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They're starting, but the reality is that our next FSL report will deal, not exclusively but in great part, with the post-secondary issue, because we believe that universities and colleges could go to great lengths to accommodate bilingual young people, graduates of French immersion programs, if you want, by providing them with opportunities to take courses in either French or English and to also provide a support system that allows them to continue.
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M. James Shea: Monsieur le président, c'est une question valide. Nous croyons que les universités et collèges n'ont pas reconnu la valeur ajoutée d'un jeune homme ou d'une jeune femme qui est bilingue au moment où il ou elle arrive au niveau postsecondaire. Nous constatons que les jeunes prennent des décisions quant à ce qu'ils veulent étudier à l'université et il n'y a aucune valeur ajoutée au fait de pouvoir étudier dans les deux langues. Ils veulent avoir les meilleures notes possibles pour être acceptés à l'université et il n'y a aucun programme qui les accueille en disant « Merveilleux, si vous voulez étudier dans les deux langues... ». Cela commence, mais la réalité est que dans notre prochain rapport sur le français langue seconde, on traitera, non pas exclusivement mais en grande partie, de la question des études postsecondaires, parce que nous croyons que les universités et collèges pourraient en faire beaucoup pour aider les jeunes gens bilingues, les diplômés des écoles d'immersion en français, en leur donnant la possibilité de suivre des cours en anglais ou en français et aussi en prévoyant un système de soutien qui leur permette de poursuivre.
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