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Les cours de Bourse des compagnies du luxe tirent en effet clairement leur épingle du jeu face aux principaux indices de la planète financière, dans le rouge sur les huit premiers mois 2010, à l’image du Dow Jones (-4,2%), du Nikkei (-14,7%), de l’Euro Stoxx 50 (-12,5%) ou du SMI (- 6,3%). Si Bulgari, qui a réduit ses pertes au premier semestre, reste stable et si Movado enregistre une faible croissance (+4,1%), tel n’est ainsi pas le cas de Richemont en hausse de 13,8% depuis janvier, de LVMH (+17,3%), PPR (+20,2%), Swatch (+25%) et Hermès (+58,6%). Dopés par la reprise des marchés et par l’essor de la Chine, les compagnies du luxe ont tourné le dos à la crise.
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