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In one study in Atlanta, Georgia, the ambient levels of formaldehyde at four locations between July and August 1992 were reported to average between 2.7 and 3.0 ppb, with a peak level of 8.3 ppb.14In the early 1980s, average Canadian formaldehyde levels in homes ranged from 0.014 to 0.042 mg/m3, whereas the average level in homes with urea-formaldehyde foam insulation was 0.066 mg/m3.15,16The overall daily inhalation exposure for an average adult has been approximated as 0.3-2.1 mg (average 1 mg), with exposures as high as 5 mg/d.5
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La population générale est exposée au formaldéhyde principalement par inhalation. On a estimé qu'une personne fumant 20 cigarettes par jour recevait 0,38 à 1 mg/j par cette voie.5,6Le formaldéhyde est libéré dans l'air par les colles de résine synthétique et les matières plastiques; de faibles niveaux (parties par milliard) de formaldéhyde dans l'air peuvent également résulter de la photooxydation d'hydrocarbures provenant de combustibles fossiles. Au cours d'une étude menée dans quatre zones d'Atlanta, en Géorgie, pendant les mois de juillet et août 1992, on a signalé que les niveaux atmosphériques moyens de formaldéhyde se situaient entre 2,7 et 3,0 ppb, avec une valeur de crête de 8,3 ppb.14Au Canada, au début des années 1980, les niveaux moyens de formaldéhyde dans les habitations ordinaires allaient de 0,014 à 0,042 mg/m3, alors que le niveau moyen de formaldéhyde dans les habitations contenant de la mousse isolante d'urée-formaldéhyde était de 0,066 mg/m3.15,16On estime que l'exposition quotidienne par inhalation pour un adulte moyen est d'environ 0,3 à 2,1 mg/j (moyenne de 1 mg/j), avec quelques expositions atteignant 5 mg/j.5En admettant une contribution des aliments d'environ 9,4 mg/j,5,8une contribution de l'inhalation d'environ 1 mg/j5et une contribution de l'eau d'environ 0,15 mg/j (le pire des scénarios : 100 µg/L),8un adulte recevrait 10,55 mg de formaldéhyde par jour; moins de 2 p. cent de cet apport total proviendraient de l'eau potable.
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