l’art. 116 de la Loi sur la protection du consommateur, L.R.Q., ch. P-40.1, selon lequel le consommateur qui a utilisé le capital net d’un contrat de prêt d’argent pour payer en totalité ou en partie l’achat ou le louage d’un bien ou d’un service, peut, si le prêteur d’argent et le commerçant vendeur ou locateur collaborent régulièrement en vue de l’octroi de prêts d’argent à des consommateurs, opposer au prêteur d’argent les moyens de défense qu’il peut faire valoir à l’encontre du commerçant vendeur ou locateur. (Voir l’équivalent français :  art. L. 311-21 du Code de la consommation; et les arrêts de la Cour de cassation suivants :  Cass. civ. 1re, 16 décembre 1992, Bull. civ. X, no 316, et Cass. civ. 2e, 11 mars 1992, Bull. civ. III, no 79.)  Par contre, au-delà des textes de loi spécifiques qui le prévoient, la nullité n’est qu’exceptionnellement élargie. Elle ne s’étend aux autres actes juridiques que lorsque les deux actes sont intimement liés, ont été conclus entre les mêmes parties et pour une fin commune.
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112 Hughes followed precedent from two other state appellate court decisions: that of Supreme Judicial Court of Massachusetts in Commonwealth v. Cass, 467 N.E.2d 1324 (1984), and of the Supreme Court of South Carolina in State v. Horne,  319 S.E.2d 703 (1984).
112                    Dans Hughes, deux arrêts rendus par la cour d’appel de deux autres États ont été appliqués, soit l’arrêt Commonwealth c. Cass, 467 N.E.2d 1324 (1984), de la Supreme Judicial Court du Massachusetts et l’arrêt State c. Horne, 319 S.E.2d 703 (1984), de la Supreme Court de la Caroline du Sud.  Ces deux arrêts ont statué que, pour l’application des lois de l’État en matière d’homicide, le principe de la «naissance vivante» devait être abandonné.  Dans Cass, le juge en chef Hennessey a fait remarquer, à la p. 1328, ce qui suit:
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446; Besançon, 1re Ch. , February 6, 1884, Héritiers Verdant v. Consorts Tournier, D.P. 1885. II. 31; Cass. Com. , November 14, 1966, Banque Franco-Chinoise pour le Commerce et l'Industrie v. Augoyard, Gaz.
Jurisprudence: Banque Canadienne Nationale c. Brousseau (1930), 70 C.S. 167; Banque Provinciale du Canada c. Murray et Lapierre, [1957] R.L. 7; Grace and Company c. Perras (1921), 62 R.C.S. 166; Industrial Fuel and Refrigeration Co. Ltd. c. Pennboro Coal Co., [1957] R.C.S. 160; Gabias c. Mainville (1921), 33 B.R. 32; Stevenson c. Brique Champlain Ltée, [1943] B.R. 196; Larouche c. La Progressive, [1952] B.R. 244; Labrador Realties Ltd. c. Legault, [1960] C.S. 228; Louis et Genet Entreprises Inc. c. Dubé, [1962] C.S. 335; Punger c. Héritiers Serega, [1962] C.S. 702; Dame Schnabel c. Empire Life Insurance Co., [1970] C.S. 313; Union Electric Supply Co. Ltd. c. Bourassa, [1964] R.L. 174; Sinyor Spinners of Canada Ltd. c. Leesona Corporation, [1976] C.A. 395; W.T. Rawleigh Co. c. Dumoulin, [1926] R.C.S. 551; La Haye, 8 juillet 1825, Demoiselle van B . c. Receveur général de la loterie, Pas. 1824-25. 446; Besançon, 1re Ch., 6 février 1884, Héritiers Verdant c. Consorts Tournier, D.P. 1885. 11. 31; Cass. Com., 14 novembre 1966, Banque Franco-Chinoise pour le Commerce et l’Industrie c. Augoyard, Gaz. Pal. 1967.1.77; Cass. Civ., 1” R., 16 décembre 1969, Banque Franco-Chinoise pour le Commerce et l’Industrie c. Augoyard, J.C.P. 70. IV. 33; Amiens, 2° Ch., 17 octobre 1974,
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Multiple Access Ltd. v. McCutcheon, [1982] 2 S.C.R. 161; R. v. Hauser, [1979] 1 S.C.R. 984; R. v. Wetmore, [1983] 2 S.C.R. 284; General Motors of Canada Ltd. v. City National Leasing, [1989] 1 S.C.R. 641; R. v. McKinlay Transport Ltd., [1990] 1 S.C.R. 627; Thomson Newspapers Ltd. v. Canada (Director of Investigation and Research, Restrictive Trade Practices Commission), [1990] 1 S.C.R. 425; Board v. Board, [1919] A.C. 956; Attorney General of Canada v. Canadian National Transportation, Ltd., [1983] 2 S.C.R. 206; R. v. Meltzer, [1989] 1 S.C.R. 1764; R. v. Cass (1985), 71 A.R. 248; Poje v. A.G. for British Columbia, [1953] 1 S.C.R. 516; In re Storgoff, [1945] S.C.R. 526; Hunter v. Southam Inc., [1984] 2 S.C.R. 145, aff'g (1983), 3 C.C.C. (3d) 497, rev'g (1982), 68 C.C.C. (2d) 356; Wilson v. The Queen, [1983] 2 S.C.R. 594; R. v. Komadowski (1986), 27 C.C.C. (3d) 319, leave to appeal denied [1986] 1 S.C.R. x; Re Zevallos and The Queen (1987), 37 C.C.C. (3d) 79.
Multiple Access Ltd. c. McCutcheon, [1982] 2 R.C.S. 161; R. c. Hauser, [1979] 1 R.C.S. 984; R. c. Wetmore, [1983] 2 R.C.S. 284; General Motors of Canada Ltd. c. City National Leasing, [1989] 1 R.C.S. 641; R. c. McKinlay Transport Ltd., [1990] 1 R.C.S. 627; Thomson Newspapers Ltd. c. Canada (Directeur des enquêtes et recherches, Commission sur les pratiques restrictives du commerce), [1990] 1 R.C.S. 425; Board v. Board, [1919] A.C. 956; Procureur général du Canada c. Transports Nationaux du Canada, Ltée, [1983] 2 R.C.S. 206; R. c. Meltzer, [1989] 1 R.C.S. 1764; R. v. Cass (1985), 71 A.R. 248; Poje v. A.G. for British Columbia, [1953] 1 R.C.S. 516; In re Storgoff, [1945] R.C.S. 526; Hunter c. Southam Inc., [1984] 2 R.C.S. 145, conf. (1983), 3 C.C.C. (3d) 497, inf. (1982), 68 C.C.C. (2d) 356; Wilson c. La Reine, [1983] 2 R.C.S. 594; R. v. Komadowski (1986), 27 C.C.C. (3d) 319, autorisation de pourvoi refusée [1986] 1 R.C.S. x; Re Zevallos and The Queen (1987), 37 C.C.C. (3d) 79.
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