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Per i genitori è cominciato un periodo difficile. Timo fu trasferito all’ospedale pediatrico subito dopo la nascita. Affinché la mamma potesse stare con lui, si fece dimettere dall’ospedale solo dopo un giorno dal taglio cesareo.
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Pour les parents, ce fut le début d'une période difficile. Immédiatement après la naissance, Timo a été transféré à l'hôpital pédiatrique. Pour pouvoir être à ses côtés, sa maman a quitté l'hôpital de son propre chef, un jour seulement après la césarienne. Timo pleurait énormément. Les médecins ont finalement remarqué que les os de ses deux cuisses avaient été cassés lors de l'accouchement. Martin Brechbühl se souvient: «A peine avions-nous eu le temps de nous réjouir à l'idée de la naissance d'un enfant en bonne santé que ma femme se tenait au chevet de Timo à l'hôpital. Malgré les nombreuses peurs et craintes, j'ai dû retourner au travail et continuer mes activités. J'ai pris véritablement conscience de la gravité de notre situation lorsqu'à la maison, j'ai tenu la demande d'AI entre mes mains. Nous ne savions même pas ce qui manquait précisément à notre petit garçon.» Les parents ont attendu longtemps avant qu'un diagnostic soit finalement posé pour leur enfant. «Pour nous, cela a été un gros soulagement de savoir enfin de quoi Timo souffrait exactement», raconte Daria Brechbühl en serrant la main de son mari.
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Für die Eltern begann eine schwierige Zeit. Timo wurde sofort nach der Geburt ins Kinderspital überstellt. Damit seine Mama bei ihm u sein konnte, entliess sich sie sich nur einen Tag nach dem Kaiserschnitt selbst aus dem Spital. Timo weinte sehr viel. Schliesslich merkten die Ärzte, dass dem Kleinen bei der Geburt beide Oberschenkelknochen gebrochen worden waren. Martin Brechbühl erinnert sich: «Gerade noch hatten wir uns auf die Geburt eines gesunden Kindes gefreut, und nun sass meine Frau bei Timo im Spital. Ich musste trotz all der vielen Ängste und Befürchtungen zur Arbeit gehen und weiter funktionieren. Am schlimmsten wurde mir unsere Situation bewusst, als ich zu Hause den IV-Antrag in den Fingern hielt. Wir wussten ja nicht einmal, was unserem kleinen Jungen genau fehlt.» Es dauerte lange, bis die Eltern schliesslich eine Diagnose für ihren Sohn gestellt bekamen. «Für uns war es eine grosse Erleichterung, endlich zu wissen, an was Timo genau leidet», erzählt Daria Brechbühl und drückt ihrem Mann die Hand.
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