ppr – -Translation – Keybot Dictionary

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  Press review – FHH Jour...  
A year after the acquisition of Sowind (Girard-Perregaux and JeanRichard), François-Henri Pinault, head of PPR, discusses the group's strategy for its watch brands in an interview to French daily "Le Figaro".
Le président de la Fondation Genève Place Financière, Bernard Droux, s’est adonné à une analyse comparative entre les secteurs bancaire et horloger helvétiques.
  At PPR “each brand must...  
At PPR “each brand must remain autonomous”
Chez PPR, « chaque marque doit garder son...
  The Swiss watch industr...  
For the watch groups that sailed through the 2007 financial year, as figures show at Swatch (2007 sales up 17.6%), LVMH (organic revenues growth of 19% for Watches & Jewelry), PPR (results for its luxury division up 29%) and Richemont (third-quarter sales up 14% at constant exchange rates), this “mad surge” in sales raises a number of questions, mostly concerning production.
Pour des groupes horlogers qui ont vécu un exercice 2007 en état de grâce, comme l’attestent les résultats de Swatch (chiffre d’affaires 2007 : +17,6%), de LVMH (croissance organique des ventes 2007, pôle Montres & Joaillerie : +19%), de PPR (performance 2007 du pôle luxe : +29%) ou encore de Richemont (ventes du troisième trimestre : +14% à taux de change constants), cette « envolée sauvage » n’est donc pas sans poser toute une série de questions, essentiellement industrielles. Et pour cause. Durant les années 90, ces multinationales du luxe ont en effet rempli leur portefeuille de marques prestigieuses, générant une vague de fusions et acquisitions sans précédent dans la branche. Mais comme le disent les spécialistes du secteur, si la marque est une porte d’entrée privilégiée vers le consommateur, encore faut-il que les produits soient à la hauteur et répondent à ses vœux.
  Share prices take off f...  
Over the past six months, Swatch and Richemont share prices have soared, closely followed by PPR, LVMH and Hermès. For analysts, this is a sign that the worst of the crisis is behind us.
Sur les six derniers mois, Swatch et Richemont ont vu leurs titres exploser sur les marchés financiers, suivis de près par PPR, LVMH et Hermès. Pour les analystes, le plus fort de la crise est derrière.
  At PPR “each brand must...  
PPR is concerned with building a portfolio and doesn’t buy a company simply because it’s for sale. Once all our brands have reached a satisfactory level of maturity, then we can envisage adding to our portfolio.”
Cela fait maintenant une dizaine d’années que PRR s’est confortablement installé dans cet univers. Pas question toutefois de céder au chant des sirènes. « Nous préférons racheter des marques petites ou moyennes qui possèdent un réel savoir-faire dans leur domaine, explique François-Henri Pinault. PPR a une vraie logique de construction de portefeuille et n’achète pas une entreprise simplement parce qu’elle est en vente ! Lorsque toutes nos marques ont atteint un niveau de maturité satisfaisant, alors nous pouvons envisager de renforcer notre portefeuille. »
  At PPR “each brand must...  
After taking a minority share in Girard-Perregaux, PPR – whose luxury division includes Gucci, Bottega Veneta, Yves Saint Laurent, Alexander McQueen, Balenciaga, Boucheron and Sergio Rossi – took full control of the watch company and appointed Michele Sofisti, CEO of Gucci Group Watches and Jewellery, at its head.
C’était il y a un an. Après avoir pris une participation minoritaire dans Girard-Perregaux, le groupe PPR, dont le pôle Luxe comprend notamment Gucci, Bottega Veneta, Yves Saint Laurent, Alexander McQueen, Balenciaga, Boucheron et Sergio Rossi, se portait acquéreur de l’entier de la Maison horlogère, nommant Michele Sofisti, CEO de Gucci Group Watches and Jewellery, à la tête de l’entreprise. Dans un récent entretien accordé au Figaro, François-Henri Pinault, patron de PPR, expliquait la stratégie du Groupe dans le secteur du luxe.
  Investors sense a sweet...  
While Bulgari remains stable after reducing losses for the first half year, and Movado records low growth (+4.1%), Richemont has shot up 13.8% since January, LVMH +17.3%, PPR +20.2%, Swatch +25% and Hermès +58.6%.
Les cours de Bourse des compagnies du luxe tirent en effet clairement leur épingle du jeu face aux principaux indices de la planète financière, dans le rouge sur les huit premiers mois 2010, à l’image du Dow Jones (-4,2%), du Nikkei (-14,7%), de l’Euro Stoxx 50 (-12,5%) ou du SMI (- 6,3%). Si Bulgari, qui a réduit ses pertes au premier semestre, reste stable et si Movado enregistre une faible croissance (+4,1%), tel n’est ainsi pas le cas de Richemont en hausse de 13,8% depuis janvier, de LVMH (+17,3%), PPR (+20,2%), Swatch (+25%) et Hermès (+58,6%). Dopés par la reprise des marchés et par l’essor de la Chine, les compagnies du luxe ont tourné le dos à la crise.
  At PPR “each brand must...  
Boucheron, Gucci and Girard-Perregaux will share a single space at next year’s Baselworld. PPR won’t, however, be setting up a watch and jewellery division. “This has never been our approach,” comments François-Henri Pinault.
Au programme également, davantage de synergie. Girard-Perregaux fournit déjà des mouvements à complications pour certains modèles joailliers de Boucheron. La manufacture, qui équipe également le premier modèle horloger de Bottega Veneta, va en outre bénéficier du réseau de distribution de Gucci Timepieces. De plus, au prochain Baselworld, les trois marques − Boucheron, Gucci et Girard-Perregaux − seront réunies sur un même espace. Pas question toutefois de créer un département Montres et Bijoux au sein de PPR. « Cela n’a jamais été notre approche, commente François-Henri Pinault. Nous jetons des passerelles, mais nous ne prévoyons pas de mettre en place une entité spécialisée dans ce secteur. Chaque marque doit conserver son autonomie et être cohérente avec son univers de départ. ».
  Investors sense a sweet...  
The group’s net profit surged 53% to €1.05 billion. Also for the first six months of 2010, Gucci Group, a subsidiary of PPR, posted an increase in its sales of 11.1% to €1.8 billion. Hermès, meanwhile, announced a 22.8% gain in revenue to €1.07 billion.
Le Groupe Swatch n’est d’ailleurs pas le seul à avoir publié des comptes semestriels en forte croissance. Durant la période, le chiffre d’affaires de LVMH a été en progression de 16% à € 9,1 milliards pour un résultat net qui a bondi de 53% à € 1,05 milliard. Toujours sur les six premiers mois 2010, Gucci Group, filiale de PPR, a enregistré une hausse de ses ventes de 11,1% à € 1,8 milliard, tandis que le chiffre d’affaires d’Hermès prenait 22,8% à € 1,07 milliards. Inutile de dire que ces bonnes nouvelles n’ont pas laissé les investisseurs de marbre.
  Share prices take off f...  
France’s major luxury groups have nothing to envy their Swiss counterparts. PPR, whose brands include Gucci, increased 67.2%, LVMH 40.7% and Hermès 29.3%. Outperforming them all is Movado, whose share price leapt 103% over the last six months.
C’est en tout cas une des conclusions qu’en tirent les marchés financiers si l’on en croit les récents développements boursiers des valeurs du luxe et de l’horlogerie. Sur six mois à mi septembre, les actions du Groupe Swatch s’envolaient de 76,7%, talonnées par celles de Richemont en progression de 67%. En comparaison, le SMI, l’indice des valeurs vedettes de la Bourse suisse incluant ces deux titres, ne s’adjugeait qu’un « petit » 29,3%. Les grands groupes français du luxe ne sont d’ailleurs pas en reste avec une hausse de 67,2% sur PPR, propriétaire de Gucci, de 40,7% sur LVMH et de 29,3% sur Hermès. Mais la palme revient certainement à Movado dont les actions ont bondi de 103%, toujours sur les six derniers mois. En langage financier, cela s’appelle un véritable rallye boursier.
  Watch sector announces ...  
Kering (formerly PPR), which recently acquired Ulysse Nardin, does not publish detailed, consolidated figures for its watch division, which also boasts Girard Perregaux, JeanRichard and Gucci. What is known is that Kering’s luxury business posted revenue growth of 5.7%, based on comparable data, in the first-half 2014, boosted by a solid performance from directly-operated stores in all geographic areas.
De son côté, Kering (ex-PPR), qui vient de racheter la manufacture locloise Ulysse Nardin, ne publie pas les chiffres détaillés et consolidés de son pôle horlogères fort des marques Girard Perregaux, JeanRichard ou Gucci. Tout au plus sait-on qu’au premier semestre 2014 les activités luxe de Kering ont enregistré une croissance de 5,7 % en données comparables et, notamment, de solides performances dans les magasins en propre sur l’ensemble des zones géographiques. Durant la période, le sous-segment Montres et joaillerie a connu une tendance positive, assure la multinationale. Impossible toutefois d’en savoir plus. À noter qu’une division « Luxe, Montres & Joaillerie », rattachée directement au PDG François-Henri Pinault, vient de voir le jour. Dirigée par Albert Bensoussan, peut-être publiera-t-elle à l’avenir davantage d’informations… À ce stade, rien n’est moins sûr.
  At PPR “each brand must...  
Since 2001, 90% of growth at PPR’s luxury division has been organic. Two opportunities arose in 2011 in the form of Italian tailor Brioni and Sowind Group, owner of Girard-Perregaux and JeanRichard. “Girard-Perregaux has genuine credentials and is well-known to collectors,” continued François-Henri Pinault.
De fait, depuis 2001 et pendant une décennie, 90% de la croissance du pôle Luxe de PPR a ainsi été réalisée de manière organique. Deux occasions se sont présentées en 2011 : la maison italienne de costumes Brioni et le groupe Sowind, propriétaire de Girard-Perregaux et de JeanRichard. « Girard-Perregaux jouit d’une réelle légitimité et d’une belle notoriété auprès des collectionneurs, poursuit François-Henri Pinault. Son potentiel est fort. Avec Michele Sofisti, notre objectif est de repositionner Girard-Perregaux à la pointe de la Haute Horlogerie helvétique. Ainsi, nous avons fait venir un maître horloger exceptionnel, Dominique Loiseau. Il travaille sur une nouvelle approche de l’horlogerie mécanique qui pourrait bien se révéler révolutionnaire. On présentera les premiers modèles en 2013 […]. Depuis un an, nous avons rationalisé l’assortiment en évitant les dispersions industrielles. Car l’efficacité et la productivité de la manufacture pouvaient être optimisées. Les lignes de JeanRichard sont en train d’être repositionnées sur une tranche de prix plus accessibles, entre EUR 1’500 et 2’000