aeo – -Translation – Keybot Dictionary

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Keybot 65 Results  www.africaneconomicoutlook.org
  New and old partners he...  
Source: AEO 2011 stakeholder survey.
Source : Enquête auprès des acteurs économiques, PEA 2011.
Fonte: Inquérito às partes interessadas, PEA 2011.
  News & Events - African...  
05/10/2010 - AEO launches a new Database on African Fiscal Performance
05/10/2010 - Les PEA lancent une nouvelle base de données sur la fiscalité en Afrique
  Layer four - African Ec...  
Source: AEO country experts survey.
Source : Enquête auprès des experts-pays des PEA.
Fonte: Inquérito aos especialistas dos países do AEO.
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Sobre o PEA
  Uganda - African Econom...  
Looking forward, the AEO forecast projects GDP growth reaching 4.9% in 2013 and 5.5% in 2014, indicating a slow, gradual recovery of the economy towards the high growth rates attained during the past decade.
Côté prévisions, les PEA tablent sur une croissance du PIB de l'ordre de 4.9 % en 2013 puis de 5.5 % en 2014, indiquant une reprise lente et progressive de l'économie avant qu'elle ne côtoie de nouveau les niveaux records enregistrés ces dix dernières années. Les incidences que pourraient avoir les coupes dans l'Aide publique au développement, si elles étaient maintenues jusqu'en 2013, ne sont toutefois pas prises en compte dans ces projections.
  Database on African Fis...  
The database is the result of a joint effort between the AfDB’s statistics department and the OECD Development Centre and will be updated annually. Statistics are gathered during country missions undertaken for the annual African Economic Outlook (AEO) which monitors economic, social and political developments in the region.
Une base de données sur les flux des recettes fiscales de 50 gouvernements africains entre 1996 et 2008 est maintenant disponible sur Africaneconomicoutlook.org, le portail en ligne sur les économies africaines animé par le Centre de développement de l'OCDE, la Banque africaine de développement (BAfD), la Commission économique des Nations Unies pour l'Afrique (ECA) et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). Il s’agit de la version mise à jour de la base de données utilisée pour l'étude 2010 des Perspectives Economiques en Afrique (PEA) sur "La mobilisation des ressources publiques et l'aide" qui couvrait la période 1996-2007.
  Uganda - African Econom...  
Economic recovery in 2013 should be helped by better investment and consumption, with the external sector continuing to drag down growth prospects in the short and medium term. Thus, the AEO forecasts that gross capital formation growth will reach 14.1% in 2013 and 14.6% 2014, up from a projected 13.6% rise for 2012.
Si la reprise économique en 2013 devrait être stimulée par des investissements et une consommation plus soutenus, les exportations continuent de tirer les prévisions de croissance vers le bas à court et à moyen termes. Les PEA tablent donc sur un accroissement de la formation brute de capital de l'ordre de 14.1 % en 2013 et de 14.6 % en 2014, en hausse par rapport à l'estimation de croissance de 13.6 % pour 2012. La consommation devrait augmenter de 4.2 % en 2013, puis de 5.9 % en 2014. En revanche, le déficit commercial devrait se creuser pour atteindre 16.0 % du PIB en 2013, puis 17.2 % en 2014, en hausse par rapport aux 14.9 % projetés pour 2012. Plus inquiétant encore, la balance commerciale risque de se détériorer essentiellement sous l'effet du recul des exportations, qui devraient diminuer de 2.7 % en 2013 et de 3.1 % en 2014.
  References - African Ec...  
Special AEO 2011 papers
Contributions spéciales PEA 2011
  Taxation - African Econ...  
Government tax revenue reached a record USD 513 billion in 2011, after USD 466 billion in 2010, according to this year’s AEO. Tax accounted for 26.8% of Africa’s GDP, up from 26.6% in 2010. The tax share peaked at 31.1% in 2008 as the financial crisis struck, which suggests there is still room to increase tax revenues.
Selon les données de cette édition des PEA, les recettes fiscales des États africains ont atteint un niveau record en 2011, à 513 milliards USD, contre 466 milliards en 2010. Elles représentent 26.8 % du PIB du continent, contre 26.6 % en 2010. La part des recettes fiscales dans le PIB avait atteint un pic en 2008 (31.1 %) au moment de la crise financière, ce qui laisse entrevoir une réelle marge d’amélioration. Les performances de 2011 ont été plombées par le conflit en Libye, où les recettes fiscales, tirées à 90 % du pétrole, ont dégringolé à 13.5 milliards USD, contre 48.6 milliards en 2010.
De acordo com as Perspectivas Económicas em África, as receitas fiscais governamentais atingiram um valor recorde de 513 mil milhões de USD, em 2011, depois dos 466 mil milhões registados em 2010, o que represente 26,8% do PIB africano (acima dos 26,6% de 2010). O peso das receitas fiscais atingiu o seu pico em 2008, ano em que a crise financeira teve início, representando 31,1% do PIB de África, o que sugere que há ainda espaço para um aumento das receitas fiscais. O valor foi mais baixo em 2011, devido ao conflito na Líbia, pois as receitas fiscais deste país, provenientes em 90% da exploração petrolífera, caíram de 48.6 mil milhões USD em 2010 para 13.5 mil milhões em 2011.
  Political and Economic ...  
The AEO’s annual indicators on civil violence and the hardening of political conditions show that tensions remain high. The chapter also analyses government responses and political freedoms, electoral trends, peace and security issues and progress in the fight against corruption.
Les indicateurs annuels établis par les PEA sur les violences civiques et le durcissement des régimes politiques attestent de la persistance de tensions. Ce chapitre analyse aussi les réactions des gouvernements et les libertés politiques, les processus électoraux et leur déroulement, les questions de paix et de sécurité et les avancées de la lutte contre la corruption – autant de thèmes qui ont joué un rôle déterminant dans les turbulences qui ont secoué de nombreux pays du continent.
As Perspectivas Económicas de África produzem, mais uma vez, os indicadores sobre violência civil, sobre endurecimento político e sobre suavização do governo, os quais demonstram a persistência de um alto nível de tensão. Este capítulo analisa igualmente as respostas governamentais e as liberdades políticas, tendências eleitorais, questões de paz e segurança e avanços na luta contra a corrupção. Todas estas questões têm desempenhado um papel importante nas perturbações registadas em muitos países nos últimos anos.
  The impact on governanc...  
While the Poverty Reduction Strategy Paper era started a process of decentralising ownership within African countries, the emerging partners may have initiated a reverse process towards centralisation. In Lesotho, the AEO reports that the civil society organisations view China’s approach to aid with suspicion, especially noting a lack of transparency.
Os parceiros emergentes tendem a dar maior prioridade e controlo sobre as políticas de desenvolvimento aos gabinetes presidenciais em detrimento da ligação aos ministérios, fortalecendo assim a centralização política. Por regra, os parceiros tradicionais têm trabalhado principalmente com ministérios e representantes ao mais alto nível (Figura 6.12; ver também neste relatório as secções sobre o Burquina Faso e Marrocos). Enquanto o período do Poverty Reduction Strategy Paper iniciou um processo de descentralização do poder dentro dos países africanos, os parceiros emergentes podem ter despoletado um processo contrário no sentido da centralização. Relativamente ao Lesoto, o AEO reporta que as organizações da sociedade civil encaram a ajuda chinesa com suspeição, destacando em particular a ausência de transparência. No Chade foram também registadas queixas sobre a opacidade dos acordos.
  Seizing new policy oppo...  
As this AEO 2011 report shows, several countries have begun formulating such strategy: Namibia’s engagement strategy is formalised and the assistance provided by emerging partners is integrated into the national development plan; similarly, Cameroon’s engagement strategy with emerging partners is framed within the country’s development vision for 2035.
L’élargissement de l’éventail des outils de coopération est salutaire pour l’Afrique, mais certaines difficultés déjà anciennes demeurent ; en particulier, il est crucial de maximiser l’appropriation du programme de développement par la population locale28. Il faut pour cela que le pays définisse lui-même une stratégie sur la manière dont les partenariats doivent être exploités dans le cadre de sa politique à long terme pour l’industrie, l’agriculture et d’autres secteurs. Comme le montrent les PEA 2011, plusieurs pays ont commencé d’élaborer une telle stratégie : la Namibie a formalisé sa stratégie d’intégration, et l’assistance apportée par les partenaires émergents est incorporée au plan de développement national ; de même, la stratégie du Cameroun vis-à-vis de ses partenaires émergents est inscrite dans sa stratégie de développement à l’horizon 2035. Au Maroc, les opérateurs chinois sont activement encouragés à investir dans le pays pour contrebalancer les importations chinoises et réduire le déficit commercial ; au Cap-Vert, les pouvoirs publics font appel à toute une gamme de partenariats pour moderniser la capacité de production et l’infrastructure ; en Guinée équatoriale, les fonctionnaires négocient en chinois avec leurs homologues chinois.
  The impact on governanc...  
Work on a first hospital started in May 2009 and was completed in 18 months. In Guinea-Bissau, the AEO reports that China supplied ready-made projects and delivers faster than traditional partners. Authorities consider bilateral co-operation with emerging partners to be less administratively burdensome than with traditional partners, a statement with which the country note for Malawi concurs.
O Índice Mo Ibrahim mede o fornecimento de bens e serviços públicos aos cidadãos. Angola e a RD do Congo estão classificadas entre os cincos países com as alterações mais positivas na sua posição entre 2001/02 e 2008/09. Os maiores aumentos são atribuídos a Angola e à Libéria (+15.9 pontos), à Serra Leoa (+8.9 pontos), ao Burundi (+8.1 pontos), ao Congo-Brazzaville (+67), e à RD Congo e à Zâmbia (+5.5 pontos). O forte aumento de Angola e da RD do Congo merece um destaque especial, uma vez que ambos os países celebraram acordos alargados com a China relativamente a infra-estruturas ligadas ao sector dos recursos.
  Obstacles and needs of ...  
Source : AEO Country Experts Survey 2012; 37 countries
http://dx.doi.org/10.1787/888932600697
  Political and Economic ...  
The scores of individual countries can be found in tables 22 to 24 of the AEO Statistical Annex and on the site www.africaneconomicoutlook.org. The methodological note of the statistical annex includes a technical note explaining how the indicators are calculated.
www.africaneconomicoutlook.org. La note méthodologique de l’annexe statistique comprend une note technique expliquant comment les indicateurs sont calculés.
  Uganda - African Econom...  
Private household consumption growth fell from 9.4% in 2010/11 to 5.0%, gross capital formation from 10.3% to -0.4%, exports from 0.5% to -7.0% and imports from 13.9% to -5.0%, reflecting the impact on domestic demand of high interest rates and government spending cuts, as well as the effects of the global economic slowdown on demand for Ugandan goods. African Economic Outlook (AEO) projections for 2012 indicate a recovery of most of these indicators, particularly in investment, with gross fixed capital formation expected to grow by 13.6% in 2012.
Les autres indicateurs clés de l'économie ont également souffert en 2011/12. La consommation privée des ménages a reculé, avec une croissance de 5.0 % contre 9.4 % en 2010/11, de même que la formation brute de capital (-0.4 % contre 10.3 %), les exportations (-7.0 % contre 0.5 %) et les importations (-5.0 % contre 13.9 %), preuves des répercussions sur la demande intérieure des forts taux d'intérêt et des réductions de la dépense publique, ainsi que des effets du ralentissement économique mondial sur la demande en marchandises ougandaises. Les Perspectives économiques en Afrique (PEA) indiquent dans leurs prévisions pour 2012 une reprise sur la plupart de ces indicateurs, notamment les investissements, avec une formation brute de capital fixe qui devrait progresser de 13.6 % en 2012. La consommation du secteur privé devrait augmenter de 7.0 %, celle du secteur public de 2.0 % et les importations de 11.9 %, tandis qu'un recul de 0.6 % est attendu sur les exportations en 2012.
  A wider range of financ...  
Can triangular co-operation maximise complementarities between emerging and traditional partners? The AEO note on Cape Verde points to a technological centre project involving several emerging and traditional partners.
La coopération triangulaire permettrait-elle de maximiser les complémentarités entre partenaires émergents et traditionnels ? La note consacrée au Cap-Vert évoque le cas d’un projet de centre technologique impliquant plusieurs partenaires des deux groupes. Les pays traditionnels ont apporté la finance, et les émergents les savoir-faire, plus adaptés au contexte africain. La note sur le Mozambique signale que le Brésil est impliqué dans des projets de recherche triangulaires visant à augmenter la productivité agricole, notamment avec l’Afrique et l’Afrique du Sud. L’encadré 6.3 examine plus en détail le potentiel de ce type de coopération.
Pode a cooperação triangular maximizar as complementaridades entre parceiros emergentes e tradicionais? A nota das PEA sobre Cabo Verde refere um projecto de um centro tecnológico que diversos parceiros tradicionais e emergentes – aqueles forneceram o financiamento, estes o know-how, mais adaptado ao contexto africano. A nota sobre Moçambique refere a cooperação triangular do Brasil em projectos de investigação para o aumento da produtividade agrícola, nomeadamente com o Japão e a África do Sul. A Caixa 6.2 desenvolve mais a questão do potencial da cooperação triangular.
  Threats to economic div...  
It moves workers from low to higher productivity sectors and also drives structural transformation. The 2012 African Economic Outlook (AEO) highlighted how low educational attainment and a mismatch between skills and the demands of business is affecting growth and economic transformation.
Um maior investimento no factor humano melhora a produtividade por trabalhador, desloca os trabalhadores de sectores pouco produtivos para sectores de maior produtividade e impulsiona a transformação estrutural. As Perspectivas Económicas em África de 2012 destacavam a forma como o baixo nível de escolaridade e o desfasamento entre as competências técnicas e as necessidades das empresas estão a afectar o crescimento e a transformação da economia. A mão-de-obra é atraída para o sector informal e para actividades de baixo valor, em vez de ser canalizada para sectores mais produtivos como a indústria.
  Taxation - African Econ...  
This highlights the importance for resource-rich countries to adopt macroeconomic management that smooths the impact of volatile commodity prices on their public finances (see this year’s AEO theme chapter).
Cette manne fiscale reste tributaire des aléas des cours internationaux des matières premières (figure 2.8). Portés par le boum des années 2002/08, les impôts sur les ressources ont bondi pendant cette période, de 45 à 230 milliards USD. Mais avec la crise économique de 2009, ils sont retombés à 129 milliards USD. Cette année-là, le dévissage des recettes fiscales a été plus important que pour les investissements étrangers et l’APD. D’où l’importance pour les pays riches en ressources d’adopter une gestion macroéconomique capable d’atténuer l’impact de la volatilité des cours des matières premières sur leurs finances publiques (voir le chapitre thématique).
Os impostos sobre os recursos naturais dependem da volatilidade dos preços internacionais de matérias-primas (figura 2.8); assim, aumentaram de 45 mil milhões para 230 mil milhões de USD entre 2002 e 2008, aproveitando a grande subida do preço das matérias-primas nesse período. Quando a crise económica surgiu, em 2009, este valor voltou a cair para 129 mil milhões de USD. Nesse ano, esta descida de receitas foi maior que o investimento externo e a ajuda pública ao desenvolvimento. Isto sublinha a importância dos países ricos em recursos naturais adoptarem uma gestão macroeconómica que permita suavizar o impacto da volatilidade dos preços das matérias-primas nas suas finanças públicas (ver capítulo temático das Perspectivas Económicas em África deste ano).
  Employment outlook for ...  
Source : AEO 2012 Country Note Senegal.
Fonte: AEO 2012, Nota de país, Senegal
  Government response and...  
The AEO Political Hardening indicator of government violence, arrests, bans, curfews and states of emergencies shows that political tightening increased slightly in 2012 (Figure 5.2).
O indicador de Endurecimento Político relativamente à violência governamental, detenções, declarações de recolher obrigatório e estado de emergência, demonstra que a repressão política aumentou ligeiramente em 2012 (Figura 5.2.)
  Sitemap - African Econo...  
AEO fiscal data (1996-2010)
Données fiscaux PEA (1996-2010)
  Foreign investment, aid...  
Remittances, as highlighted in the previous African Economic Outlook (AEO), have also risen spectacularly. They overtook ODA and FDI as the largest external flow to Africa in 2012 01 These estimates are based on World Bank data.
Les transferts des migrants ont eux aussi connu une envolée spectaculaire, déjà signalée dans l’édition 2012 des Perspectives économiques en Afrique (PEA). Ils ravissent ainsi la première place à l’APD et aux IDE en 201201 Estimations basées sur les données de la Banque mondiale. Les chiffres révisés, publiés fin 2012, révèlent que les transferts des migrants officiels dépassent en fait déjà les IDE et l’APD depuis 2010. et constituent pour de nombreux ménages africains une source de revenu de plus en plus cruciale. Même s’ils n’ont guère de pouvoir sur la manière dont ces fonds sont dépensés, les dirigeants africains pourraient renforcer le taux d’épargne intérieure par des mesures et des réglementations réduisant le coût des services de transfert d’argent.
Tal como salientado na última edição das Perspectivas Financeiras em África (AEO, na sigla inglesa) as remessas cresceram também de forma muito acentuada. Em 2012, ultrapassaram a APD e o IDE como principal fluxo financeiro externo para África[i] e são, cada vez mais, uma importante fonte de receitas para muitas famílias. Os decisores políticos não têm grande influência sobre a forma como estas remessas são gastas mas, com uma regulação adequada e medidas que reduzam os custos dos serviços financeiros ligados às remessas, estas poderão contribuir para aumentar as poupanças internas.
  A wider range of financ...  
There is no evidence, however, that emerging partners’ co-operation is systematically more effective. The AEO notes on Angola and Equatorial Guinea point to concerns expressed over the quality of some Chinese projects.16
On estime généralement que les partenaires émergents, notamment la Chine, fournissent des projets clé en main, et ce, plus rapidement que les partenaires traditionnels. Par exemple, la note pays consacrée au Bénin souligne qu’en général, les partenaires émergents sont considérés comme moins bureaucratiques que leurs homologues traditionnels. Une autre différence importante entre les deux concerne l’utilisation des conditions relatives aux politiques publiques, élément important des programmes d’aide bilatéraux et multilatéraux des partenaires traditionnels depuis les années 1980 (Nissanke, 2010). Cependant, ce souhait de ne pas fixer de conditions n’équivaut pas à une absence de contrôle des projets. La réalité montre que les dirigeants chinois sont très exigeants quant à l’usage et à l’application concrète des lignes de crédit (Aguilar et Goldstein, 2009). De plus, les partenaires émergents proposent généralement de l’aide-projet plutôt que de l’aide-programme, comme les partenaires traditionnels. Par conséquent, les fonds sont acheminés directement jusqu’aux entreprises des partenaires émergents, ce qui encourage fortement à l’accomplissement des projets et réduit le risque de détournement de fonds. Par exemple, les deux accords chinois signés par l’Exim Bank en Angola spécifient que 70 % des contrats de génie civil doivent être conclus avec des entreprises chinoises et qu’au moins 50 % des intrants doivent être fournis par la Chine, une proportion qui est souvent encore plus importante en pratique (Tan-Mullins et autres, 2010). Rien n’indique, en revanche, que la coopération avec les partenaires émergents est systématiquement plus efficace. Les notes des PEA sur l’Angola et la Guinée Équatoriale soulignent des inquiétudes quant à la qualité de certains projets chinois16.
Os parceiros emergentes, e a China em particular, são vistos como entregando «projectos chave na mão» e como sendo mais rápidos do que os parceiros tradicionais. A nota sobre o Benim deste relatório, por exemplo, sublinha o facto de que, de uma forma geral, os parceiros emergentes são menos burocráticos do que os tradicionais. Outra importante diferença entre emergentes e tradicionais é relativa à utilização da condicionalidade política, um elemento importante dos programas de ajuda bilaterais e multilaterais dos parceiros tradicionais desde a década de 80 (Nissanke, 2010). No entanto, a relutância dos emergentes na imposição de condições não significa uma falta de controlo nos projectos. Os dados apontam para o alto grau de exigência dos agentes chineses quando se trata da utilização e implementação de linhas de crédito (Aguilar e Goldstein, 2009). Para além disso, os parceiros emergentes actuam mais com ajuda a projectos do que com ajuda a programas. Em consequência, os fundos são canalizados directamente para as empresas contratantes dos parceiros emergentes, o que é um forte incentivo a uma conclusão com sucesso dos projectos e reduz os riscos de indevida apropriação de fundos. Os dois acordos do Banco Exim da China em Angola, por exemplo, especificam que 70% dos contratos de engenharia civil devem ser atribuídos a empresas chinesas e pelo menos 50% dos custos de produção devem ser supridos pela China, uma parcela que, na prática, ainda é maior (Tan-Mullins et al., 2010). Mas, não existem dados que sustentem que a cooperação dos parceiros emergentes seja mais eficaz, de forma sistemática. As notas das PEA em relação a Angola e à Guiné Equatorial apontam para algumas preocupações expressas sobre a qualidade dos projectos chineses17.
  A wider range of financ...  
This year’s AEO note on Sao Tomé and Principe reports that India has issued a credit line of USD 5 million and a grant of USD 1 million to set up a “technology incubation centre” for the development of small and medium enterprises (SMEs) and for technical co-operation in agriculture, infrastructure and the hydrocarbon sector.
Les partenaires émergents sont de plus en plus nombreux à imiter la Chine et à combiner aide et investissement, à moindre échelle. Ainsi, en 2007, le Sénégal a conclu un accord d’un montant de 2.2 milliards USD avec Arcelor Mittal et l’État Indien pour lancer un projet d’extraction de minerai de fer, s’accompagnant de projets de construction et de rénovation des voies de chemin de fer, mais aussi de construction d’un complexe métallurgique et d’un port. La note pays de cette année consacrée à São Tomé et Príncipe signale que l’Inde a accordé une ligne de crédit de 5 millions USD et un don de 1 million USD pour la création d’un « centre d’incubation technologique » pour le développement des petites et moyennes entreprises et la coopération technique dans les domaines de l’agriculture, des infrastructures et des hydrocarbures. En 2010, le gouvernement gabonais a annoncé un investissement de 3.5 milliards USD de la part de multinationales indiennes et singapouriennes pour la construction de 1 000 km de routes, de 5 000 logements sociaux et la création d’une Zone économique spéciale pour le traitement de l’huile de palme. Le Brésil, en revanche, a une démarche plus traditionnelle, distinguant plus clairement aide et investissements. Les pratiques de coopération des pays arabes sont généralement plus proches du modèle occidental, bien que leur intérêt pour des secteurs comme les télécommunications et le tourisme reflète la focalisation du donneur sur l’obtention d’un avantage concurrentiel à son profit plus que le respect des priorités de développement du bénéficiaire. L’investissement de 540 millions USD des EAU en RDC par Rakeen pour la construction d’un complexe hôtelier et de plusieurs centres commerciaux en est l’illustration parfaite.
Os outros parceiros emergentes estão cada vez mais a imitar o modelo chinês de mistura de ajuda com investimento, se bem que a uma escala mais reduzida. Em 2007, por exemplo, o Senegal celebrou um acordo com o governo indiano e com a Arcelor Mittal de 2.2 mil milhões de USD, para lançar um projecto de extracção de minério de ferro, acompanhado de planos para a construção e renovação de linhas de caminhos-de-ferro, e para a construção de um complexo siderúrgico e de um porto. O nota desta edição das PEA referente a São Tomé e Príncipe reporta a emissão de uma linha de crédito indiana de 5 mil USD e a concessão de um subsídio de 1 milhão de USD para a criação de um «centro de incubação tecnológico» para o desenvolvimento de pequenas e médias empresas e para cooperação técnica na agricultura, em infra-estruturas e no sector dos hidrocarbonetos. Em 2010, o governo do Gabão anunciou um investimento de 3.5 mil milhões de euros por multinacionais da Índia e de Singapura, para a construção de mil quilómetros de estradas, 5000 habitações sociais e a criação de uma Zona Económica Especial para o processamento de óleo de palma. Em contraste, o Brasil segue uma abordagem mais tradicional, separando de forma mais clara a ajuda do investimento. As práticas de cooperação dos países árabes são tipicamente mais próximas do modelo Ocidental, sendo certo que os sectores mais escolhidos para a ajuda, i.e, telecomunicações e turismo, reflectem mais as vantagens comparativas dos doadores do que as prioridades de desenvolvimento dos receptores. Um caso que se destaca é o investimento de 540 milhões de USD na RD Congo, por parte da Rakeen, uma empresa dos Emirados Árabes Unidos, para a construção de um complexo hoteleiro e de vários centros comerciais (AFP).
  Innovation & ICT in Afr...  
The 47 countries reviewed in this AEO have national ICT policies but they will need support from the donor community and private sector to get them implemented and to help, NEPAD is working on an African Science, Technology and Innovation Indicators Initiative (ASTII).
Alguns defensores da ciência e tecnologia afirmam que a inovação não é uma prioridade suficientemente relevante quando as nações doadoras pressionam para a implementação de políticas. Os Objectivos de Desenvolvimento do Milénio não mencionam explicitamente a inovação, mas reconhecem a sua importância ao incluir indicadores relacionados com o acesso à tecnologia, tais como o número de linhas telefónicas fixas, os assinantes de telemóveis e os usuários de internet. A maior parte dos Documentos Estratégicos de Redução da Pobreza (DERP) para os países altamente endividados não utilizam todo o potencial das políticas tecnológicas de inovação, informação e comunicação, a não ser que exista um apoio local forte. No Gana, por exemplo, com o apoio da Universidade de Ciência e Tecnologia Kwane Nkrumah, a inovação foi incluída no DERP do país. Os 47 países analisados neste AEO têm políticas nacionais de TIC, mas necessitarão de apoio da comunidade doadora e do sector privado para as implementar e em apoio, a NEPAD está a trabalhar numa Iniciativa Africana de Indicadores de Ciência, Tecnologia e Inovação.
  Taxation - African Econ...  
The 2010 AEO argued that resource rich countries are driving “this remarkable quantitative rise in average tax shares across the continent”, while non-resource rich countries have made most progress in broadening their tax base.
L’édition 2010 des PEA soulignait que les pays riches en ressources avaient joué un rôle moteur « dans la remarquable augmentation du coefficient de pression fiscale moyen du continent » alors que les pays pauvres en ressources étaient ceux qui avaient réalisé le plus de progrès en matière d’élargissement de l’assiette fiscale. Après l’an 2000, la part dans le PIB des impôts directs et indirects des pays pauvres en ressources a progressé à un TCAC de respectivement 2.7 et 1.9 % – à comparer au taux nettement plus faible enregistré dans les pays riches en ressources : 0.5 et 0.2 % respectivement. De nombreux pays d’Afrique pauvres en ressources ont assumé un risque politique en s’orientant vers des impôts moins consensuels, sur la consommation, les salaires et les profits retirés d’activités ordinaires. Les pays riches en ressources ont pour leur part à peine modifié leur structure fiscale ces dix dernières années. La hausse de leurs recettes fiscales tient surtout aux ressources naturelles.
A edição de 2010 das Perspectivas Económicas em África argumentava que os países ricos em recursos naturais estão a liderar “este aumento quantitativo notável do peso médio das receitas fiscais no continente africano”, enquanto os países pobres em recursos naturais têm efectuado maiores progressos no alargamento da sua base fiscal. Após 2000, nos países pobres em recursos naturais, o peso dos impostos directos e indirectos no PIB cresceu a uma taxa anual composta de, 2,7% e 1,9%, respectivamente. Já os países ricos nestes recursos registaram, nas mesmas categorias de impostos, uma taxa composta de crescimento anual mais baixa, respectivamente de 0,5% e 0,2%. Muitos países africanos pobres em recursos naturais evoluíram para aplicação de impostos com custos políticos mais elevados, como os impostos sobre o consumo, sobre os rendimentos e sobre os lucros das actividades económicas correntes. Pelo contrário, os países ricos em recursos naturais praticamente não alteraram a sua estrutura fiscal ao longo da última década, sendo o aumento das receitas fiscais maioritariamente proveniente dos recursos naturais.
  Political and Economic ...  
The 5% average annual gross domestic product (GDP) growth rate for the past decade has not created enough jobs for the young Africans coming on to labour markets and the pace of poverty reduction in most countries is falling short of the Millennium Development Goals (MDG) targets (see 2012 African Economic Outlook [AEO]).
Les décideurs africains sont de plus en plus convaincus de la nécessité d’installer une croissance économique « de qualité ». Le taux de croissance annuel moyen de 5 % qu’affiche le continent depuis dix ans n’est pas parvenu à créer les emplois requis pour absorber les jeunes qui accèdent au marché du travail. En outre, dans la plupart des pays, la lutte contre la pauvreté prend du retard et compromet la réalisation des objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) à l’horizon 2015 (voir l’édition 2012 des PEA). Les « émeutes de la faim » qui ont éclaté en 2008 dans plusieurs pays traduisent bien les revendications économiques d’un grand nombre d’Africains. Leurs dirigeants ont beau avoir lâché du lest en matière de liberté d’expression, les Africains attendent des avancées sur le coût de la vie et la qualité des emplois.
Os decisores políticos africanos reconhecem, cada vez mais, a necessidade de um crescimento económico “de qualidade”. A taxa de crescimento média do Produto Interno Bruto de 5% na última década não criou empregos suficientes para os jovens africanos que entram no mercado de trabalho e o ritmo de redução da pobreza na maioria dos países está aquém do necessário para realizar as metas dos Objectivos de Desenvolvimento do Milénio (ver o Relatório sobre as Perspectivas Económicas de África de 2012). Em 2008, os “protestos por comida” em vários países vieram expor as queixas de muitas pessoas sobre a economia. Os governos africanos permitem agora uma maior liberdade de expressão, mas o custo de vida e a falta de emprego de qualidade continuaram a ser a maior preocupação para a maioria dos africanos em 2012.
  Layer four - African Ec...  
This is confirmed by the AEO’s country experts survey (Figure 6.20), in which technological complexity, low competitiveness and a lack of skills and innovation are named as the main obstacles to linkage development.
Parmi les obstacles aux effets de diffusion, les plus importants sont ceux que posent le retard technologique ainsi que le manque de compétitivité et de compétences. Dans les pays en développement, la diversification via les effets de diffusion en amont pourrait donc se révéler plus facile que par les liens économiques en aval. Du simple fait de la concurrence internationale, de la complexité technologique et des économies d’échelle qui caractérisent souvent la transformation des ressources naturelles, l’instauration de liens en aval se révèle difficile pour les économies en développement (Ascher, 1999). Ce constat est confirmé par l’enquête menée auprès des experts-pays des PEA (figure 6.20), lors de laquelle la complexité technologique, la piètre compétitivité et l’absence de compétences et d’innovation ont été citées comme les principaux obstacles à l’établissement de liens avec l’économie locale. Les industries de transformation présentent souvent une forte intensité énergétique et capitalistique, tout en offrant habituellement des rendements inférieurs. Par conséquent, le développement des services connexes au secteur minier ainsi que des biens intermédiaires via les effets de diffusion en amont ouvre davantage d’opportunités et des effets multiplicateurs plus amples tout en nécessitant un investissement de départ moins important (Korinek, 2013). Pourtant, l’implantation d’industries en aval peut être une option si toutes les conditions sont réunies. La dernière édition du Rapport économique sur l’Afrique (CEA, 2013) développe ce point plus en detail.
De entre os obstáculos às ligações, as maiores barreiras são as tentativas de alcançar tecnologias, a competitividade e as competências. Assim, a diversificação através das ligações a montante pode ser mais fácil de levar a cabo para os países em desenvolvimento do que a criação de indústrias a jusante. Principalmente por causa da concorrência internacional e da complexa tecnologia e das economias de escala, através das quais a transformação de recursos é muitas vezes caracterizada, o estabelecimento de ligações a jusante tem-se revelado um desafio para as economias em desenvolvimento (Ascher, 1999). Tal facto é confirmado pelo inquérito aos especialistas dos países do AEO (Figura 20), no qual a complexidade tecnológica, a baixa competitividade e a falta de competências e de inovação são nomeadas como os principais obstáculos ao desenvolvimento das ligações. Visto que as indústrias de transformação são, muitas vezes, intensivas em energia e em capital e oferecem, normalmente, menos retornos, o desenvolvimento de serviços relacionados com a exploração mineira e bens intermédios, que se concentre nas ligações a montante, oferece mais oportunidades, com maior efeito multiplicador e menos requisitos de capital (Korinek, 2013).
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