rfi – -Translation – Keybot Dictionary

  Aalhus, Jennifer, Ph.D....  

Show textShow cached sourceOpen source URL	"Efficiency of Feed Utilization through Residual feed Intake (RFI) - 1st Industry validation of RFI a success.", published in Farms.com Newsletter (E-publication), Farms.com, Ltd., Guelph, ON, Canada.
Compare text pagesCompare HTM pagesOpen source URLOpen target URLDefine agr.ca as primary domain	Basarab, J.A., Wang, Z., et Aalhus, J.L. (2009). « Efficiency of Feed Utilization through Residual feed Intake (RFI) - 1st Industry validation of RFI a success. », publié dedans Farms.com Newsletter (E-publication), Farms.com, Ltd., Guelph, ON, Canada.

  Aalhus, Jennifer, Ph.D....  

Show textShow cached sourceOpen source URL	"Efficiency of Feed Utilization through Residual feed Intake (RFI) - 1st Industry validation of RFI a success.", published in Farms.com Newsletter (E-publication), Farms.com, Ltd., Guelph, ON, Canada.
Compare text pagesCompare HTM pagesOpen source URLOpen target URLDefine agr.ca as primary domain	Basarab, J.A., Wang, Z., et Aalhus, J.L. (2009). « Efficiency of Feed Utilization through Residual feed Intake (RFI) - 1st Industry validation of RFI a success. », publié dedans Farms.com Newsletter (E-publication), Farms.com, Ltd., Guelph, ON, Canada.

  Growing Forward - Clust...  

Show textShow cached sourceOpen source URL	Beef Cluster - The impact of nutrition and RFI on tissue and molecular characterization, manipulation of maintenance energy costs, and fetal growth and programming in wintering beef cows
Compare text pagesCompare HTM pagesOpen source URLOpen target URLDefine agr.ca as primary domain	Grappe du bœuf - Incidence de la nutrition et de la prise alimentaire résiduelles sur la caractérisation tissulaire et moléculaire, la manipulation des coûts énergétiques de maintien et la croissance et la programmation fœtale chez des vaches de boucherie en hiver

  Block, Hushton C., Ph.D...  

Show textShow cached sourceOpen source URL	"Investigating RFI and diet interactions on ADG, body weight, rib and back fat thickness in pregnant Angus heifers.", CSAS-CMSA Joint Annual Meeting, Banff Park Lodge Resort Hotel and Conference Centre, Banff, AB, Canada, June 18-20, 2013, P25, pp. 35.
Compare text pagesCompare HTM pagesOpen source URLOpen target URLDefine agr.ca as primary domain	Straathof, C., Paradis, F., Block, H.C., Colazo, M.G., Yaremcio, B., Li, C., Bruce, H.L., et Fitzsimmons, C.J. (2013). « Investigating RFI and diet interactions on ADG, body weight, rib and back fat thickness in pregnant Angus heifers. », CSAS-CMSA Joint Annual Meeting, Banff Park Lodge Resort Hotel and Conference Centre, Banff, AB, Canada, June 18-20, 2013, P25, p. 35. (Affiche)

  Schaefer, Al, Ph.D. - A...  

Show textShow cached sourceOpen source URL	Schaefer, A.L., Basarab, J.A., Colyn, J.J., Webster, J.R., and Stewart, M. (2013). "Non steady state thermal profiles used to rank RFI in cows.", CSAS-CMSA Joint Annual Meeting, Banff Park Lodge Resort Hotel and Conference Centre, Banff, AB, Canada, June 18-20, 2013, P24, pp. 34.
Compare text pagesCompare HTM pagesOpen source URLOpen target URLDefine agr.ca as primary domain	Schaefer, A.L., Basarab, J.A., Colyn, J.J., Webster, J.R., et Stewart, M. (2013). « Non steady state thermal profiles used to rank RFI in cows. », CSAS-CMSA Joint Annual Meeting, Banff Park Lodge Resort Hotel and Conference Centre, Banff, AB, Canada, June 18-20, 2013, P24, p. 34. (Affiche)

  Evidence of residual fe...  

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The objective of the study was to examine whether residual feed intake (RFI) reranking exists between 2 consecutive periods in replacement heifers fed the same diet. The study collected feed intake and BW data from 190 crossbred heifers over a 3-yr period (61 in 2007; 68 in 2008; and 61 in 2009) during the winter-spring season.

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Dans l’étude présentée ici, nous avons déterminé si le classement en fonction de la consommation alimentaire résiduelle (CAR) change entre 2 périodes consécutives chez des génisses de remplacement recevant la même ration. Pendant 3 ans, en hiver et au printemps, nous avons recueilli des données sur la consommation alimentaire et le poids de 190 génisses de race croisée (61 génisses en 2007, 68 en 2008 et 61 en 2009). Les génisses ont reçu une ration à base de fourrage (90 % d’orge ensilée et 10 % de grain d’orge aplati) pendant toute l’étude, laquelle comprenait 2 périodes; le gain pondéral moyen était de 0,94 kg j-1 pour la première période, et de 0,90 kg j-1 pour la seconde. La CAR a été calculée pour toute la période au moyen de différents modèles comprenant le gain pondéral quotidien moyen, le poids métabolique en milieu d’épreuve, la composition corporelle et l’activité alimentaire. Nous avons également calculé le rapport gain pondéral/consommation alimentaire (G/C) et le rapport Kleiber (RK). Les corrélations de classement entre les CAR calculées au moyen des différents modèles ont été établies, de même que les corrélations de classement entre les 2 périodes d’alimentation pour les mesures de l’indice de conversion alimentaire. L’incorporation de la composition corporelle et de l’activité alimentaire n’a amélioré le R2 que dans une proportion de 1 à 5 %. Les corrélations de classement entre les différents modèles étaient élevées (de 90 à 95 %) pour la CAR de la période d’alimentation entière. Toutefois, la CAR de la seconde période d’alimentation a donné une corrélation de classement plus élevée avec celle de la période d’alimentation entière. Par comparaison au rapport G/C et au rapport RK, avec la CAR, le reclassement a été moindre entre les périodes 1 et 2. Chez environ 49 % des génisses, le classement en fonction de la CAR s’est maintenu, tandis que chez 51 %, le classement de la période 2 était différent de celui de la période 1. De plus, chez 41 % des génisses, la CAR de la période 2 a changé d’une valeur < 0,5 écart-type, la valeur étant ≥ 0,5 pour les autres génisses. Ces résultats indiquent qu’il y a reclassement chez les génisses, même lorsqu’elles reçoivent même ration durant 2 périodes d’alimentation, et que le reclassement peut être plus important pour les génisses (28 %) dont la CAR de chacune des périodes atteint une valeur extrême.

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Individual animal daily feed intake, feeding event activity and off-test backfat thickness were then used to calculate RFI, RFIfat and RFIfat & activityand group heifers as either negative ([−], RFI<0.0) or positive ([+], RFI≥0.0) for RFI.

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Cette étude devait préciser l’incidence de l’ingestion résiduelle d’aliments (RFI), de la RFI ajustée en fonction de l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve (RFIfat) et de la RFI ajustée en fonction de l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve et de la fréquence de l’alimentation (RFIfat & activity) sur la fertilité et le rendement des génisses. Les auteurs ont surveillé la prise alimentaire quotidienne et la fréquence de l’alimentation de génisses de boucherie (n=190) pendant 108 à 112 jours grâce au système GrowSafe†, puis ont évalué l’âge à la puberté selon la concentration de progestérone dans le sang. Ils ont ensuite recouru à la prise alimentaire quotidienne de chaque sujet, à la fréquence de l’alimentation et à l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve pour calculer la RFI, la RFIfat et la RFIfat & activity, et regrouper les génisses selon une RFI négative ([-], RFI<0,0) ou positive ([+], RFI≥0,0). Les génisses pesaient en moyenne 298 kg (É.-T.=34), étaient âgées de 276 jours (É.-T.=19) au début de l’expérience, ont grossi au rythme de 0,90 kg par jour (É.-T.=0,21), ont consommé 7,62 kg de matière sèche par jour (É.-T.=0,84) et avaient un indice de consommation de 8,93 (É.-T.=2,43). L’âge (351 jours, É.-T.=43) et le poids (367,3 kg, É.-T.=45,0) à la puberté étaient similaires pour les génisses [+] et [-]RFI, mais les génisses [-] RFIfat (P=0,04) et RFIfat & activity (P=0,08) sont parvenues à la puberté plus tard que les génisses [+] RFIfat et RFIfat & activity. Les génisses efficaces ou [-] RFI se caractérisent par un taux de conception (76,84 c. 86,32 %, P=0,09) et de vêlage (72,63 c. 84,21 %, P=0,05) plus faible que les génisses [+] RFI. Ces variations disparaissent partiellement chez les génisses [-] RFIfat et complètement chez les génisses [-] RFIfat & activity, comparativement à leurs contreparties [+] RFI (taux de conception, 80,85 c. 82,29 %, P=0,80; taux de vêlage, 75,53 c. 81,25 %, P=0,34). Aucune variation n’a é té relevée entre les génisses efficaces et inefficaces pour les difficultés au veˆ lage, la date de mise bas moyenne, l’âge à la première mise bas, le poids de naissance du veau, le gain quotidien moyen du veau avant le sevrage, le poids du veau au sevrage et le rendement de la génisse. Cependant, les génisses [+] RFI enregistrent 1,9 fois plus de veaux décédé s que les génisses [-] RFI (11,11% c. 5,71 %, P=0,24). Cet écart est encore plus prononcé chez les génisses [+] RFIfat et [+] RFIfat & activity, pour qui le nombre d

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Cette étude devait préciser l’incidence de l’ingestion résiduelle d’aliments (RFI), de la RFI ajustée en fonction de l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve (RFIfat) et de la RFI ajustée en fonction de l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve et de la fréquence de l’alimentation (RFIfat & activity) sur la fertilité et le rendement des génisses. Les auteurs ont surveillé la prise alimentaire quotidienne et la fréquence de l’alimentation de génisses de boucherie (n=190) pendant 108 à 112 jours grâce au système GrowSafe†, puis ont évalué l’âge à la puberté selon la concentration de progestérone dans le sang. Ils ont ensuite recouru à la prise alimentaire quotidienne de chaque sujet, à la fréquence de l’alimentation et à l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve pour calculer la RFI, la RFIfat et la RFIfat & activity, et regrouper les génisses selon une RFI négative ([-], RFI<0,0) ou positive ([+], RFI≥0,0). Les génisses pesaient en moyenne 298 kg (É.-T.=34), étaient âgées de 276 jours (É.-T.=19) au début de l’expérience, ont grossi au rythme de 0,90 kg par jour (É.-T.=0,21), ont consommé 7,62 kg de matière sèche par jour (É.-T.=0,84) et avaient un indice de consommation de 8,93 (É.-T.=2,43). L’âge (351 jours, É.-T.=43) et le poids (367,3 kg, É.-T.=45,0) à la puberté étaient similaires pour les génisses [+] et [-]RFI, mais les génisses [-] RFIfat (P=0,04) et RFIfat & activity (P=0,08) sont parvenues à la puberté plus tard que les génisses [+] RFIfat et RFIfat & activity. Les génisses efficaces ou [-] RFI se caractérisent par un taux de conception (76,84 c. 86,32 %, P=0,09) et de vêlage (72,63 c. 84,21 %, P=0,05) plus faible que les génisses [+] RFI. Ces variations disparaissent partiellement chez les génisses [-] RFIfat et complètement chez les génisses [-] RFIfat & activity, comparativement à leurs contreparties [+] RFI (taux de conception, 80,85 c. 82,29 %, P=0,80; taux de vêlage, 75,53 c. 81,25 %, P=0,34). Aucune variation n’a é té relevée entre les génisses efficaces et inefficaces pour les difficultés au veˆ lage, la date de mise bas moyenne, l’âge à la première mise bas, le poids de naissance du veau, le gain quotidien moyen du veau avant le sevrage, le poids du veau au sevrage et le rendement de la génisse. Cependant, les génisses [+] RFI enregistrent 1,9 fois plus de veaux décédé s que les génisses [-] RFI (11,11% c. 5,71 %, P=0,24). Cet écart est encore plus prononcé chez les génisses [+] RFIfat et [+] RFIfat & activity, pour qui le nombre d

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Cette étude devait préciser l’incidence de l’ingestion résiduelle d’aliments (RFI), de la RFI ajustée en fonction de l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve (RFIfat) et de la RFI ajustée en fonction de l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve et de la fréquence de l’alimentation (RFIfat & activity) sur la fertilité et le rendement des génisses. Les auteurs ont surveillé la prise alimentaire quotidienne et la fréquence de l’alimentation de génisses de boucherie (n=190) pendant 108 à 112 jours grâce au système GrowSafe†, puis ont évalué l’âge à la puberté selon la concentration de progestérone dans le sang. Ils ont ensuite recouru à la prise alimentaire quotidienne de chaque sujet, à la fréquence de l’alimentation et à l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve pour calculer la RFI, la RFIfat et la RFIfat & activity, et regrouper les génisses selon une RFI négative ([-], RFI<0,0) ou positive ([+], RFI≥0,0). Les génisses pesaient en moyenne 298 kg (É.-T.=34), étaient âgées de 276 jours (É.-T.=19) au début de l’expérience, ont grossi au rythme de 0,90 kg par jour (É.-T.=0,21), ont consommé 7,62 kg de matière sèche par jour (É.-T.=0,84) et avaient un indice de consommation de 8,93 (É.-T.=2,43). L’âge (351 jours, É.-T.=43) et le poids (367,3 kg, É.-T.=45,0) à la puberté étaient similaires pour les génisses [+] et [-]RFI, mais les génisses [-] RFIfat (P=0,04) et RFIfat & activity (P=0,08) sont parvenues à la puberté plus tard que les génisses [+] RFIfat et RFIfat & activity. Les génisses efficaces ou [-] RFI se caractérisent par un taux de conception (76,84 c. 86,32 %, P=0,09) et de vêlage (72,63 c. 84,21 %, P=0,05) plus faible que les génisses [+] RFI. Ces variations disparaissent partiellement chez les génisses [-] RFIfat et complètement chez les génisses [-] RFIfat & activity, comparativement à leurs contreparties [+] RFI (taux de conception, 80,85 c. 82,29 %, P=0,80; taux de vêlage, 75,53 c. 81,25 %, P=0,34). Aucune variation n’a é té relevée entre les génisses efficaces et inefficaces pour les difficultés au veˆ lage, la date de mise bas moyenne, l’âge à la première mise bas, le poids de naissance du veau, le gain quotidien moyen du veau avant le sevrage, le poids du veau au sevrage et le rendement de la génisse. Cependant, les génisses [+] RFI enregistrent 1,9 fois plus de veaux décédé s que les génisses [-] RFI (11,11% c. 5,71 %, P=0,24). Cet écart est encore plus prononcé chez les génisses [+] RFIfat et [+] RFIfat & activity, pour qui le nombre d

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Cette étude devait préciser l’incidence de l’ingestion résiduelle d’aliments (RFI), de la RFI ajustée en fonction de l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve (RFIfat) et de la RFI ajustée en fonction de l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve et de la fréquence de l’alimentation (RFIfat & activity) sur la fertilité et le rendement des génisses. Les auteurs ont surveillé la prise alimentaire quotidienne et la fréquence de l’alimentation de génisses de boucherie (n=190) pendant 108 à 112 jours grâce au système GrowSafe†, puis ont évalué l’âge à la puberté selon la concentration de progestérone dans le sang. Ils ont ensuite recouru à la prise alimentaire quotidienne de chaque sujet, à la fréquence de l’alimentation et à l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve pour calculer la RFI, la RFIfat et la RFIfat & activity, et regrouper les génisses selon une RFI négative ([-], RFI<0,0) ou positive ([+], RFI≥0,0). Les génisses pesaient en moyenne 298 kg (É.-T.=34), étaient âgées de 276 jours (É.-T.=19) au début de l’expérience, ont grossi au rythme de 0,90 kg par jour (É.-T.=0,21), ont consommé 7,62 kg de matière sèche par jour (É.-T.=0,84) et avaient un indice de consommation de 8,93 (É.-T.=2,43). L’âge (351 jours, É.-T.=43) et le poids (367,3 kg, É.-T.=45,0) à la puberté étaient similaires pour les génisses [+] et [-]RFI, mais les génisses [-] RFIfat (P=0,04) et RFIfat & activity (P=0,08) sont parvenues à la puberté plus tard que les génisses [+] RFIfat et RFIfat & activity. Les génisses efficaces ou [-] RFI se caractérisent par un taux de conception (76,84 c. 86,32 %, P=0,09) et de vêlage (72,63 c. 84,21 %, P=0,05) plus faible que les génisses [+] RFI. Ces variations disparaissent partiellement chez les génisses [-] RFIfat et complètement chez les génisses [-] RFIfat & activity, comparativement à leurs contreparties [+] RFI (taux de conception, 80,85 c. 82,29 %, P=0,80; taux de vêlage, 75,53 c. 81,25 %, P=0,34). Aucune variation n’a é té relevée entre les génisses efficaces et inefficaces pour les difficultés au veˆ lage, la date de mise bas moyenne, l’âge à la première mise bas, le poids de naissance du veau, le gain quotidien moyen du veau avant le sevrage, le poids du veau au sevrage et le rendement de la génisse. Cependant, les génisses [+] RFI enregistrent 1,9 fois plus de veaux décédé s que les génisses [-] RFI (11,11% c. 5,71 %, P=0,24). Cet écart est encore plus prononcé chez les génisses [+] RFIfat et [+] RFIfat & activity, pour qui le nombre d

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Cette étude devait préciser l’incidence de l’ingestion résiduelle d’aliments (RFI), de la RFI ajustée en fonction de l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve (RFIfat) et de la RFI ajustée en fonction de l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve et de la fréquence de l’alimentation (RFIfat & activity) sur la fertilité et le rendement des génisses. Les auteurs ont surveillé la prise alimentaire quotidienne et la fréquence de l’alimentation de génisses de boucherie (n=190) pendant 108 à 112 jours grâce au système GrowSafe†, puis ont évalué l’âge à la puberté selon la concentration de progestérone dans le sang. Ils ont ensuite recouru à la prise alimentaire quotidienne de chaque sujet, à la fréquence de l’alimentation et à l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve pour calculer la RFI, la RFIfat et la RFIfat & activity, et regrouper les génisses selon une RFI négative ([-], RFI<0,0) ou positive ([+], RFI≥0,0). Les génisses pesaient en moyenne 298 kg (É.-T.=34), étaient âgées de 276 jours (É.-T.=19) au début de l’expérience, ont grossi au rythme de 0,90 kg par jour (É.-T.=0,21), ont consommé 7,62 kg de matière sèche par jour (É.-T.=0,84) et avaient un indice de consommation de 8,93 (É.-T.=2,43). L’âge (351 jours, É.-T.=43) et le poids (367,3 kg, É.-T.=45,0) à la puberté étaient similaires pour les génisses [+] et [-]RFI, mais les génisses [-] RFIfat (P=0,04) et RFIfat & activity (P=0,08) sont parvenues à la puberté plus tard que les génisses [+] RFIfat et RFIfat & activity. Les génisses efficaces ou [-] RFI se caractérisent par un taux de conception (76,84 c. 86,32 %, P=0,09) et de vêlage (72,63 c. 84,21 %, P=0,05) plus faible que les génisses [+] RFI. Ces variations disparaissent partiellement chez les génisses [-] RFIfat et complètement chez les génisses [-] RFIfat & activity, comparativement à leurs contreparties [+] RFI (taux de conception, 80,85 c. 82,29 %, P=0,80; taux de vêlage, 75,53 c. 81,25 %, P=0,34). Aucune variation n’a é té relevée entre les génisses efficaces et inefficaces pour les difficultés au veˆ lage, la date de mise bas moyenne, l’âge à la première mise bas, le poids de naissance du veau, le gain quotidien moyen du veau avant le sevrage, le poids du veau au sevrage et le rendement de la génisse. Cependant, les génisses [+] RFI enregistrent 1,9 fois plus de veaux décédé s que les génisses [-] RFI (11,11% c. 5,71 %, P=0,24). Cet écart est encore plus prononcé chez les génisses [+] RFIfat et [+] RFIfat & activity, pour qui le nombre d

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Cette étude devait préciser l’incidence de l’ingestion résiduelle d’aliments (RFI), de la RFI ajustée en fonction de l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve (RFIfat) et de la RFI ajustée en fonction de l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve et de la fréquence de l’alimentation (RFIfat & activity) sur la fertilité et le rendement des génisses. Les auteurs ont surveillé la prise alimentaire quotidienne et la fréquence de l’alimentation de génisses de boucherie (n=190) pendant 108 à 112 jours grâce au système GrowSafe†, puis ont évalué l’âge à la puberté selon la concentration de progestérone dans le sang. Ils ont ensuite recouru à la prise alimentaire quotidienne de chaque sujet, à la fréquence de l’alimentation et à l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve pour calculer la RFI, la RFIfat et la RFIfat & activity, et regrouper les génisses selon une RFI négative ([-], RFI<0,0) ou positive ([+], RFI≥0,0). Les génisses pesaient en moyenne 298 kg (É.-T.=34), étaient âgées de 276 jours (É.-T.=19) au début de l’expérience, ont grossi au rythme de 0,90 kg par jour (É.-T.=0,21), ont consommé 7,62 kg de matière sèche par jour (É.-T.=0,84) et avaient un indice de consommation de 8,93 (É.-T.=2,43). L’âge (351 jours, É.-T.=43) et le poids (367,3 kg, É.-T.=45,0) à la puberté étaient similaires pour les génisses [+] et [-]RFI, mais les génisses [-] RFIfat (P=0,04) et RFIfat & activity (P=0,08) sont parvenues à la puberté plus tard que les génisses [+] RFIfat et RFIfat & activity. Les génisses efficaces ou [-] RFI se caractérisent par un taux de conception (76,84 c. 86,32 %, P=0,09) et de vêlage (72,63 c. 84,21 %, P=0,05) plus faible que les génisses [+] RFI. Ces variations disparaissent partiellement chez les génisses [-] RFIfat et complètement chez les génisses [-] RFIfat & activity, comparativement à leurs contreparties [+] RFI (taux de conception, 80,85 c. 82,29 %, P=0,80; taux de vêlage, 75,53 c. 81,25 %, P=0,34). Aucune variation n’a é té relevée entre les génisses efficaces et inefficaces pour les difficultés au veˆ lage, la date de mise bas moyenne, l’âge à la première mise bas, le poids de naissance du veau, le gain quotidien moyen du veau avant le sevrage, le poids du veau au sevrage et le rendement de la génisse. Cependant, les génisses [+] RFI enregistrent 1,9 fois plus de veaux décédé s que les génisses [-] RFI (11,11% c. 5,71 %, P=0,24). Cet écart est encore plus prononcé chez les génisses [+] RFIfat et [+] RFIfat & activity, pour qui le nombre d

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The objective of the study was to examine whether residual feed intake (RFI) reranking exists between 2 consecutive periods in replacement heifers fed the same diet. The study collected feed intake and BW data from 190 crossbred heifers over a 3-yr period (61 in 2007; 68 in 2008; and 61 in 2009) during the winter-spring season.

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Dans l’étude présentée ici, nous avons déterminé si le classement en fonction de la consommation alimentaire résiduelle (CAR) change entre 2 périodes consécutives chez des génisses de remplacement recevant la même ration. Pendant 3 ans, en hiver et au printemps, nous avons recueilli des données sur la consommation alimentaire et le poids de 190 génisses de race croisée (61 génisses en 2007, 68 en 2008 et 61 en 2009). Les génisses ont reçu une ration à base de fourrage (90 % d’orge ensilée et 10 % de grain d’orge aplati) pendant toute l’étude, laquelle comprenait 2 périodes; le gain pondéral moyen était de 0,94 kg j-1 pour la première période, et de 0,90 kg j-1 pour la seconde. La CAR a été calculée pour toute la période au moyen de différents modèles comprenant le gain pondéral quotidien moyen, le poids métabolique en milieu d’épreuve, la composition corporelle et l’activité alimentaire. Nous avons également calculé le rapport gain pondéral/consommation alimentaire (G/C) et le rapport Kleiber (RK). Les corrélations de classement entre les CAR calculées au moyen des différents modèles ont été établies, de même que les corrélations de classement entre les 2 périodes d’alimentation pour les mesures de l’indice de conversion alimentaire. L’incorporation de la composition corporelle et de l’activité alimentaire n’a amélioré le R2 que dans une proportion de 1 à 5 %. Les corrélations de classement entre les différents modèles étaient élevées (de 90 à 95 %) pour la CAR de la période d’alimentation entière. Toutefois, la CAR de la seconde période d’alimentation a donné une corrélation de classement plus élevée avec celle de la période d’alimentation entière. Par comparaison au rapport G/C et au rapport RK, avec la CAR, le reclassement a été moindre entre les périodes 1 et 2. Chez environ 49 % des génisses, le classement en fonction de la CAR s’est maintenu, tandis que chez 51 %, le classement de la période 2 était différent de celui de la période 1. De plus, chez 41 % des génisses, la CAR de la période 2 a changé d’une valeur < 0,5 écart-type, la valeur étant ≥ 0,5 pour les autres génisses. Ces résultats indiquent qu’il y a reclassement chez les génisses, même lorsqu’elles reçoivent même ration durant 2 périodes d’alimentation, et que le reclassement peut être plus important pour les génisses (28 %) dont la CAR de chacune des périodes atteint une valeur extrême.

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The objective of the study was to examine whether residual feed intake (RFI) reranking exists between 2 consecutive periods in replacement heifers fed the same diet. The study collected feed intake and BW data from 190 crossbred heifers over a 3-yr period (61 in 2007; 68 in 2008; and 61 in 2009) during the winter-spring season.

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Dans l’étude présentée ici, nous avons déterminé si le classement en fonction de la consommation alimentaire résiduelle (CAR) change entre 2 périodes consécutives chez des génisses de remplacement recevant la même ration. Pendant 3 ans, en hiver et au printemps, nous avons recueilli des données sur la consommation alimentaire et le poids de 190 génisses de race croisée (61 génisses en 2007, 68 en 2008 et 61 en 2009). Les génisses ont reçu une ration à base de fourrage (90 % d’orge ensilée et 10 % de grain d’orge aplati) pendant toute l’étude, laquelle comprenait 2 périodes; le gain pondéral moyen était de 0,94 kg j-1 pour la première période, et de 0,90 kg j-1 pour la seconde. La CAR a été calculée pour toute la période au moyen de différents modèles comprenant le gain pondéral quotidien moyen, le poids métabolique en milieu d’épreuve, la composition corporelle et l’activité alimentaire. Nous avons également calculé le rapport gain pondéral/consommation alimentaire (G/C) et le rapport Kleiber (RK). Les corrélations de classement entre les CAR calculées au moyen des différents modèles ont été établies, de même que les corrélations de classement entre les 2 périodes d’alimentation pour les mesures de l’indice de conversion alimentaire. L’incorporation de la composition corporelle et de l’activité alimentaire n’a amélioré le R2 que dans une proportion de 1 à 5 %. Les corrélations de classement entre les différents modèles étaient élevées (de 90 à 95 %) pour la CAR de la période d’alimentation entière. Toutefois, la CAR de la seconde période d’alimentation a donné une corrélation de classement plus élevée avec celle de la période d’alimentation entière. Par comparaison au rapport G/C et au rapport RK, avec la CAR, le reclassement a été moindre entre les périodes 1 et 2. Chez environ 49 % des génisses, le classement en fonction de la CAR s’est maintenu, tandis que chez 51 %, le classement de la période 2 était différent de celui de la période 1. De plus, chez 41 % des génisses, la CAR de la période 2 a changé d’une valeur < 0,5 écart-type, la valeur étant ≥ 0,5 pour les autres génisses. Ces résultats indiquent qu’il y a reclassement chez les génisses, même lorsqu’elles reçoivent même ration durant 2 périodes d’alimentation, et que le reclassement peut être plus important pour les génisses (28 %) dont la CAR de chacune des périodes atteint une valeur extrême.

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The objective of the study was to examine whether residual feed intake (RFI) reranking exists between 2 consecutive periods in replacement heifers fed the same diet. The study collected feed intake and BW data from 190 crossbred heifers over a 3-yr period (61 in 2007; 68 in 2008; and 61 in 2009) during the winter-spring season.

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Dans l’étude présentée ici, nous avons déterminé si le classement en fonction de la consommation alimentaire résiduelle (CAR) change entre 2 périodes consécutives chez des génisses de remplacement recevant la même ration. Pendant 3 ans, en hiver et au printemps, nous avons recueilli des données sur la consommation alimentaire et le poids de 190 génisses de race croisée (61 génisses en 2007, 68 en 2008 et 61 en 2009). Les génisses ont reçu une ration à base de fourrage (90 % d’orge ensilée et 10 % de grain d’orge aplati) pendant toute l’étude, laquelle comprenait 2 périodes; le gain pondéral moyen était de 0,94 kg j-1 pour la première période, et de 0,90 kg j-1 pour la seconde. La CAR a été calculée pour toute la période au moyen de différents modèles comprenant le gain pondéral quotidien moyen, le poids métabolique en milieu d’épreuve, la composition corporelle et l’activité alimentaire. Nous avons également calculé le rapport gain pondéral/consommation alimentaire (G/C) et le rapport Kleiber (RK). Les corrélations de classement entre les CAR calculées au moyen des différents modèles ont été établies, de même que les corrélations de classement entre les 2 périodes d’alimentation pour les mesures de l’indice de conversion alimentaire. L’incorporation de la composition corporelle et de l’activité alimentaire n’a amélioré le R2 que dans une proportion de 1 à 5 %. Les corrélations de classement entre les différents modèles étaient élevées (de 90 à 95 %) pour la CAR de la période d’alimentation entière. Toutefois, la CAR de la seconde période d’alimentation a donné une corrélation de classement plus élevée avec celle de la période d’alimentation entière. Par comparaison au rapport G/C et au rapport RK, avec la CAR, le reclassement a été moindre entre les périodes 1 et 2. Chez environ 49 % des génisses, le classement en fonction de la CAR s’est maintenu, tandis que chez 51 %, le classement de la période 2 était différent de celui de la période 1. De plus, chez 41 % des génisses, la CAR de la période 2 a changé d’une valeur < 0,5 écart-type, la valeur étant ≥ 0,5 pour les autres génisses. Ces résultats indiquent qu’il y a reclassement chez les génisses, même lorsqu’elles reçoivent même ration durant 2 périodes d’alimentation, et que le reclassement peut être plus important pour les génisses (28 %) dont la CAR de chacune des périodes atteint une valeur extrême.

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Dans l’étude présentée ici, nous avons déterminé si le classement en fonction de la consommation alimentaire résiduelle (CAR) change entre 2 périodes consécutives chez des génisses de remplacement recevant la même ration. Pendant 3 ans, en hiver et au printemps, nous avons recueilli des données sur la consommation alimentaire et le poids de 190 génisses de race croisée (61 génisses en 2007, 68 en 2008 et 61 en 2009). Les génisses ont reçu une ration à base de fourrage (90 % d’orge ensilée et 10 % de grain d’orge aplati) pendant toute l’étude, laquelle comprenait 2 périodes; le gain pondéral moyen était de 0,94 kg j-1 pour la première période, et de 0,90 kg j-1 pour la seconde. La CAR a été calculée pour toute la période au moyen de différents modèles comprenant le gain pondéral quotidien moyen, le poids métabolique en milieu d’épreuve, la composition corporelle et l’activité alimentaire. Nous avons également calculé le rapport gain pondéral/consommation alimentaire (G/C) et le rapport Kleiber (RK). Les corrélations de classement entre les CAR calculées au moyen des différents modèles ont été établies, de même que les corrélations de classement entre les 2 périodes d’alimentation pour les mesures de l’indice de conversion alimentaire. L’incorporation de la composition corporelle et de l’activité alimentaire n’a amélioré le R2 que dans une proportion de 1 à 5 %. Les corrélations de classement entre les différents modèles étaient élevées (de 90 à 95 %) pour la CAR de la période d’alimentation entière. Toutefois, la CAR de la seconde période d’alimentation a donné une corrélation de classement plus élevée avec celle de la période d’alimentation entière. Par comparaison au rapport G/C et au rapport RK, avec la CAR, le reclassement a été moindre entre les périodes 1 et 2. Chez environ 49 % des génisses, le classement en fonction de la CAR s’est maintenu, tandis que chez 51 %, le classement de la période 2 était différent de celui de la période 1. De plus, chez 41 % des génisses, la CAR de la période 2 a changé d’une valeur < 0,5 écart-type, la valeur étant ≥ 0,5 pour les autres génisses. Ces résultats indiquent qu’il y a reclassement chez les génisses, même lorsqu’elles reçoivent même ration durant 2 périodes d’alimentation, et que le reclassement peut être plus important pour les génisses (28 %) dont la CAR de chacune des périodes atteint une valeur extrême.

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Individual animal daily feed intake, feeding event activity and off-test backfat thickness were then used to calculate RFI, RFIfat and RFIfat & activityand group heifers as either negative ([−], RFI<0.0) or positive ([+], RFI≥0.0) for RFI.

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Cette étude devait préciser l’incidence de l’ingestion résiduelle d’aliments (RFI), de la RFI ajustée en fonction de l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve (RFIfat) et de la RFI ajustée en fonction de l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve et de la fréquence de l’alimentation (RFIfat & activity) sur la fertilité et le rendement des génisses. Les auteurs ont surveillé la prise alimentaire quotidienne et la fréquence de l’alimentation de génisses de boucherie (n=190) pendant 108 à 112 jours grâce au système GrowSafe†, puis ont évalué l’âge à la puberté selon la concentration de progestérone dans le sang. Ils ont ensuite recouru à la prise alimentaire quotidienne de chaque sujet, à la fréquence de l’alimentation et à l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve pour calculer la RFI, la RFIfat et la RFIfat & activity, et regrouper les génisses selon une RFI négative ([-], RFI<0,0) ou positive ([+], RFI≥0,0). Les génisses pesaient en moyenne 298 kg (É.-T.=34), étaient âgées de 276 jours (É.-T.=19) au début de l’expérience, ont grossi au rythme de 0,90 kg par jour (É.-T.=0,21), ont consommé 7,62 kg de matière sèche par jour (É.-T.=0,84) et avaient un indice de consommation de 8,93 (É.-T.=2,43). L’âge (351 jours, É.-T.=43) et le poids (367,3 kg, É.-T.=45,0) à la puberté étaient similaires pour les génisses [+] et [-]RFI, mais les génisses [-] RFIfat (P=0,04) et RFIfat & activity (P=0,08) sont parvenues à la puberté plus tard que les génisses [+] RFIfat et RFIfat & activity. Les génisses efficaces ou [-] RFI se caractérisent par un taux de conception (76,84 c. 86,32 %, P=0,09) et de vêlage (72,63 c. 84,21 %, P=0,05) plus faible que les génisses [+] RFI. Ces variations disparaissent partiellement chez les génisses [-] RFIfat et complètement chez les génisses [-] RFIfat & activity, comparativement à leurs contreparties [+] RFI (taux de conception, 80,85 c. 82,29 %, P=0,80; taux de vêlage, 75,53 c. 81,25 %, P=0,34). Aucune variation n’a é té relevée entre les génisses efficaces et inefficaces pour les difficultés au veˆ lage, la date de mise bas moyenne, l’âge à la première mise bas, le poids de naissance du veau, le gain quotidien moyen du veau avant le sevrage, le poids du veau au sevrage et le rendement de la génisse. Cependant, les génisses [+] RFI enregistrent 1,9 fois plus de veaux décédé s que les génisses [-] RFI (11,11% c. 5,71 %, P=0,24). Cet écart est encore plus prononcé chez les génisses [+] RFIfat et [+] RFIfat & activity, pour qui le nombre d

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Individual animal daily feed intake, feeding event activity and off-test backfat thickness were then used to calculate RFI, RFIfat and RFIfat & activityand group heifers as either negative ([−], RFI<0.0) or positive ([+], RFI≥0.0) for RFI.

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Cette étude devait préciser l’incidence de l’ingestion résiduelle d’aliments (RFI), de la RFI ajustée en fonction de l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve (RFIfat) et de la RFI ajustée en fonction de l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve et de la fréquence de l’alimentation (RFIfat & activity) sur la fertilité et le rendement des génisses. Les auteurs ont surveillé la prise alimentaire quotidienne et la fréquence de l’alimentation de génisses de boucherie (n=190) pendant 108 à 112 jours grâce au système GrowSafe†, puis ont évalué l’âge à la puberté selon la concentration de progestérone dans le sang. Ils ont ensuite recouru à la prise alimentaire quotidienne de chaque sujet, à la fréquence de l’alimentation et à l’épaisseur du gras dorsal en fin d’épreuve pour calculer la RFI, la RFIfat et la RFIfat & activity, et regrouper les génisses selon une RFI négative ([-], RFI<0,0) ou positive ([+], RFI≥0,0). Les génisses pesaient en moyenne 298 kg (É.-T.=34), étaient âgées de 276 jours (É.-T.=19) au début de l’expérience, ont grossi au rythme de 0,90 kg par jour (É.-T.=0,21), ont consommé 7,62 kg de matière sèche par jour (É.-T.=0,84) et avaient un indice de consommation de 8,93 (É.-T.=2,43). L’âge (351 jours, É.-T.=43) et le poids (367,3 kg, É.-T.=45,0) à la puberté étaient similaires pour les génisses [+] et [-]RFI, mais les génisses [-] RFIfat (P=0,04) et RFIfat & activity (P=0,08) sont parvenues à la puberté plus tard que les génisses [+] RFIfat et RFIfat & activity. Les génisses efficaces ou [-] RFI se caractérisent par un taux de conception (76,84 c. 86,32 %, P=0,09) et de vêlage (72,63 c. 84,21 %, P=0,05) plus faible que les génisses [+] RFI. Ces variations disparaissent partiellement chez les génisses [-] RFIfat et complètement chez les génisses [-] RFIfat & activity, comparativement à leurs contreparties [+] RFI (taux de conception, 80,85 c. 82,29 %, P=0,80; taux de vêlage, 75,53 c. 81,25 %, P=0,34). Aucune variation n’a é té relevée entre les génisses efficaces et inefficaces pour les difficultés au veˆ lage, la date de mise bas moyenne, l’âge à la première mise bas, le poids de naissance du veau, le gain quotidien moyen du veau avant le sevrage, le poids du veau au sevrage et le rendement de la génisse. Cependant, les génisses [+] RFI enregistrent 1,9 fois plus de veaux décédé s que les génisses [-] RFI (11,11% c. 5,71 %, P=0,24). Cet écart est encore plus prononcé chez les génisses [+] RFIfat et [+] RFIfat & activity, pour qui le nombre d