wsa – -Translation – Keybot Dictionary

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Keybot 16 Results  www.agr.ca
  Pipestone Creek Watersh...  
Environment Canada operates five hydrologic stations along Pipestone Creek and there are eight meteorological stations in the area. WSA and the Lower Souris Watershed Committee are key partners in the Pipestone Creek WEBs project.
Des données environnementales, recueillies pendant jusqu'à quarante ans par plusieurs organismes fédéraux, sont disponibles pour ce bassin hydrographique. Environnement Canada exploite cinq stations hydrologiques le long du ruisseau Pipestone et huit stations météorologiques se trouvent dans la région. La WSA et le Lower Souris River Watershed Committee étaient des partenaires clés du projet de l'EPBH du ruisseau Pipestone.
  Pipestone Creek Watersh...  
According to the Saskatchewan Water Security Agency (WSA), about 90 percent of the watershed’s land use is agricultural, with about 52 percent in annual crop production, and 31 percent under perennial forage and native grasslands.
Dans les sites de recherche du bassin hydrographique du ruisseau Pipestone, les sols prédominants sont des chernozems noirs de l'association Oxbow, à texture loameuse en surface. La majorité de ces sols se présentent dans un paysage mamelonné, en bosses et creux, avec des pentes douces de trois à cinq pour cent. Ces sols sont très productifs et soutiennent une couverture végétale permanente et des terres cultivées dans des champs relativement étendus. Selon la Saskatchewan Water Security Agency (WSA), environ 90 pour cent des terres du bassin hydrographique sont exploitées à des fins agricoles, dont 52 pour cent pour des cultures annuelles et 31 pour cent comme plantes fourragères vivaces et prairies indigènes.
  Differential and succes...  
Residue quality has been shown to influence soil water-stable aggregation (WSA) during crop residue decomposition, but there is still little information about its interactive effect with soil mineral N availability.
Il a été montré que la qualité des résidus influe sur l’agrégation stable à l’eau (WSA) du sol durant la décomposition des résidus de culture; cependant, on dispose encore de peu d’information sur son interaction avec la disponibilité en azote minéral dans le sol. La présente étude avait pour objectif de déterminer l’effet de l’azote minéral dans le sol sur l’agrégation stable à l’eau durant la décomposition de deux résidus de culture présentant un rapport C/N élevé (paille de blé, rapport C/N = 125,6 et paille de miscanthus, rapport C/N = 311,3). Les deux résidus de culture ont été combinés à du N minéral à trois teneurs différentes (0, 60, et 120 mg N kg-1 sol sec). On a mesuré la respiration, le contenu du sol en N minéral, et l’agrégation stable à l’eau (exprimée en termes de diamètre moyen pondéré, DMP) à différents moments durant la période d’incubation de 56 jours. L’effet des résidus de culture en décomposition sur l’agrégation stable à l’eau comportait deux phases. Dans un premier temps, entre 0 et 7 jours, l’augmentation de l’agrégation stable à l’eau était liée à la qualité intrinsèque des résidus alors qu’une capacité de décomposition plus élevée de la paille de blé donnait lieu à une agrégation stable à l’eau plus élevée. Dans un deuxième temps, après cette période, et jusqu’à la fin de l’expérience, la vitesse d’addition de N minéral avait un effet prépondérant, quoique négatif, sur l’agrégation stable à l’eau. Dans cette deuxième phase, le DMP moyen des sols traités avec les résidus était de 0,92, 0,55, et 0,44 mm pour les doses de 0, de 60 et de 120 mg N kg-1 sol sec, respectivement. L’ajout de N minéral qui a entraîné la plus forte décomposition de résidus de culture n’a pas donné lieu à une agrégation stable à l’eau plus élevée. Par conséquent, il n’y a pas une simple corrélation positive de l’agrégation stable à l’eau pendant la décomposition de résidus de culture à l’activité microbienne induite; et, il appert que les changements à la composition de la communauté microbienne ayant des effets différentiels sur l’agrégation stable à l’eau doivent entrer en ligne de compte. L’impact des apports de résidus de culture présentant un rapport C/N élevé sur l’agrégation stable à l’eau, que l’on avait, au départ, supposé faible, pourrait être en réalité élevé et durable dans des situations où le contenu du sol en N minéral est faible.
  Differential and succes...  
Residue quality has been shown to influence soil water-stable aggregation (WSA) during crop residue decomposition, but there is still little information about its interactive effect with soil mineral N availability.
Il a été montré que la qualité des résidus influe sur l’agrégation stable à l’eau (WSA) du sol durant la décomposition des résidus de culture; cependant, on dispose encore de peu d’information sur son interaction avec la disponibilité en azote minéral dans le sol. La présente étude avait pour objectif de déterminer l’effet de l’azote minéral dans le sol sur l’agrégation stable à l’eau durant la décomposition de deux résidus de culture présentant un rapport C/N élevé (paille de blé, rapport C/N = 125,6 et paille de miscanthus, rapport C/N = 311,3). Les deux résidus de culture ont été combinés à du N minéral à trois teneurs différentes (0, 60, et 120 mg N kg-1 sol sec). On a mesuré la respiration, le contenu du sol en N minéral, et l’agrégation stable à l’eau (exprimée en termes de diamètre moyen pondéré, DMP) à différents moments durant la période d’incubation de 56 jours. L’effet des résidus de culture en décomposition sur l’agrégation stable à l’eau comportait deux phases. Dans un premier temps, entre 0 et 7 jours, l’augmentation de l’agrégation stable à l’eau était liée à la qualité intrinsèque des résidus alors qu’une capacité de décomposition plus élevée de la paille de blé donnait lieu à une agrégation stable à l’eau plus élevée. Dans un deuxième temps, après cette période, et jusqu’à la fin de l’expérience, la vitesse d’addition de N minéral avait un effet prépondérant, quoique négatif, sur l’agrégation stable à l’eau. Dans cette deuxième phase, le DMP moyen des sols traités avec les résidus était de 0,92, 0,55, et 0,44 mm pour les doses de 0, de 60 et de 120 mg N kg-1 sol sec, respectivement. L’ajout de N minéral qui a entraîné la plus forte décomposition de résidus de culture n’a pas donné lieu à une agrégation stable à l’eau plus élevée. Par conséquent, il n’y a pas une simple corrélation positive de l’agrégation stable à l’eau pendant la décomposition de résidus de culture à l’activité microbienne induite; et, il appert que les changements à la composition de la communauté microbienne ayant des effets différentiels sur l’agrégation stable à l’eau doivent entrer en ligne de compte. L’impact des apports de résidus de culture présentant un rapport C/N élevé sur l’agrégation stable à l’eau, que l’on avait, au départ, supposé faible, pourrait être en réalité élevé et durable dans des situations où le contenu du sol en N minéral est faible.
  Differential and succes...  
Residue quality has been shown to influence soil water-stable aggregation (WSA) during crop residue decomposition, but there is still little information about its interactive effect with soil mineral N availability.
Il a été montré que la qualité des résidus influe sur l’agrégation stable à l’eau (WSA) du sol durant la décomposition des résidus de culture; cependant, on dispose encore de peu d’information sur son interaction avec la disponibilité en azote minéral dans le sol. La présente étude avait pour objectif de déterminer l’effet de l’azote minéral dans le sol sur l’agrégation stable à l’eau durant la décomposition de deux résidus de culture présentant un rapport C/N élevé (paille de blé, rapport C/N = 125,6 et paille de miscanthus, rapport C/N = 311,3). Les deux résidus de culture ont été combinés à du N minéral à trois teneurs différentes (0, 60, et 120 mg N kg-1 sol sec). On a mesuré la respiration, le contenu du sol en N minéral, et l’agrégation stable à l’eau (exprimée en termes de diamètre moyen pondéré, DMP) à différents moments durant la période d’incubation de 56 jours. L’effet des résidus de culture en décomposition sur l’agrégation stable à l’eau comportait deux phases. Dans un premier temps, entre 0 et 7 jours, l’augmentation de l’agrégation stable à l’eau était liée à la qualité intrinsèque des résidus alors qu’une capacité de décomposition plus élevée de la paille de blé donnait lieu à une agrégation stable à l’eau plus élevée. Dans un deuxième temps, après cette période, et jusqu’à la fin de l’expérience, la vitesse d’addition de N minéral avait un effet prépondérant, quoique négatif, sur l’agrégation stable à l’eau. Dans cette deuxième phase, le DMP moyen des sols traités avec les résidus était de 0,92, 0,55, et 0,44 mm pour les doses de 0, de 60 et de 120 mg N kg-1 sol sec, respectivement. L’ajout de N minéral qui a entraîné la plus forte décomposition de résidus de culture n’a pas donné lieu à une agrégation stable à l’eau plus élevée. Par conséquent, il n’y a pas une simple corrélation positive de l’agrégation stable à l’eau pendant la décomposition de résidus de culture à l’activité microbienne induite; et, il appert que les changements à la composition de la communauté microbienne ayant des effets différentiels sur l’agrégation stable à l’eau doivent entrer en ligne de compte. L’impact des apports de résidus de culture présentant un rapport C/N élevé sur l’agrégation stable à l’eau, que l’on avait, au départ, supposé faible, pourrait être en réalité élevé et durable dans des situations où le contenu du sol en N minéral est faible.
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Residue quality has been shown to influence soil water-stable aggregation (WSA) during crop residue decomposition, but there is still little information about its interactive effect with soil mineral N availability.
Il a été montré que la qualité des résidus influe sur l’agrégation stable à l’eau (WSA) du sol durant la décomposition des résidus de culture; cependant, on dispose encore de peu d’information sur son interaction avec la disponibilité en azote minéral dans le sol. La présente étude avait pour objectif de déterminer l’effet de l’azote minéral dans le sol sur l’agrégation stable à l’eau durant la décomposition de deux résidus de culture présentant un rapport C/N élevé (paille de blé, rapport C/N = 125,6 et paille de miscanthus, rapport C/N = 311,3). Les deux résidus de culture ont été combinés à du N minéral à trois teneurs différentes (0, 60, et 120 mg N kg-1 sol sec). On a mesuré la respiration, le contenu du sol en N minéral, et l’agrégation stable à l’eau (exprimée en termes de diamètre moyen pondéré, DMP) à différents moments durant la période d’incubation de 56 jours. L’effet des résidus de culture en décomposition sur l’agrégation stable à l’eau comportait deux phases. Dans un premier temps, entre 0 et 7 jours, l’augmentation de l’agrégation stable à l’eau était liée à la qualité intrinsèque des résidus alors qu’une capacité de décomposition plus élevée de la paille de blé donnait lieu à une agrégation stable à l’eau plus élevée. Dans un deuxième temps, après cette période, et jusqu’à la fin de l’expérience, la vitesse d’addition de N minéral avait un effet prépondérant, quoique négatif, sur l’agrégation stable à l’eau. Dans cette deuxième phase, le DMP moyen des sols traités avec les résidus était de 0,92, 0,55, et 0,44 mm pour les doses de 0, de 60 et de 120 mg N kg-1 sol sec, respectivement. L’ajout de N minéral qui a entraîné la plus forte décomposition de résidus de culture n’a pas donné lieu à une agrégation stable à l’eau plus élevée. Par conséquent, il n’y a pas une simple corrélation positive de l’agrégation stable à l’eau pendant la décomposition de résidus de culture à l’activité microbienne induite; et, il appert que les changements à la composition de la communauté microbienne ayant des effets différentiels sur l’agrégation stable à l’eau doivent entrer en ligne de compte. L’impact des apports de résidus de culture présentant un rapport C/N élevé sur l’agrégation stable à l’eau, que l’on avait, au départ, supposé faible, pourrait être en réalité élevé et durable dans des situations où le contenu du sol en N minéral est faible.
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Residue quality has been shown to influence soil water-stable aggregation (WSA) during crop residue decomposition, but there is still little information about its interactive effect with soil mineral N availability.
Il a été montré que la qualité des résidus influe sur l’agrégation stable à l’eau (WSA) du sol durant la décomposition des résidus de culture; cependant, on dispose encore de peu d’information sur son interaction avec la disponibilité en azote minéral dans le sol. La présente étude avait pour objectif de déterminer l’effet de l’azote minéral dans le sol sur l’agrégation stable à l’eau durant la décomposition de deux résidus de culture présentant un rapport C/N élevé (paille de blé, rapport C/N = 125,6 et paille de miscanthus, rapport C/N = 311,3). Les deux résidus de culture ont été combinés à du N minéral à trois teneurs différentes (0, 60, et 120 mg N kg-1 sol sec). On a mesuré la respiration, le contenu du sol en N minéral, et l’agrégation stable à l’eau (exprimée en termes de diamètre moyen pondéré, DMP) à différents moments durant la période d’incubation de 56 jours. L’effet des résidus de culture en décomposition sur l’agrégation stable à l’eau comportait deux phases. Dans un premier temps, entre 0 et 7 jours, l’augmentation de l’agrégation stable à l’eau était liée à la qualité intrinsèque des résidus alors qu’une capacité de décomposition plus élevée de la paille de blé donnait lieu à une agrégation stable à l’eau plus élevée. Dans un deuxième temps, après cette période, et jusqu’à la fin de l’expérience, la vitesse d’addition de N minéral avait un effet prépondérant, quoique négatif, sur l’agrégation stable à l’eau. Dans cette deuxième phase, le DMP moyen des sols traités avec les résidus était de 0,92, 0,55, et 0,44 mm pour les doses de 0, de 60 et de 120 mg N kg-1 sol sec, respectivement. L’ajout de N minéral qui a entraîné la plus forte décomposition de résidus de culture n’a pas donné lieu à une agrégation stable à l’eau plus élevée. Par conséquent, il n’y a pas une simple corrélation positive de l’agrégation stable à l’eau pendant la décomposition de résidus de culture à l’activité microbienne induite; et, il appert que les changements à la composition de la communauté microbienne ayant des effets différentiels sur l’agrégation stable à l’eau doivent entrer en ligne de compte. L’impact des apports de résidus de culture présentant un rapport C/N élevé sur l’agrégation stable à l’eau, que l’on avait, au départ, supposé faible, pourrait être en réalité élevé et durable dans des situations où le contenu du sol en N minéral est faible.
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Residue quality has been shown to influence soil water-stable aggregation (WSA) during crop residue decomposition, but there is still little information about its interactive effect with soil mineral N availability.
Il a été montré que la qualité des résidus influe sur l’agrégation stable à l’eau (WSA) du sol durant la décomposition des résidus de culture; cependant, on dispose encore de peu d’information sur son interaction avec la disponibilité en azote minéral dans le sol. La présente étude avait pour objectif de déterminer l’effet de l’azote minéral dans le sol sur l’agrégation stable à l’eau durant la décomposition de deux résidus de culture présentant un rapport C/N élevé (paille de blé, rapport C/N = 125,6 et paille de miscanthus, rapport C/N = 311,3). Les deux résidus de culture ont été combinés à du N minéral à trois teneurs différentes (0, 60, et 120 mg N kg-1 sol sec). On a mesuré la respiration, le contenu du sol en N minéral, et l’agrégation stable à l’eau (exprimée en termes de diamètre moyen pondéré, DMP) à différents moments durant la période d’incubation de 56 jours. L’effet des résidus de culture en décomposition sur l’agrégation stable à l’eau comportait deux phases. Dans un premier temps, entre 0 et 7 jours, l’augmentation de l’agrégation stable à l’eau était liée à la qualité intrinsèque des résidus alors qu’une capacité de décomposition plus élevée de la paille de blé donnait lieu à une agrégation stable à l’eau plus élevée. Dans un deuxième temps, après cette période, et jusqu’à la fin de l’expérience, la vitesse d’addition de N minéral avait un effet prépondérant, quoique négatif, sur l’agrégation stable à l’eau. Dans cette deuxième phase, le DMP moyen des sols traités avec les résidus était de 0,92, 0,55, et 0,44 mm pour les doses de 0, de 60 et de 120 mg N kg-1 sol sec, respectivement. L’ajout de N minéral qui a entraîné la plus forte décomposition de résidus de culture n’a pas donné lieu à une agrégation stable à l’eau plus élevée. Par conséquent, il n’y a pas une simple corrélation positive de l’agrégation stable à l’eau pendant la décomposition de résidus de culture à l’activité microbienne induite; et, il appert que les changements à la composition de la communauté microbienne ayant des effets différentiels sur l’agrégation stable à l’eau doivent entrer en ligne de compte. L’impact des apports de résidus de culture présentant un rapport C/N élevé sur l’agrégation stable à l’eau, que l’on avait, au départ, supposé faible, pourrait être en réalité élevé et durable dans des situations où le contenu du sol en N minéral est faible.
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Il a été montré que la qualité des résidus influe sur l’agrégation stable à l’eau (WSA) du sol durant la décomposition des résidus de culture; cependant, on dispose encore de peu d’information sur son interaction avec la disponibilité en azote minéral dans le sol. La présente étude avait pour objectif de déterminer l’effet de l’azote minéral dans le sol sur l’agrégation stable à l’eau durant la décomposition de deux résidus de culture présentant un rapport C/N élevé (paille de blé, rapport C/N = 125,6 et paille de miscanthus, rapport C/N = 311,3). Les deux résidus de culture ont été combinés à du N minéral à trois teneurs différentes (0, 60, et 120 mg N kg-1 sol sec). On a mesuré la respiration, le contenu du sol en N minéral, et l’agrégation stable à l’eau (exprimée en termes de diamètre moyen pondéré, DMP) à différents moments durant la période d’incubation de 56 jours. L’effet des résidus de culture en décomposition sur l’agrégation stable à l’eau comportait deux phases. Dans un premier temps, entre 0 et 7 jours, l’augmentation de l’agrégation stable à l’eau était liée à la qualité intrinsèque des résidus alors qu’une capacité de décomposition plus élevée de la paille de blé donnait lieu à une agrégation stable à l’eau plus élevée. Dans un deuxième temps, après cette période, et jusqu’à la fin de l’expérience, la vitesse d’addition de N minéral avait un effet prépondérant, quoique négatif, sur l’agrégation stable à l’eau. Dans cette deuxième phase, le DMP moyen des sols traités avec les résidus était de 0,92, 0,55, et 0,44 mm pour les doses de 0, de 60 et de 120 mg N kg-1 sol sec, respectivement. L’ajout de N minéral qui a entraîné la plus forte décomposition de résidus de culture n’a pas donné lieu à une agrégation stable à l’eau plus élevée. Par conséquent, il n’y a pas une simple corrélation positive de l’agrégation stable à l’eau pendant la décomposition de résidus de culture à l’activité microbienne induite; et, il appert que les changements à la composition de la communauté microbienne ayant des effets différentiels sur l’agrégation stable à l’eau doivent entrer en ligne de compte. L’impact des apports de résidus de culture présentant un rapport C/N élevé sur l’agrégation stable à l’eau, que l’on avait, au départ, supposé faible, pourrait être en réalité élevé et durable dans des situations où le contenu du sol en N minéral est faible.
  Changes during winter i...  
There is a need to develop practices that contribute to increased water-stable aggregation (WSA) during winter in a humid temperate climate when soil is particularly prone to water erosion. Our objectives were to determine the effects of crop residue quality on WSA during winter and to relate these effects to biochemical indicators of fungal and bacterial biomass.
Dans les régions à climat tempéré humide, on aurait besoin de pratiques favorisant un accroissement de l’agrégation stable à l’eau (ASE) durant l’hiver, alors que le sol est particulièrement sujet à l’érosion par l’eau. La présente étude visait à déterminer les effets de la qualité des résidus de culture sur l’ASE durant l’hiver et à relier ces effets aux indicateurs biochimiques de la biomasse fongique et bactérienne. Nous avons choisi pour l’étude les résidus de trois graminées cultivées, possédant des rapports C/N et des propriétés biochimiques variés (résidus d’avoine en vert, C/N = 18,8; paille de blé, C/N = 125,6; résidus de miscanthus parvenu à maturité, C/N = 311,3). En octobre 2009, nous avons ajouté chacun de ces résidus ainsi qu’une quantité équivalente de C à la couche superficielle (0-10 cm) d’un luvisol du nord-ouest de la France. Pendant 5 mois, à intervalles réguliers, nous avons mesuré l’ASE en termes de diamètre moyen pondéré (DMP) des agrégats ainsi que la teneur du sol en sucres aminés, en N minéral et en eau. Dans le cas du sol témoin, le DMP des agrégats a diminué rapidement et est demeuré faible jusqu’à la dernière date d’échantillonnage, en mars, ce qui illustre la vulnérabilité structurale des sols nus en hiver dans la zone pédoclimatique étudiée. L’incorporation de l’un ou l’autre des résidus de culture a eu un effet positif significatif sur le DMP des agrégats. Malgré leurs rapports C/N différents, les trois types de résidus ont produit des DMP maximaux semblables, trois fois aussi élevés que dans le cas du sol témoin. La date à laquelle était atteint le DMP maximal était nettement reliée à la qualité des résidus. Le DMP maximal était rapidement atteint (29 jours) avec les résidus d’avoine en vert, alors qu’il n’était atteint qu’au bout de 50 jours avec la paille de blé et de 154 jours avec les résidus de miscanthus. Les résultats de l’analyse de corrélation semblent indiquer que les variations de l’ASE dépendaient en partie de l’action d’agents microbiens; les bactéries avaient un effet dominant dans le cas de l’avoine en vert, alors que les biomasses fongique et bactérienne agissaient de concert dans le cas de la paille de blé. Dans le cas des résidus de miscanthus, l’atteinte tardive du DMP maximal était sans doute reliée à des changements survenant dans la composition des communautés fongiques. Globalement, notre étude montre que l’application automnale de résidus de culture accroît l’ASE du sol durant l’hiver; elle montre é
  Differential and succes...  
Residue quality has been shown to influence soil water-stable aggregation (WSA) during crop residue decomposition, but there is still little information about its interactive effect with soil mineral N availability.
Il a été montré que la qualité des résidus influe sur l’agrégation stable à l’eau (WSA) du sol durant la décomposition des résidus de culture; cependant, on dispose encore de peu d’information sur son interaction avec la disponibilité en azote minéral dans le sol. La présente étude avait pour objectif de déterminer l’effet de l’azote minéral dans le sol sur l’agrégation stable à l’eau durant la décomposition de deux résidus de culture présentant un rapport C/N élevé (paille de blé, rapport C/N = 125,6 et paille de miscanthus, rapport C/N = 311,3). Les deux résidus de culture ont été combinés à du N minéral à trois teneurs différentes (0, 60, et 120 mg N kg-1 sol sec). On a mesuré la respiration, le contenu du sol en N minéral, et l’agrégation stable à l’eau (exprimée en termes de diamètre moyen pondéré, DMP) à différents moments durant la période d’incubation de 56 jours. L’effet des résidus de culture en décomposition sur l’agrégation stable à l’eau comportait deux phases. Dans un premier temps, entre 0 et 7 jours, l’augmentation de l’agrégation stable à l’eau était liée à la qualité intrinsèque des résidus alors qu’une capacité de décomposition plus élevée de la paille de blé donnait lieu à une agrégation stable à l’eau plus élevée. Dans un deuxième temps, après cette période, et jusqu’à la fin de l’expérience, la vitesse d’addition de N minéral avait un effet prépondérant, quoique négatif, sur l’agrégation stable à l’eau. Dans cette deuxième phase, le DMP moyen des sols traités avec les résidus était de 0,92, 0,55, et 0,44 mm pour les doses de 0, de 60 et de 120 mg N kg-1 sol sec, respectivement. L’ajout de N minéral qui a entraîné la plus forte décomposition de résidus de culture n’a pas donné lieu à une agrégation stable à l’eau plus élevée. Par conséquent, il n’y a pas une simple corrélation positive de l’agrégation stable à l’eau pendant la décomposition de résidus de culture à l’activité microbienne induite; et, il appert que les changements à la composition de la communauté microbienne ayant des effets différentiels sur l’agrégation stable à l’eau doivent entrer en ligne de compte. L’impact des apports de résidus de culture présentant un rapport C/N élevé sur l’agrégation stable à l’eau, que l’on avait, au départ, supposé faible, pourrait être en réalité élevé et durable dans des situations où le contenu du sol en N minéral est faible.
  Changes during winter i...  
There is a need to develop practices that contribute to increased water-stable aggregation (WSA) during winter in a humid temperate climate when soil is particularly prone to water erosion. Our objectives were to determine the effects of crop residue quality on WSA during winter and to relate these effects to biochemical indicators of fungal and bacterial biomass.
Dans les régions à climat tempéré humide, on aurait besoin de pratiques favorisant un accroissement de l’agrégation stable à l’eau (ASE) durant l’hiver, alors que le sol est particulièrement sujet à l’érosion par l’eau. La présente étude visait à déterminer les effets de la qualité des résidus de culture sur l’ASE durant l’hiver et à relier ces effets aux indicateurs biochimiques de la biomasse fongique et bactérienne. Nous avons choisi pour l’étude les résidus de trois graminées cultivées, possédant des rapports C/N et des propriétés biochimiques variés (résidus d’avoine en vert, C/N = 18,8; paille de blé, C/N = 125,6; résidus de miscanthus parvenu à maturité, C/N = 311,3). En octobre 2009, nous avons ajouté chacun de ces résidus ainsi qu’une quantité équivalente de C à la couche superficielle (0-10 cm) d’un luvisol du nord-ouest de la France. Pendant 5 mois, à intervalles réguliers, nous avons mesuré l’ASE en termes de diamètre moyen pondéré (DMP) des agrégats ainsi que la teneur du sol en sucres aminés, en N minéral et en eau. Dans le cas du sol témoin, le DMP des agrégats a diminué rapidement et est demeuré faible jusqu’à la dernière date d’échantillonnage, en mars, ce qui illustre la vulnérabilité structurale des sols nus en hiver dans la zone pédoclimatique étudiée. L’incorporation de l’un ou l’autre des résidus de culture a eu un effet positif significatif sur le DMP des agrégats. Malgré leurs rapports C/N différents, les trois types de résidus ont produit des DMP maximaux semblables, trois fois aussi élevés que dans le cas du sol témoin. La date à laquelle était atteint le DMP maximal était nettement reliée à la qualité des résidus. Le DMP maximal était rapidement atteint (29 jours) avec les résidus d’avoine en vert, alors qu’il n’était atteint qu’au bout de 50 jours avec la paille de blé et de 154 jours avec les résidus de miscanthus. Les résultats de l’analyse de corrélation semblent indiquer que les variations de l’ASE dépendaient en partie de l’action d’agents microbiens; les bactéries avaient un effet dominant dans le cas de l’avoine en vert, alors que les biomasses fongique et bactérienne agissaient de concert dans le cas de la paille de blé. Dans le cas des résidus de miscanthus, l’atteinte tardive du DMP maximal était sans doute reliée à des changements survenant dans la composition des communautés fongiques. Globalement, notre étude montre que l’application automnale de résidus de culture accroît l’ASE du sol durant l’hiver; elle montre é
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There is a need to develop practices that contribute to increased water-stable aggregation (WSA) during winter in a humid temperate climate when soil is particularly prone to water erosion. Our objectives were to determine the effects of crop residue quality on WSA during winter and to relate these effects to biochemical indicators of fungal and bacterial biomass.
Dans les régions à climat tempéré humide, on aurait besoin de pratiques favorisant un accroissement de l’agrégation stable à l’eau (ASE) durant l’hiver, alors que le sol est particulièrement sujet à l’érosion par l’eau. La présente étude visait à déterminer les effets de la qualité des résidus de culture sur l’ASE durant l’hiver et à relier ces effets aux indicateurs biochimiques de la biomasse fongique et bactérienne. Nous avons choisi pour l’étude les résidus de trois graminées cultivées, possédant des rapports C/N et des propriétés biochimiques variés (résidus d’avoine en vert, C/N = 18,8; paille de blé, C/N = 125,6; résidus de miscanthus parvenu à maturité, C/N = 311,3). En octobre 2009, nous avons ajouté chacun de ces résidus ainsi qu’une quantité équivalente de C à la couche superficielle (0-10 cm) d’un luvisol du nord-ouest de la France. Pendant 5 mois, à intervalles réguliers, nous avons mesuré l’ASE en termes de diamètre moyen pondéré (DMP) des agrégats ainsi que la teneur du sol en sucres aminés, en N minéral et en eau. Dans le cas du sol témoin, le DMP des agrégats a diminué rapidement et est demeuré faible jusqu’à la dernière date d’échantillonnage, en mars, ce qui illustre la vulnérabilité structurale des sols nus en hiver dans la zone pédoclimatique étudiée. L’incorporation de l’un ou l’autre des résidus de culture a eu un effet positif significatif sur le DMP des agrégats. Malgré leurs rapports C/N différents, les trois types de résidus ont produit des DMP maximaux semblables, trois fois aussi élevés que dans le cas du sol témoin. La date à laquelle était atteint le DMP maximal était nettement reliée à la qualité des résidus. Le DMP maximal était rapidement atteint (29 jours) avec les résidus d’avoine en vert, alors qu’il n’était atteint qu’au bout de 50 jours avec la paille de blé et de 154 jours avec les résidus de miscanthus. Les résultats de l’analyse de corrélation semblent indiquer que les variations de l’ASE dépendaient en partie de l’action d’agents microbiens; les bactéries avaient un effet dominant dans le cas de l’avoine en vert, alors que les biomasses fongique et bactérienne agissaient de concert dans le cas de la paille de blé. Dans le cas des résidus de miscanthus, l’atteinte tardive du DMP maximal était sans doute reliée à des changements survenant dans la composition des communautés fongiques. Globalement, notre étude montre que l’application automnale de résidus de culture accroît l’ASE du sol durant l’hiver; elle montre é
  Differential and succes...  
Residue quality has been shown to influence soil water-stable aggregation (WSA) during crop residue decomposition, but there is still little information about its interactive effect with soil mineral N availability.
Il a été montré que la qualité des résidus influe sur l’agrégation stable à l’eau (WSA) du sol durant la décomposition des résidus de culture; cependant, on dispose encore de peu d’information sur son interaction avec la disponibilité en azote minéral dans le sol. La présente étude avait pour objectif de déterminer l’effet de l’azote minéral dans le sol sur l’agrégation stable à l’eau durant la décomposition de deux résidus de culture présentant un rapport C/N élevé (paille de blé, rapport C/N = 125,6 et paille de miscanthus, rapport C/N = 311,3). Les deux résidus de culture ont été combinés à du N minéral à trois teneurs différentes (0, 60, et 120 mg N kg-1 sol sec). On a mesuré la respiration, le contenu du sol en N minéral, et l’agrégation stable à l’eau (exprimée en termes de diamètre moyen pondéré, DMP) à différents moments durant la période d’incubation de 56 jours. L’effet des résidus de culture en décomposition sur l’agrégation stable à l’eau comportait deux phases. Dans un premier temps, entre 0 et 7 jours, l’augmentation de l’agrégation stable à l’eau était liée à la qualité intrinsèque des résidus alors qu’une capacité de décomposition plus élevée de la paille de blé donnait lieu à une agrégation stable à l’eau plus élevée. Dans un deuxième temps, après cette période, et jusqu’à la fin de l’expérience, la vitesse d’addition de N minéral avait un effet prépondérant, quoique négatif, sur l’agrégation stable à l’eau. Dans cette deuxième phase, le DMP moyen des sols traités avec les résidus était de 0,92, 0,55, et 0,44 mm pour les doses de 0, de 60 et de 120 mg N kg-1 sol sec, respectivement. L’ajout de N minéral qui a entraîné la plus forte décomposition de résidus de culture n’a pas donné lieu à une agrégation stable à l’eau plus élevée. Par conséquent, il n’y a pas une simple corrélation positive de l’agrégation stable à l’eau pendant la décomposition de résidus de culture à l’activité microbienne induite; et, il appert que les changements à la composition de la communauté microbienne ayant des effets différentiels sur l’agrégation stable à l’eau doivent entrer en ligne de compte. L’impact des apports de résidus de culture présentant un rapport C/N élevé sur l’agrégation stable à l’eau, que l’on avait, au départ, supposé faible, pourrait être en réalité élevé et durable dans des situations où le contenu du sol en N minéral est faible.
  Differential and succes...  
Residue quality has been shown to influence soil water-stable aggregation (WSA) during crop residue decomposition, but there is still little information about its interactive effect with soil mineral N availability.
Il a été montré que la qualité des résidus influe sur l’agrégation stable à l’eau (WSA) du sol durant la décomposition des résidus de culture; cependant, on dispose encore de peu d’information sur son interaction avec la disponibilité en azote minéral dans le sol. La présente étude avait pour objectif de déterminer l’effet de l’azote minéral dans le sol sur l’agrégation stable à l’eau durant la décomposition de deux résidus de culture présentant un rapport C/N élevé (paille de blé, rapport C/N = 125,6 et paille de miscanthus, rapport C/N = 311,3). Les deux résidus de culture ont été combinés à du N minéral à trois teneurs différentes (0, 60, et 120 mg N kg-1 sol sec). On a mesuré la respiration, le contenu du sol en N minéral, et l’agrégation stable à l’eau (exprimée en termes de diamètre moyen pondéré, DMP) à différents moments durant la période d’incubation de 56 jours. L’effet des résidus de culture en décomposition sur l’agrégation stable à l’eau comportait deux phases. Dans un premier temps, entre 0 et 7 jours, l’augmentation de l’agrégation stable à l’eau était liée à la qualité intrinsèque des résidus alors qu’une capacité de décomposition plus élevée de la paille de blé donnait lieu à une agrégation stable à l’eau plus élevée. Dans un deuxième temps, après cette période, et jusqu’à la fin de l’expérience, la vitesse d’addition de N minéral avait un effet prépondérant, quoique négatif, sur l’agrégation stable à l’eau. Dans cette deuxième phase, le DMP moyen des sols traités avec les résidus était de 0,92, 0,55, et 0,44 mm pour les doses de 0, de 60 et de 120 mg N kg-1 sol sec, respectivement. L’ajout de N minéral qui a entraîné la plus forte décomposition de résidus de culture n’a pas donné lieu à une agrégation stable à l’eau plus élevée. Par conséquent, il n’y a pas une simple corrélation positive de l’agrégation stable à l’eau pendant la décomposition de résidus de culture à l’activité microbienne induite; et, il appert que les changements à la composition de la communauté microbienne ayant des effets différentiels sur l’agrégation stable à l’eau doivent entrer en ligne de compte. L’impact des apports de résidus de culture présentant un rapport C/N élevé sur l’agrégation stable à l’eau, que l’on avait, au départ, supposé faible, pourrait être en réalité élevé et durable dans des situations où le contenu du sol en N minéral est faible.
  Changes during winter i...  
There is a need to develop practices that contribute to increased water-stable aggregation (WSA) during winter in a humid temperate climate when soil is particularly prone to water erosion. Our objectives were to determine the effects of crop residue quality on WSA during winter and to relate these effects to biochemical indicators of fungal and bacterial biomass.
Dans les régions à climat tempéré humide, on aurait besoin de pratiques favorisant un accroissement de l’agrégation stable à l’eau (ASE) durant l’hiver, alors que le sol est particulièrement sujet à l’érosion par l’eau. La présente étude visait à déterminer les effets de la qualité des résidus de culture sur l’ASE durant l’hiver et à relier ces effets aux indicateurs biochimiques de la biomasse fongique et bactérienne. Nous avons choisi pour l’étude les résidus de trois graminées cultivées, possédant des rapports C/N et des propriétés biochimiques variés (résidus d’avoine en vert, C/N = 18,8; paille de blé, C/N = 125,6; résidus de miscanthus parvenu à maturité, C/N = 311,3). En octobre 2009, nous avons ajouté chacun de ces résidus ainsi qu’une quantité équivalente de C à la couche superficielle (0-10 cm) d’un luvisol du nord-ouest de la France. Pendant 5 mois, à intervalles réguliers, nous avons mesuré l’ASE en termes de diamètre moyen pondéré (DMP) des agrégats ainsi que la teneur du sol en sucres aminés, en N minéral et en eau. Dans le cas du sol témoin, le DMP des agrégats a diminué rapidement et est demeuré faible jusqu’à la dernière date d’échantillonnage, en mars, ce qui illustre la vulnérabilité structurale des sols nus en hiver dans la zone pédoclimatique étudiée. L’incorporation de l’un ou l’autre des résidus de culture a eu un effet positif significatif sur le DMP des agrégats. Malgré leurs rapports C/N différents, les trois types de résidus ont produit des DMP maximaux semblables, trois fois aussi élevés que dans le cas du sol témoin. La date à laquelle était atteint le DMP maximal était nettement reliée à la qualité des résidus. Le DMP maximal était rapidement atteint (29 jours) avec les résidus d’avoine en vert, alors qu’il n’était atteint qu’au bout de 50 jours avec la paille de blé et de 154 jours avec les résidus de miscanthus. Les résultats de l’analyse de corrélation semblent indiquer que les variations de l’ASE dépendaient en partie de l’action d’agents microbiens; les bactéries avaient un effet dominant dans le cas de l’avoine en vert, alors que les biomasses fongique et bactérienne agissaient de concert dans le cas de la paille de blé. Dans le cas des résidus de miscanthus, l’atteinte tardive du DMP maximal était sans doute reliée à des changements survenant dans la composition des communautés fongiques. Globalement, notre étude montre que l’application automnale de résidus de culture accroît l’ASE du sol durant l’hiver; elle montre é