|  | Az ezt követõ rémült csendben kiutasítja a cigányokat a földjérõl és elmegy. A cigánycsalád ebbe beletörõdik és a felvonás a híd képével zárul, amint utasok és menekültek mennek át rajta. Eközben a Menekültek Dala hallható. | 
  
    |  | The Act opens with sounds of the celebrations accompanying the official opening of the bridge by the Earl. We see the bridge (a projected picture). This gives way to the wedding celebrations, with the six principal characters and a group of (gypsy) children. There are speeches by Gypsy Jon, the Ironmaster, his wife and Tomas, the bridegroom. The Ironmaster's wife presents a jewelled necklace to the bride; we gather that a matching bracelet had been stolen, and discover that the likely thief was the bridegroom and that Sonja, the daughter, is wearing it. The speeches are followed by songs and later by dancing, in which even the Ironmaster is obliged to take part. The music gets faster, the dance wilder, and the Ironmaster loses his footing and falls to the ground in an undignified manner. He is angry and discomfited. As he rises he dislodges the gypsy player's violin, and in a fit of anger smashes it. During the horrified silence that follows he orders the gypsies off his land and leaves. The gypsy family respond with resignation, and the Act closes with a view of the iron bridge, with a procession of travellers / refugees crossing over it. Accompanying this is "The Song of the Refugees". | 
  
    |  | On entend les bruits qui accompagnent l'inauguration officielle du pont par le comte. Nous voyons le pont (projection de diapositive). On passe ensuite aux fétes du mariage avec les personnages principaux et un groupe d'enfants gitans. On entend les discours de Gypsy Jon, du Méitre des forges, de sa femme et de Tomas, le jeune marié. La femme du Méitre des forges offre un collier de pierres précieuses á la jeune mariée. Nous comprenons que le bracelet qui allait avec la parure a été volé, par le jeune marié, vraisembablement puisque Sonja, la jeune épousée, le porte. Les discours sont suivis de chansons, puis de danses auxquelles le Méitre des forges est forcé de prendre part. Le rythme de la musique s'accélére, les danses sont de plus en plus enfiévrées. Le Méitre des forges trébuche et tombe par terre de maniére trés peu digne. Il est en colére et fort déconfit. En se relevant, il s'empare du violon du musicien gitan et le met en piéces dans un accés de colére. Au court du silence horrifié qui s'ensuit, il ordonne aux gitans de quitter ses terres et sort. La famille de gitans se résigne … partir. La scéne se termine sur une vue du pont de fer sur lequel passe une procession de réfugiés. En fond sonore, on entend ®La chanson des Réfugiés. |