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Es erweist sich nicht als überraschend, dass Gott den aus der Sklaverei befreiten Kindern Israels den Ruhetag gab, als er seine zehn Gebote für ihr künftiges Leben formulierte; dieser Tag sollte sie zurückführen zu Tiefe und Betrachtung Gottes als Schöpfer und Bewahrer seiner Schöpfung: „Gedenke des Sabbattages, dass du ihn heiligest. Sechs Tage sollst du arbeiten und alle deine Werke tun. Aber am siebenten Tage ist der Sabbat des HERRN, deines Gottes. Da sollst du keine Arbeit tun, auch nicht dein Sohn, deine Tochter, dein Knecht, deine Magd, dein Vieh, auch nicht dein Fremdling, der in deiner Stadt lebt. Denn in sechs Tagen hat der HERR Himmel und Erde gemacht und das Meer und alles, was darinnen ist, und ruhte am siebenten Tage. Darum segnete der HERR den Sabbattag und heiligte ihn“ (2. Mose 20, 8-11).
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Il n’est pas étonnant qu’en formulant ses dix lois de vie pour les esclaves récemment délivrés, pour les enfants d’Israël, Dieu ait fixé le jour du repos dans un commandement qui les ramènerait à la profondeur et à la contemplation de Dieu en tant que Créateur et Soutien de sa création : « Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier. Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage. Mais le septième jour est le jour du repos de l’Éternel, ton Dieu : tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l’étranger qui est dans tes portes. Car en six jours l’Éternel a fait les cieux, la terre et la mer, et tout ce qui y est contenu, et il s’est reposé le septième jour : c’est pourquoi l’Éternel a béni le jour du repos et l’a sanctifié » (Exode 20 : 8‑11).
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