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Rasanter Wandel prägt Vilnius, dies zeigen die vielen Kräne, die in den Himmel ragen. Noch werden in der jungen Hauptstadt EU-Strukturhilfegelder verbaut. Aber die Finanzkrise macht sich auch hier bemerkbar, das Wachstum in der über eine halbe Million Einwohner zählenden Stadt stagniert.
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Vilnius vit actuellement une époque de grand bouleversement ainsi que le prouvent les nombreuses grues qui hérissent l’horizon. On construit beaucoup dans la jeune capitale grâce au fonds d’aide européen. Mais la crise financière se remarque ici aussi, la croissance de cette ville dépassant les 500 000 habitants stagne. Vestige de l’ère soviétique, le Pont-Vert (Zalisasis Tiltas) évoque le passé. On le traverse lorsque l’on revient du restaurant traditionnel pour aller au centre-ville. Quatre sculptures de style soviétique – allégories de l’agriculture, de l’industrie, de la paix et de la jeunesse – montent la garde depuis 1952 à l’entrée de la construction métallique enjambant la Neris. Leur message: l’individu n’est rien, l’idéologie est tout. A cette époque, les envolées culinaires n’entraient pas dans le plan quinquennal. Aujourd’hui, de jeunes entrepreneurs osent la nouveauté et s’inspirent de ce qu’ils ont découvert en Europe, aux Etats-Unis et en Extrême-Orient. Toutes les expériences ne se valent pourtant pas, mais une visite aux deux établissement branchés, le Mano Guru et le Cozy, vaut le détour. La cuisine que l’on sert dans les nombreux cafés, souvent installés dans des caves voûtées, est pratiquement toujours bonne. On peut la goûter à la fin d’une promenade dans la vieille-ville et après avoir admiré l’abondance de bijoux d’ambre proposés dans les vitrines.
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Vilnius sta subendo un cambiamento rapido, e questo si nota dalle molte gru che s’innalzano al cielo. Nella giovane capitale si spende ancora il denaro delle sovvenzioni europee in costruzioni. Tuttavia la crisi finanziaria è giunta anche qui, la crescita nella città di oltre mezzo milione di abitanti stagna. Il ponte verde, lo Zalisasis Tiltas, che congiunge il centro della città con il ristorante della tradizione, evoca tempi passati. Quattro sculture sovietiche, che simboleggiano l’agricoltura, l’industria, la pace e la gioventù, vegliano sulla costruzione metallica sul fiume Neris dal 1952 e sembra che lancino un messaggio: l’individuo è poca cosa, l’ideologia è tutto. La raffinatezza gastronomica non era molto considerata ai tempi del regime sovietico. Oggi i giovani imprenditori si lanciano in nuovi progetti o si orientano verso ciò che hanno appreso in Europa, in America e in Asia. Non tutti gli esperimenti riescono, ma una visita ai locali Mano Guru e Cozy è d’obbligo. L’offerta dei dolci in uno dei numerosi caffè, che spesso si trovano in vecchi scantinati con il soffitto a volta, è quasi sempre deliziosa. Qui ci si può riposare dopo un giro in città vecchia e la visita ai molti negozi di ambre.
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