nk – Traduction – Dictionnaire Keybot

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  Physicochemical charact...  
Three polysaccharide-protein complexes of longan pulp (LP1-3) were isolated in this work. Their physicochemical characteristics and immunomodulatory effects on splenocytes, natural killer (NK) cells and macrophages in vitro were investigated.
Dans le cadre de cette étude, nous avons isolé trois complexes polysaccharide-protéine de la pulpe de longane (PL 1 à 3). Nous avons ensuite étudié leurs caractéristiques physicochimiques et leurs effets immunomodulateurs sur les splénocytes, les macrophages et les cellules NK in vitro. Nous avons constaté que les portions glucidiques des PL 1 à 3 étaient surtout composées de glucose, d’arabinose et de mannose. Le complexe PL 3 présentait le plus grand taux d’absorption d’eau, alors que le complexe PL 2 possédait une stabilité thermique nettement supérieure à celle de PL 1 et de PL 3. Les spectres infrarouges à transformée de Fournier des trois complexes présentaient les bandes caractéristiques des polysaccharides et des protéines. Pour une quantité donnée, les trois fractions pouvaient stimuler de façon significative la prolifération des splénocytes, la phagocytose du rouge neutre par les macrophages et la cytotoxicité des cellules NK envers les cellules de lymphome YAC‑1 (P < 0,05). Nos résultats montrent que les complexes polysaccharide-protéine isolés de la pulpe de longane pourraient servir d’adjuvants en immunothérapie grâce à leurs effets immunomodulateurs.
  Physicochemical charact...  
Three polysaccharide-protein complexes of longan pulp (LP1-3) were isolated in this work. Their physicochemical characteristics and immunomodulatory effects on splenocytes, natural killer (NK) cells and macrophages in vitro were investigated.
Dans le cadre de cette étude, nous avons isolé trois complexes polysaccharide-protéine de la pulpe de longane (PL 1 à 3). Nous avons ensuite étudié leurs caractéristiques physicochimiques et leurs effets immunomodulateurs sur les splénocytes, les macrophages et les cellules NK in vitro. Nous avons constaté que les portions glucidiques des PL 1 à 3 étaient surtout composées de glucose, d’arabinose et de mannose. Le complexe PL 3 présentait le plus grand taux d’absorption d’eau, alors que le complexe PL 2 possédait une stabilité thermique nettement supérieure à celle de PL 1 et de PL 3. Les spectres infrarouges à transformée de Fournier des trois complexes présentaient les bandes caractéristiques des polysaccharides et des protéines. Pour une quantité donnée, les trois fractions pouvaient stimuler de façon significative la prolifération des splénocytes, la phagocytose du rouge neutre par les macrophages et la cytotoxicité des cellules NK envers les cellules de lymphome YAC‑1 (P < 0,05). Nos résultats montrent que les complexes polysaccharide-protéine isolés de la pulpe de longane pourraient servir d’adjuvants en immunothérapie grâce à leurs effets immunomodulateurs.
  Nitrogen, phosphorus, a...  
A three-site-year field experiment was conducted to determine nitrogen (N), phosphorus (P), and potassium (K) fertilizer effects on grain filling dynamics and yield formation of high-yielding summer corn (Zea mays L.) in a wheat (Triticum aestivum L.)-corn double crop cropping system. Application of combined NPK fertilizers resulted in the greatest grain yield, largest grain number and grain weight when compared with the treatments receiving N, NP, or NK.
Nous avons mené une expérience au champ avec trois combinaisons d’année et de localité afin de déterminer l’effet d’un apport d’azote (N), de phosphore (P) et de potassium (K) sur la dynamique de remplissage du grain et le rendement grainier du maïs d’été à rendement élevé dans un système de production double blé (Triticum aestivum L.)-maïs (Zea mays L.). L’application des trois types d’engrais (NPK) a donné un rendement grainier et un nombre de grains plus élevés ainsi qu’un grain au poids plus élevé que l’application de N seulement, d’une combinaison de N et de P ou d’une combinaison de N et de K. Le taux de remplissage, la durée du stade de remplissage, le volume du grain et le rendement grainier augmentaient avec l’augmentation de l’apport en NPK. Cependant, lorsque nous avons doublé les doses, qui étaient initialement de 180 kg N ha-1, 40 kg P ha-1 et 75 kg K ha-1, nous n’avons observé qu’une faible augmentation du taux de remplissage (0,8 %), de la durée du stade de remplissage (1,6 %), du volume du grain (1,3 %) et du rendement grainier (0,4 %). Nos résultats laissent croire qu’il est nécessaire d’appliquer une combinaison de N, de P et de K pour améliorer le remplissage du grain et le rendement grainier chez le maïs d’été à rendement élevé et que, dans les cultures recevant un bon apport d’engrais, l’augmentation limitée du remplissage du grain et de la capacité de stockage pourrait constituer le principal facteur limitant l’amélioration du rendement.
  How different long-term...  
The seven fertilizer treatments were (1) compost (COMP), (2) half compost plus half chemical fertilizer (COMP1/2), (3) balanced NPK fertilizer (NPK), (4-6) unbalanced chemical fertilizers without one of the major elements (NP, PK, and NK), and (7) an unamended control (CK).
Nous avons étudié les effets de divers traitement de fertilisation sur le rendement en maïs (Zea mays L.) et des propriétés du sol dans le cadre d’une expérience au champ à long terme (> 18 ans) menée dans le nord de la Chine. Il s’agissait d’une expérience en blocs aléatoires complets comprenant sept traitements de fertilisation et quatre répétitions chacun. Voici les traitements appliqués : 1) compost (COMP), 2) moitié compost et moitié engrais chimique (COMP1/2), 3) engrais NPK équilibré (NPK), 4 6) engrais chimiques non équilibrés, ne contenant que deux des trois principaux éléments (NP, PK et NK) et 7) témoin non fertilisé (CK). Nous avons déterminé non seulement le rendement en maïs, mais aussi des propriétés chimiques et physiques du sol. Voici les résultats de rendement en maïs par rapport au rendement obtenu pour le traitement NPK équilibré : rendement de 7,9 % plus élevé pour le traitement COMP, rendement semblable pour COMP1/2, et rendements inférieurs de 12,4 %, 59,9 %, 78,6 % et 75,7 % pour les traitements NP, PK, NK et CK, respectivement. Durant la saison de croissance, les teneurs du sol en carbone et en azote microbiens, la respiration basale du sol, l’hydrolyse du diacétate de fluorescéine ainsi que les activités de la déshydrogénase, de l’uréase et de l’invertase dans les traitements COMP et COMP1/2 étaient de 7 à 203 % plus élevées que dans le traitement NPK. Par contre, dans tous les autres traitements, ces variables étaient jusqu’à 60 % inférieures que dans le traitement NPK. Le rendement en maïs est étroitement lié à la teneur du sol en carbone organique (CO) et aux propriétés du sol, et la teneur en CO étant étroitement liée à diverses propriétés biologiques du sol, elle constitue un indicateur valable de la qualité du sol. Nos résultats semblent indiquer que l’élément nutritif qui limite le plus le rendement ou la qualité du sol est le phosphore, suivi de l’azote et du potassium, et qu’une fertilisation équilibrée est importante pour maintenir un fort rendement et une bonne qualité du sol. De plus, les hausses des teneurs en CO et en azote et des activités biologiques mesurées dans les traitements COMP et COMP1/2 laissent croire que le compost est plus efficace que les engrais chimiques utilisés.
  How different long-term...  
The seven fertilizer treatments were (1) compost (COMP), (2) half compost plus half chemical fertilizer (COMP1/2), (3) balanced NPK fertilizer (NPK), (4-6) unbalanced chemical fertilizers without one of the major elements (NP, PK, and NK), and (7) an unamended control (CK).
Nous avons étudié les effets de divers traitement de fertilisation sur le rendement en maïs (Zea mays L.) et des propriétés du sol dans le cadre d’une expérience au champ à long terme (> 18 ans) menée dans le nord de la Chine. Il s’agissait d’une expérience en blocs aléatoires complets comprenant sept traitements de fertilisation et quatre répétitions chacun. Voici les traitements appliqués : 1) compost (COMP), 2) moitié compost et moitié engrais chimique (COMP1/2), 3) engrais NPK équilibré (NPK), 4 6) engrais chimiques non équilibrés, ne contenant que deux des trois principaux éléments (NP, PK et NK) et 7) témoin non fertilisé (CK). Nous avons déterminé non seulement le rendement en maïs, mais aussi des propriétés chimiques et physiques du sol. Voici les résultats de rendement en maïs par rapport au rendement obtenu pour le traitement NPK équilibré : rendement de 7,9 % plus élevé pour le traitement COMP, rendement semblable pour COMP1/2, et rendements inférieurs de 12,4 %, 59,9 %, 78,6 % et 75,7 % pour les traitements NP, PK, NK et CK, respectivement. Durant la saison de croissance, les teneurs du sol en carbone et en azote microbiens, la respiration basale du sol, l’hydrolyse du diacétate de fluorescéine ainsi que les activités de la déshydrogénase, de l’uréase et de l’invertase dans les traitements COMP et COMP1/2 étaient de 7 à 203 % plus élevées que dans le traitement NPK. Par contre, dans tous les autres traitements, ces variables étaient jusqu’à 60 % inférieures que dans le traitement NPK. Le rendement en maïs est étroitement lié à la teneur du sol en carbone organique (CO) et aux propriétés du sol, et la teneur en CO étant étroitement liée à diverses propriétés biologiques du sol, elle constitue un indicateur valable de la qualité du sol. Nos résultats semblent indiquer que l’élément nutritif qui limite le plus le rendement ou la qualité du sol est le phosphore, suivi de l’azote et du potassium, et qu’une fertilisation équilibrée est importante pour maintenir un fort rendement et une bonne qualité du sol. De plus, les hausses des teneurs en CO et en azote et des activités biologiques mesurées dans les traitements COMP et COMP1/2 laissent croire que le compost est plus efficace que les engrais chimiques utilisés.
  Phosphorus efficiency i...  
Long-term (over 14 years) experiments on winter wheat (Triticum aestivum L.)-rice (Oryza sativa L.) crop rotations were conducted in Southwest China to investigate phosphorus (P) fertilizer utilization efficiency, including the partial factor productivity (PFP), agronomic efficiency (AE), internal efficiency (IE), partial P balance (PPB), recovery efficiency (RE) and the mass (input-output) balance. The seven treatments were Control, N, NP, NK, NPK, NPKM and NPKSt, representing various combinations of inorganic fertilizers (N, P and K), manure (M) and the application of rice straw (St).
Des études à long terme (14 ans) sur les rotations des cultures de blé d’hiver (Triticum aestivum L.) et de riz (Oryza sativa L.) ont été menées dans le sud‑ouest de la Chine afin d’examiner l’efficacité d’utilisation d’engrais à base de phosphore (P), ainsi que la productivité partielle des facteurs (PPF), l’efficacité agronomique (EA), l’efficacité interne (EI), le bilan partiel de P (BPP), l’efficacité de récupération (ER) et le bilan massique (intrant-extrant). Les sept produits étudiés, Control, N, NP, NK, NPK, NPKM et NPKSt, représentaient diverses combinaisons d’engrais inorganiques (N, P et K), de fumier (M) et l’utilisation de paille de riz (St). Sans épandage de P, le sol pourrait fournir environ 14,7 à 22,5 kg de P/ha par année et produire en moyenne environ 1,8 t/ha de blé et 6,0 t/ha de riz. L’apport de phosphore a accru de 65,5 % le rendement des cultures de blé et de 11,4 % celui des cultures de riz, au cours de la période de 14 ans. Les valeurs de la PPF allaient de 80,2 à 177 kg de grains/kg de P utilisé pour le blé et de 222 à 255 kg de grains/kg de P pour le riz dans le traitement avec le NPK. Toutefois, l’EA moyenne au cours de cette période affichait une valeur de 31,9 et de 21,3 kg de grains/kg de P inorganique pour le blé et le riz, respectivement. L’EI atteignait 214 et 318 kg de grains/kg de P utilisé pour le blé et le riz, respectivement, pendant la période de travail du sol. Le BPP pour l’ensemble des cultures de rotation au cours des 14 années se situait entre 0,8 et 0,64 alors que l’ER moyenne du P était de 0,26 (variant de 0,22 à 0,29) pour les systèmes de culture blé-riz pendant cette période. Pour chaque 100 kg de plus de P/ha par année, la concentration de P prélevée par le sol par 0,5 M NaHCO3 à pH 8,5 (Olsen-P) augmenterait en moyenne de 4,12 mg/kg dans le sol. Pour le système de culture blé-riz, le taux d’application actuel de phosphore, qui est de 55 à 65 kg de P/ha par année, permet de soutenir des rendements annuels d’environ 3 t/ha pour le blé et de 7 t/ha pour le riz. La présente étude laisse entendre que les recommandations en matière d’utilisation de P dans les systèmes de culture blé-riz pour en accroître le rendement devraient tenir compte de l’efficacité d’utilisation des engrais à base de phosphore.
  Factors Affecting Estab...  
Three different soil management treatments were established the year of planting and included: 1) NK fertigation with a herbicide strip (control), or additionally; 2) maintenance of a 10-cm thick bark mulch over the herbicide strip; and
Nous avons établi une plantation de cerisiers doux (Prunus avium L.) ‘Cristalina’ et ‘Skeena’ sur porte-greffe ‘Gisela 6’ (Prunus cerasus x Prunus canescens) selon un plan aléatoire à parcelles subdivisées et répétitions, avec parcelles principales (deux fréquences d’irrigation), sous-parcelles (deux cultivars) et sous-sous-parcelles (trois traitements du sol), et l’avons observée durant les quatre premières années de croissance. À partir de la deuxième année, la même quantité d’eau a été distribuée à chacun des arbres au moyen de quatre goutteurs par arbre, selon une fréquence élevée (quatre fois par jour) ou faible (une fois tous les deux jours). L’année de la plantation, trois différents traitements du sol ont été instaurés : 1) fertigation en N et en K et application d’herbicide en bandes (témoin); 2) même traitement que le témoin avec, en plus, la mise en place et le maintien d’un paillis d’écorce de 10 cm d’épaisseur sur les bandes de terre où l’herbicide avait été appliqué; 3) distribution de 20 g de phosphore (P) par arbre par année immédiatement après la floraison. La fréquence élevée d’irrigation a permis d’augmenter l’humidité du sol (couche de 0 cm à 20 cm de profondeur) durant toutes les saisons de végétation. Chez les arbres irrigués à une fréquence élevée, les concentrations des éléments nutritifs non mobiles P et K dans les feuilles et les fruits étaient plus élevées que chez les arbres irrigués à faible fréquence, et la superficie de la section transversale du tronc était plus grande. De façon générale, l’irrigation à fréquence élevée n’a eu aucun effet sur le rendement fruitier initial ni sur la grosseur des fruits. En 2008, par rapport aux fruits des arbres irrigués à fréquence élevée, les fruits des arbres irrigués à faible fréquence avaient une coloration plus intense, des concentrations de solides solubles et de composés phénoliques totaux plus élevées, une acidité totale plus faible et une fermeté et une résistance à l’arrachement du pédoncule moindres, signes d’une maturation plus rapide. Par rapport au traitement témoin du sol, la fertigation en P a donné des concentrations plus élevées de P dans les feuilles et les fruits et, en 2008, un rendement fruitier plus élevé ainsi qu’un retard de la maturité de récolte qui se traduisait par une plus faible intensité de la coloration, une plus faible concentration de solides solubles et une résistance plus élevée à l’arrachement du pédoncule. Toujours par rapport au traitement témoin du s