wooten – -Translation – Keybot Dictionary

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  USQUE AD MARE - Railway...  
Nothing much came of the early discussions until, in 1909, the International Joint Commission was formed, by treaty, to deal with boundary matters between the two countries. In 1920, the International Joint Commission appointed Mr. W. A. Bowden, Chief Engineer of the Department of Railways and Canals, and Colonel W. P. Wooten of the United States Corps of Engineers, to:
Avec le parachèvement du canal de Welland en 1932 le Canada, dressant le bilan des efforts qu'il avait tentés en ces domaines, pouvait faire état d'une dépense de 300 millions affectés à l'aménagement de la route fluviale depuis Québec jusqu'au Sault-Sainte-Marie. Ces dépenses comportaient notamment l'entretien du chenal du port de Montréal. Or, depuis 1895, diverses commissions, groupant des représentants du Canada et des États-Unis s'occupaient, avec plus ou moins de constance, de la question de ce qu'on a appelé depuis lors la « Voie maritime du Saint-Laurent ». Rien de très valable ne sortit des premiers entretiens. Pourtant, en 1909 intervenait un traité aux termes duquel était crée la Commission mixte internationale canado-américaine compétente en matière de questions frontalières intéressant nos deux pays. En 1920, celle-ci chargeait M. W. A. Bowden, chef ingénieur du ministère des Chemins de fer et Canaux et le colonel W. P. Wooten du génie américain de :
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Lionel Chevrier, Minister of Transport from 1945 to 1954 and the first President of the St. Lawrence Seaway Authority (from 1954 to 1957), writes of Bowden, and of his colleague Colonel Wooten, that their report "was a masterpiece of its kind, a report of monumental detail and meticulous accuracy."
Le nom de W.A.Bowden est resté lié à cette première étude technique sérieuse des possibilités de la Voie maritime du Saint-Laurent. Il apportait du reste à cette tâche des connaissances fondées sur une longue expérience des travaux publics dans notre pays, envisagés tant du point du vue de leur conception, que de leur construction ou de leur fonctionnement. Né à Melbourne (P.Q.) en 1872, il était sorti de McGill avec un diplôme d'ingénieur civil. Au moment de son entrée au ministère des Chemins de fer et Canaux, en 1910, en cette qualité, il était déjà riche de plusieurs années d'expérience acquise auprès de sociétés privées dans la construction de chemins de fer ou d'autres travaux analogues. C'est à lui que l'on doit certaines de premières études du canal maritime de Welland (dont il ne devait cependant pas voir la réalisation) le chemin de fer de la baie d'Hudson, le terminus du bac transbordeur de l'Île du Prince Édouard et l'élévateur à grain de Port-Colborne. Il devait mourir en 1924. On a actuellement tendance à oublier la part extrêmement utile prise par le ministère des Chemins de fer et Canaux dans les travaux préparatoires à la construction de la Voie maritime, tant celle-ci a été, le jour venu, menée avec rapidité et éclat. Il ne faudrait pas pour autant passer sous silence les efforts de nos anciens fonctionnaires, tel Bowden, qui ont su mettre leur dévouement et leur talent professionnel au service de vastes entreprises de génie civil, souvent privés des ressources, financières ou techniques, dont profitent aujourd'hui leurs successeurs. L'hon. Lionel Chevrier, ministre des Transports de 1945 à 1954 et premier président de l'Administration de la Voie maritime, (entre 1954 et 1957) écrivait du rapport de Bowden et de son collègue le colonel Wooten, que c'était un « véritable chef d'oeuvre du genre, aussi remarquable par la richesse des détails que par leur absolue précision. »