jk – -Translation – Keybot Dictionary

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Keybot 3 Results  www.agr.ca
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Japanese knotweed (JK) is one of the most aggressive invasive plants known in the U.K., where its biology has been well-studied. It was introduced into Canada around 1900, but only recently has it become a serious concern in the province of British Columbia (BC).
L’espèce a été introduite au Canada vers 1900, mais ce n’est que récemment qu’elle est devenue préoccupante en Colombie-Britannique. Nous avons simulé les conditions climatiques des localités de la Colombie-Britannique pour lesquelles la renouée du Japon est répertoriée, y compris l’accumulation annuelle de degrés-jours et la moyenne annuelle des températures minimales, à l’aide du logiciel BioSIM, à partir des normales et des valeurs quotidiennes des variables météorologiques obtenues sur une longue période. Nous avons comparé les résultats avec les valeurs seuils publiées (degrés-jours = 2 505; température minimale = 30,2 °C; température de référence = 0 °C). En Colombie-Britannique, le seuil de degrés-jours est plus limitant pour la renouée du Japon que la température minimale moyenne (la superficie de la province propice à l’espèce est de 12,3 % si le calcul est fondé sur l’accumulation de degrés-jours, comparativement à 26 % s’il est fondé sur la moyenne des températures minimales). Nous avons établi un seuil de précipitations de 735 mm/année à partir de 95 % des stations connues de la renouée en Colombie-Britannique. Le meilleur modèle de régression logistique était celui qui tenait compte à la fois des degrés-jours et des précipitations annuelles; son efficacité de prédiction de la présence ou de l’absence de la renouée dépassait 97 %. À l’heure actuelle, la renouée du Japon occupe en Colombie-Britannique un peu plus de la moitié de la superficie de milieu qui lui est propice, ce qui signifie qu’elle pourrait encore envahir une superficie importante. À l’inverse, dans le sud de l’Ontario, la renouée du Japon était limitée davantage par la température minimale moyenne (superficie propice comprise entre 35 et 53 %), l’accumulation de degrés-jours et les précipitations annuelles n’étant pas limitantes pour l’espèce. Calculée à partir des normales pour la période de 1971 à 2000, la superficie du sud de l’Ontario qui est propice à l’espèce est de 35 %; si l’on tient compte des températures élevées enregistrées entre 2000 et 2008, cette proportion passe à 53 %. Une différence entre provinces quant aux seuils climatiques limitant la renouée du Japon pourrait se traduire par la sélection de différents génotypes de l’espèce, ce qui aurait des répercussions pour la lutte biologique puisque les différents génotypes n’auraient peut-être pas tous la même valeur comme hôte de l’agent de lutte employé. La cartographie des milieux propices à la renouée du Japon pe
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Japanese knotweed (JK) is one of the most aggressive invasive plants known in the U.K., where its biology has been well-studied. It was introduced into Canada around 1900, but only recently has it become a serious concern in the province of British Columbia (BC).
L’espèce a été introduite au Canada vers 1900, mais ce n’est que récemment qu’elle est devenue préoccupante en Colombie-Britannique. Nous avons simulé les conditions climatiques des localités de la Colombie-Britannique pour lesquelles la renouée du Japon est répertoriée, y compris l’accumulation annuelle de degrés-jours et la moyenne annuelle des températures minimales, à l’aide du logiciel BioSIM, à partir des normales et des valeurs quotidiennes des variables météorologiques obtenues sur une longue période. Nous avons comparé les résultats avec les valeurs seuils publiées (degrés-jours = 2 505; température minimale = 30,2 °C; température de référence = 0 °C). En Colombie-Britannique, le seuil de degrés-jours est plus limitant pour la renouée du Japon que la température minimale moyenne (la superficie de la province propice à l’espèce est de 12,3 % si le calcul est fondé sur l’accumulation de degrés-jours, comparativement à 26 % s’il est fondé sur la moyenne des températures minimales). Nous avons établi un seuil de précipitations de 735 mm/année à partir de 95 % des stations connues de la renouée en Colombie-Britannique. Le meilleur modèle de régression logistique était celui qui tenait compte à la fois des degrés-jours et des précipitations annuelles; son efficacité de prédiction de la présence ou de l’absence de la renouée dépassait 97 %. À l’heure actuelle, la renouée du Japon occupe en Colombie-Britannique un peu plus de la moitié de la superficie de milieu qui lui est propice, ce qui signifie qu’elle pourrait encore envahir une superficie importante. À l’inverse, dans le sud de l’Ontario, la renouée du Japon était limitée davantage par la température minimale moyenne (superficie propice comprise entre 35 et 53 %), l’accumulation de degrés-jours et les précipitations annuelles n’étant pas limitantes pour l’espèce. Calculée à partir des normales pour la période de 1971 à 2000, la superficie du sud de l’Ontario qui est propice à l’espèce est de 35 %; si l’on tient compte des températures élevées enregistrées entre 2000 et 2008, cette proportion passe à 53 %. Une différence entre provinces quant aux seuils climatiques limitant la renouée du Japon pourrait se traduire par la sélection de différents génotypes de l’espèce, ce qui aurait des répercussions pour la lutte biologique puisque les différents génotypes n’auraient peut-être pas tous la même valeur comme hôte de l’agent de lutte employé. La cartographie des milieux propices à la renouée du Japon pe
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Japanese knotweed (JK) is one of the most aggressive invasive plants known in the U.K., where its biology has been well-studied. It was introduced into Canada around 1900, but only recently has it become a serious concern in the province of British Columbia (BC).
L’espèce a été introduite au Canada vers 1900, mais ce n’est que récemment qu’elle est devenue préoccupante en Colombie-Britannique. Nous avons simulé les conditions climatiques des localités de la Colombie-Britannique pour lesquelles la renouée du Japon est répertoriée, y compris l’accumulation annuelle de degrés-jours et la moyenne annuelle des températures minimales, à l’aide du logiciel BioSIM, à partir des normales et des valeurs quotidiennes des variables météorologiques obtenues sur une longue période. Nous avons comparé les résultats avec les valeurs seuils publiées (degrés-jours = 2 505; température minimale = 30,2 °C; température de référence = 0 °C). En Colombie-Britannique, le seuil de degrés-jours est plus limitant pour la renouée du Japon que la température minimale moyenne (la superficie de la province propice à l’espèce est de 12,3 % si le calcul est fondé sur l’accumulation de degrés-jours, comparativement à 26 % s’il est fondé sur la moyenne des températures minimales). Nous avons établi un seuil de précipitations de 735 mm/année à partir de 95 % des stations connues de la renouée en Colombie-Britannique. Le meilleur modèle de régression logistique était celui qui tenait compte à la fois des degrés-jours et des précipitations annuelles; son efficacité de prédiction de la présence ou de l’absence de la renouée dépassait 97 %. À l’heure actuelle, la renouée du Japon occupe en Colombie-Britannique un peu plus de la moitié de la superficie de milieu qui lui est propice, ce qui signifie qu’elle pourrait encore envahir une superficie importante. À l’inverse, dans le sud de l’Ontario, la renouée du Japon était limitée davantage par la température minimale moyenne (superficie propice comprise entre 35 et 53 %), l’accumulation de degrés-jours et les précipitations annuelles n’étant pas limitantes pour l’espèce. Calculée à partir des normales pour la période de 1971 à 2000, la superficie du sud de l’Ontario qui est propice à l’espèce est de 35 %; si l’on tient compte des températures élevées enregistrées entre 2000 et 2008, cette proportion passe à 53 %. Une différence entre provinces quant aux seuils climatiques limitant la renouée du Japon pourrait se traduire par la sélection de différents génotypes de l’espèce, ce qui aurait des répercussions pour la lutte biologique puisque les différents génotypes n’auraient peut-être pas tous la même valeur comme hôte de l’agent de lutte employé. La cartographie des milieux propices à la renouée du Japon pe