pk – -Translation – Keybot Dictionary

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Keybot 4 Results  www5.agr.gc.ca
  Quo vadis Soil Organic ...  
We show that the continuous production of complex polyketides (PKs) from small soil oxoacids by soil microorganisms and associated polyketide synthases catalyzes the second biotic stage of humification in soils.
La matière organique du sol (MOS) est le substrat et l’habitat de la faune et des microorganismes du sol. Le biotope ainsi que les substances inorganiques du sol contribuent à la dégradation et à la synthèse des acides humiques (AH) et de la MOS par l’intermédiaire de réactions chimiques et biochimiques. Au cours des 25 dernières années, la plupart des études sur la structure moléculaire et les réactions des AH et de la MOS ont été faites par des chimistes du sol, alors que les microbiologistes du sol, ont très peu participé à ces études. C’est peut-être une des raisons pour lesquelles nos connaissances sur la structure moléculaire des MOS et des AH ont évolué si lentement. Une meilleure collaboration entre chimistes et microbiologistes aurait certainement été utile. Nous résumons ici les connaissances actuelles sur les structures moléculaires bidimensionnelles et tridimensionnelles et proposons de nouvelles réactions chimiques de synthèse des AH et de la MOS. Nous expliquons comment les progrès récents de la biochimie microbienne peuvent aider les pédochimistes à élucider les structures moléculaires des AH et de la MOS. Nous montrons que la transformation continue de petits oxoacides en polycétides (PC) complexes par les microorganismes du sol qui produisent des polycétides synthases constitue le deuxième stade biotique de l’humification du sol. Les PC ont des structures complexes : alkyl-aromatiques, aromatiques, polyaromatiques, phénoliques et polyphénoliques. En raison de leur activité biologique, de leur adsorption rapide aux colloïdes argileux et de la grande énergie de leurs liaisons chimiques, les PC formés par des organismes vivants ou par des réactions chimiques constituent des bassins de carbone passifs sur le plan cinétique. Il s’agit donc de squelettes carbonés qui contribuent à la formation d’une unité de structure centrale stable des substances humiques et de la MOS.
  Molecular, biochemical ...  
In particular, three types [classical (C) and two atypical (H, L)] have been identified, largely on the basis of characteristics of the proteinase K (PK)-resistant core of the misfolded prion protein associated with the disease (PrPres).
On sait depuis peu que l’épidémiologie et peut-être même l’étiologie de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) ne sont pas homogènes. En effet, selon les caractéristiques associées à la conformation anormale de la protéine prion résistante à la protéinase K (PrPres), on distingue trois types de maladies : le type classique (C) et deux types atypiques (H et L). La présente étude visait à caractériser les 17 cas canadiens d’ESB survenus avant novembre 2009 d’après les propriétés moléculaires et biochimiques de leur PrPres, dont l’immunoréactivité, la masse moléculaire, le profil des glycoformes et la sensibilité relative à la protéinase K (PK). Dans deux cas, la masse moléculaire et le profil des glycoformes rappelaient ceux des cas atypiques signalés auparavant, l’un correspondant au type H de l’ESB (cas 6) et l’autre, au type L (cas 11). Tous les autres cas étaient du type C. La digestion à la PK, dans des conditions tant favorables que stringentes, a révélé une résistance réduite à la protéinase dans les deux cas atypiques, comparativement à celle associée aux cas de type C. Dans le transfert par Western, les anticorps spécifiques des séquences N-terminales se sont liés à la PrPres du cas 6, mais pas à celle du cas 11 ni à celles des cas de type C. Les anticorps spécifiques des séquences C-terminales ont révélé des changements dans le profil des glycoformes et mis en évidence un quatrième fragment protéique dans le cas 6, indiquant l’existence de deux sous-populations de PrPres dans l’ESB de type H. Aucune mutation indicatrice d’une étiologie génétique n’a été observée chez les 17 animaux chez lesquels on avait déterminé la séquence génique complète de la région de l’exon 3 du gène PRNP codant la PrP. Par conséquent, les trois types connus d’ESB ont été confirmés chez des bovins canadiens et leurs caractéristiques moléculaires sont très semblables à celles des cas d’ESB classiques et atypiques décrits en Europe, au Japon et aux États-Unis. La détection de cas d’ESB atypiques dans des pays comme le Canada, où la prévalence et les risques de transmission sont faibles, semble corroborer la présence de formes sporadiques de l’ESB partout dans le monde.
  Molecular, biochemical ...  
In particular, three types [classical (C) and two atypical (H, L)] have been identified, largely on the basis of characteristics of the proteinase K (PK)-resistant core of the misfolded prion protein associated with the disease (PrPres).
On sait depuis peu que l’épidémiologie et peut-être même l’étiologie de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) ne sont pas homogènes. En effet, selon les caractéristiques associées à la conformation anormale de la protéine prion résistante à la protéinase K (PrPres), on distingue trois types de maladies : le type classique (C) et deux types atypiques (H et L). La présente étude visait à caractériser les 17 cas canadiens d’ESB survenus avant novembre 2009 d’après les propriétés moléculaires et biochimiques de leur PrPres, dont l’immunoréactivité, la masse moléculaire, le profil des glycoformes et la sensibilité relative à la protéinase K (PK). Dans deux cas, la masse moléculaire et le profil des glycoformes rappelaient ceux des cas atypiques signalés auparavant, l’un correspondant au type H de l’ESB (cas 6) et l’autre, au type L (cas 11). Tous les autres cas étaient du type C. La digestion à la PK, dans des conditions tant favorables que stringentes, a révélé une résistance réduite à la protéinase dans les deux cas atypiques, comparativement à celle associée aux cas de type C. Dans le transfert par Western, les anticorps spécifiques des séquences N-terminales se sont liés à la PrPres du cas 6, mais pas à celle du cas 11 ni à celles des cas de type C. Les anticorps spécifiques des séquences C-terminales ont révélé des changements dans le profil des glycoformes et mis en évidence un quatrième fragment protéique dans le cas 6, indiquant l’existence de deux sous-populations de PrPres dans l’ESB de type H. Aucune mutation indicatrice d’une étiologie génétique n’a été observée chez les 17 animaux chez lesquels on avait déterminé la séquence génique complète de la région de l’exon 3 du gène PRNP codant la PrP. Par conséquent, les trois types connus d’ESB ont été confirmés chez des bovins canadiens et leurs caractéristiques moléculaires sont très semblables à celles des cas d’ESB classiques et atypiques décrits en Europe, au Japon et aux États-Unis. La détection de cas d’ESB atypiques dans des pays comme le Canada, où la prévalence et les risques de transmission sont faibles, semble corroborer la présence de formes sporadiques de l’ESB partout dans le monde.
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In particular, three types [classical (C) and two atypical (H, L)] have been identified, largely on the basis of characteristics of the proteinase K (PK)-resistant core of the misfolded prion protein associated with the disease (PrPres).
On sait depuis peu que l’épidémiologie et peut-être même l’étiologie de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) ne sont pas homogènes. En effet, selon les caractéristiques associées à la conformation anormale de la protéine prion résistante à la protéinase K (PrPres), on distingue trois types de maladies : le type classique (C) et deux types atypiques (H et L). La présente étude visait à caractériser les 17 cas canadiens d’ESB survenus avant novembre 2009 d’après les propriétés moléculaires et biochimiques de leur PrPres, dont l’immunoréactivité, la masse moléculaire, le profil des glycoformes et la sensibilité relative à la protéinase K (PK). Dans deux cas, la masse moléculaire et le profil des glycoformes rappelaient ceux des cas atypiques signalés auparavant, l’un correspondant au type H de l’ESB (cas 6) et l’autre, au type L (cas 11). Tous les autres cas étaient du type C. La digestion à la PK, dans des conditions tant favorables que stringentes, a révélé une résistance réduite à la protéinase dans les deux cas atypiques, comparativement à celle associée aux cas de type C. Dans le transfert par Western, les anticorps spécifiques des séquences N-terminales se sont liés à la PrPres du cas 6, mais pas à celle du cas 11 ni à celles des cas de type C. Les anticorps spécifiques des séquences C-terminales ont révélé des changements dans le profil des glycoformes et mis en évidence un quatrième fragment protéique dans le cas 6, indiquant l’existence de deux sous-populations de PrPres dans l’ESB de type H. Aucune mutation indicatrice d’une étiologie génétique n’a été observée chez les 17 animaux chez lesquels on avait déterminé la séquence génique complète de la région de l’exon 3 du gène PRNP codant la PrP. Par conséquent, les trois types connus d’ESB ont été confirmés chez des bovins canadiens et leurs caractéristiques moléculaires sont très semblables à celles des cas d’ESB classiques et atypiques décrits en Europe, au Japon et aux États-Unis. La détection de cas d’ESB atypiques dans des pays comme le Canada, où la prévalence et les risques de transmission sont faibles, semble corroborer la présence de formes sporadiques de l’ESB partout dans le monde.