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Keybot 39 Résultats  www.hls-dhs-dss.ch  Page 8
  Altdorf (UR)  
Nel 1968 fu eretta la cappella di Eggberge, nel 1969 la chiesa dedicata a S. Nicolao della Flüe. I rif. , che ad A. celebrano regolarmente funzioni religiose dal 1911, hanno una chiesa con casa parrocchiale dal 1924; dal 1885 appartengono alla nuova comunità parrocchiale rif. urana e hanno un proprio Consiglio ecclesiale.
En sus de ses tâches pastorales, le clergé s'est fortement engagé dans des activités sociales et scolaires. De nombreuses associations religieuses sont apparues depuis la seconde moitié du XIXe s. La chapelle d'Eggberge fut bâtie en 1968, l'église Saint-Nicolas-de-Flue en 1969. Depuis 1911, les protestants célèbrent régulièrement des cultes à A.; ils ont construit leur temple et leur maison de paroisse en 1924. Ils appartiennent depuis 1885 à la nouvelle paroisse réformée d'Uri et gèrent leur propre budget.
Auch der Klerus engagierte sich neben der Seelsorge stark in schul. und sozialen Belangen. 1968 entstand die Kapelle auf den Eggbergen, 1969 folgte die Kirche Bruder Klaus. Die Reformierten hielten seit 1911 regelmässig Gottesdienst in A. und errichteten 1924 eine Kirche samt Pfarrhaus. Sie gehören seit 1885 zur neu gegr. ref. Kirchgem. Uri und besitzen eine eigene Kirchenpflege. Seit der 2. Hälfte des 19. Jh. sind zahlreiche kirchl. Standesvereine entstanden.
  Konolfingen (comune)  
La comunità rif. di Stalden, resa autonoma da quella di Münsingen nel 1911, prese il nome del nuovo com. di K. solo un anno dopo la creazione di quest'ultimo; ne fanno parte anche Häutligen e Niederhünigen.
En 1898, une église fut érigée à la Kreuzstrasse. D'abord filiale de Münsingen, elle s'en sépara en 1911; la nouvelle paroisse de Stalden prit le nom de K. en 1934 (une année après la création de la commune). Elle comprend aussi Häutligen et Niederhünigen. La filiale protestante d'Im Holz fut édifiée en 1935, l'église catholique d'Im Inseli en 1967. K. est un centre régional abritant une école secondaire (1949) et de nombreuses entreprises industrielles, artisanales et de services.
1898 wurde die Filialkirche an der Kreuzstrasse gebaut. Die Trennung von der Kirchgem. Münsingen erfolgte 1911; die neue Kirchgem. Stalden wurde nach dem Entstehen der Einwohnergem. K. im Jahr 1933 nur ein Jahr später in K. umbenannt. Ihr gehören auch Häutligen und Niederhünigen an. 1935 entstand die ref. Filialkirche im Holz, 1967 die kath. Kirche im Inseli. Zu Beginn des 21. Jh. ist K. ein regionales Zentrum mit Industrie, Gewerbe, Dienstleistungsbetrieben sowie Standort der Sekundarschule (seit 1949).
  Altdorf (UR)  
Nel 1968 fu eretta la cappella di Eggberge, nel 1969 la chiesa dedicata a S. Nicolao della Flüe. I rif. , che ad A. celebrano regolarmente funzioni religiose dal 1911, hanno una chiesa con casa parrocchiale dal 1924; dal 1885 appartengono alla nuova comunità parrocchiale rif. urana e hanno un proprio Consiglio ecclesiale.
En sus de ses tâches pastorales, le clergé s'est fortement engagé dans des activités sociales et scolaires. De nombreuses associations religieuses sont apparues depuis la seconde moitié du XIXe s. La chapelle d'Eggberge fut bâtie en 1968, l'église Saint-Nicolas-de-Flue en 1969. Depuis 1911, les protestants célèbrent régulièrement des cultes à A.; ils ont construit leur temple et leur maison de paroisse en 1924. Ils appartiennent depuis 1885 à la nouvelle paroisse réformée d'Uri et gèrent leur propre budget.
Auch der Klerus engagierte sich neben der Seelsorge stark in schul. und sozialen Belangen. 1968 entstand die Kapelle auf den Eggbergen, 1969 folgte die Kirche Bruder Klaus. Die Reformierten hielten seit 1911 regelmässig Gottesdienst in A. und errichteten 1924 eine Kirche samt Pfarrhaus. Sie gehören seit 1885 zur neu gegr. ref. Kirchgem. Uri und besitzen eine eigene Kirchenpflege. Seit der 2. Hälfte des 19. Jh. sind zahlreiche kirchl. Standesvereine entstanden.
  Konolfingen (comune)  
La comunità rif. di Stalden, resa autonoma da quella di Münsingen nel 1911, prese il nome del nuovo com. di K. solo un anno dopo la creazione di quest'ultimo; ne fanno parte anche Häutligen e Niederhünigen.
En 1898, une église fut érigée à la Kreuzstrasse. D'abord filiale de Münsingen, elle s'en sépara en 1911; la nouvelle paroisse de Stalden prit le nom de K. en 1934 (une année après la création de la commune). Elle comprend aussi Häutligen et Niederhünigen. La filiale protestante d'Im Holz fut édifiée en 1935, l'église catholique d'Im Inseli en 1967. K. est un centre régional abritant une école secondaire (1949) et de nombreuses entreprises industrielles, artisanales et de services.
1898 wurde die Filialkirche an der Kreuzstrasse gebaut. Die Trennung von der Kirchgem. Münsingen erfolgte 1911; die neue Kirchgem. Stalden wurde nach dem Entstehen der Einwohnergem. K. im Jahr 1933 nur ein Jahr später in K. umbenannt. Ihr gehören auch Häutligen und Niederhünigen an. 1935 entstand die ref. Filialkirche im Holz, 1967 die kath. Kirche im Inseli. Zu Beginn des 21. Jh. ist K. ein regionales Zentrum mit Industrie, Gewerbe, Dienstleistungsbetrieben sowie Standort der Sekundarschule (seit 1949).
  Regensdorf (comune)  
A R. esisteva inoltre la cosiddetta chiesa superiore, autonoma (menz. nel 1375); risalente quasi certamente al XII sec., fu profanata durante la Riforma e restaurata nel 1953-54 (resti di affreschi del Romanico).
La chapelle Saint-Nicolas à R. (mentionnée en 1280) et la chapelle Sainte-Odile à Watt (mentionnée en 1359) dépendaient de l'église de Höngg. Il existait aussi à R. une "église supérieure" autonome (mentionnée en 1375). Le bâtiment, qui datait sans doute du XIIe s., fut sécularisé à la Réforme et restauré en 1953-1954 (fragments de peintures murales romanes). R. devint paroisse protestante en 1529, la chapelle Saint-Nicolas servant de temple. Commune entièrement protestante jusqu'au milieu du XIXe s., R. comptait encore 45% de protestants, 38% de catholiques et 17% d'autres confessions ou sans confession en 1990. En 1963 fut fondée la paroisse catholique Saint-Maurice qui englobe l'ensemble du Furttal.
Die St. Niklauskapelle in R. (erw. 1280) und die St. Ottilienkapelle in Watt (erw. 1359) waren Filialen der Kirche Höngg. Daneben bestand in R. die selbstständige "obere Kirche" (erw. 1375). Der wohl aus dem 12. Jh. stammende Bau wurde in der Reformation profaniert und 1953-54 restauriert (Reste rom. Wandmalerei). 1529 wurde R. zur ref. Pfarrei, die vormalige St. Niklauskapelle zur Pfarrkirche erhoben. Bis zur Mitte des 19. Jh. gänzlich reformiert, zählte R. 1990 noch 45% Reformierte, 38% Katholiken und 17% anderer oder ohne Konfession. 1963 wurde die kath. St. Mauritiuspfarrei für das gesamte zürcher. Furttal gebildet.
  Bienne (comune)  
Lo sviluppo di B. nel XVII e XVIII sec. fu analogo a quello di altre piccole città. La città accolse nel XVII sec. emigrati rif. franc. , ma limitò fortemente le concessioni di nuova cittadinanza. Contemporaneamente, a seguito di un processo di aristocratizzazione, singole fam.
Le noyau fortifié sur la colline subit avant 1295 un premier agrandissement vers le nord-est (Obergasse et Untergasse) et vers 1350 un deuxième vers le sud et la plaine (äussere Neuenstadt), qui doublèrent presque la surface bâtie. Après l'incendie de 1367, la ville fut reconstruite dans ses anciennes limites, qui ne varièrent plus jusqu'au milieu du XIXe s. Le site du château, dont on déblaya partiellement les ruines en 1405, fut peu à peu intégré à la ville (dès 1489) et vit s'élever le nouvel hôtel de ville (1530-1534), l'arsenal (1589-1591, aujourd'hui transformé en théâtre), les ateliers municipaux, les bains et la halle aux draps. Le vieil hôtel de ville fit place en 1578-1582 à l'auberge communale de la Couronne. Les maisons des corporations bordaient le Ring, très ancienne place du plaid et du marché. Dès le XIVe ou le XVe s., le Conseil favorisa financièrement le remplacement du bois par la pierre, pour diminuer les risques d'incendie. Beaucoup de maisons furent agrandies dans la première moitié du XVIIe s. et habillées de leur façade actuelle vers 1800, époque où s'introduisit la propriété par étage. Les modèles architecturaux sont ceux du Jura sud, avec une influence bernoise.
  Regensdorf (comune)  
A R. esisteva inoltre la cosiddetta chiesa superiore, autonoma (menz. nel 1375); risalente quasi certamente al XII sec., fu profanata durante la Riforma e restaurata nel 1953-54 (resti di affreschi del Romanico).
La chapelle Saint-Nicolas à R. (mentionnée en 1280) et la chapelle Sainte-Odile à Watt (mentionnée en 1359) dépendaient de l'église de Höngg. Il existait aussi à R. une "église supérieure" autonome (mentionnée en 1375). Le bâtiment, qui datait sans doute du XIIe s., fut sécularisé à la Réforme et restauré en 1953-1954 (fragments de peintures murales romanes). R. devint paroisse protestante en 1529, la chapelle Saint-Nicolas servant de temple. Commune entièrement protestante jusqu'au milieu du XIXe s., R. comptait encore 45% de protestants, 38% de catholiques et 17% d'autres confessions ou sans confession en 1990. En 1963 fut fondée la paroisse catholique Saint-Maurice qui englobe l'ensemble du Furttal.
Die St. Niklauskapelle in R. (erw. 1280) und die St. Ottilienkapelle in Watt (erw. 1359) waren Filialen der Kirche Höngg. Daneben bestand in R. die selbstständige "obere Kirche" (erw. 1375). Der wohl aus dem 12. Jh. stammende Bau wurde in der Reformation profaniert und 1953-54 restauriert (Reste rom. Wandmalerei). 1529 wurde R. zur ref. Pfarrei, die vormalige St. Niklauskapelle zur Pfarrkirche erhoben. Bis zur Mitte des 19. Jh. gänzlich reformiert, zählte R. 1990 noch 45% Reformierte, 38% Katholiken und 17% anderer oder ohne Konfession. 1963 wurde die kath. St. Mauritiuspfarrei für das gesamte zürcher. Furttal gebildet.
  Ennenda  
Fino al 1395 E. pagò i propri tributi al convento di Säckingen. Gli ab. dipendevano dalla parrocchia di Glarona e aderirono alla Riforma nel 1528. Dal 1594 E. fece parte della comunità scolastica di Glarona.
Comm. GL située sur la rive droite de la Linth, en face de Glaris, au pied du Schilt. Elle se compose du village en éventail d'E. avec sa partie la plus ancienne d'Oberdorf, du hameau de Sturmigen, du village d'Ennetbühls et d'Ennetberge, dans la montagne. 1303-1307 Obront-Ennant-A et Nydern-Ennant-A. 204 hab. en 1554, 1018 en 1763, 2313 en 1850, 2783 en 1870, 2494 en 1900, 2940 en 1950, 3076 en 1960, 2808 en 2000. Le territoire fut probablement colonisé par les Celtes, puis par les Alamans. Jusqu'en 1395, E. payait ses redevances au couvent de Säckingen. Les habitants dépendaient de la paroisse de Glaris et passèrent à la Réforme en 1528. E. fit partie dès 1594 de la communauté scolaire de Glaris. En 1528, E. devint protestant. L'église réformée fut construite en 1774, la cure en 1775. Jusqu'en 1877, la majorité des habitants d'Ennetbühls resta fidèle à l'église de Glaris.
Polit. Gem. GL, auf der rechten Seite der Linth gegenüber von Glarus am Fuss des Schilt gelegen. Die Gem. besteht aus dem fächerförmigen E. mit dem am Abhang liegenden ältesten Dorfteil Oberdorf, dem Weiler Sturmigen, der Dorfschaft Ennetbühls und der Bergsiedlung Ennetberge. 1303-07 Obront-Ennant-A und Nydern-Ennant-A. 1554 204 Einw.; 1763 1'018; 1850 2'313; 1870 2'783; 1900 2'494; 1950 2'940; 1960 3'076; 2000 2'808. Wahrscheinlich besiedelten bereits die Kelten, dann die Alemannen das Gebiet. Bis 1395 war E. dem Kloster Säckingen abgabepflichtig. Die Einwohner waren nach Glarus kirch-, ab 1594 auch schulgenössig. 1528 erfolgte der Übertritt zur Reformation. 1774 wurde die ref. Kirche, 1775 das Pfarrhaus gebaut. Die Mehrheit der Ennetbühlser blieb bis 1877 bei der Kirche von Glarus.
  Affoltern am Albis  
Per la chiesa rif. , più volte ampliata, Gottfried Semper progettò nel 1861 un campanile a frontone gradonato. La chiesa catt. , risalente al 1892, fu demolita nel 1981; al suo posto sorse un centro parrocchiale (1983).
En 1861, Gottfried Semper surmonta d'un pignon à redents le clocher du temple protestant, plusieurs fois agrandi. L'église catholique de 1892 fut démolie en 1981 et remplacée en 1983 par un centre paroissial. En 1638, une classe s'ouvrit dans une maison paysanne; en 1670, on construisit une école à côté de l'hospice, laquelle fut remplacée en 1817 par un nouveau bâtiment (l'actuelle maison communale). Zwillikon posséda une classe dès 1693; une école dès 1821. La commune scolaire de Zwillikon ne fut réunie à celle d'A. qu'en 1926. Nouvelle école primaire en 1879, école secondaire en 1899; plusieurs nouveaux bâtiments scolaires (Butzen en 1966, Zwillikon en 1975, Semper en 1992), et notamment celui d'Ennetgraben (1971), qui sert d'école supérieure pour A. et Aeugst am Albis.
Für die mehrmals vergrösserte ref. Kirche entwarf Gottfried Semper 1861 einen Treppengiebel-Turmaufsatz. Die kath. Kirche von 1892 wurde 1981 gesprengt und 1983 durch ein Pfarreizentrum ersetzt. 1638 wurde in einer Bauernstube erstmals Schule gehalten. Um 1670 entstand neben dem Pfrundhaus ein Schulgebäude, das 1817 durch einen Neubau (heute Gemeindehaus) ersetzt wurde. In Zwillikon stand ab 1693 eine Schulstube; ein Schulhausbau erfolgte 1821. Die Schulgem. Zwillikon wurde erst 1926 mit jener von A. vereinigt. Ein neues Primarschulhaus entstand 1879, ein Sekundarschulhaus 1899. Seither folgten div. Neubauten (1966 Butzen, 1975 Zwillikon, 1992 Semper), u.a. 1971 Ennetgraben als Oberstufenschulhaus für A. und Aeugst am Albis.
  Linthal  
Nel 1840 fu costruito l'edificio che ospitava la scuola rif. e la casa parrocchiale (sede del municipio dal 1974), nel 1847 la scuola di Auen (ricostruita nel 1958), nel 1889 la scuola com. di Sand (rinnovata nel 1973-74).
L'école protestante fut construite en 1840 (transformée en maison de commune en 1974), celle d'Auen en 1847 (refaite en 1958), celle de Sand en 1889 (refaite en 1973-1974). Une école secondaire existe depuis 1865. Les écoles confessionnelles furent réunies en 1874. La maison de retraite fondée en 1938 fut transformée et agrandie en 1977-1978. Le danger d'éboulement au Kilchenstock entraîna l'évacuation temporaire de la partie menacée du village (1930). Après les ravages causés par le Durnagelbach (1944), on réalisa entre 1945 et 1985 des travaux de protection exemplaires. Le lac artificiel de Limmern et la centrale électrique (construite entre 1957 et 1965) sont des ouvrages d'envergure nationale; les forces motrices de Linth-Limmern offrent une quarantaine d'emplois et alimentent les caisses de la commune et des Tagwen (droits sur l'eau).
1840 baute man das ref. Schul- und Pfarrhaus (1974 Umbau zum Gemeindehaus), 1847 das Schulhaus Auen (1958 Neubau), 1889 das Dorfschulhaus Sand (1973-74 Neubau) und seit 1865 besteht die Sekundarschule. 1874 wurden die konfessionellen Schulen vereint. Das 1938 gegr. Bürger- und Altersheim wurde 1977-78 umgebaut und um einen Neubau ergänzt. Die Bergsturzgefahr am Kilchenstock führte 1930 zur vorübergehenden Evakuierung des betroffenen Dorfteils. Nach den Verwüstungen durch den Durnagelbach 1944 wurden 1945-85 beispielhafte Verbauungen und Hangsicherungen erstellt. Von nationaler Bedeutung ist das 1957-65 errichtete Hochdruckspeicherwerk Linth-Limmern mit dem Limmern-Stausee. Neben ca. 40 Arbeitsplätzen brachte es Steuereinnahmen für die Gem. und Einkünfte für die Tagwen (Wasserzinsen).
  Affoltern am Albis  
Le ricerche di reperti di epoca romana (villae, a Grossholz, Betpur, Aespli, Zwillikon), condotte in base a indizi del XIX sec., sono rimaste infruttuose. Durante il restauro della chiesa rif. (1975-77) furono rinvenute tracce di una cappella (risalente all'anno Mille) e i resti delle mura di una chiesa romanica (XII/XIII sec.).
Les vestiges les plus anciens sont des tumulus hallstattiens sur le Müliberg, au centre du bourg et à l'Aespli. On n'a pas pu retrouver les villae (Grossholz, Betpur, Aespli, Zwillikon), auxquelles font allusion des auteurs du XIXe s. Lors de la rénovation du temple protestant (1975-1977), on découvrit les fondations d'une chapelle (vers l'an mille) et d'une église romane du XIIe/XIIIe s. En 1190, A. est mentionné pour la première fois dans une reconnaissance du monastère d'Engelberg; en 1213, Frédéric II confirma les titres de propriété du couvent, église comprise. En 1303, le droit de patronat passa au chapitre cathédral de Constance. L'actuelle église, de style gothique tardif, fut construite vers 1500 à la place d'un édifice gothique plus ancien du XIIIe/XIVe s. Une chapelle, filiale de l'église d'Unterlunkhofen, fut élevée vers 1300 à Zwillikon (transformée en habitation en 1840).
Früheste Siedlungszeugen sind Grabhügel der Hallstattzeit auf dem Müliberg, in der Dorfmitte und im Aespli. Nachforschungen aufgrund von Hinweisen aus dem 19. Jh. auf röm. Gutshöfe (Grossholz, Betpur, Aespli, Zwillikon) verliefen ergebnislos. Bei der Renovation der ref. Kirche (1975-77) fand man Spuren einer Kapelle (um 1000) und Restgemäuer einer rom. Kirche (12./13. Jh.). 1190 ist A. (Namensdeutung: Apfelbaumdorf) in einem Urbar des Klosters Engelberg erstmals urkundl. erw.; 1213 bestätigte Kg. Friedrich II. den Klosterbesitz samt Kirche. 1303 gelangte das Patronat an das Domstift Konstanz. Über Resten eines got. Vorgängerbaus (13./14. Jh.) entstand um 1500 die spätgot. Kirche. Um 1300 wurde in Zwillikon eine Kapelle als Filiale der Kirche Unterlunkhofen erbaut (1840 in Doppelwohnhaus umgewandelt).
  Dietikon  
Killwangen, Urdorf, Spreitenbach e Rudolfstetten si separarono dalla parrocchia madre entro il 1861, divenendo parrocchie autonome. Una forte minoranza rif. viveva a D. ; il pastore, nominato e remunerato da Wettingen, risiedette nella rif. Urdorf dal 1627.
A la fin du XIe s. déjà, D. possédait une église paroissiale, dédiée à saint Ulrich, puis à sainte Agathe. Après en avoir acquis le patronage, Wettingen se l'incorpora et ses moines la desservirent. Killwangen, Urdorf, Spreitenbach et Rudolfstetten se séparèrent de la paroisse-mère en 1861 ou antérieurement. D. comptait une forte minorité protestante; le pasteur, nommé et rémunéré par Wettingen, résidait à Urdorf, localité protestante, à partir de 1627. Avant la construction de deux sanctuaires distincts en 1926, l'église fut utilisée par les deux confessions. Jusqu'en 1963, D. était l'une des quatre paroisses catholiques reconnues dans le canton de Zurich. Geroldswil-Oetwil et le nouveau quartier de Schönenwerd avec l'église Saint-Joseph construite en 1967, devinrent en 1972 des cures autonomes au sein de la paroisse. Pour remédier au manque de prêtres, les paroisses de D. et de Schlieren décidèrent en 2003 de regrouper la pastorale. En 2000, la commune comptait 42% de catholiques et 26% de protestants.
Bereits Ende des 11. Jh. besass D. eine dem hl. Ulrich, später der hl. Agatha geweihte Pfarrkirche. Nach dem Erwerb des Patronats erwirkte Wettingen ihre Inkorporation in das Kloster und besetzte die Pfarrstelle mit Klostergeistlichen. Der ref. Pfarrer, von Wettingen eingesetzt und besoldet, sass seit 1627 im ref. Urdorf. Bis 1861 wurden die zur ehemaligen Grosspfarrei D. gehörenden Gem. Killwangen, Urdorf, Spreitenbach und Rudolfstetten eigenständige Pfarreien. D. wies eine starke ref. Minderheit auf. Die Kirche wurde bis zum Neubau zweier getrennter Gotteshäuser 1926 von beiden Konfessionen benützt. Bis 1963 war D. eine der vier öffentlich-rechtlich anerkannten kath. Kirchgem. im Kt. Zürich. 1972 wurden Geroldswil-Oetwil und das Neubauquartier Schönenwerd mit der 1967 erbauten Kirche St. Josef zu selbstständigen, zur Kirchgem. D. gehörenden Pfarreien. 2003 beschlossen die Kirchgem. D. und Schlieren angesichts des Priestermangels die Bildung eines gemeinsamen Seelsorgeraums. Die Gem. zählte 2000 42% Katholiken und 26% Reformierte.
  Linthal  
Accanto all'edificio sorse nel 1333 un convento femminile. Nonostante l'introduzione della Riforma (1528), la maggioranza della pop. rimase legata alla vecchia fede. Sebbene nel 1543 il loro numero risultasse notevolmente ridotto, dal 1556 i catt.
Une chapelle mentionnée en 1289 devint église paroissiale en 1319 au plus tard. Un ermitage de sours jouxtant l'église est attesté en 1333. A la Réforme (1528), L. resta majoritairement fidèle à l'ancienne foi. En 1543, il ne restait cependant qu'un petit nombre de catholiques; ils revendiquèrent en 1556 l'église pour leur usage exclusif, se basant sur un engagement pris par Glaris en 1531 envers les cantons catholiques. Jusqu'à la construction d'un temple à Ennetlinth en 1604, les protestants assistèrent au culte à Betschwanden. Rien ne fut toutefois modifié aux compétences administratives de la commune ecclésiastique, qui était confessionnellement mixte; elle possédait la plupart des forêts (jusqu'à leur partage entre les trois Tagwen en 1795), ainsi que les droits de pacage à chèvres et de récolte des foins sauvages. En 1781, une crue détruisit le temple qui fut rebâti en 1782 au Dorf. La commune adopta le nom de L. en 1795. L'actuelle église catholique fut érigée en 1905-1906 à la Matt. La paroisse catholique de L. comprend aujourd'hui Rüti et Braunwald.
1289 ist eine Kapelle bezeugt, die spätestens 1319 zur Pfarrkirche erhoben wurde, 1333 eine neben der Kirche erbaute Schwesternklause. In der Reformation 1528 blieb L. mehrheitlich beim alten Glauben. 1543 zählte man jedoch nur noch wenige Katholiken, die aber aufgrund einer Glarner Zusage von 1531 an die kath. Orte ab 1556 die Kirche für sich allein beanspruchten. Bis zum Bau einer eigenen Kirche in Ennetlinth 1604 besuchten die ref. Einwohner den Gottesdienst in Betschwanden. An den kommunalen Verwaltungsaufgaben der überkonfessionellen Kirchgemeinde änderte sich aber nichts. Ihr gehörten weiterhin fast alle Wälder sowie die Geissweid- und Wildheurechte. 1781 zerstörte ein Hochwasser die ref. Kirche, die 1782 im Tagwen Dorf neu aufgebaut wurde. 1795 teilte die Kirchgemeinde den Waldbesitz unter den drei Tagwen auf. Im selben Jahr gab man sich den Ortsnamen L. 1905-06 entstand die heutige kath. Kirche im Tagwen Matt. Die heutige kath. Kirchgemeinde L. umfasst auch Rüti und Braunwald.
  Dietikon  
Killwangen, Urdorf, Spreitenbach e Rudolfstetten si separarono dalla parrocchia madre entro il 1861, divenendo parrocchie autonome. Una forte minoranza rif. viveva a D. ; il pastore, nominato e remunerato da Wettingen, risiedette nella rif. Urdorf dal 1627.
A la fin du XIe s. déjà, D. possédait une église paroissiale, dédiée à saint Ulrich, puis à sainte Agathe. Après en avoir acquis le patronage, Wettingen se l'incorpora et ses moines la desservirent. Killwangen, Urdorf, Spreitenbach et Rudolfstetten se séparèrent de la paroisse-mère en 1861 ou antérieurement. D. comptait une forte minorité protestante; le pasteur, nommé et rémunéré par Wettingen, résidait à Urdorf, localité protestante, à partir de 1627. Avant la construction de deux sanctuaires distincts en 1926, l'église fut utilisée par les deux confessions. Jusqu'en 1963, D. était l'une des quatre paroisses catholiques reconnues dans le canton de Zurich. Geroldswil-Oetwil et le nouveau quartier de Schönenwerd avec l'église Saint-Joseph construite en 1967, devinrent en 1972 des cures autonomes au sein de la paroisse. Pour remédier au manque de prêtres, les paroisses de D. et de Schlieren décidèrent en 2003 de regrouper la pastorale. En 2000, la commune comptait 42% de catholiques et 26% de protestants.
Bereits Ende des 11. Jh. besass D. eine dem hl. Ulrich, später der hl. Agatha geweihte Pfarrkirche. Nach dem Erwerb des Patronats erwirkte Wettingen ihre Inkorporation in das Kloster und besetzte die Pfarrstelle mit Klostergeistlichen. Der ref. Pfarrer, von Wettingen eingesetzt und besoldet, sass seit 1627 im ref. Urdorf. Bis 1861 wurden die zur ehemaligen Grosspfarrei D. gehörenden Gem. Killwangen, Urdorf, Spreitenbach und Rudolfstetten eigenständige Pfarreien. D. wies eine starke ref. Minderheit auf. Die Kirche wurde bis zum Neubau zweier getrennter Gotteshäuser 1926 von beiden Konfessionen benützt. Bis 1963 war D. eine der vier öffentlich-rechtlich anerkannten kath. Kirchgem. im Kt. Zürich. 1972 wurden Geroldswil-Oetwil und das Neubauquartier Schönenwerd mit der 1967 erbauten Kirche St. Josef zu selbstständigen, zur Kirchgem. D. gehörenden Pfarreien. 2003 beschlossen die Kirchgem. D. und Schlieren angesichts des Priestermangels die Bildung eines gemeinsamen Seelsorgeraums. Die Gem. zählte 2000 42% Katholiken und 26% Reformierte.
  Schwanden (GL)  
Una statua della fontana raffigurata con la mano alzata in segno di giuramento ricorda che sulla cosiddetta Landsgemeindehoschet dal 1448 al 1623 si tennero la maggior parte delle Landsgemeinden ordinarie, e dal 1623 al 1837 quelle rif. (una settimana prima della Landsgemeinde comune a Glarona).
De rares vestiges datent des époques celtique et romaine. Les toponymes sont pour la plupart d'origine alamane. La plus ancienne maison conservée, le Turehuus à Thon, est contemporaine du château fort de Benzigen, construit au XIIIe s. sur une moraine au nord de S., mais abandonné au bout de quelques décennies déjà. S. formait un Tagwen dépendant de l'abbaye de Säckingen. Relevant de la paroisse de Glaris, les gens de S. construisirent en 1349 une église, d'abord filiale de Glaris, qui connut une utilisation paritaire dès 1528, jusqu'à l'abolition de la messe en 1558. Au lieudit Landsgemeindehoschet, une statue sur un fût de fontaine, représentant un personnage levant la main pour prêter serment, rappelle l'emplacement où se réunissait généralement la landsgemeinde ordinaire de 1448 à 1623, puis de 1623 à 1837 la landsgemeinde protestante (une semaine avant la landsgemeinde commune à Glaris). Considérablement agrandie en 1753 par les frères Grubenmann, l'église sert aujourd'hui encore au culte réformé pour les habitants de S. et des quatre anciennes communes voisines de Sool, Schwändi, Haslen et Nidfurn. La tour des Poudres, édifiée probablement en 1757 pour la partie protestante du canton, témoigne de la résurgence périodique des tensions confessionnelles. L'église catholique fut consacrée en 1895, puis reconstruite en 1973. Elle sert de paroissiale aux catholiques de neuf anciennes communes.
Spärl. Funde aus kelt. und röm. Zeit. Die meisten Flurnamen sind alemann. Ursprungs. Im 13. Jh. wurde auf der Moräne nördlich von S. die Burg Benzigen erbaut, jedoch schon nach wenigen Jahrzehnten verlassen. Aus derselben Zeit stammt der gemauerte Teil des ältesten noch erhaltenen Hauses, des "Turehuus" in Thon. S. bildete unter der Herrschaft des Klosters Säckingen einen Tagwen. Früher zur Kirche von Glarus gehörig, bauten die Schwander 1349 eine eigene Kirche, die vorerst Filiale von Glarus war. Ab 1528 wurde die Kirche paritätisch genutzt, die Messe jedoch 1558 abgeschafft. Eine Brunnenfigur mit erhobener Schwurhand erinnert in der "Landsgemeindehoschet" daran, dass hier 1448-1623 meist die ordentl. Landsgemeinden und 1623-1837 jene der Reformierten tagten, jeweils eine Woche vor der gemeinsamen in Glarus. Die Kirche erfuhr 1753 eine beträchtl. Erweiterung durch die Gebrüder Grubenmann. Noch heute dient sie auch den vier ehem. Nachbargemeinden Sool, Schwändi, Haslen und Nidfurn als ref. Kirche. Vermutlich 1757 wurde in S. der Pulverturm für den ref. Landesteil erbaut, ein Zeichen wiederholt aufflackernder konfessioneller Auseinandersetzungen. 1895 wurde die neu errichtete kath. Kirche geweiht, 1973 durch einen Neubau ersetzt. Sie ist die Pfarrkirche der Katholiken von neun Dörfern.
  Bülach (comune)  
L'edificio della chiesa attuale risale agli anni 1508-14; navata e campanile furono più volte ristrutturati nel XVII e XIX sec. (ultimo restauro nel 1969-70). Durante la Riforma, B. e la regione circostante divennero un importante centro del movimento anabattista, che fu represso con violenza dalle autorità della Chiesa rif. zurighese.
L'église-halle Saint-Laurent peut être datée du VIIe s., d'après la sépulture d'une noble alémane (la fondatrice?) qu'on y a retrouvée en 1968. Elle est mentionnée en 811, en relation (mal connue) avec l'abbaye de Saint-Gall. Vers 1188, elle appartient avec le droit de collation aux barons de Tengen, qui ne la cédèrent à Zurich qu'en 1463. L'édifice actuel date des années 1508-1514. La nef et le clocher subirent plusieurs transformations aux XVIIe et XIXe s. (dernière rénovation en 1969-1970). A l'époque de la Réforme, B., comme toute la région, fut un important foyer de l'anabaptisme, durement réprimé par les autorités réformées zurichoises. Des conflits religieux éclatèrent au XIXe s., quand les néoévangéliques (une branche du Réveil piétiste) et les néo-baptistes commencèrent à tenir des assemblées, les premiers en 1820, les seconds en 1835. Réunions méthodistes depuis 1864; fondation d'une "paroisse libre" (auj. Eglise baptiste) en 1881. La paroisse réformée inclut aujourd'hui Bachenbülach, Hochfelden, Höri et Winkel. Le premier office romain que l'Unterland zurichois ait connu depuis la Réforme fut célébré en 1882 à l'auberge du Rössli de B. Les catholiques inaugurèrent leur église en 1902 et se constituèrent en paroisse en 1943.
Die älteste Saalkirche mit der 1968 in der ref. Kirche entdeckten Begräbnisstätte einer alemann. Adligen (Stifterin?) datiert aus dem 7. Jh. Die 811 erw. Kirche St. Laurentius stand zu diesem Zeitpunkt in unbestimmter Beziehung zum Kloster St. Gallen. Um 1188 war sie mit den Kollaturrechten im Besitz der Frh. von Tengen, die sie erst 1463 an Zürich veräusserten. Das heutige Kirchengebäude stammt aus den Jahren 1508-14, mehrere Umbauten von Schiff und Turm fanden im 17. und 19. Jh. statt (letzte Renovation 1969-70). In der Reformationszeit wurde die Region und B. selber zu einem wichtigen Stützpunkt des Täufertums, das von der ref. Zürcher Obrigkeit gewaltsam unterdrückt wurde. Im 19. Jh. kam es zu religiösen Auseinandersetzungen, als um 1820 die Neugläubigen (eine Gruppe der pietist. Erweckungsbewegung) und 1835 die Neutäufer mit ihren Versammlungsstunden begannen. Ab 1864 wurden in B. methodist. Versammlungen abgehalten, 1881 die Freie Gemeinde (heute Baptistenkirche) gegründet. Zur ref. Kirchgem. B. gehören heute Bachenbülach, Hochfelden, Höri und Winkel. Der erste nachreformatorische kath. Gottesdienst im Zürcher Unterland wurde 1882 im Gasthof Rössli in B. abgehalten. Die kath. Kirche wurde 1902 geweiht. 1943 konstituierte sich die kath. Kirchgem. B.
  Sool  
Dal 1528 la pop. è in maggioranza rif. Nel ME si praticava l'allevamento di pecore e in seguito di bestiame grosso, con estivazione. Fino al 1769 S. condivise proprietà boschive con Schwändi e Mitlödi.
Ancienne comm. GL, ayant fusionnée en 2011 avec Betschwanden, Braunwald, Elm, Engi, Haslen, Linthal, Luchsingen, Matt, Mitlödi, Rüti, Schwanden et Schwändi dans la comm. de Glaris Sud. Petit village du Hinterland glaronnais, dominant la Linth et le Sernf, situé sur un cône d'éboulis préhistorique. La commune comprenait Obersool, Untersool et le hameau de Wart, dans la vallée du Sernf. 1303-1307 soler tagwan. 143 bourgeois glaronais de sexe masculin en 1777, 539 hab. en 1850, 461 en 1900, 429 en 1950, 303 en 2000. Au Moyen Age déjà, la voie commerciale de la vallée du Sernf passait par S., Wart et la passerelle de Soolsteg. Jusqu'en 1395, S. était tenu de verser des redevances à l'abbaye de Säckingen. Au spirituel, le village dépendit de Glaris, puis de Schwanden dès 1349. La population est en majorité protestante depuis 1528. Au Moyen Age, elle pratiquait l'élevage (avec estivage sur les alpages) de moutons, plus tard aussi de gros bétail. S. posséda jusqu'en 1769 des forêts en commun avec Schwändi et Mitlödi. Un incendie, en 1713, détruisit quinze maisons à Obersool. La première école fut inaugurée en 1832 et l'actuelle école primaire en 1902. Les frères Aebly installèrent en 1872 au Steg une manufacture de tissage, dont les locaux furent repris en 1969 par une fabrique de plastiques injectés (Weidmann + Co. SA depuis 2003). En 2005, le secteur primaire fournissait 46% des emplois.
Ehem. polit. Gem. GL, die 2011 mit Betschwanden, Braunwald, Elm, Engi, Haslen, Linthal, Luchsingen, Matt, Mitlödi, Rüti, Schwanden und Schwändi zur neuen Gem. Glarus Süd fusionierte. Kleines Dorf im Glarner Hinterland über Linth und Sernf auf der Abbruchmasse eines prähist. Bergsturzes gelegen. Umfasst Ober- und Untersool sowie den Weiler Wart im Sernftal. 1303-07 soler tagwan. 1777 143 männl. Glarner Bürger; 1850 539 Einw.; 1900 461; 1950 429; 2000 303. Der Handelsweg ins Sernftal führte schon im MA über S., Wart und den sog. Soolsteg. Bis 1395 war S. dem Kloster Säckingen abgabenpflichtig. Ursprünglich nach Glarus pfarrgenössig, wurde S. 1349 der Kirche Schwanden zugeteilt. Seit 1528 ist die Bevölkerung mehrheitlich reformiert. Im MA wurden Schafe, später auch Grossvieh gehalten und auf den Alpen gesömmert. Bis 1769 verfügte S. über gemeinsamen Waldbesitz mit Schwändi und Mitlödi. 1713 brannten in Obersool 15 Häuser ab. Das erste Schulhaus wurde 1832, das heutige Primarschulhaus 1902 eingeweiht. Im Gebäude der 1872 eröffneten Weberei der Brüder Aebly im Steg wurde 1969 ein Kunststoffspritzwerk untergebracht (seit 2003 Weidmann + Co AG). 2005 stellte der 1. Sektor 46% der Arbeitsplätze.
  Dietikon  
Killwangen, Urdorf, Spreitenbach e Rudolfstetten si separarono dalla parrocchia madre entro il 1861, divenendo parrocchie autonome. Una forte minoranza rif. viveva a D. ; il pastore, nominato e remunerato da Wettingen, risiedette nella rif. Urdorf dal 1627.
A la fin du XIe s. déjà, D. possédait une église paroissiale, dédiée à saint Ulrich, puis à sainte Agathe. Après en avoir acquis le patronage, Wettingen se l'incorpora et ses moines la desservirent. Killwangen, Urdorf, Spreitenbach et Rudolfstetten se séparèrent de la paroisse-mère en 1861 ou antérieurement. D. comptait une forte minorité protestante; le pasteur, nommé et rémunéré par Wettingen, résidait à Urdorf, localité protestante, à partir de 1627. Avant la construction de deux sanctuaires distincts en 1926, l'église fut utilisée par les deux confessions. Jusqu'en 1963, D. était l'une des quatre paroisses catholiques reconnues dans le canton de Zurich. Geroldswil-Oetwil et le nouveau quartier de Schönenwerd avec l'église Saint-Joseph construite en 1967, devinrent en 1972 des cures autonomes au sein de la paroisse. Pour remédier au manque de prêtres, les paroisses de D. et de Schlieren décidèrent en 2003 de regrouper la pastorale. En 2000, la commune comptait 42% de catholiques et 26% de protestants.
Bereits Ende des 11. Jh. besass D. eine dem hl. Ulrich, später der hl. Agatha geweihte Pfarrkirche. Nach dem Erwerb des Patronats erwirkte Wettingen ihre Inkorporation in das Kloster und besetzte die Pfarrstelle mit Klostergeistlichen. Der ref. Pfarrer, von Wettingen eingesetzt und besoldet, sass seit 1627 im ref. Urdorf. Bis 1861 wurden die zur ehemaligen Grosspfarrei D. gehörenden Gem. Killwangen, Urdorf, Spreitenbach und Rudolfstetten eigenständige Pfarreien. D. wies eine starke ref. Minderheit auf. Die Kirche wurde bis zum Neubau zweier getrennter Gotteshäuser 1926 von beiden Konfessionen benützt. Bis 1963 war D. eine der vier öffentlich-rechtlich anerkannten kath. Kirchgem. im Kt. Zürich. 1972 wurden Geroldswil-Oetwil und das Neubauquartier Schönenwerd mit der 1967 erbauten Kirche St. Josef zu selbstständigen, zur Kirchgem. D. gehörenden Pfarreien. 2003 beschlossen die Kirchgem. D. und Schlieren angesichts des Priestermangels die Bildung eines gemeinsamen Seelsorgeraums. Die Gem. zählte 2000 42% Katholiken und 26% Reformierte.
  Linthal  
Accanto all'edificio sorse nel 1333 un convento femminile. Nonostante l'introduzione della Riforma (1528), la maggioranza della pop. rimase legata alla vecchia fede. Sebbene nel 1543 il loro numero risultasse notevolmente ridotto, dal 1556 i catt.
Une chapelle mentionnée en 1289 devint église paroissiale en 1319 au plus tard. Un ermitage de sours jouxtant l'église est attesté en 1333. A la Réforme (1528), L. resta majoritairement fidèle à l'ancienne foi. En 1543, il ne restait cependant qu'un petit nombre de catholiques; ils revendiquèrent en 1556 l'église pour leur usage exclusif, se basant sur un engagement pris par Glaris en 1531 envers les cantons catholiques. Jusqu'à la construction d'un temple à Ennetlinth en 1604, les protestants assistèrent au culte à Betschwanden. Rien ne fut toutefois modifié aux compétences administratives de la commune ecclésiastique, qui était confessionnellement mixte; elle possédait la plupart des forêts (jusqu'à leur partage entre les trois Tagwen en 1795), ainsi que les droits de pacage à chèvres et de récolte des foins sauvages. En 1781, une crue détruisit le temple qui fut rebâti en 1782 au Dorf. La commune adopta le nom de L. en 1795. L'actuelle église catholique fut érigée en 1905-1906 à la Matt. La paroisse catholique de L. comprend aujourd'hui Rüti et Braunwald.
1289 ist eine Kapelle bezeugt, die spätestens 1319 zur Pfarrkirche erhoben wurde, 1333 eine neben der Kirche erbaute Schwesternklause. In der Reformation 1528 blieb L. mehrheitlich beim alten Glauben. 1543 zählte man jedoch nur noch wenige Katholiken, die aber aufgrund einer Glarner Zusage von 1531 an die kath. Orte ab 1556 die Kirche für sich allein beanspruchten. Bis zum Bau einer eigenen Kirche in Ennetlinth 1604 besuchten die ref. Einwohner den Gottesdienst in Betschwanden. An den kommunalen Verwaltungsaufgaben der überkonfessionellen Kirchgemeinde änderte sich aber nichts. Ihr gehörten weiterhin fast alle Wälder sowie die Geissweid- und Wildheurechte. 1781 zerstörte ein Hochwasser die ref. Kirche, die 1782 im Tagwen Dorf neu aufgebaut wurde. 1795 teilte die Kirchgemeinde den Waldbesitz unter den drei Tagwen auf. Im selben Jahr gab man sich den Ortsnamen L. 1905-06 entstand die heutige kath. Kirche im Tagwen Matt. Die heutige kath. Kirchgemeinde L. umfasst auch Rüti und Braunwald.
  Bienne (comune)  
La partecipazione di B. alle capitolazioni militari rese accessibili ai suoi cittadini le carriere militari al servizio mercenario e gli introiti derivanti da pensioni. Gli immigrati rif. stimolarono nel XVII sec. il commercio.
Eine Stadtschule wurde 1458 erwähnt. Im 15. Jh. wohl nur mit Unterbrüchen geführt, wurde sie ab 1528 zur städt. Lateinschule unter Leitung des Helfers an der Stadtkirche. Der Rat genehmigte ihren Lehrplan erstmals 1625. An ihr wirkte zwischen 1621 und 1651 der Mathematiker Jakob Rosius. Daneben etablierten sich im 16. Jh. die Deutsche Schule und spätestens ab 1621 die Mädchenschule. Im 18. Jh. wurde die Knabenschule als Elementar-, Untere und Obere Realschule mehrklassig geführt; Letztere, aus der ehemaligen Lateinschule hervorgegangen, hatte seit 1747 mit einem breiten Fächerangebot gymnasialen Charakter. Man unterrichtete dort auch Französisch, das in der städt. Oberschicht ohnehin zur zweiten Umgangs- und Bildungssprache geworden war. 1761 wurde die Ökonom. Gesellschaft, 1765 die Burgerbibliothek gegründet.
  Schwanden (GL)  
Una statua della fontana raffigurata con la mano alzata in segno di giuramento ricorda che sulla cosiddetta Landsgemeindehoschet dal 1448 al 1623 si tennero la maggior parte delle Landsgemeinden ordinarie, e dal 1623 al 1837 quelle rif. (una settimana prima della Landsgemeinde comune a Glarona).
De rares vestiges datent des époques celtique et romaine. Les toponymes sont pour la plupart d'origine alamane. La plus ancienne maison conservée, le Turehuus à Thon, est contemporaine du château fort de Benzigen, construit au XIIIe s. sur une moraine au nord de S., mais abandonné au bout de quelques décennies déjà. S. formait un Tagwen dépendant de l'abbaye de Säckingen. Relevant de la paroisse de Glaris, les gens de S. construisirent en 1349 une église, d'abord filiale de Glaris, qui connut une utilisation paritaire dès 1528, jusqu'à l'abolition de la messe en 1558. Au lieudit Landsgemeindehoschet, une statue sur un fût de fontaine, représentant un personnage levant la main pour prêter serment, rappelle l'emplacement où se réunissait généralement la landsgemeinde ordinaire de 1448 à 1623, puis de 1623 à 1837 la landsgemeinde protestante (une semaine avant la landsgemeinde commune à Glaris). Considérablement agrandie en 1753 par les frères Grubenmann, l'église sert aujourd'hui encore au culte réformé pour les habitants de S. et des quatre anciennes communes voisines de Sool, Schwändi, Haslen et Nidfurn. La tour des Poudres, édifiée probablement en 1757 pour la partie protestante du canton, témoigne de la résurgence périodique des tensions confessionnelles. L'église catholique fut consacrée en 1895, puis reconstruite en 1973. Elle sert de paroissiale aux catholiques de neuf anciennes communes.
Spärl. Funde aus kelt. und röm. Zeit. Die meisten Flurnamen sind alemann. Ursprungs. Im 13. Jh. wurde auf der Moräne nördlich von S. die Burg Benzigen erbaut, jedoch schon nach wenigen Jahrzehnten verlassen. Aus derselben Zeit stammt der gemauerte Teil des ältesten noch erhaltenen Hauses, des "Turehuus" in Thon. S. bildete unter der Herrschaft des Klosters Säckingen einen Tagwen. Früher zur Kirche von Glarus gehörig, bauten die Schwander 1349 eine eigene Kirche, die vorerst Filiale von Glarus war. Ab 1528 wurde die Kirche paritätisch genutzt, die Messe jedoch 1558 abgeschafft. Eine Brunnenfigur mit erhobener Schwurhand erinnert in der "Landsgemeindehoschet" daran, dass hier 1448-1623 meist die ordentl. Landsgemeinden und 1623-1837 jene der Reformierten tagten, jeweils eine Woche vor der gemeinsamen in Glarus. Die Kirche erfuhr 1753 eine beträchtl. Erweiterung durch die Gebrüder Grubenmann. Noch heute dient sie auch den vier ehem. Nachbargemeinden Sool, Schwändi, Haslen und Nidfurn als ref. Kirche. Vermutlich 1757 wurde in S. der Pulverturm für den ref. Landesteil erbaut, ein Zeichen wiederholt aufflackernder konfessioneller Auseinandersetzungen. 1895 wurde die neu errichtete kath. Kirche geweiht, 1973 durch einen Neubau ersetzt. Sie ist die Pfarrkirche der Katholiken von neun Dörfern.
  Dietlikon  
Sul piano ecclesiastico, nel basso ME D. apparteneva alla parrocchia di Kloten; attorno al 1370 vi erano cappelle filiali a D. e a Rieden (a D. si tennero prediche dal 1596 e si costruì una canonica nel 1681). Verso il 1525, D. aderì alla Riforma.
Comm. ZH, distr. de Bülach, en bordure de la moyenne vallée de la Glatt, dans l'agglomération zurichoise. 1124 Dietlinchoven. Env. 115 hab. en 1467, 137 en 1634, 482 en 1771, 386 en 1880, 565 en 1900, 1205 en 1950, 4381 en 1970, 6281 en 2000. La suzeraineté passa des Kibourg aux Habsbourg en 1264 et à Zurich en 1424 et 1452. Les droits de bailliage appartenaient en 1124 au couvent d'Allerheiligen à Schaffhouse. Les Schwend vendirent en 1487 les droits de basse justice sur D. et Rieden à Hans Waldmann; celui-ci les joignit à ceux qu'il possédait sur Dübendorf pour constituer une seigneurie, qui devint en 1489 un bailliage zurichois, réuni en 1615 à celui de Schwamendingen. Le coutumier date de 1420, la limite d'accès à la bourgeoisie de 1586. Rieden se sépara en 1831 de la commune qu'il formait avec D. depuis l'Helvétique, attribuée au district de Bassersdorf en 1798, à ceux de Bülach en 1803, d'Embrach en 1814, de Bülach en 1831. Au Moyen Age, les chapelles de D. et de Rieden étaient filiales de Kloten. D. passa à la Réforme en 1525, on y prêcha dès 1596 et il forma en 1683 (avec Rieden jusqu'au rattachement de cette commune à Wallisellen en 1916) une paroisse dont la collation appartint jusqu'en 1831 au chapitre du Grossmünster. Cure en 1681, nouveau temple en 1698. L'église catholique Saint-Michel fut construite en 1970.
Polit. Gem. ZH, Bez. Bülach. Agglomerationsgem. am Rand des mittleren Glattals. 1124 Dietlinchoven. 1467 ca. 115 Einw.; 1634 137; 1771 482; 1880 386; 1900 565; 1950 1'205; 1970 4'381; 2000 6'281. Die Hoheitsrechte gingen 1264 von den Kyburgern an die Habsburger über und kamen 1424 bzw. 1452 an Zürich. 1124 waren die Vogteirechte in D. im Besitz des Schaffhausers Klosters Allerheiligen; 1487 verkaufte die Fam. Schwend das Niedergericht über D. und Rieden (ZH) an Hans Waldmann, der es mit demjenigen über Dübendorf zu einer Gerichtsherrschaft verband. 1489 bildete Zürich daraus eine Obervogtei, die 1615 mit der Obervogtei Schwamendingen vereinigt wurde. Kirchlich gehörte D. im HochMA zur Pfarrei Kloten; um 1370 bestanden in D. und Rieden Filialkapellen (Predigten in D. seit 1596, Pfarrhausbau 1681). Um 1525 schloss sich D. der Reformation an. Ab 1683 bildete D. mit Rieden eine selbstständige Pfarrei (Bau einer neuen Kirche 1698), deren Kollatur das Chorherrenstift Grossmünster bis 1831 besass. 1916 wurde Rieden in die ref. Kirchgem. Wallisellen umgeteilt, 1970 die kath. Kirche St. Michael erbaut. Die Offnung datiert von 1420, der Einzugsbrief von 1586. In der Helvetik wurden die Dorfschaften D. und Rieden 1798 eine polit. Gem., von der sich Rieden 1831 abspaltete. D. wurde 1798 dem Distrikt Bassersdorf, 1803 dem Bez. Bülach, 1814 dem Oberamt Embrach und 1831 dem Bez. Bülach zugeteilt.
  Dübendorf  
Nel 1487 Hans Waldmann acquistò il diritto di collazione, che passò a Zurigo nel 1489. Dal 1937 al 1969 anche Schwerzenbach fece parte della parrocchia rif. di D. Nel 1968 la chiesa è stata sostituita da un nuovo edificio.
L'église de Wil a été érigée au début du VIIIe s. Mentionnée en 1272, elle était probablement dédiée à la Vierge. L'abbaye de Reichenau est certainement à l'origine de sa fondation. Au milieu du XIVe s., son patronage appartenait aux barons de Tengen en tant que fief de Reichenau. Il passa en 1371 à la famille Mülner de Zurich, qui le légua en 1395 à la commanderie des hospitaliers de Saint-Jean de Küsnacht. L'église fut détruite par les troupes schwytzoises en 1444. La commanderie de Küsnacht et le couvent de Saint-Martin sur le Zürichberg échangèrent en 1478 leurs droits de patronage sur D. et Egg. En 1487, Hans Waldmann acquit la collature, qui passa à Zurich en 1489. Schwerzenbach fit également partie de la paroisse protestante de D. (1937-1969). En 1968, l'église fut remplacée par un nouvel édifice. Un couvent de l'ordre hospitalier de Saint-Lazare de Jérusalem, avec son église, fut édifié à Gfenn au début du XIIIe s., pillé au cours de la guerre de Zurich (1444) et supprimé en 1525. Depuis sa restauration (1966-1967), l'église conventuelle accueille les deux cultes. Des services catholiques furent célébrés à D. dès 1897; l'église Notre-Dame-de-la-Paix y a été bâtie en 1951-1952.
Die aus dem frühen 8. Jh. stammende Kirche im Wil (erw. 1272, Hauptpatronin wahrsch. Maria) war vermutlich eine Reichenauer Stiftung. Den Kirchensatz besassen Mitte des 14. Jh. die Frh. von Tengen als Lehen Reichenaus, ab 1371 die Zürcher Fam. Mülner, die ihn 1395 der Johanniterkomturei Küsnacht vermachte. 1444 wurde die Kirche von Schwyzer Truppen zerstört. 1478 tauschten die Komturei Küsnacht und das Kloster St. Martin auf dem Zürichberg die Kirchensätze von D. und Egg untereinander aus. 1487 erwarb Hans Waldmann die Kollatur, von dem sie 1489 auf Zürich überging. 1937-69 gehörte auch Schwerzenbach zur ref. Kirchgemeinde D. 1968 wurde die Kirche durch einen Neubau ersetzt. Vom frühen 13. Jh. an bestand in Gfenn ein Lazariterhaus mit Kloster und Kirche, das ebenfalls im Alten Zürichkrieg 1444 geplündert wurde. 1525 wurde das Kloster aufgehoben. 1966-67 restaurierte man die Klosterkirche; seitdem dient sie als parität. Kirche. Ab 1897 wurden in D. auch kath. Gottesdienste gehalten. Die Maria-Friedenskirche wurde 1951-52 erstellt.
  Schwanden (GL)  
Una statua della fontana raffigurata con la mano alzata in segno di giuramento ricorda che sulla cosiddetta Landsgemeindehoschet dal 1448 al 1623 si tennero la maggior parte delle Landsgemeinden ordinarie, e dal 1623 al 1837 quelle rif. (una settimana prima della Landsgemeinde comune a Glarona).
De rares vestiges datent des époques celtique et romaine. Les toponymes sont pour la plupart d'origine alamane. La plus ancienne maison conservée, le Turehuus à Thon, est contemporaine du château fort de Benzigen, construit au XIIIe s. sur une moraine au nord de S., mais abandonné au bout de quelques décennies déjà. S. formait un Tagwen dépendant de l'abbaye de Säckingen. Relevant de la paroisse de Glaris, les gens de S. construisirent en 1349 une église, d'abord filiale de Glaris, qui connut une utilisation paritaire dès 1528, jusqu'à l'abolition de la messe en 1558. Au lieudit Landsgemeindehoschet, une statue sur un fût de fontaine, représentant un personnage levant la main pour prêter serment, rappelle l'emplacement où se réunissait généralement la landsgemeinde ordinaire de 1448 à 1623, puis de 1623 à 1837 la landsgemeinde protestante (une semaine avant la landsgemeinde commune à Glaris). Considérablement agrandie en 1753 par les frères Grubenmann, l'église sert aujourd'hui encore au culte réformé pour les habitants de S. et des quatre anciennes communes voisines de Sool, Schwändi, Haslen et Nidfurn. La tour des Poudres, édifiée probablement en 1757 pour la partie protestante du canton, témoigne de la résurgence périodique des tensions confessionnelles. L'église catholique fut consacrée en 1895, puis reconstruite en 1973. Elle sert de paroissiale aux catholiques de neuf anciennes communes.
Spärl. Funde aus kelt. und röm. Zeit. Die meisten Flurnamen sind alemann. Ursprungs. Im 13. Jh. wurde auf der Moräne nördlich von S. die Burg Benzigen erbaut, jedoch schon nach wenigen Jahrzehnten verlassen. Aus derselben Zeit stammt der gemauerte Teil des ältesten noch erhaltenen Hauses, des "Turehuus" in Thon. S. bildete unter der Herrschaft des Klosters Säckingen einen Tagwen. Früher zur Kirche von Glarus gehörig, bauten die Schwander 1349 eine eigene Kirche, die vorerst Filiale von Glarus war. Ab 1528 wurde die Kirche paritätisch genutzt, die Messe jedoch 1558 abgeschafft. Eine Brunnenfigur mit erhobener Schwurhand erinnert in der "Landsgemeindehoschet" daran, dass hier 1448-1623 meist die ordentl. Landsgemeinden und 1623-1837 jene der Reformierten tagten, jeweils eine Woche vor der gemeinsamen in Glarus. Die Kirche erfuhr 1753 eine beträchtl. Erweiterung durch die Gebrüder Grubenmann. Noch heute dient sie auch den vier ehem. Nachbargemeinden Sool, Schwändi, Haslen und Nidfurn als ref. Kirche. Vermutlich 1757 wurde in S. der Pulverturm für den ref. Landesteil erbaut, ein Zeichen wiederholt aufflackernder konfessioneller Auseinandersetzungen. 1895 wurde die neu errichtete kath. Kirche geweiht, 1973 durch einen Neubau ersetzt. Sie ist die Pfarrkirche der Katholiken von neun Dörfern.
  Bülach (comune)  
L'edificio della chiesa attuale risale agli anni 1508-14; navata e campanile furono più volte ristrutturati nel XVII e XIX sec. (ultimo restauro nel 1969-70). Durante la Riforma, B. e la regione circostante divennero un importante centro del movimento anabattista, che fu represso con violenza dalle autorità della Chiesa rif. zurighese.
L'église-halle Saint-Laurent peut être datée du VIIe s., d'après la sépulture d'une noble alémane (la fondatrice?) qu'on y a retrouvée en 1968. Elle est mentionnée en 811, en relation (mal connue) avec l'abbaye de Saint-Gall. Vers 1188, elle appartient avec le droit de collation aux barons de Tengen, qui ne la cédèrent à Zurich qu'en 1463. L'édifice actuel date des années 1508-1514. La nef et le clocher subirent plusieurs transformations aux XVIIe et XIXe s. (dernière rénovation en 1969-1970). A l'époque de la Réforme, B., comme toute la région, fut un important foyer de l'anabaptisme, durement réprimé par les autorités réformées zurichoises. Des conflits religieux éclatèrent au XIXe s., quand les néoévangéliques (une branche du Réveil piétiste) et les néo-baptistes commencèrent à tenir des assemblées, les premiers en 1820, les seconds en 1835. Réunions méthodistes depuis 1864; fondation d'une "paroisse libre" (auj. Eglise baptiste) en 1881. La paroisse réformée inclut aujourd'hui Bachenbülach, Hochfelden, Höri et Winkel. Le premier office romain que l'Unterland zurichois ait connu depuis la Réforme fut célébré en 1882 à l'auberge du Rössli de B. Les catholiques inaugurèrent leur église en 1902 et se constituèrent en paroisse en 1943.
Die älteste Saalkirche mit der 1968 in der ref. Kirche entdeckten Begräbnisstätte einer alemann. Adligen (Stifterin?) datiert aus dem 7. Jh. Die 811 erw. Kirche St. Laurentius stand zu diesem Zeitpunkt in unbestimmter Beziehung zum Kloster St. Gallen. Um 1188 war sie mit den Kollaturrechten im Besitz der Frh. von Tengen, die sie erst 1463 an Zürich veräusserten. Das heutige Kirchengebäude stammt aus den Jahren 1508-14, mehrere Umbauten von Schiff und Turm fanden im 17. und 19. Jh. statt (letzte Renovation 1969-70). In der Reformationszeit wurde die Region und B. selber zu einem wichtigen Stützpunkt des Täufertums, das von der ref. Zürcher Obrigkeit gewaltsam unterdrückt wurde. Im 19. Jh. kam es zu religiösen Auseinandersetzungen, als um 1820 die Neugläubigen (eine Gruppe der pietist. Erweckungsbewegung) und 1835 die Neutäufer mit ihren Versammlungsstunden begannen. Ab 1864 wurden in B. methodist. Versammlungen abgehalten, 1881 die Freie Gemeinde (heute Baptistenkirche) gegründet. Zur ref. Kirchgem. B. gehören heute Bachenbülach, Hochfelden, Höri und Winkel. Der erste nachreformatorische kath. Gottesdienst im Zürcher Unterland wurde 1882 im Gasthof Rössli in B. abgehalten. Die kath. Kirche wurde 1902 geweiht. 1943 konstituierte sich die kath. Kirchgem. B.
  Diesbach (GL)  
In origine D. appartenne alla parrocchia di Glarona, dal XIV sec. a quella di Betschwanden; nel 1528 la maggior parte della pop. passò alla fede rif. Già nel ME accanto al bestiame minuto veniva allevato il bestiame grosso.
Ancienne comm. GL, réunie à Luchsingen depuis 2004. Village-rue dans le Hinterland, sur la rive droite de la Linth (Grosstal), entre Hätzingen et Betschwanden: D. sur le cône de déjection du Rufibach, Dornhaus sur celui du Diesbach. Vers 1350 Diesbach. 466 hab. en 1837, 419 en 1850, 525 en 1888, 461 en 1900, 476 en 1950, 237 en 2000. D. paya la dîme au couvent de Säckingen jusqu'en 1395. Vestiges d'un donjon médiéval à Dornhaus (Bürgli). Au spirituel, D. releva de Glaris, puis de Betschwanden (XIVe s.) et adopta en majorité la foi réformée en 1528. L'élevage du gros bétail est attesté dès le Moyen Age. On cultiva le chanvre, utilisé en mélange avec la laine, jusqu'à la fin du XVIIIe s. Le filage manuel du coton joua un rôle important au XVIIIe s. La maison Zum Sunnezyt ("Au cadran solaire", 1773), construite pour l'entrepreneur Adam Schiesser, s'orne de stucs rococo dus aux frères Moosbrugger. La commune acheta beaucoup de terrains entre 1711 et 1835. En 1845-1848, la pauvreté provoqua l'émigration d'un septième de la population. Le tissage à domicile se développa au début du XIXe s. L'entreprise Legler & Co. AG (filature et tissage), fondée au milieu du XIXe s., a été active jusqu'au début du XXIe s. L'école actuelle date de 1886. D. a formé un cercle scolaire primaire avec Rüti et Betschwanden de 1984 à 2004.
Ehem. polit. Gem. GL, seit 2004 Teil der polit. Gem. Luchsingen. Strassendorf im Glarner Hinterland, auf der rechten Seite des Grosstals zwischen Hätzingen und Betschwanden gelegen: D. auf dem Schuttkegel des Rufibachs, Dornhaus auf demjenigen des Diesbachs. Um 1350 Diesbach. 1837 466 Einw.; 1850 419; 1888 525; 1900 461; 1950 476; 2000 237. Bis 1395 war D. dem Kloster Säckingen abgabenpflichtig. Reste eines ma. Wohnturms am Bürgli in Dornhaus. Das ursprünglich nach Glarus, seit dem 14. Jh. nach Betschwanden kirchgenössige D. trat 1528 mehrheitlich zum ref. Glauben über. Schon im MA bestand neben Klein- auch Grossviehzucht. Bis zum Ende des 18. Jh. wurde Hanf zur Herstellung der halbwollenen Mätze anbebaut. Im 18. Jh. war die Baumwollhandspinnerei bedeutendste Erwerbsquelle. 1773 liessen die Gebrüder Moosbrugger das Haus "zum Sunnezyt" mit Rokokostuckaturen erbauen. 1711-1835 wurde der Gemeindebesitz durch viele Güterkäufe erweitert. 1845-48 wanderte ein Siebtel der Einwohner wegen Armut aus. Zu Beginn des 19. Jh. war die Heimweberei ein wichtiger Wirtschaftsfaktor. In D. entstand um die Mitte des 19. Jh. das bis nach 2000 tätige Textilunternehmen Legler & Co. AG. 1886 Bau des heutigen Schulhauses. 1984-2004 bildete D. einen Primarschulkreis mit Rüti und Betschwanden.
  Engi  
Fino al 1395 il convento di Säckingen percepiva dei tributi a E., che in origine dipese dalla parrocchia di Glarona, dal 1273 da quella di Matt, la cui chiesa fu costruita in quegli anni. In seguito all'introduzione della Riforma nel 1528, il villaggio fa oggi parte della comunità rif. di Matt-E.
Comm. GL. Village le plus en aval de la vallée du Sernf, sur la rive droite, comprenant Vorderdorf, Dörfli et Hinterdorf. Vers 1350 ze engi. 267 bourgeois masculins glaronais en 1777, 1197 hab. en 1850, 1160 en 1900, 1122 en 1950, 656 en 2000. Le pont d'E. mentionné en 1471 constituait jadis un passage important pour le trafic de la vallée. Jusqu'en 1395, le couvent de Säckingen percevait des redevances à E. Rattaché à la paroisse de Glaris, E. appartient depuis 1273 à celle de Matt où fut jadis construite l'église. Introduction de la Réforme en 1528. Aujourd'hui commune paroissiale protestante de Matt-E. Chapelle catholique (1984). La Gandalp fut achetée à Glaris comme pâturage communal du Tagwanlüt... ze Engi (1408). Elevage et estivage dès la fin du Moyen Age. Extraction d'ardoise sur le Landesplattenberg, dès le XVIe s. au moins et jusqu'en 1961. Durant la première moitié du XIXe s., tissage artisanal du coton. La crise du tissage et la maladie de la pomme de terre entraînèrent dès 1845 une vague d'émigration, notamment vers l'Amérique du Nord et du Sud. En 1855, E. était considéré comme une "commune de mendiants". Industrie textile dès 1847. Fondation d'une grande filature, la "Weberei Sernfthal", par Leonhard Blumer (1864). La crise des années 1930, avec ses pertes d'emplois, contraignit à une rationalisation de l'entreprise, qui existait encore à la fin du XXe s. sous le nom de Weseta. Ligne de chemin de fer de la vallée du Sernf en 1905, remplacée par un service d'autobus en 1969. E. est le siège de deux entreprises de transport, d'une banque locale et d'une station d'épuration répondant aux besoins de la vallée. Avec Matt, E. constitue une circonscription scolaire depuis 1981. En 2000, le secteur secondaire offrait environ un tiers des emplois, le tertiaire la moitié.
Polit. Gem. GL. Vorderstes Dorf im Sernftal, rechts des Sernf gelegen, bestehend aus den Teilen Vorderdorf, Dörfli und Hinterdorf. Um 1350 ze engi. 1777 267 männl. Glarner Bürger; 1850 1'197 Einw.; 1900 1'160; 1950 1'122; 2000 656. Die 1471 erwähnte Engibrücke war einst ein für den Talverkehr wichtiger Übergang. Bis 1395 bestanden Abgabepflichten gegenüber dem Kloster Säckingen. Ursprünglich nach Glarus kirchgenössig, gehört E. seit 1273 zur damals in Matt erbauten Kirche. 1528 Einführung der Reformation, heute ref. Kirchgem. Matt-E. 1984 Bau einer kath. Kapelle. 1408 Kauf der Gandalp vom Land Glarus als Allmendgebiet der Tagwanlüt ... ze Engi. Seit dem SpätMA Viehwirtschaft mit Alpsömmerung. Schieferabbau am Landesplattenberg spätestens vom 16. Jh. an bis 1961. In der 1. Hälfte des 19. Jh. Baumwoll-Handweberei. Die Krise der Handweberei und die Kartoffelkrankheit führten ab 1845 zu einer Auswanderungswelle, v.a. nach Nord- und Südamerika. 1855 galt E. als "Bettelgemeinde". Seit 1847 Textilindustrie. 1864 Gründung der "Weberei Sernfthal" durch Leonhard Blumer. Die schwere Krise der 1930er Jahre führte zum Verlust von Arbeitsplätzen und zwang zu einer Rationalisierung des noch Ende des 20. Jh. unter dem Namen Weseta bestehenden Unternehmens. 1905 Eröffnung der Sernftalbahn, 1969 Umstellung auf Busbetrieb. E. ist Domizil zweier Transportunternehmen, einer Lokalbank und Standort der taleigenen Kläranlage. Mit Matt bildet E. seit 1981 einen Schulkreis. Im Jahr 2000 waren rund ein Drittel der in E. Erwerbstätigen im 2. und die Hälfte im 3. Sektor beschäftigt.
  Matt  
Pop: 257 cittadini glaronesi di sesso maschile nel 1777, 659 ab. nel 1850, 690 nel 1900, 622 nel 1950, 381 nel 2000. Tra il 1261 e il 1273 la badessa di Säckingen fece costruire una cappella che nel 1273 divenne la chiesa parrocchiale della valle e oggi è utilizzata per il culto rif. da M. ed Engi.
Comm. GL, l'un des trois villages (celui du milieu) du Sernftal, à l'entrée du Krauchtal, avec les Weissenberge (habitat dispersé sur la hauteur). 1273 Mattun. 257 bourgeois glaronais de sexe masculin en 1777, 659 hab. en 1850, 690 en 1900, 622 en 1950, 381 en 2000. Entre 1261 et 1273, M. construisit avec l'autorisation de l'abbesse de Säckingen une chapelle, qui fut érigée en église paroissiale de la vallée en 1273; depuis la Réforme, elle sert de temple pour M. et Engi. En 1528 eut lieu un soulèvement iconoclaste, alors que Fridolin Brunner, l'ami de Zwingli, était pasteur à M. (1527-1530). M. formait avec le village d'Engi une circonscription électorale (Wahltagwen), qui s'appela M.-Engi dès 1603. L'agriculture autarcique se maintint très longtemps dans les Weissenberge. La construction d'une scierie, d'un moulin et d'un pilon est attestée en 1767. Une école existait au XVIIe s. déjà; aux XVIIIe et XIXe s., plusieurs pasteurs ouvrirent une école privée. Fondée en 1867, la filature de la famille Spälty fut fermée en 1967; elle peut loger actuellement jusqu'à 500 soldats. En 1905, M. fut raccordé aux transports publics grâce au chemin de fer du Sernftal, remplacé par un autobus en 1969. Un téléphérique relie depuis 1967 les Weissenberge à M. Au début du XXIe s., l'agriculture est orientée presque exclusivement sur la production de lait. Les Weissenberge connaissent une modeste activité touristique. En 1861, l'école secondaire du Sernftal s'installa à M.; à partir du milieu des années 1970, elle reçoit les élèves du degré supérieur de toute la vallée, tandis que ceux de l'école primaire se rendent à Engi. M. devint commune (électorale) en 1887; avec celles d'Engi et d'Elm, elle forme depuis 1989 le cercle électoral du Sernftal. En 2005, le secteur primaire offrait un quart des emplois.
Polit. Gem. GL, mittleres der drei Sernftaler Dörfer, am Eingang zum Krauchtal gelegen, mit der Höhensiedlung Weissenberge. 1273 Mattun. 1777 257 männl. Glarner Bürger; 1850 659 Einw.; 1900 690; 1950 622; 2000 381. Zwischen 1261 und 1273 baute M. mit Erlaubnis der Äbtissin von Säckingen eine Kapelle, die 1273 zur Pfarrkirche des Tals erhoben wurde und heute als ref. Kirche für M. und Engi dient. 1528 kam es während der Amtszeit (1527-30) des Zwinglifreunds Fridolin Brunner zum Bildersturm. M. bildete zusammen mit dem Dorf Engi den Wahltagwen M., der ab 1603 M.-Engi hiess. Die auf Selbstversorgung ausgerichtete Landwirtschaft hielt sich besonders lang in den Weissenbergen. 1767 ist der Bau von Säge, Mühle und Stampfe bezeugt. In M. wurde schon im 17. Jh. Schule gehalten. Im 18. und 19. Jh. führten manche Pfarrer Privatschulen. Die 1867 gegr. Spinnerei der Fam. Spälty stellte 1967 ihren Betrieb ein und wird heute als Truppenunterkunft für bis zu 500 Soldaten genutzt. 1905 erhielt M. durch die Sernftalbahn und 1969 durch einen Busbetrieb Anschluss ans öffentl. Verkehrsnetz. Seit 1967 verbindet eine Luftseilbahn die Weissenberge mit M. Zu Beginn des 21. Jh. produziert die Landwirtschaft fast ausschliesslich Milch. In den Weissenbergen besteht ein bescheidenes Tourismusgewerbe. Ab 1861 war M. Sitz der Sernftaler Sekundarschule, seit Mitte der 1970er Jahre ist es Schulort der gesamten Oberstufe des Tals, während die Primarschüler von M. die Schule in Engi besuchen. Ab 1887 bildete M. eine eigene Wahlgemeinde. 1989 wurde M. mit den Gem. Engi und Elm zum Gesamtwahlkreis Sernftal zusammengelegt. 2005 stellte der 1. Sektor einen Viertel der Arbeitsplätze.
  Hinwil  
A seguito della costituzione in pegno della signoria di Grüningen (1408) e della secolarizzazione dei conventi durante la Riforma (1525), la maggior parte dei diritti signorili di H. passò a Zurigo, mentre quelli dei gerosolimitani ritornarono all'ordine (1532), che si impegnò a scegliere un proprio rappresentante solo fra i cittadini rif. di Zurigo.
Fondations d'une villa romaine (Ier s. apr. J.-C.) sous une église médiévale, mentionnée pour la première fois dans la seconde moitié du VIIIe s. Au Moyen Age, H. faisait partie du bailliage de Grüningen. Des conflits relatifs aux droits de propriété conduisirent vers 1280 à la liquidation de la seigneurie des chevaliers de Bernegg (château fort attesté) et probablement d'une partie du domaine des nobiles (membre de la haute noblesse) de H. (château fort non attesté). Ces biens et d'autres, dont la métairie de l'abbaye de Sankt Johann (vallée de la Thur), revinrent à la commanderie des chevaliers de Saint-Jean de Bubikon et, dans une moindre mesure, à l'abbaye de Rüti. Après avoir acquis à H. en 1451 tous les droits des chevaliers von H., de Greifenberg, les chevaliers de Saint-Jean disposèrent des terres, mais aussi de la dîme et du patronage sur l'église, de la basse juridiction dans les villages de H. et de Ringwil et dans la région qui devint la circonscription fiscale et militaire (Wacht) d'Unterholz. Le domaine de l'abbaye de Rüti s'étendait à l'opposé, surtout le long du Bachtel jusqu'à Hadlikon. Par mise en gage de la seigneurie de Grüningen (1408) et sécularisation des couvents à la Réforme (1525), la plus grande partie des droits seigneuriaux à H. échut à Zurich. Ceux des chevaliers de Saint-Jean revinrent en 1532 à leur ordre, qui s'engagea à ne placer comme bailli que des Zurichois réformés. Wernetshausen constitue un cas particulier. Ses habitants faisaient partie de la juridiction libre (Dingstatt) de Binzikon, mais Zurich les traita pour l'essentiel comme les autres sujets. Lors de la Réforme, H. fut particulièrement concerné par les troubles que provoquèrent les anabaptistes.
In H. bestehen Grundmauern einer röm. Villa aus dem 1. Jh. n.Chr. unter einer frühma. Kirche, die in der 2. Hälfte des 8. Jh. erstmals erwähnt wird. Im HochMA gehörte H. zur Landvogtei Grüningen. Konflikte um Besitzansprüche führten um 1280 zur Liquidation der Herrschaft der Ritter von Bernegg (Burg nachgewiesen) und vermutlich auch von Teilen des Besitzes der Nobiles von H. (Burg nicht nachgewiesen), die zusammen mit weiteren Gütern, insbesondere dem Meierhof des Klosters St. Johann im Thurtal an die Johanniterkommende Bubikon und in geringerem Masse auch an das Kloster Rüti kamen. Nachdem die Johanniter 1451 in H. alle Rechte der Greifenberger Ritter von H. erworben hatten, verfügten sie neben Grundbesitz, Zehntrechten und dem Kirchensatz auch über die Niedergerichtsbarkeit in den Dörfern H. und Ringwil und im Gebiet der nachmaligen Wacht Unterholz. Der Grundbesitz des Klosters Rüti lag hingegen v.a. entlang des Bachtels bis nach Hadlikon. Mit der Verpfändung der Herrschaft Grüningen 1408 und der Säkularisation der Klöster während der Reformation 1525 gelangte der grösste Teil der Herrschaftsrechte in H. an Zürich, diejenigen der Johanniter gingen 1532 an den Orden zurück, der sich aber verpflichtete, nur ref. Zürcher als Statthalter einzusetzen. Als usschidlinge gehörten die Wernetshauser in die freie Dingstatt Binzikon, waren unter Zürich jedoch weitgehend den übrigen Untertanen gleichgestellt. Während der Reformation war H. von den Unruhen um die Täufer besonders stark betroffen.
  Haslen (GL)  
Dipendente in un primo tempo da Glarona, dopo la costruzione della chiesa di Schwanden (1349) fece capo a quest'ultima parrocchia. A Zussigen, prima della Riforma, sorgeva una cappella dedicata a S. Wendelino.
Comm. GL, village-rue de l'Hinterland glaronais, sur la rive droite de la vallée supérieure de la Linth, entre Hätzingen et Schwanden, comprenant les anciennes comm. de Leuggelbach et Nidfurn, avec les hameaux de Leu (autrefois Nesslau), Oberhaslen, Büel, Zussigen et Mülibächli.1289 Burchard von Hasle. 137 bourgeois (hommes) de Glaris en 1777; 787 hab. en 1850, 766 en 1900, 769 en 1950, 489 en 1980, 649 en 2000. A l'origine, H. faisait partie du Tagwen de Nesselowe. Au Moyen Age, les hameaux de Zussigen et de Leu ainsi que la localité de H. accédèrent au rang de Tagwen. H. dut payer des redevances au couvent de Säckingen jusqu'en 1395. H. releva de la paroisse de Glaris, puis de celle de Schwanden, après la construction d'une église dans cette localité (1349). Avant la Réforme, Zussigen abritait la chapelle de saint Wendelin. A partir de 1528, les habitants passèrent en majorité à la nouvelle foi. Dès le Moyen Age, on pratiquait l'élevage du gros et du menu bétail. Hätzingen, Luchsingen, Leuggelbach et Nidfurn s'associèrent pour fonder une communauté d'exploitation du bois, attestée pour la première fois en 1496; les forêts furent partagées en 1735 et 1800. La première école primaire fut construite en 1839, l'actuelle en 1873. Entre 1887 et la fin du siècle, on procéda à la correction du ruisseau du Haslerbach. Parallèlement à diverses exploitations artisanales, la filature et tisseranderie Jenny & Co. s'établit à H. (1846). L'entretien des alpages et des forêts fait partie des tâches majeures de la commune. Près des deux tiers de la population active travaillaient encore dans le secteur secondaire en 2000. H. fut détaché du cercle électoral de Diesbach en 1896. En 1991, on créa un cercle scolaire primaire Nidfurn-H.-Leuggelbach.
Polit. Gem. GL, Strassendorf im Glarner Hinterland, auf der rechten Seite des Grosstals zwischen Hätzingen und Schwanden gelegen, seit 2006 die ehem. polit. Gem. Leuggelbach und Nidfurn umfassend, mit den Weilern Leu (früher Nesslau), Oberhaslen, Büel, Zussigen und Mülibächli. 1289 Burchard von Hasle. 1777 137 männl. Glarner Bürger; 1850 787 Einw.; 1900 766; 1950 769; 1980 489; 2000 649. H. gehörte ursprünglich zum Tagwen Nesselowe. Die Weiler Zussigen und Leu wurden im MA zusammen mit der Ortschaft H. zu einem Tagwen erhoben. Bis 1395 war H. dem Kloster Säckingen abgabenpflichtig. Ursprünglich nach Glarus, war H. nach dem Bau der Kirche Schwanden 1349 dorthin kirchgenössig. In Zussigen stand vor der Reformation eine St. Wendelinskapelle. Seit 1528 sind die Einwohner mehrheitlich reformiert. Schon im MA wurde neben Klein- auch Grossviehzucht betrieben. Mit Hätzingen, Luchsingen, Leuggelbach und Nidfurn bestand eine 1496 erstmals belegte Holzgenossenschaft. Waldteilungen wurden 1735 und 1800 vorgenommen. 1839 erfolgte der Bau des ersten, 1873 des heutigen Primarschulhauses. Zwischen 1887 und ca. 1900 wurde der Haslerbach verbaut. Neben versch. Gewerbebetrieben ist seit 1846 die mechan. Spinnerei und Weberei Jenny & Co. in H. angesiedelt. Die Alp- und Waldpflege bildeten wichtige Aufgaben der Gemeinde. 2000 waren noch nahezu zwei Drittel der Erwerbstätigen in H. im 2. Sektor beschäftigt. 1896 erfolgte die Loslösung aus dem Wahlkreis Diesbach. 1991 wurde der Primarschulkreis Nidfurn-H.-Leuggelbach gegründet.
  Interlaken (comune)  
-Matten all'interno della comunità parrocchiale rif. di Gsteig (1948) e relativo edificio di culto (la cosiddetta chiesa del castello, ossia l'antica chiesa conventuale, la cui navata è stata ricostruita nel 1909-11).
Des funiculaires permirent de gagner les points de vue de la Heimwehfluh (1906) et du Harder (1908). La crise de 1914 mit fin brusquement à la fièvre touristique. La croissance reprit en 1955, sur des bases différentes: la station se spécialisa dans l'accueil de congrès (Kursaal exploité toute l'année, construction de la maison des congrès en 1980) et mit l'accent sur ses manifestations culturelles (festival de musique dès 1960, fêtes d'Unspunnen, jeu de Guillaume Tell dès 1912). Actuellement, le territoire communal présente partout un caractère urbain; il comprend deux noyaux, le village (Aarmühle) et le château (ancien siège du bailliage). Les zones bâties jouxtent celles de Matten, avec qui I. et Unterseen forment une région économique et touristique unique. Si l'idée d'une fusion a été rejetée en 1914 et 1927, les trois communes partagent certaines infrastructures et institutions: école secondaire (1858), gymnase (1963), hôpital de district (1905, fait partie depuis 1999 de la spitäler fmi SA), centre pour handicapés (1960), paroisse catholique d'I. (église du Saint-Esprit, 1906-1908), cercle d'I.-Matten fondé au sein de la paroisse protestante de Gsteig en 1948 (église dite du château, ancienne collégiale; nef refaite en 1909-1911).
Bahnen erschlossen I.s Aussichtspunkte Heimwehfluh (1906) und Harder (1908). Das hektische Wachstum des Fremdenverkehrs schlug 1914 jäh in anhaltende Krisen um. Der 1955 einsetzende Aufschwung war mit Strukturwandel verbunden: I. baute sein Angebot als Kongressort aus, u.a. mit dem Ganzjahresbetrieb des Kursaals, dem Bau des Kongresshauses (1980) sowie den Musikfestwochen (seit 1960), den Unspunnenfesten und den Tellspielen (seit 1912). Heute ist das Gemeindegebiet mit den beiden Kernen Dorf (Aarmühle) und Landvogteischloss städtisch überbaut; I. und Matten sind baulich verzahnt. Sie bilden mit Unterseen eine einzige Tourismus- und Wirtschaftsregion mit teilweise gemeinsamer Infrastruktur; eine polit. Fusion der drei Gem. wurde 1914 und 1927 abgelehnt. Zu den interkommunalen Institutionen zählen Sekundarschule (1858), Gymnasium (1963), Bezirksspital (1905, seit 1999 Teil der spitäler fmi ag), Behindertenzentrum (1960), kath. Pfarrei I. (Heiliggeistkirche, 1906-08 erbaut) und ref. Pfarrkreis I.-Matten (1948) mit der sog. Schlosskirche (ehem. Klosterkirche, Neubau des Schiffs 1909-11).
  Nidfurn  
è rif. Sul piano politico costituì, insieme a Luchsingen e Leuggelbach, l'Eschentagwen; su quello economico, invece, è sempre stato un com. patriziale (Tagwen), con una contabilità separata e propri beni comuni.
Ancienne comm. GL, qui fusionna en 2006 avec Haslen et Leuggelbach pour former la comm. de Haslen. Village-rue du Hinterland glaronais sur le flanc gauche de la vallée, au sud de Schwanden. Vers 1300 ze Nitfúre. 135 hab. en 1701, 477 en 1860, 348 en 1900, 390 en 1950, 258 en 2000. Au Moyen Age, N. comptait parmi les domaines les plus lucratifs de Glaris et appartint au couvent de Säckingen jusqu'en 1395. Le village releva d'abord de la paroisse de Glaris, puis de celle de Schwanden dès 1349. Les habitants sont en majorité protestants depuis 1528. Politiquement, N. formait avec Luchsingen et Leuggelbach le cercle d'Eschentagwen, mais au plan économique, elle fut de tout temps une commune bourgeoise (Tagwen), avec sa comptabilité et ses communaux. N. vivait de l'élevage des moutons, puis des chèvres et des bovins jusqu'au XXe s. L'économie laitière s'intensifia au XVIIIe s. Une coopérative de bois avec les localités voisines est mentionnée dès 1496; les forêts furent partagées en 1735 et 1882. Une blanchisserie, en activité de 1660 à 1850, était l'unique établissement artisanal. Le filage manuel du coton fut beaucoup pratiqué entre 1714 et 1770 environ. N. possède son école depuis 1780; un bâtiment scolaire fut construit en 1835 et depuis 1991, le village fait partie du cercle scolaire primaire de N.-Haslen-Leuggelbach. La commune est reliée au réseau ferroviaire des Chemins de fer du Nord-Est depuis 1879. Aucune industrie ne s'est jamais installée à N. En 2000, 80% de la population active travaillaient dans des entreprises extérieures. Les imposantes maisons de la famille Blumer donnent son caractère au village.
Ehem. polit. Gem. GL, schloss sich 2006 mit Haslen und Leuggelbach zur polit. Gem. Haslen zusammen. Südlich von Schwanden auf der linken Talseite gelegenes Strassendorf im Glarner Hinterland. Um 1300 ze Nitfúre. 1701 135 Einw.; 1860 477; 1900 348; 1950 390; 2000 258. N. zählte im MA zu den ertragreichsten Glarner Gütern und gehörte bis 1395 dem Kloster Säckingen. Das Dorf war nach Glarus, ab 1349 nach Schwanden kirchgenössig. Seit 1528 sind die Einwohner mehrheitlich reformiert. Politisch bildete N. mit Luchsingen und Leuggelbach den Eschentagwen, ökonomisch aber war es von jeher eine Bürgergemeinde mit gesonderter Tagwensrechnung und eigener Allmende. In N. wurden Schafe, später bis ins 20. Jh. Ziegen gehalten und Rinder gezüchtet. Die Milchwirtschaft wurde im 18. Jh. intensiviert. 1496 ist erstmals eine Holzgenossenschaft mit den Nachbarorten belegt, die Wälder wurden 1735 und 1882 geteilt. Eine Bleicherei stellte 1660-1850 den einzigen Gewerbebetrieb dar, die Baumwollhandspinnerei war von 1714 bis um 1770 verbreitet. Seit 1780 verfügt N. über eine eigene Schule, 1835 wurde ein Schulhaus gebaut und seit 1991 gehört das Dorf zum Primarschulkreis N.-Haslen-Leuggelbach. 1879 erhielt die Gem. einen Anschluss ans Eisenbahnnetz der Nordostbahn. N. besass nie Industrie, über 80% der Erwerbstätigen arbeiteten 2000 in auswärtigen Betrieben. Das Dorfbild wird von den stattl. Blumerhäusern geprägt.
  Betschwanden  
La chiesa, eretta in stile romanico nel XIV sec. e più volte trasformata, nel 1779-80 fu munita di protezioni dalle inondazioni; arricchita nel 1915 da elementi liberty e neobarocchi, è stata restaurata negli anni 1975-77. Con Hätzingen, Diesbach e Rüti, dal 1528 B. forma una comunità parrocchiale rif.
Commune GL, sur la rive droite de la Linth; village sur le cône d'alluvions du Diesbach. 1240 in Beswando. 123 hab. en 1692, 254 en 1850, 255 en 1900, 282 en 1950, 132 en 1980, 172 en 2000. Rattaché à l'origine à la paroisse de Glaris, B. paya des redevances au monastère de Säckingen jusqu'en 1395. Construite au XIVe s. en style roman et transformée à de nombreuses reprises (protection contre les inondations en 1779-1780, éléments Art nouveau et néobaroques en 1915), l'église a été restaurée en 1975-1977 (rénovation extérieure en 2001). Dès 1528, B. forme une paroisse protestante avec Hätzingen, Diesbach, Rüti et (jusqu'en 1942) Braunwald. Le réformateur Fridolin Brunner y prêcha entre 1532 et 1555, tout comme Gottfried Heer entre 1866 et 1906. Jusqu'au XIXe s., l'agriculture et l'exploitation des alpages étaient les principales sources de revenu; l'alpe de Vorder Sand (comm. Linthal) était, avant 1800 déjà, propriété de la commune bourgeoise (Tagwen). Le moulin sur le Diesbach (1778) est devenu l'auberge de la paroisse. Une filature, fondée en 1843, fut transformée en 1910 en un entrepôt qui, depuis 1982, abrite une entreprise de chimie textile. Une école fut créée dans la paroisse en 1727. Le bâtiment scolaire, de 1844, accueillait les élèves secondaires des communes environnantes (de Rüti à Luchsingen), l'école primaire se trouvant à Diesbach. Depuis 1984, B. et Rüti (avec Diesbach jusqu'en 2004, puis avec Linthal) forment un arrondissement scolaire pour l'enseignement primaire; B. fait aussi partie de l'arrondissement scolaire pour l'enseignement secondaire de Linthal-Luchsingen. Station des chemins de fer du Nord-Est (1879), abattoir régional d'urgence (1978); une route de contournement (1989) a libéré les alentours de l'église. En 1990, le secteur tertiaire offrait 17 des 27 emplois de B.; 67% des personnes actives travaillaient à l'extérieur.
Polit. Gem. GL, auf der rechten Talseite des Grosstals mit Dorfkern auf dem Schuttkegel des Diesbachs. 1240 in Beswando. 1692 123 Einw.; 1850 254; 1900 255; 1950 282; 1980 132; 2000 172. B. war bis 1395 dem Kloster Säckingen abgabepflichtig und urspr. nach Glarus kirchgenössig. Die im 14. Jh. im rom. Stil errichtete und mehrmals umgebaute Kirche wurde 1779-80 gegen Hochwasser geschützt, erhielt 1915 Jugendstil- und Neubarock-Elemente und wurde 1975-77 restauriert (2001 Aussenrenovation). Mit Hätzingen, Diesbach und Rüti bildet B. eine seit 1528 ref. Pfarrgemeinde, in welcher u.a. 1532-55 der Reformator Fridolin Brunner und 1866-1906 Gottfried Heer wirkten und zu der bis 1942 auch Braunwald gehörte. Land- und Alpwirtschaft (Alp Vorder Sand, Gem. Linthal, schon vor 1800 im Besitz des Tagwen) war bis ins 19. Jh. wichtigste Einnahmequelle. Die 1778 erbaute Mühle am Diesbach ist zum Gästehaus der Kirchgemeinde geworden. Aus einer 1843 eröffneten Spinnerei wurde 1910 ein Lagerhaus, aus diesem 1982 ein Textilchemiebetrieb. 1727 erhielt der Pfarrkreis B. eine Schule. Das 1844 erstellte Schulhaus diente den Oberschülern der Gem. Luchsingen bis Rüti, die Primarschule wurde in Diesbach besucht. 1984-2004 bildete B. mit Rüti und Diesbach, seither mit Rüti und Linthal einen Primarschulkreis; es ist zudem Teil des Oberstufenschulkreises Linthal bis Luchsingen. 1879 erhielt B. Anschluss an das Netz der Schweiz. Nordostbahn. 1978 wurde ein regionales Notschlachthaus eröffnet. Eine Umfahrung hat 1989 das Ortsbild bei der Kirche verändert. 1990 waren 67% der Erwerbstätigen Wegpendler, 17 der 27 in B. Beschäftigten arbeiteten im 3. Sektor.
  Betschwanden  
La chiesa, eretta in stile romanico nel XIV sec. e più volte trasformata, nel 1779-80 fu munita di protezioni dalle inondazioni; arricchita nel 1915 da elementi liberty e neobarocchi, è stata restaurata negli anni 1975-77. Con Hätzingen, Diesbach e Rüti, dal 1528 B. forma una comunità parrocchiale rif.
Commune GL, sur la rive droite de la Linth; village sur le cône d'alluvions du Diesbach. 1240 in Beswando. 123 hab. en 1692, 254 en 1850, 255 en 1900, 282 en 1950, 132 en 1980, 172 en 2000. Rattaché à l'origine à la paroisse de Glaris, B. paya des redevances au monastère de Säckingen jusqu'en 1395. Construite au XIVe s. en style roman et transformée à de nombreuses reprises (protection contre les inondations en 1779-1780, éléments Art nouveau et néobaroques en 1915), l'église a été restaurée en 1975-1977 (rénovation extérieure en 2001). Dès 1528, B. forme une paroisse protestante avec Hätzingen, Diesbach, Rüti et (jusqu'en 1942) Braunwald. Le réformateur Fridolin Brunner y prêcha entre 1532 et 1555, tout comme Gottfried Heer entre 1866 et 1906. Jusqu'au XIXe s., l'agriculture et l'exploitation des alpages étaient les principales sources de revenu; l'alpe de Vorder Sand (comm. Linthal) était, avant 1800 déjà, propriété de la commune bourgeoise (Tagwen). Le moulin sur le Diesbach (1778) est devenu l'auberge de la paroisse. Une filature, fondée en 1843, fut transformée en 1910 en un entrepôt qui, depuis 1982, abrite une entreprise de chimie textile. Une école fut créée dans la paroisse en 1727. Le bâtiment scolaire, de 1844, accueillait les élèves secondaires des communes environnantes (de Rüti à Luchsingen), l'école primaire se trouvant à Diesbach. Depuis 1984, B. et Rüti (avec Diesbach jusqu'en 2004, puis avec Linthal) forment un arrondissement scolaire pour l'enseignement primaire; B. fait aussi partie de l'arrondissement scolaire pour l'enseignement secondaire de Linthal-Luchsingen. Station des chemins de fer du Nord-Est (1879), abattoir régional d'urgence (1978); une route de contournement (1989) a libéré les alentours de l'église. En 1990, le secteur tertiaire offrait 17 des 27 emplois de B.; 67% des personnes actives travaillaient à l'extérieur.
Polit. Gem. GL, auf der rechten Talseite des Grosstals mit Dorfkern auf dem Schuttkegel des Diesbachs. 1240 in Beswando. 1692 123 Einw.; 1850 254; 1900 255; 1950 282; 1980 132; 2000 172. B. war bis 1395 dem Kloster Säckingen abgabepflichtig und urspr. nach Glarus kirchgenössig. Die im 14. Jh. im rom. Stil errichtete und mehrmals umgebaute Kirche wurde 1779-80 gegen Hochwasser geschützt, erhielt 1915 Jugendstil- und Neubarock-Elemente und wurde 1975-77 restauriert (2001 Aussenrenovation). Mit Hätzingen, Diesbach und Rüti bildet B. eine seit 1528 ref. Pfarrgemeinde, in welcher u.a. 1532-55 der Reformator Fridolin Brunner und 1866-1906 Gottfried Heer wirkten und zu der bis 1942 auch Braunwald gehörte. Land- und Alpwirtschaft (Alp Vorder Sand, Gem. Linthal, schon vor 1800 im Besitz des Tagwen) war bis ins 19. Jh. wichtigste Einnahmequelle. Die 1778 erbaute Mühle am Diesbach ist zum Gästehaus der Kirchgemeinde geworden. Aus einer 1843 eröffneten Spinnerei wurde 1910 ein Lagerhaus, aus diesem 1982 ein Textilchemiebetrieb. 1727 erhielt der Pfarrkreis B. eine Schule. Das 1844 erstellte Schulhaus diente den Oberschülern der Gem. Luchsingen bis Rüti, die Primarschule wurde in Diesbach besucht. 1984-2004 bildete B. mit Rüti und Diesbach, seither mit Rüti und Linthal einen Primarschulkreis; es ist zudem Teil des Oberstufenschulkreises Linthal bis Luchsingen. 1879 erhielt B. Anschluss an das Netz der Schweiz. Nordostbahn. 1978 wurde ein regionales Notschlachthaus eröffnet. Eine Umfahrung hat 1989 das Ortsbild bei der Kirche verändert. 1990 waren 67% der Erwerbstätigen Wegpendler, 17 der 27 in B. Beschäftigten arbeiteten im 3. Sektor.
  Herrliberg  
Verso il 1417 la città di Zurigo acquisì la sovranità fiscale e territoriale su H. Le cappelle filiali di H. e di Wetzwil, che facevano capo alla parrocchia di Küsnacht, sono menz. nel 1370. Dal 1631 la comunità rif. dispone di un proprio pastore. Gli inizi della formazione com. risalgono al tardo XV sec.
L'occupation du haut plateau est attestée au VIIIe s. par la mention du nom de Wetzwil (797 Wezinvilare). La rive et le coteau ont dû être peuplés plus tard, comme l'indique la toponymie (lieudits à caractère champêtre utilisés a posteriori pour des habitats; présence de noms comme Grüt désignant des défrichements). Le territoire des hauts (Wetzwil, Breitwil et Intwil) releva du château fort de Friedberg près de Meilen; il appartenait en 1336 à la famille noble Mülner de Zurich. La haute juridiction sur les hameaux passa en 1384 à Zurich avec le bailliage de Küsnacht. La famille zurichoise des Bletscher détenait la basse juridiction au XIVe s. et au début du XVe. La ville de Zurich acquit la seigneurie fiscale et la souveraineté sur H. vers 1417. Les chapelles du village et de Wetzwil, filiales de Küsnacht, sont mentionnées en 1370. Un pasteur officie à H. depuis 1631. Une commune commença à se former vers la fin du XVe s. Elle apparaît comme telle pour la première fois en 1550. En 1639, il est question des huit "jurés". L'accès à la bourgeoisie fut limité en 1673. Les forêts servaient de pacage aux paysans des hauts, tandis que les gens du village réclamaient des mesures de reboisement et l'établissement de clôtures. En 1550, les autorités se prononcèrent pour une limitation du pacage. Dans les fermes des hauts, on pratiquait la céréaliculture, soit en assolement, soit sur des champs temporaires; près du lac, on se spécialisa dans la vigne. En 1670, un quart de la population travaillait dans l'industrie à domicile. En 1787, quatre-vingt-trois personnes étaient occupées dans le tissage et quarante-cinq dans la filature du coton. En raison de la proximité du lac et de la ville, H. abritait des maisons de campagne de familles zurichoises et des domaines agricoles comme celui dit de l'ancien bailliage.
Eine Besiedlung des Hochplateaus gilt aufgrund einer urkundl. Nennung von Wetzwil (797 Wezinvilare) für das 8. Jh. als gesichert. Die Uferzone und der Abhang dürften spät besiedelt worden sein. Darauf verweisen u.a. sekundäre, aus Flurnamen entstandene Siedlungsnamen, aber auch Rodungsnamen wie Grüt. Das Hofgebiet auf der Anhöhe mit Wetzwil, Breitwil und Intwil gehörte zur Burg Friedberg bei Meilen und 1336 der adeligen Fam. Mülner von Zürich. Die hohen Gerichte über die Weiler kamen 1384 mit der Vogtei Küsnacht zu Zürich, die niederen befanden sich im 14. und zu Beginn des 15. Jh. im Besitz der Zürcher Fam. Bletscher. Um 1417 erlangte die Stadt Zürich die Steuer- und Landeshoheit über H. 1370 werden die Filialkapellen im Dorf und in Wetzwil erwähnt, die der Pfarrei Küsnacht unterstanden. Seit 1631 besitzt H. ein eigenes Pfarramt für die ref. Kirchgemeinde. Die Anfänge der Gemeindebildung liegen im späten 15. Jh. 1550 tauchte erstmals die Nennung der Gemeinde als Körperschaft auf. 1639 ist die Rede von den acht "Geschworenen" und von 1673 ist ein Einzugsbrief erhalten. Die Waldungen dienten den Bauern auf dem Berg als Weide, während die Leute aus dem Dorf den Holznutzen mit Aufforstungen und Einzäunungen förderten. 1550 sprach sich die Obrigkeit in ihren Schiedssprüchen für die Beschränkung der Waldweide aus. In den Berghöfen wurde Ackerbau (teils Zelgen-, teils Egertenwirtschaft) betrieben, am Abhang gegen den See spezialisierte man sich auf den Rebbau. 1670 arbeitete rund ein Viertel der Einwohner in der Heimindustrie. 1787 waren noch 83 Personen in der Weberei und 45 in der Baumwollspinnerei tätig. Wegen der Seelage und Stadtnähe besass H. Landsitze von Zürcher Stadtbürgern und landwirtschaftl. Güter wie die sog. alte Vogtei.
  Mitlödi  
Sul piano ecclesiastico fece capo a Glarona. Dal 1528 la maggioranza della pop. aderì alla Riforma (nel 1725 fu costruita la chiesa rif.); i catt. continuarono a dipendere dalla parrocchia di Glarona fino al 1895, quando furono assegnati a Schwanden.
Comm. GL. Village du Hinterland glaronais, situé sur des éboulements préhistoriques au bord de la Linth, comprenant Ennetlinth, sur la rive droite de la rivière. Vers 1320 Mitlodi. 183 bourgeois (hommes) de Glaris en 1777, 649 hab. en 1850, 736 en 1900, 821 en 1950, 1030 en 2000. La ruine du château fort de Sola, habité de la fin du XIIe s. au milieu du XIIIe s., se trouve au nord de Sool. Le cercle électoral de M. comprend Schwändi et Sool. Jusqu'en 1395, M. était tenu de payer des redevances au couvent de Säckingen. Au spirituel, la commune dépendait de Glaris; dès 1528, la majorité de la population était passée à la Réforme. Le temple fut construit en 1725. Les catholiques demeurèrent rattachés à la paroisse de Glaris jusqu'en 1895 avant de passer à celle de Schwanden. Une chapelle catholique existe depuis 1951. Au Moyen Age, l'agriculture et l'élevage du petit bétail permettaient de vivre en autarcie; l'élevage du gros bétail augmenta aux XVIIe et XVIIIe s. L'exportation de tables, la fabrication et le commerce d'ouate et le tissage du coton à domicile entraînèrent un essor économique dans la seconde moitié du XVIIIe s. Après la constitution d'un fonds pour l'école (1761), les protestants ouvrirent leur propre établissement en 1771, qui accepta des élèves catholiques dès 1859. Une école catholique exista provisoirement vers 1800. Un nouveau bâtiment fut construit en 1841. En activité dès 1857, la grande indiennerie installée à Ennetlinth fut transformée en fabrique d'impression sur soie en 1893. De riches villas furent construites dans la commune jusque vers 1900. M. fut raccordée au chemin de fer du Nord-Est en 1879. La nouvelle manufacture d'impression sur soie Mitlödi SA, fondée dans les années 1930, est devenue Mitloedi Textildruck SA en 1997. D'autres entreprises fabriquent des produits pharmaceutiques, de la margarine, des outils et des machines. En 2005, le secteur secondaire offrait près de sept dixièmes des emplois.
Polit. Gem. GL. Haufendorf des Glarner Hinterlands, auf prähist. Bergsturzmasse an der Linth gelegen, mit Dorfteil Ennetlinth am rechten Linthufer. Um 1320 Mitlodi. 1777 183 männl. Glarner Bürger; 1850 649 Einw.; 1900 736; 1950 821; 2000 1'030. Nördlich von Sool steht die Ruine der wohl vom späten 12. bis ins frühe 13. Jh. bewohnten Burg Sola. Mit Schwändi und Sool zusammen bildet M. den gleichnamigen Wahlkreis. Bis 1395 hatte M. dem Kloster Säckingen Abgaben zu leisten. Kirchlich gehörte es zu Glarus, ab 1528 war es mehrheitlich reformiert. Die ref. Kirche wurde 1725 gebaut. Die Katholiken blieben bis 1895 nach Glarus pfarrgenössig, nachher wurden sie Schwanden zugeteilt. Seit 1951 verfügt M. über eine kath. Kapelle. Im MA betrieben die Bauern selbstversorgende Landwirtschaft mit Kleinviehzucht, im 17. und 18. Jh. vermehrt Grossviehzucht. Tischexport, Wattemacherei bzw. -handel und Baumwollverlagswesen führten in der 2. Hälfte des 18. Jh. zu wirtschaftl. Aufschwung. Nach der Stiftung eines Schulguts 1761 bestand ab 1771 für den evang. Teil eine eigene Schule, die 1859 auch kath. Kinder aufnahm. Um 1800 existierte vorübergehend eine kath. Schule. 1841 baute M. ein neues Schulhaus. Ab 1857 wurde im Ennetlinth eine grosse Baumwolldruckerei betrieben, die 1893 in eine Seidendruckerei umgewandelt wurde. Bis ca. 1900 entstanden in der Gem. prunkvolle Villen. 1879 erhielt M. einen Anschluss an die Nordostbahn. Die in den 1930er Jahren neu eröffnete Seidendruckerei Mitlödi AG wurde ab 1997 als Mitloedi Textildruck AG weitergeführt. Weitere Fabriken produzierten Pharmazeutika, Margarine, Werkzeuge und Maschinen. 2005 stellte der 2. Sektor rund sieben Zehntel der Arbeitsplätze.
  Mitlödi  
Sul piano ecclesiastico fece capo a Glarona. Dal 1528 la maggioranza della pop. aderì alla Riforma (nel 1725 fu costruita la chiesa rif.); i catt. continuarono a dipendere dalla parrocchia di Glarona fino al 1895, quando furono assegnati a Schwanden.
Comm. GL. Village du Hinterland glaronais, situé sur des éboulements préhistoriques au bord de la Linth, comprenant Ennetlinth, sur la rive droite de la rivière. Vers 1320 Mitlodi. 183 bourgeois (hommes) de Glaris en 1777, 649 hab. en 1850, 736 en 1900, 821 en 1950, 1030 en 2000. La ruine du château fort de Sola, habité de la fin du XIIe s. au milieu du XIIIe s., se trouve au nord de Sool. Le cercle électoral de M. comprend Schwändi et Sool. Jusqu'en 1395, M. était tenu de payer des redevances au couvent de Säckingen. Au spirituel, la commune dépendait de Glaris; dès 1528, la majorité de la population était passée à la Réforme. Le temple fut construit en 1725. Les catholiques demeurèrent rattachés à la paroisse de Glaris jusqu'en 1895 avant de passer à celle de Schwanden. Une chapelle catholique existe depuis 1951. Au Moyen Age, l'agriculture et l'élevage du petit bétail permettaient de vivre en autarcie; l'élevage du gros bétail augmenta aux XVIIe et XVIIIe s. L'exportation de tables, la fabrication et le commerce d'ouate et le tissage du coton à domicile entraînèrent un essor économique dans la seconde moitié du XVIIIe s. Après la constitution d'un fonds pour l'école (1761), les protestants ouvrirent leur propre établissement en 1771, qui accepta des élèves catholiques dès 1859. Une école catholique exista provisoirement vers 1800. Un nouveau bâtiment fut construit en 1841. En activité dès 1857, la grande indiennerie installée à Ennetlinth fut transformée en fabrique d'impression sur soie en 1893. De riches villas furent construites dans la commune jusque vers 1900. M. fut raccordée au chemin de fer du Nord-Est en 1879. La nouvelle manufacture d'impression sur soie Mitlödi SA, fondée dans les années 1930, est devenue Mitloedi Textildruck SA en 1997. D'autres entreprises fabriquent des produits pharmaceutiques, de la margarine, des outils et des machines. En 2005, le secteur secondaire offrait près de sept dixièmes des emplois.
Polit. Gem. GL. Haufendorf des Glarner Hinterlands, auf prähist. Bergsturzmasse an der Linth gelegen, mit Dorfteil Ennetlinth am rechten Linthufer. Um 1320 Mitlodi. 1777 183 männl. Glarner Bürger; 1850 649 Einw.; 1900 736; 1950 821; 2000 1'030. Nördlich von Sool steht die Ruine der wohl vom späten 12. bis ins frühe 13. Jh. bewohnten Burg Sola. Mit Schwändi und Sool zusammen bildet M. den gleichnamigen Wahlkreis. Bis 1395 hatte M. dem Kloster Säckingen Abgaben zu leisten. Kirchlich gehörte es zu Glarus, ab 1528 war es mehrheitlich reformiert. Die ref. Kirche wurde 1725 gebaut. Die Katholiken blieben bis 1895 nach Glarus pfarrgenössig, nachher wurden sie Schwanden zugeteilt. Seit 1951 verfügt M. über eine kath. Kapelle. Im MA betrieben die Bauern selbstversorgende Landwirtschaft mit Kleinviehzucht, im 17. und 18. Jh. vermehrt Grossviehzucht. Tischexport, Wattemacherei bzw. -handel und Baumwollverlagswesen führten in der 2. Hälfte des 18. Jh. zu wirtschaftl. Aufschwung. Nach der Stiftung eines Schulguts 1761 bestand ab 1771 für den evang. Teil eine eigene Schule, die 1859 auch kath. Kinder aufnahm. Um 1800 existierte vorübergehend eine kath. Schule. 1841 baute M. ein neues Schulhaus. Ab 1857 wurde im Ennetlinth eine grosse Baumwolldruckerei betrieben, die 1893 in eine Seidendruckerei umgewandelt wurde. Bis ca. 1900 entstanden in der Gem. prunkvolle Villen. 1879 erhielt M. einen Anschluss an die Nordostbahn. Die in den 1930er Jahren neu eröffnete Seidendruckerei Mitlödi AG wurde ab 1997 als Mitloedi Textildruck AG weitergeführt. Weitere Fabriken produzierten Pharmazeutika, Margarine, Werkzeuge und Maschinen. 2005 stellte der 2. Sektor rund sieben Zehntel der Arbeitsplätze.
  Bilten  
Nel 1412 la comunità dei vicini riscattò i censi fondiari del capitolo di Schänis. Nel 1528 la maggioranza degli ab. passò alla fede rif. e di conseguenza aderì alla parrocchia di Niederurnen. La chiesa di B. fu consacrata nel 1607 e venne distaccata completamente da Schänis nel 1612.
Le site était peut-être déjà habité à l'époque romaine. Le couvent de Schänis, dont B. releva au spirituel dès le XIIe s., était dès le milieu du XIe s. l'un des seigneurs fonciers, confirmé par un diplôme pontifical en 1178. La chapelle Sainte-Catherine, au-dessous du village, est attestée en 1345. B. fit partie du Gaster, puis du canton de Glaris en 1405/1406 ou 1415. Les communiers rachetèrent les cens fonciers du chapitre de Schänis en 1412. Les habitants devinrent paroissiens de Niederurnen après avoir en majorité adopté la Réforme en 1528. L'église de B. fut consacrée en 1607 et tout lien avec Schänis rompu en 1612. Aux XVIe-XVIIIe s., l'élevage du gros bétail pour l'exportation domina; puis on passa peu à peu à l'économie laitière. Les combles de la maison Elsener (1608) et leurs boiseries Renaissance (1618) sont un monument d'importance nationale. Au XVIIIe s., B. eut une certaine importance comme poste de douane glaronais. L'extension des zones marécageuses, surtout dans la seconde moitié du XVIIIe s., causa une morbidité à laquelle seule la correction de la Linth (1807-1823) mit fin. Première école en 1839, institut d'éducation pour garçons à la maison Elsener (1853-1944). Raccordement au chemin de fer du Nord-Est en 1875. Le Biltener Bach, torrent aux crues dévastatrices, fut canalisé entre 1887 et 1939. Jusqu'à l'ouverture de Kunz AG, boucherie en gros (1958-1995) et de Wannerit AG, produits d'emballage et d'isolation (1964), B. resta une commune agricole avec quelques entreprises artisanales. Un accès relativement facile et le raccordement à l'autoroute A3 (1973) favorisèrent l'essor industriel (le secteur secondaire offrait 77% des emplois en 1990). B. abrite depuis 1976 une station d'épuration traitant les eaux d'une bonne partie du canton de Glaris (Grosstal, Mittelland, Unterland) et celles des communes de Weesen et d'Amden dans le canton de Saint-Gall.
Das Gebiet war evtl. schon in röm. Zeit besiedelt. Teile von B. gehörten etwa ab Mitte des 11. Jh. zur Grundherrschaft des Klosters Schänis, wohin B. vom 12. Jh. an auch kirchgenössig war. Eine Papsturkunde von 1178 bestätigte die Besitzungen von Schänis in B. Die St. Katharinenkapelle unterhalb des Dorfes ist 1345 bezeugt. Bis zur Aufnahme in das Land Glarus, 1405/06 oder 1415, gehörte B. zum Gaster. Die Grundzinsen des Schäniser Stifts lösten die Dorfgenossen 1412 ab. 1528 trat die Mehrzahl der Einwohner zum ref. Glauben über und war in der Folge nach Niederurnen pfarrgenössig. 1607 wurde die Kirche B. geweiht, 1612 erfolgte die vollständige Ablösung von Schänis. Im 16.-18. Jh. nahm die Intensität der Alpnutzung einer wohl exportorientierten Grossviehzucht zu. Danach verlagerte sich das Gewicht allmählich auf die Milchwirtschaft. Als Denkmal von nationaler Bedeutung gilt die Giebelstube (mit Renaissancetäfer von 1618) des 1608 erbauten sog. Elsenerhauses. Im 18. Jh. kam B. eine gewisse Bedeutung als Glarner Zollstation zu. Die v.a. in der 2. Hälfte des 18. Jh. zunehmende Versumpfung der Linthebene förderte Krankheiten, welche erst die Linthkorrektion von 1807-23 beseitigte. 1839 entstand das erste Schulhaus, 1853 die Knabenerziehungsanstalt (1944 geschlossen) im Elsenerhaus. 1875 erhielt B. Anschluss an das Netz der Nordostbahn. 1887-1939 wurde der Biltener Bach verbaut, der zuvor wiederholt Verwüstungen angerichtet hatte. B. blieb bis zum Bau der Grossmetzgerei Kunz AG (1958, 1995 geschlossen) und der Dämm- und Verpackungsstofffirma Wannerit AG (1964) eine ländl. Gem. mit einigen Gewerbebetrieben. Die gute Verkehrslage und der Anschluss an die A3 (1973) förderten den industriellen Aufschwung (1990 77% in B. Erwerbstätige im 2. Sektor). Seit 1976 ist die Abwasserreinigungsanlage für das Glarner Grosstal, Mittel- und Unterland sowie die sankt-gall. Gem. Weesen und Amden in Betrieb.
  Dübendorf  
Nel 1487 Hans Waldmann acquistò il diritto di collazione, che passò a Zurigo nel 1489. Dal 1937 al 1969 anche Schwerzenbach fece parte della parrocchia rif. di D. Nel 1968 la chiesa è stata sostituita da un nuovo edificio.
L'église de Wil a été érigée au début du VIIIe s. Mentionnée en 1272, elle était probablement dédiée à la Vierge. L'abbaye de Reichenau est certainement à l'origine de sa fondation. Au milieu du XIVe s., son patronage appartenait aux barons de Tengen en tant que fief de Reichenau. Il passa en 1371 à la famille Mülner de Zurich, qui le légua en 1395 à la commanderie des hospitaliers de Saint-Jean de Küsnacht. L'église fut détruite par les troupes schwytzoises en 1444. La commanderie de Küsnacht et le couvent de Saint-Martin sur le Zürichberg échangèrent en 1478 leurs droits de patronage sur D. et Egg. En 1487, Hans Waldmann acquit la collature, qui passa à Zurich en 1489. Schwerzenbach fit également partie de la paroisse protestante de D. (1937-1969). En 1968, l'église fut remplacée par un nouvel édifice. Un couvent de l'ordre hospitalier de Saint-Lazare de Jérusalem, avec son église, fut édifié à Gfenn au début du XIIIe s., pillé au cours de la guerre de Zurich (1444) et supprimé en 1525. Depuis sa restauration (1966-1967), l'église conventuelle accueille les deux cultes. Des services catholiques furent célébrés à D. dès 1897; l'église Notre-Dame-de-la-Paix y a été bâtie en 1951-1952.
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