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Deze eerste echte verplichte sociale verzekering was van toepassing op alle arbeiders die voor rekening van een werkgever werken (privésector), op voorwaarde dat hun jaarwedde een bepaald plafond (12.000 frank) niet overschreed. Het ging om een systeem van individuele kapitalisatie dat diende om een rente samen te stellen die men kon ontvangen vanaf 65 jaar.
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Cette pension non liée à des cotisations est cependant déjà remplacée en 1924, après un changement de gouvernement, par une assurance obligatoire financée par des cotisations contre les conséquences financières de la vieillesse et de la mort prématurée des ouvriers. Cette première et authentique assurance sociale obligatoire couvrait tous les travailleurs qui travaillaient pour le compte d’un employeur (secteur privé), à condition que leur salaire annuel n’excédât pas un plafond donné (12.000 francs). Il s’agissait d’un système individuel de capitalisation qui servait à constituer une rente que l’on pouvait percevoir à partir de l’âge de 65 ans. Ceci valait aussi autant pour les hommes que pour les femmes. Afin de financer la pension de vieillesse de leur épouse et éventuellement une pension de veuve, un homme marié payait une cotisation plus importante. En 1930, la loi fit déjà l’objet d’une révision. On modifia tout particulièrement le mode de calcul des cotisations. Les cotisations restèrent forfaitaires, mais furent dotées d’une légère progressivité (plafonnées) en fonction des échelles des salaires. La rente future et le salaire obtenu étaient proportionnels.
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Diese beitragsunabhängige Rente wird jedoch bereits 1924, nach einem Regierungswechsel, durch eine beitragsfinanzierte Pflichtversicherung für Arbeiter gegen die finanziellen Folgen von Alter und frühzeitigem Sterben ersetzt. Diese erste wirkliche gesetzliche (also Pflicht-) Sozialversicherung betraf alle Arbeiter, die bei einem Arbeitgeber in Lohndienst standen (Privatsektor), sofern ihr Jahreseinkommen einen bestimmten Höchstbetrag (12.000 Frank) nicht überschritt. Es handelte sich hierbei um ein individuelles Kapitalisierungssystem zur Ansparung einer Rente, die man ab dem 65. Lebensjahr erhalten konnte. Sowohl Männer als auch Frauen konnten diese Versicherung in Anspruch nehmen, wobei verheiratete Männer einen höheren Beitrag zahlten, zwecks Finanzierung der Altersrenten und der eventuellen Witwenrenten ihrer Ehefrauen. Bereits 1930 wurde das Gesetz revidiert. Vor allem die Beitragsberechnung wurde geändert. Die Beiträge sind nach wie vor Pauschalbeiträge, gestalten sich aber leicht progressiv (mit Bemessungsgrenze) gemäß der Lohnskala. Die künftige Rente verhält sich proportional zum erarbeiteten Lohn.
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