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  Arnica species (Arnica)...  
species against the GLC-4 and the COLO 320 cell lines. Planta Med. 60: 434-437.
species against the GLC-4 and the COLO 320 cell lines. Planta Med. 60 : 434-437.
  Structure determination...  
The capsular polysaccharide (CPS) of Streptococcus suis serotype 14 was purified, chemically modified, and characterized. Sugar and absolute configuration analyses gave the following CPS composition: D-Gal, 3; D-Glc, 1; D-GlcNAc, 1; D-Neu5Ac, 1.
Nous avons purifié, modifié chimiquement et caractérisé le polysaccharide capsulaire (PSC) du sérotype 14 de Streptococcus suis. Les analyses de configuration absolue et de sucre ont donné pour le PSC la composition suivante : D-Gal, 3; D-Glc, 1; D-GlcNAc, 1; D-Neu5Ac, 1. La lectine de Sambucus nigra, qui reconnaît la séquence Neu5Ac(α2–6)Gal/GalNAc, a exhibé une liaison avec le PSC natif. De l’acide sialique a été détecté comme terminaison, et le PSC a été désialyté quantitativement par hydrolyse acide douce. Il a aussi été soumis à une oxydation au periodate, suivie d’une réduction au borohydrure et d’une dégradation de Smith. Les analyses de sucre, les analyses par méthylation, les analyses par spectrométrie de résonance magnétique nucléaire de 1H et de 13C et les analyses par spectrométire de masse du PSC natif ou de ses produits modifiés spécifiquement ont permis de déterminer la séquence d’unités répétitives suivante : [6)[Neu5Ac(α2–6)Gal(β1–4)GlcNAc(β1–3)]Gal(β1–3)Gal(β1–4)Glc(β1–]n. Le PSC du sérotype 14 de S. suis comporte une chaîne latérale contenant de l’acide sialique identique à celle du PSC du sérotype 2, mais diffère par l’absence de rhamnose dans sa composition. La même chaîne latérale est présente dans le PSC du Streptococcus de type Ia du groupe B, à l’exception que pour ce dernier l’acide sialique est lié 2,3- plutôt que 2,6- au galactose suivant . Une corrélation entre la séquence du PSC de S. suis et les gènes du locus du PSC du sérotype 14 codant les glycosyltransférases et la polymérase putatives responsables de la biosynthèse de l’unité répétitive est proposée.
  Screening and Structura...  
As a result, four compounds were identified as α-glucosidase inhibitors in the HLFE, and their structures were confirmed to be quercetin-3-O-rha- (1-4)-glc-rha and C-glycosylflavones (vitexin-2“-O-glucoside, vitexin-2”-O-rhamnoside and vitexin) by high-resolution sustained off resonance irradiation collision-induced dissociation (SORI-CID) data obtained by Fourier transform ion cyclotron resonance mass spectrometry (FTICR MS).
Nous avons associé des essais d’inhibition de l’α glucosidase in vitro à la chromatographie liquide avec détection à barrette de photodiodes après filtration couplée à la spectrométrie de masse en tandem avec ionisation par électronébulisation pour détecter des inhibiteurs de l’α glucosidase dans des extraits de flavonoïdes de feuilles d’aubépine. Nous avons ainsi identifié quatre composés se comportant comme des inhibiteurs de l’α glucosidase dans ces extraits. Il s’agissait de la quercétine-3-O-rha-(1-4)-glc-rad et de C-glycosylflavones (vitexine-2”-O-glucoside, vitexine-2”-O-rhamnoside et vitexine). Nous avons confirmé la structure de ces composés au moyen de données de dissociation induite par collision avec irradiation non résonante soutenue (SORI-CID) haute résolution obtenues par spectrométrie de masse à transformée de Fourier (FTICR). Nous avons également observé, dans le cadre d’essais in vitro, que plusieurs autres C glycosylflavones (vitexine, isovitexine, orientine, isoorientine) et leurs aglycones (apigénine et lutéoline) présentaient aussi de fortes activités d’inhibition de l’α glucosidase. En outre, les groupements substituants sur les flavones avaient une grande influence sur l’activité d’inhibition de l’enzyme, alors que la C-glycosylation en C 6 ou C 8 du cycle A réduisait l’activité d’inhibition.
  Structure determination...  
The capsular polysaccharide (CPS) of Streptococcus suis serotype 2 was isolated, purified, chemically modified, and characterized. Sugar and absolute configuration analyses of the CPS gave the following composition: D-Gal, 3; D-Glc, 1; D-GlcNAc, 1; D-Neu5Ac, 1; L-Rha, 1.
On a isolé, purifié, modifié chimiquement et caractérisé le polysaccharide capsulaire (CPS) de Streptococcus suis sérotype 2. Les analyses de sucres et de configuration absolue ont donné la composition suivante : D-Gal, 3; D-Glc, 1; D-GlcNAc, 1; D-Neu5Ac, 1; L-Rha, 1. On a trouvé que l’acide sialique était terminal, et on a désialylé quantitativement le CPS par hydrolyse acide douce. On a également soumis le CPS à une oxydation au periodate suivie d’une réduction au borohydrure et à une dégradation de Smith. Les analyses de sucres et par méthylation, la résonance magnétique nucléaire du 1H et du 13C et la spectrométrie de masse du CPS natif et de ses produits spécifiquement modifiés ont permis de déterminer la séquence de l’unité répétitive : [4)[Neu5Ac(α2-6)Gal(β1- 4)GlcNAc(β1-3)]Gal(β1-4)[Gal(α1-3)]Rha(β1-4)Glc(β1-]n. On a trouvé que la séquence du squelette était identique à celle de Streptococcus agalactiae ou Streptococcus du groupe B (GBS) type VIII et Streptococcus pneumoniae type 23F. Le CPS de S. suis partage la séquence Neu5Ac-Gal-GlcNAc-Gal en commun avec les CPS de GBS types Ia, Ib, II, III et IV mais diffère de ceux-ci par la présence de rhamnose et le fait que l’acide sialique est lié en 2,6 plutôt qu’en 2,3 au Gal suivant. On a tenté d’établir une corrélation entre la séquence du CPS de S. suis et les gènes du locus cps du sérotype 2 encodant des enzymes présumés responsables de la biosynthèse de l’unité répétitive.
  Structure determination...  
The capsular polysaccharide (CPS) of Streptococcus suis serotype 2 was isolated, purified, chemically modified, and characterized. Sugar and absolute configuration analyses of the CPS gave the following composition: D-Gal, 3; D-Glc, 1; D-GlcNAc, 1; D-Neu5Ac, 1; L-Rha, 1.
On a isolé, purifié, modifié chimiquement et caractérisé le polysaccharide capsulaire (CPS) de Streptococcus suis sérotype 2. Les analyses de sucres et de configuration absolue ont donné la composition suivante : D-Gal, 3; D-Glc, 1; D-GlcNAc, 1; D-Neu5Ac, 1; L-Rha, 1. On a trouvé que l’acide sialique était terminal, et on a désialylé quantitativement le CPS par hydrolyse acide douce. On a également soumis le CPS à une oxydation au periodate suivie d’une réduction au borohydrure et à une dégradation de Smith. Les analyses de sucres et par méthylation, la résonance magnétique nucléaire du 1H et du 13C et la spectrométrie de masse du CPS natif et de ses produits spécifiquement modifiés ont permis de déterminer la séquence de l’unité répétitive : [4)[Neu5Ac(α2-6)Gal(β1- 4)GlcNAc(β1-3)]Gal(β1-4)[Gal(α1-3)]Rha(β1-4)Glc(β1-]n. On a trouvé que la séquence du squelette était identique à celle de Streptococcus agalactiae ou Streptococcus du groupe B (GBS) type VIII et Streptococcus pneumoniae type 23F. Le CPS de S. suis partage la séquence Neu5Ac-Gal-GlcNAc-Gal en commun avec les CPS de GBS types Ia, Ib, II, III et IV mais diffère de ceux-ci par la présence de rhamnose et le fait que l’acide sialique est lié en 2,6 plutôt qu’en 2,3 au Gal suivant. On a tenté d’établir une corrélation entre la séquence du CPS de S. suis et les gènes du locus cps du sérotype 2 encodant des enzymes présumés responsables de la biosynthèse de l’unité répétitive.
  Comparison of growth ra...  
The objective was to compare the growth rates (GR) of muscle (M) and fat (F) in the primal cuts of serially harvested Beefbooster® C types (SM = C of small breeds, AH = C of Angus and Hereford and GLC = C with Gelbvieh, Limousin or Charolais terminal sires) from 274 - 456 days (d) of age to determine harvest times that reflect an increase M and a decrease F. Analysis of covariance obtained the slopes (GR/d) for M and F within each cut and C type.
Les bovins de boucherie de race mixte présentent les caractères favorables combinés des races pures. Nous avons comparé les taux de croissance (TC) du muscle et du gras dans les coupes primaires d’animaux de race mixte de Beefbooster ® (PT = croisement de races de petite taille, AH = croisement des races Angus et Hereford et GLC = croisement terminal avec des pères de races Gelbvieh, Limousin ou Charolais) qui ont été abattus en série à l’âge de 274 à 456 jours (j); il s’agissait de déterminer le moment de l’abattage correspondant à une hausse de la proportion de muscle et à une baisse de la proportion de gras. L’analyse de la covariance a permis d’obtenir les pentes (TC/j) pour le muscle et le gras de chaque coupe et de chaque croisement. Chez les PT et les AH, le TC du gras total de toutes les coupes primaires a dépassé celui du muscle de 24,8 g/j et de 4,91 g/j respectivement, tandis que chez les GLC, le gain de muscle a dépassé celui du gras de 6,77 g/j. À notre avis, les animaux PT et AH pourraient être abattus au moins 30 jours avant les animaux GLC, ce qui permettrait d’obtenir des carcasses dont la proportion de muscle est augmentée et celle du gras, diminuée.
  Structural characteriza...  
The main fraction PLP-2's structure was elucidated using oxalic acid hydrolysis, partial acid hydrolysis, methylation, GC, GC–MS, 1D and 2D NMR. PLP-2 was composed of Rha, Ara, Xyl, Man, Glc and Gal, in a molar ratio of 0.05:1.00:1.90:0.05:0.06:0.10.
Pour la présente étude, nous avons extrait à l’eau chaude des polysaccharides de graines de Plantago asiatica L., et on les a séparés au moyen d’une colonne de chromatographie Sephacryl™ S-400 HR en trois fractions dénommées PLP-1 (18,9 %), PLP-2 (52,6 %) et PLP-3 (28,5 %). La structure de la fraction principale a été élucidée par hydrolyse à l’acide oxalique, hydrolyse acide partielle, méthylation, CG, CG/SM, RMN 1D et 2D. La fraction PLP-2 était composée de Rha, Ara, Xyl, Man, Glc et Gal, dans le rapport molaire suivant 0,05/1,00/1.90/0,05/0,06/0,10. Son acide uronique était du GlcA. La fraction PLP-2 était de l’hétéroxylane fortement ramifiée, qui consistait en un squelette de Xylp avec liaison β-1,4 et des chaînes latérales liées à O-2 ou O 3. Les chaînes latérales étaient constituées de Xylp à liaison β-T, d’Araf à liaison α-T, GlcAp à liaison α-T, de β-Xylp-(1 → 3)-α-Araf et de α-Araf-(1 → 3)-β-Xylp, etc. D’après ces résultats, on a proposé une structure pour PLP-2.
  Comparison of growth ra...  
The objective was to compare the growth rates (GR) of muscle (M) and fat (F) in the primal cuts of serially harvested Beefbooster® C types (SM = C of small breeds, AH = C of Angus and Hereford and GLC = C with Gelbvieh, Limousin or Charolais terminal sires) from 274 - 456 days (d) of age to determine harvest times that reflect an increase M and a decrease F. Analysis of covariance obtained the slopes (GR/d) for M and F within each cut and C type.
Les bovins de boucherie de race mixte présentent les caractères favorables combinés des races pures. Nous avons comparé les taux de croissance (TC) du muscle et du gras dans les coupes primaires d’animaux de race mixte de Beefbooster ® (PT = croisement de races de petite taille, AH = croisement des races Angus et Hereford et GLC = croisement terminal avec des pères de races Gelbvieh, Limousin ou Charolais) qui ont été abattus en série à l’âge de 274 à 456 jours (j); il s’agissait de déterminer le moment de l’abattage correspondant à une hausse de la proportion de muscle et à une baisse de la proportion de gras. L’analyse de la covariance a permis d’obtenir les pentes (TC/j) pour le muscle et le gras de chaque coupe et de chaque croisement. Chez les PT et les AH, le TC du gras total de toutes les coupes primaires a dépassé celui du muscle de 24,8 g/j et de 4,91 g/j respectivement, tandis que chez les GLC, le gain de muscle a dépassé celui du gras de 6,77 g/j. À notre avis, les animaux PT et AH pourraient être abattus au moins 30 jours avant les animaux GLC, ce qui permettrait d’obtenir des carcasses dont la proportion de muscle est augmentée et celle du gras, diminuée.
  Comparison of growth ra...  
The objective was to compare the growth rates (GR) of muscle (M) and fat (F) in the primal cuts of serially harvested Beefbooster® C types (SM = C of small breeds, AH = C of Angus and Hereford and GLC = C with Gelbvieh, Limousin or Charolais terminal sires) from 274 - 456 days (d) of age to determine harvest times that reflect an increase M and a decrease F. Analysis of covariance obtained the slopes (GR/d) for M and F within each cut and C type.
Les bovins de boucherie de race mixte présentent les caractères favorables combinés des races pures. Nous avons comparé les taux de croissance (TC) du muscle et du gras dans les coupes primaires d’animaux de race mixte de Beefbooster ® (PT = croisement de races de petite taille, AH = croisement des races Angus et Hereford et GLC = croisement terminal avec des pères de races Gelbvieh, Limousin ou Charolais) qui ont été abattus en série à l’âge de 274 à 456 jours (j); il s’agissait de déterminer le moment de l’abattage correspondant à une hausse de la proportion de muscle et à une baisse de la proportion de gras. L’analyse de la covariance a permis d’obtenir les pentes (TC/j) pour le muscle et le gras de chaque coupe et de chaque croisement. Chez les PT et les AH, le TC du gras total de toutes les coupes primaires a dépassé celui du muscle de 24,8 g/j et de 4,91 g/j respectivement, tandis que chez les GLC, le gain de muscle a dépassé celui du gras de 6,77 g/j. À notre avis, les animaux PT et AH pourraient être abattus au moins 30 jours avant les animaux GLC, ce qui permettrait d’obtenir des carcasses dont la proportion de muscle est augmentée et celle du gras, diminuée.
  Structure determination...  
The capsular polysaccharide (CPS) of Streptococcus suis serotype 14 was purified, chemically modified, and characterized. Sugar and absolute configuration analyses gave the following CPS composition: D-Gal, 3; D-Glc, 1; D-GlcNAc, 1; D-Neu5Ac, 1.
Nous avons purifié, modifié chimiquement et caractérisé le polysaccharide capsulaire (PSC) du sérotype 14 de Streptococcus suis. Les analyses de configuration absolue et de sucre ont donné pour le PSC la composition suivante : D-Gal, 3; D-Glc, 1; D-GlcNAc, 1; D-Neu5Ac, 1. La lectine de Sambucus nigra, qui reconnaît la séquence Neu5Ac(α2–6)Gal/GalNAc, a exhibé une liaison avec le PSC natif. De l’acide sialique a été détecté comme terminaison, et le PSC a été désialyté quantitativement par hydrolyse acide douce. Il a aussi été soumis à une oxydation au periodate, suivie d’une réduction au borohydrure et d’une dégradation de Smith. Les analyses de sucre, les analyses par méthylation, les analyses par spectrométrie de résonance magnétique nucléaire de 1H et de 13C et les analyses par spectrométire de masse du PSC natif ou de ses produits modifiés spécifiquement ont permis de déterminer la séquence d’unités répétitives suivante : [6)[Neu5Ac(α2–6)Gal(β1–4)GlcNAc(β1–3)]Gal(β1–3)Gal(β1–4)Glc(β1–]n. Le PSC du sérotype 14 de S. suis comporte une chaîne latérale contenant de l’acide sialique identique à celle du PSC du sérotype 2, mais diffère par l’absence de rhamnose dans sa composition. La même chaîne latérale est présente dans le PSC du Streptococcus de type Ia du groupe B, à l’exception que pour ce dernier l’acide sialique est lié 2,3- plutôt que 2,6- au galactose suivant . Une corrélation entre la séquence du PSC de S. suis et les gènes du locus du PSC du sérotype 14 codant les glycosyltransférases et la polymérase putatives responsables de la biosynthèse de l’unité répétitive est proposée.
  Structural characterist...  
Gas chromatography analysis indicated that purified OLFP comprised Gal (71.5%), GIc (24.6%), and GalA (3.9%). The analysis of glycosidic linkages showed that the backbone consisted of →3)-Gal-(1 →, -→6)-Gal-(1 →, Glc-(1-→ and →3)GalA-(1-→ with a molar proportion of 13:5:6:1.
Nous avons utilisé l’extraction assistée par ultrasons pour extraire les oligosaccharides du péricarpe de longane (OPL). Nous avons utilisé un plan de Box Behnken pour étudier les effets de la température (30-70 °C), de la puissance (120 300 W) et de la durée d’utilisation (10 50 min) des ultrasons sur la récupération des OPL. Le modèle concordait bien avec les résultats expérimentaux, à en juger par un R2 de 0,9655 et une valeur de P < 0,05. D’après les graphiques de surface de réponse, la puissance des ultrasons, la durée d’utilisation et la température exerçaient des effets indépendants et interactifs sur la récupération des OPL. Les conditions optimales pour obtenir la récupération d’OPL la plus élevée étaient 13 min, 121 W et 65 °C. Une analyse par chromatographie en phase gazeuse a indiqué que les OPL purifiés comprenaient le Gal (71,5 %), le Glc (24,6 %) et le GalA (3,9 %). L’analyse des liaisons glycosidiques a indiqué la présence des liaisons suivantes : →3)-Gal-(1 →, -→6)-Gal-(1 →, Glc-(1-→ et →3)GalA-(1-→ dans une proportion molaire de 13:5:6:1. En outre, les essais de piégeage du radical 1,1-diphényl-2-picrylhydrazyle (DPPH) et de l’anion superoxyde ont montré que les OPL avaient une forte activité antioxydante dose-dépendante.
  Effects of glucose, pro...  
Whole-body glucose rate of appearance (Ra) responses and milk lactose secretion were compared in dairy cows receiving duodenal infusions of glucose (Glc), a mixture of 5 nonessential amino acids (NEAAm), or ruminal infusions of propionic acid (C3).
Nous avons comparé la vitesse d’apparition du glucose corporel (Ra) et le rendement en lactose chez des vaches laitières recevant en supplément de leur ration du glucose (Glc) ou un mélange de 5 acides aminés non essentiels (NEAAm) par perfusion duodénale ou de l’acide propionique (C3) par perfusion ruminale. Nous avons utilisé pour l’expérience quatre vaches de race Holstein en mi-lactation auxquelles nous avons posé une canule duodénale et une canule ruminale. Nous avons suivi un plan en carré latin 4 x 4 avec périodes de 14 jours. Les vaches étaient alimentées avec de l’herbe ensilée (ration témoin) assurant 88 % de l’énergie nette pour la lactation et 122 % des besoins en protéines. Le concentré était à base de blé (21,5 %) et d’orge (20 %) et contenait de l’amidon. En supplément à la ration témoin (Ctl), nous avons perfusé des doses isoénergétiques (5,15 Mcal/j d’énergie digestible) de Glc dans le duodénum (7,7 mol/j), de C3 dans le rumen (14,1 mol/j) et de NEAAm dans le duodénum (en mol/j; Ala : 1,60; Asp : 0,60; Glu : 5,94; Gly : 1,22; Ser : 2,45). Le treizième jour de chaque période, nous avons injecté du [6,6-2H2]glucose dans l’une des veines jugulaires. Nous avons ensuite prélevé des échantillons de sang dans l’autre veine jugulaire pour y doser le glucose et mesurer la vitesse d’apparition du glucose corporel. La consommation de matière sèche était un peu moins importante avec les perfusions (6 %) qu’avec la ration témoin, mais semblable pour toutes les perfusions. La vitesse moyenne d’apparition du glucose corporel était respectivement de 502, 745, 600 et 576 mmol/h avec la ration témoin, la perfusion de Glc, la perfusion de C3 et la perfusion de NEAAm. Elle augmentait avec l’augmentation de l’apport énergétique (ration témoin par rapport aux perfusions) et variait en fonction de l’élément nutritif perfusé. Le changement de vitesse d’apparition du glucose corporel était plus important avec les perfusions de Glc et de C3 qu’avec celle de NEAAm et plus important avec la perfusion de Glc qu’avec celle de C3. Les perfusions n’ont eu aucun effet sur les concentrations plasmatiques d’insuline mais ont provoqué une augmentation du facteur de croissance insulinoïde 1. La perfusion de NEAAm s’est accompagnée d’une augmentation de la concentration de glucagon plasmatique, ce qui peut avoir favorisé l’augmentation de la vitesse d’apparition du glucose corporel. Dans l’ensemble, les perfusions n’ont pas eu d’effet sur le rendement en lactose (respectiveme
  Effects of glucose, pro...  
Whole-body glucose rate of appearance (Ra) responses and milk lactose secretion were compared in dairy cows receiving duodenal infusions of glucose (Glc), a mixture of 5 nonessential amino acids (NEAAm), or ruminal infusions of propionic acid (C3).
Nous avons comparé la vitesse d’apparition du glucose corporel (Ra) et le rendement en lactose chez des vaches laitières recevant en supplément de leur ration du glucose (Glc) ou un mélange de 5 acides aminés non essentiels (NEAAm) par perfusion duodénale ou de l’acide propionique (C3) par perfusion ruminale. Nous avons utilisé pour l’expérience quatre vaches de race Holstein en mi-lactation auxquelles nous avons posé une canule duodénale et une canule ruminale. Nous avons suivi un plan en carré latin 4 x 4 avec périodes de 14 jours. Les vaches étaient alimentées avec de l’herbe ensilée (ration témoin) assurant 88 % de l’énergie nette pour la lactation et 122 % des besoins en protéines. Le concentré était à base de blé (21,5 %) et d’orge (20 %) et contenait de l’amidon. En supplément à la ration témoin (Ctl), nous avons perfusé des doses isoénergétiques (5,15 Mcal/j d’énergie digestible) de Glc dans le duodénum (7,7 mol/j), de C3 dans le rumen (14,1 mol/j) et de NEAAm dans le duodénum (en mol/j; Ala : 1,60; Asp : 0,60; Glu : 5,94; Gly : 1,22; Ser : 2,45). Le treizième jour de chaque période, nous avons injecté du [6,6-2H2]glucose dans l’une des veines jugulaires. Nous avons ensuite prélevé des échantillons de sang dans l’autre veine jugulaire pour y doser le glucose et mesurer la vitesse d’apparition du glucose corporel. La consommation de matière sèche était un peu moins importante avec les perfusions (6 %) qu’avec la ration témoin, mais semblable pour toutes les perfusions. La vitesse moyenne d’apparition du glucose corporel était respectivement de 502, 745, 600 et 576 mmol/h avec la ration témoin, la perfusion de Glc, la perfusion de C3 et la perfusion de NEAAm. Elle augmentait avec l’augmentation de l’apport énergétique (ration témoin par rapport aux perfusions) et variait en fonction de l’élément nutritif perfusé. Le changement de vitesse d’apparition du glucose corporel était plus important avec les perfusions de Glc et de C3 qu’avec celle de NEAAm et plus important avec la perfusion de Glc qu’avec celle de C3. Les perfusions n’ont eu aucun effet sur les concentrations plasmatiques d’insuline mais ont provoqué une augmentation du facteur de croissance insulinoïde 1. La perfusion de NEAAm s’est accompagnée d’une augmentation de la concentration de glucagon plasmatique, ce qui peut avoir favorisé l’augmentation de la vitesse d’apparition du glucose corporel. Dans l’ensemble, les perfusions n’ont pas eu d’effet sur le rendement en lactose (respectiveme
  Effects of glucose, pro...  
Whole-body glucose rate of appearance (Ra) responses and milk lactose secretion were compared in dairy cows receiving duodenal infusions of glucose (Glc), a mixture of 5 nonessential amino acids (NEAAm), or ruminal infusions of propionic acid (C3).
Nous avons comparé la vitesse d’apparition du glucose corporel (Ra) et le rendement en lactose chez des vaches laitières recevant en supplément de leur ration du glucose (Glc) ou un mélange de 5 acides aminés non essentiels (NEAAm) par perfusion duodénale ou de l’acide propionique (C3) par perfusion ruminale. Nous avons utilisé pour l’expérience quatre vaches de race Holstein en mi-lactation auxquelles nous avons posé une canule duodénale et une canule ruminale. Nous avons suivi un plan en carré latin 4 x 4 avec périodes de 14 jours. Les vaches étaient alimentées avec de l’herbe ensilée (ration témoin) assurant 88 % de l’énergie nette pour la lactation et 122 % des besoins en protéines. Le concentré était à base de blé (21,5 %) et d’orge (20 %) et contenait de l’amidon. En supplément à la ration témoin (Ctl), nous avons perfusé des doses isoénergétiques (5,15 Mcal/j d’énergie digestible) de Glc dans le duodénum (7,7 mol/j), de C3 dans le rumen (14,1 mol/j) et de NEAAm dans le duodénum (en mol/j; Ala : 1,60; Asp : 0,60; Glu : 5,94; Gly : 1,22; Ser : 2,45). Le treizième jour de chaque période, nous avons injecté du [6,6-2H2]glucose dans l’une des veines jugulaires. Nous avons ensuite prélevé des échantillons de sang dans l’autre veine jugulaire pour y doser le glucose et mesurer la vitesse d’apparition du glucose corporel. La consommation de matière sèche était un peu moins importante avec les perfusions (6 %) qu’avec la ration témoin, mais semblable pour toutes les perfusions. La vitesse moyenne d’apparition du glucose corporel était respectivement de 502, 745, 600 et 576 mmol/h avec la ration témoin, la perfusion de Glc, la perfusion de C3 et la perfusion de NEAAm. Elle augmentait avec l’augmentation de l’apport énergétique (ration témoin par rapport aux perfusions) et variait en fonction de l’élément nutritif perfusé. Le changement de vitesse d’apparition du glucose corporel était plus important avec les perfusions de Glc et de C3 qu’avec celle de NEAAm et plus important avec la perfusion de Glc qu’avec celle de C3. Les perfusions n’ont eu aucun effet sur les concentrations plasmatiques d’insuline mais ont provoqué une augmentation du facteur de croissance insulinoïde 1. La perfusion de NEAAm s’est accompagnée d’une augmentation de la concentration de glucagon plasmatique, ce qui peut avoir favorisé l’augmentation de la vitesse d’apparition du glucose corporel. Dans l’ensemble, les perfusions n’ont pas eu d’effet sur le rendement en lactose (respectiveme
  Tissue distribution in ...  
The SM type contained M3 and other small breeds; AH contained M1 and M2 which had either Angus (A) or Hereford (H), and GLC contained both M4 made up of either Gelbveih (G) or Limousin (L) and TX made up of Charolais (C).
Dans cette étude, nous avons comparé le poids et les proportions (%) de tissus musculaire (M), de gras (G) et d’os (O) dans la carcasse, les coupes primaires (pointe de poitrine, longe et longe courte, épaule, flanc, poitrine, côtes, ronde et jarret) et les dépôts lipidiques chez des bovins de trois races BeefBooster® composites (n = 176) âgés de 274 à 456 jours à l’abattage en vue de déterminer quand le M est maximal et le G, optimal. Les races composites étaient issues des lignées génétiques M1, M2, M3, M4 et TX. Le type SM comprenait la lignée M3 et d’autres races de petite taille; le type AH comprenait les lignées M1 et M2, lesquelles étaient issues d’Angus (A) ou de Hereford (H), et le type GLC comprenait les lignées M4 [Gelbveih (G) ou Limousin (L)] et TX [Charolais (C)]. Nous avons procédé à l’analyse de la covariance du poids et de la proportion des tissus au moment de l’abattage (274, 347, 372, 399, 427et 456 jours) avec le type de composite (SM, AH et GLC) comme variable fixe, l’année (1 et 2) comme variable aléatoire et l’âge au moment de l’abattage comme covariable. En ce qui concerne la carcasse et les coupes primaires, le poids de M de même que le poids et le pourcentage de G ont augmenté, alors que le pourcentage de M a diminué avec l’âge à l’abattage. Comparativement à ce que nous avons observé pour les types AH et GLC, chez le type SM, la carcasse et les coupes primaires comprenaient moins de M (p < 0,05) à l’exception de la longe, de la poitrine et des côtes au jour 399, et du jarret et des côtes au jour 427. La proportion de G dans la carcasse était similaire (p > 0,05) pour les types SM et AH aux jours 372, 399 et 427. Le rapport M/F a diminué avec l’âge, et cette diminution était plus marquée pour les types SM et AH que pour le type GLC. La ronde est le morceau qui contenait la plus petite quantité et la plus faible proportion de G, et le flanc, celui qui en avait le plus. Le poids et la proportion de G dans toutes les coupes primaires variaient (p < 0,05) selon le type, notamment au-delà de 399 jours. Les bovins des types SM et AH peuvent être abattus respectivement 60 et 30 jours plus tôt, de manière à ce que le pourcentage de M soit accru et le pourcentage de G, réduit.
  Tissue distribution in ...  
The SM type contained M3 and other small breeds; AH contained M1 and M2 which had either Angus (A) or Hereford (H), and GLC contained both M4 made up of either Gelbveih (G) or Limousin (L) and TX made up of Charolais (C).
Dans cette étude, nous avons comparé le poids et les proportions (%) de tissus musculaire (M), de gras (G) et d’os (O) dans la carcasse, les coupes primaires (pointe de poitrine, longe et longe courte, épaule, flanc, poitrine, côtes, ronde et jarret) et les dépôts lipidiques chez des bovins de trois races BeefBooster® composites (n = 176) âgés de 274 à 456 jours à l’abattage en vue de déterminer quand le M est maximal et le G, optimal. Les races composites étaient issues des lignées génétiques M1, M2, M3, M4 et TX. Le type SM comprenait la lignée M3 et d’autres races de petite taille; le type AH comprenait les lignées M1 et M2, lesquelles étaient issues d’Angus (A) ou de Hereford (H), et le type GLC comprenait les lignées M4 [Gelbveih (G) ou Limousin (L)] et TX [Charolais (C)]. Nous avons procédé à l’analyse de la covariance du poids et de la proportion des tissus au moment de l’abattage (274, 347, 372, 399, 427et 456 jours) avec le type de composite (SM, AH et GLC) comme variable fixe, l’année (1 et 2) comme variable aléatoire et l’âge au moment de l’abattage comme covariable. En ce qui concerne la carcasse et les coupes primaires, le poids de M de même que le poids et le pourcentage de G ont augmenté, alors que le pourcentage de M a diminué avec l’âge à l’abattage. Comparativement à ce que nous avons observé pour les types AH et GLC, chez le type SM, la carcasse et les coupes primaires comprenaient moins de M (p < 0,05) à l’exception de la longe, de la poitrine et des côtes au jour 399, et du jarret et des côtes au jour 427. La proportion de G dans la carcasse était similaire (p > 0,05) pour les types SM et AH aux jours 372, 399 et 427. Le rapport M/F a diminué avec l’âge, et cette diminution était plus marquée pour les types SM et AH que pour le type GLC. La ronde est le morceau qui contenait la plus petite quantité et la plus faible proportion de G, et le flanc, celui qui en avait le plus. Le poids et la proportion de G dans toutes les coupes primaires variaient (p < 0,05) selon le type, notamment au-delà de 399 jours. Les bovins des types SM et AH peuvent être abattus respectivement 60 et 30 jours plus tôt, de manière à ce que le pourcentage de M soit accru et le pourcentage de G, réduit.
  Tissue distribution in ...  
The SM type contained M3 and other small breeds; AH contained M1 and M2 which had either Angus (A) or Hereford (H), and GLC contained both M4 made up of either Gelbveih (G) or Limousin (L) and TX made up of Charolais (C).
Dans cette étude, nous avons comparé le poids et les proportions (%) de tissus musculaire (M), de gras (G) et d’os (O) dans la carcasse, les coupes primaires (pointe de poitrine, longe et longe courte, épaule, flanc, poitrine, côtes, ronde et jarret) et les dépôts lipidiques chez des bovins de trois races BeefBooster® composites (n = 176) âgés de 274 à 456 jours à l’abattage en vue de déterminer quand le M est maximal et le G, optimal. Les races composites étaient issues des lignées génétiques M1, M2, M3, M4 et TX. Le type SM comprenait la lignée M3 et d’autres races de petite taille; le type AH comprenait les lignées M1 et M2, lesquelles étaient issues d’Angus (A) ou de Hereford (H), et le type GLC comprenait les lignées M4 [Gelbveih (G) ou Limousin (L)] et TX [Charolais (C)]. Nous avons procédé à l’analyse de la covariance du poids et de la proportion des tissus au moment de l’abattage (274, 347, 372, 399, 427et 456 jours) avec le type de composite (SM, AH et GLC) comme variable fixe, l’année (1 et 2) comme variable aléatoire et l’âge au moment de l’abattage comme covariable. En ce qui concerne la carcasse et les coupes primaires, le poids de M de même que le poids et le pourcentage de G ont augmenté, alors que le pourcentage de M a diminué avec l’âge à l’abattage. Comparativement à ce que nous avons observé pour les types AH et GLC, chez le type SM, la carcasse et les coupes primaires comprenaient moins de M (p < 0,05) à l’exception de la longe, de la poitrine et des côtes au jour 399, et du jarret et des côtes au jour 427. La proportion de G dans la carcasse était similaire (p > 0,05) pour les types SM et AH aux jours 372, 399 et 427. Le rapport M/F a diminué avec l’âge, et cette diminution était plus marquée pour les types SM et AH que pour le type GLC. La ronde est le morceau qui contenait la plus petite quantité et la plus faible proportion de G, et le flanc, celui qui en avait le plus. Le poids et la proportion de G dans toutes les coupes primaires variaient (p < 0,05) selon le type, notamment au-delà de 399 jours. Les bovins des types SM et AH peuvent être abattus respectivement 60 et 30 jours plus tôt, de manière à ce que le pourcentage de M soit accru et le pourcentage de G, réduit.
  Effects of a Coumarin D...  
Arabidopsis seedlings grown in the presence of 4-MU accumulated this compound only in roots, where it was partially transformed by UDP-glycosyltransferases (UGTs) into 4-methylumbelliferyl-β-D-glucoside (4-MU-Glc).
Le système racinaire joue un rôle central dans l’adaptation de la plante à l’hétérogénéité du sol et s’organise principalement par un processus de ramification. Afin de chercher des composés ayant un effet régulateur sur ce processus, nous avons effectué un criblage en procédant par génétique chimique directe (forward chemical genetics). Nous avons ainsi constaté que la 4‑méthylombelliférone (4‑MO), dérivé de la coumarine, est un puissant régulateur de la formation de racines latérales. Une application exogène de 4‑MO aux graines d’Arabidopsis thaliana a nui à leur germination, a réduit la croissance de la racine primaire et a entraîné la formation de poils absorbants bulbeux et d’un détachement irrégulier des coiffes racinaires, accompagné d’une réorganisation du cytosquelette d’actine des extrémités racinaires, avant l’établissement de la plantule. Au bout de 22 jours d’exposition à une solution 125 μM de 4‑MO, les racines ont produit des racines latérales en abondance. Nous avons employé des méthodes moléculaires, biochimiques et phytochimiques pour déterminer l’effet de la 4‑MO sur la croissance et la ramification des racines. Les plantules d’A. thaliana cultivées en présence de 4‑MO accumulaient ce composé uniquement dans les racines, où des UDP-glycosyltransférases (UGT) en transformaient une partie en 4-méthylombelliféryl-β-D-glucoside (4-MO-Glc). La présence de 4-MO-Glc dans les racines des plantules concorde avec une régulation à la hausse de l’expression de plusieurs gènes codant des UGT dans les racines. Les UGT jouent donc un rôle essentiel dans la détoxification de la 4-MO chez les végétaux. Comme la 4‑MO provoque une expression accrue des gènes PIN2 et PIN3 facilitant la libération d’auxine mais n’a aucun effet sur le gène TIR1 codant le récepteur de l’auxine et le gène YUCCA1 essentiel à la synthèse de l’auxine, il semble que c’est la redistribution de l’auxine, davantage que sa synthèse, qui intervient directement ou indirectement dans la ramification des racines induite par la 4‑MO.
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Arabidopsis seedlings grown in the presence of 4-MU accumulated this compound only in roots, where it was partially transformed by UDP-glycosyltransferases (UGTs) into 4-methylumbelliferyl-β-D-glucoside (4-MU-Glc).
Le système racinaire joue un rôle central dans l’adaptation de la plante à l’hétérogénéité du sol et s’organise principalement par un processus de ramification. Afin de chercher des composés ayant un effet régulateur sur ce processus, nous avons effectué un criblage en procédant par génétique chimique directe (forward chemical genetics). Nous avons ainsi constaté que la 4‑méthylombelliférone (4‑MO), dérivé de la coumarine, est un puissant régulateur de la formation de racines latérales. Une application exogène de 4‑MO aux graines d’Arabidopsis thaliana a nui à leur germination, a réduit la croissance de la racine primaire et a entraîné la formation de poils absorbants bulbeux et d’un détachement irrégulier des coiffes racinaires, accompagné d’une réorganisation du cytosquelette d’actine des extrémités racinaires, avant l’établissement de la plantule. Au bout de 22 jours d’exposition à une solution 125 μM de 4‑MO, les racines ont produit des racines latérales en abondance. Nous avons employé des méthodes moléculaires, biochimiques et phytochimiques pour déterminer l’effet de la 4‑MO sur la croissance et la ramification des racines. Les plantules d’A. thaliana cultivées en présence de 4‑MO accumulaient ce composé uniquement dans les racines, où des UDP-glycosyltransférases (UGT) en transformaient une partie en 4-méthylombelliféryl-β-D-glucoside (4-MO-Glc). La présence de 4-MO-Glc dans les racines des plantules concorde avec une régulation à la hausse de l’expression de plusieurs gènes codant des UGT dans les racines. Les UGT jouent donc un rôle essentiel dans la détoxification de la 4-MO chez les végétaux. Comme la 4‑MO provoque une expression accrue des gènes PIN2 et PIN3 facilitant la libération d’auxine mais n’a aucun effet sur le gène TIR1 codant le récepteur de l’auxine et le gène YUCCA1 essentiel à la synthèse de l’auxine, il semble que c’est la redistribution de l’auxine, davantage que sa synthèse, qui intervient directement ou indirectement dans la ramification des racines induite par la 4‑MO.
  Effects of glucose, pro...  
Whole-body glucose rate of appearance (Ra) responses and milk lactose secretion were compared in dairy cows receiving duodenal infusions of glucose (Glc), a mixture of 5 nonessential amino acids (NEAAm), or ruminal infusions of propionic acid (C3).
Nous avons comparé la vitesse d’apparition du glucose corporel (Ra) et le rendement en lactose chez des vaches laitières recevant en supplément de leur ration du glucose (Glc) ou un mélange de 5 acides aminés non essentiels (NEAAm) par perfusion duodénale ou de l’acide propionique (C3) par perfusion ruminale. Nous avons utilisé pour l’expérience quatre vaches de race Holstein en mi-lactation auxquelles nous avons posé une canule duodénale et une canule ruminale. Nous avons suivi un plan en carré latin 4 x 4 avec périodes de 14 jours. Les vaches étaient alimentées avec de l’herbe ensilée (ration témoin) assurant 88 % de l’énergie nette pour la lactation et 122 % des besoins en protéines. Le concentré était à base de blé (21,5 %) et d’orge (20 %) et contenait de l’amidon. En supplément à la ration témoin (Ctl), nous avons perfusé des doses isoénergétiques (5,15 Mcal/j d’énergie digestible) de Glc dans le duodénum (7,7 mol/j), de C3 dans le rumen (14,1 mol/j) et de NEAAm dans le duodénum (en mol/j; Ala : 1,60; Asp : 0,60; Glu : 5,94; Gly : 1,22; Ser : 2,45). Le treizième jour de chaque période, nous avons injecté du [6,6-2H2]glucose dans l’une des veines jugulaires. Nous avons ensuite prélevé des échantillons de sang dans l’autre veine jugulaire pour y doser le glucose et mesurer la vitesse d’apparition du glucose corporel. La consommation de matière sèche était un peu moins importante avec les perfusions (6 %) qu’avec la ration témoin, mais semblable pour toutes les perfusions. La vitesse moyenne d’apparition du glucose corporel était respectivement de 502, 745, 600 et 576 mmol/h avec la ration témoin, la perfusion de Glc, la perfusion de C3 et la perfusion de NEAAm. Elle augmentait avec l’augmentation de l’apport énergétique (ration témoin par rapport aux perfusions) et variait en fonction de l’élément nutritif perfusé. Le changement de vitesse d’apparition du glucose corporel était plus important avec les perfusions de Glc et de C3 qu’avec celle de NEAAm et plus important avec la perfusion de Glc qu’avec celle de C3. Les perfusions n’ont eu aucun effet sur les concentrations plasmatiques d’insuline mais ont provoqué une augmentation du facteur de croissance insulinoïde 1. La perfusion de NEAAm s’est accompagnée d’une augmentation de la concentration de glucagon plasmatique, ce qui peut avoir favorisé l’augmentation de la vitesse d’apparition du glucose corporel. Dans l’ensemble, les perfusions n’ont pas eu d’effet sur le rendement en lactose (respectiveme