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Keybot 17 Results  www.vaud.ch
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Im in­ternatio­na­len Ver­gleich kann die Schweiz in zen­tra­len Be­rei­chen punk­ten: 27 Pro­zent der be­frag­ten Un­ternehmen ge­ben an, dass die Schweiz der at­traktivste Stand­ort für den Be­reich Verwal­tung/Rech­nungs­wesen sei.
Par rapport à d’autres pays, la Suisse marque des points dans des domaines centraux : 27 % des entreprises interrogées affirment que la Suisse est le site le plus attrayant pour ce qui est de l’administration et de la comptabilité. Notre pays se trouve également en tête dans le domaine de la logistique (24 %) ainsi que dans celui de la distribution et du marketing (22 %).
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Bei der Innovati­ons­fähigkeit schnei­det die Schweiz dagegen nur mit­telmässig ab: In der „Welt­rang­liste“ der innovativs­ten Län­der liegt die Schweiz hin­ter China, den USA, Deutsch­land und Indi­en auf dem fünf­ten Rang – nur 23 Pro­zent der Be­frag­ten bezeichnen die Schweiz als ei­nen von fünf besonders innovativen Stand­or­ten.
Pour ce qui est de la capacité d’innovation, la Suisse fournit une prestation moyenne : dans le classement mondial des pays les plus innovants, la Suisse n’est que cinquième du classement, après la Chine, les États-Unis, l’Allemagne et l’Inde. Seuls 23 % des managers interrogés ont placé la Suisse parmi les cinq pays les plus novateurs. À cet égard, il est intéressant de noter que 30 % des sondés ont nommé des pays émergents et que seuls 19 % ont cité des pays industrialisés biens établis. « Les résultats du sondage laissent entrevoir la course à laquelle se livrent actuellement les différents sites importants pour l’industrie high-tech et mettent en évidence l’importance que revêtent les pays émergents aux yeux des entreprises aujourd’hui », a observé Markus Schweizer, responsable Accounts & Business Development chez Ernst & Young.
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Bei der Innovati­ons­fähigkeit schnei­det die Schweiz dagegen nur mit­telmässig ab: In der „Welt­rang­liste“ der innovativs­ten Län­der liegt die Schweiz hin­ter China, den USA, Deutsch­land und Indi­en auf dem fünf­ten Rang – nur 23 Pro­zent der Be­frag­ten bezeichnen die Schweiz als ei­nen von fünf besonders innovativen Stand­or­ten.
Pour ce qui est de la capacité d’innovation, la Suisse fournit une prestation moyenne : dans le classement mondial des pays les plus innovants, la Suisse n’est que cinquième du classement, après la Chine, les États-Unis, l’Allemagne et l’Inde. Seuls 23 % des managers interrogés ont placé la Suisse parmi les cinq pays les plus novateurs. À cet égard, il est intéressant de noter que 30 % des sondés ont nommé des pays émergents et que seuls 19 % ont cité des pays industrialisés biens établis. « Les résultats du sondage laissent entrevoir la course à laquelle se livrent actuellement les différents sites importants pour l’industrie high-tech et mettent en évidence l’importance que revêtent les pays émergents aux yeux des entreprises aujourd’hui », a observé Markus Schweizer, responsable Accounts & Business Development chez Ernst & Young.
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Die vor der Krise im Jahr 2009 erziel­ten jährli­chen Wachstumsra­ten zwi­schen fünf und sie­ben Pro­zent ver­deutli­chen das grosse Poten­zi­al der serbi­schen Wirt­schaft, bei­spielsweise im Infra­struktur­be­reich.
La Serbie ne se trouve qu’à 1000 kilomètres environ de la Suisse. Un vol pour Belgrade dure moins de deux heures. Les taux de croissance annuels enregistrés en 2009, avant que le pays soit touché par la crise, entre 5 % et 7 %, mettent en évidence le grand potentiel de l’économie serbe, notamment dans le domaine des infrastructures. En 2009, les entreprises suisses ont exporté des marchandises pour une valeur quelque 210 millions de francs. Les importations ont atteint un volume de 51 millions de francs. Cela fait de la Serbie le deuxième partenaire commercial de la Suisse dans le sud-est de l’Europe. L’accord de libre-échange devrait contribuer à renforcer les relations économiques.
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2008 betrugen die Expor­te nach Japan ge­samthaft 7,1 Mrd. Franken (Impor­te: 4,1 Mrd. Franken). Bei den Expor­ten mach­ten im Jahr 2007 Che­mie- und Phar­ma­produkte mit über 40 Pro­zent den Löwen­an­teil aus.
Le Japon est la deuxième puissance économique mondiale et le premier partenaire commercial de la Suisse en Asie. En 2008, les exportations suisses destinées au Japon ont atteint 7,1 milliards de francs (contre 4,1 milliards de francs pour les importations). En 2007, les produits chimiques et pharmaceutiques ont représenté la part du lion avec plus de 40 % des exportations. Pour notre part, nous avons importé principalement des voitures (27 %) ainsi que des métaux précieux et des pierres précieuses (25 %). 2,9 % de l’ensemble des investissements directs étrangers effectués au Japon proviennent de Suisse. Cela fait de la Suisse le septième investisseur étranger au Japon.
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2008 betrugen die Expor­te nach Japan ge­samthaft 7,1 Mrd. Franken (Impor­te: 4,1 Mrd. Franken). Bei den Expor­ten mach­ten im Jahr 2007 Che­mie- und Phar­ma­produkte mit über 40 Pro­zent den Löwen­an­teil aus.
Le Japon est la deuxième puissance économique mondiale et le premier partenaire commercial de la Suisse en Asie. En 2008, les exportations suisses destinées au Japon ont atteint 7,1 milliards de francs (contre 4,1 milliards de francs pour les importations). En 2007, les produits chimiques et pharmaceutiques ont représenté la part du lion avec plus de 40 % des exportations. Pour notre part, nous avons importé principalement des voitures (27 %) ainsi que des métaux précieux et des pierres précieuses (25 %). 2,9 % de l’ensemble des investissements directs étrangers effectués au Japon proviennent de Suisse. Cela fait de la Suisse le septième investisseur étranger au Japon.
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Bei der Innovati­ons­fähigkeit schnei­det die Schweiz dagegen nur mit­telmässig ab: In der „Welt­rang­liste“ der innovativs­ten Län­der liegt die Schweiz hin­ter China, den USA, Deutsch­land und Indi­en auf dem fünf­ten Rang – nur 23 Pro­zent der Be­frag­ten bezeichnen die Schweiz als ei­nen von fünf besonders innovativen Stand­or­ten.
Pour ce qui est de la capacité d’innovation, la Suisse fournit une prestation moyenne : dans le classement mondial des pays les plus innovants, la Suisse n’est que cinquième du classement, après la Chine, les États-Unis, l’Allemagne et l’Inde. Seuls 23 % des managers interrogés ont placé la Suisse parmi les cinq pays les plus novateurs. À cet égard, il est intéressant de noter que 30 % des sondés ont nommé des pays émergents et que seuls 19 % ont cité des pays industrialisés biens établis. « Les résultats du sondage laissent entrevoir la course à laquelle se livrent actuellement les différents sites importants pour l’industrie high-tech et mettent en évidence l’importance que revêtent les pays émergents aux yeux des entreprises aujourd’hui », a observé Markus Schweizer, responsable Accounts & Business Development chez Ernst & Young.
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2008 betrugen die Expor­te nach Japan ge­samthaft 7,1 Mrd. Franken (Impor­te: 4,1 Mrd. Franken). Bei den Expor­ten mach­ten im Jahr 2007 Che­mie- und Phar­ma­produkte mit über 40 Pro­zent den Löwen­an­teil aus.
Le Japon est la deuxième puissance économique mondiale et le premier partenaire commercial de la Suisse en Asie. En 2008, les exportations suisses destinées au Japon ont atteint 7,1 milliards de francs (contre 4,1 milliards de francs pour les importations). En 2007, les produits chimiques et pharmaceutiques ont représenté la part du lion avec plus de 40 % des exportations. Pour notre part, nous avons importé principalement des voitures (27 %) ainsi que des métaux précieux et des pierres précieuses (25 %). 2,9 % de l’ensemble des investissements directs étrangers effectués au Japon proviennent de Suisse. Cela fait de la Suisse le septième investisseur étranger au Japon.
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2008 betrugen die Expor­te nach Japan ge­samthaft 7,1 Mrd. Franken (Impor­te: 4,1 Mrd. Franken). Bei den Expor­ten mach­ten im Jahr 2007 Che­mie- und Phar­ma­produkte mit über 40 Pro­zent den Löwen­an­teil aus.
Le Japon est la deuxième puissance économique mondiale et le premier partenaire commercial de la Suisse en Asie. En 2008, les exportations suisses destinées au Japon ont atteint 7,1 milliards de francs (contre 4,1 milliards de francs pour les importations). En 2007, les produits chimiques et pharmaceutiques ont représenté la part du lion avec plus de 40 % des exportations. Pour notre part, nous avons importé principalement des voitures (27 %) ainsi que des métaux précieux et des pierres précieuses (25 %). 2,9 % de l’ensemble des investissements directs étrangers effectués au Japon proviennent de Suisse. Cela fait de la Suisse le septième investisseur étranger au Japon.
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Im in­ternatio­na­len Ver­gleich kann die Schweiz in zen­tra­len Be­rei­chen punk­ten: 27 Pro­zent der be­frag­ten Un­ternehmen ge­ben an, dass die Schweiz der at­traktivste Stand­ort für den Be­reich Verwal­tung/Rech­nungs­wesen sei.
Par rapport à d’autres pays, la Suisse marque des points dans des domaines centraux : 27 % des entreprises interrogées affirment que la Suisse est le site le plus attrayant pour ce qui est de l’administration et de la comptabilité. Notre pays se trouve également en tête dans le domaine de la logistique (24 %) ainsi que dans celui de la distribution et du marketing (22 %).
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Laut der Studie „Stand­ort Schweiz 2009 – In­ternatio­nale Un­ternehmen bewer­ten die Schweiz“ von Ernst & Young hat die Schweiz bei aus­ländi­schen Un­ternehmen ei­nen sehr gu­ten Ruf. 20 Pro­zent der Un­ternehmen bezeichnen die Schweiz als ei­nen der at­traktivs­ten Stand­or­te welt­weit.
Selon l’étude d’Ernst & Young « Les entreprises internationales évaluent la Suisse comme localisation pour leur business en 2009 », la Suisse a très bonne réputation auprès des investisseurs étrangers. 20 % des entreprises considèrent la Suisse comme une des places économiques les plus attrayantes au monde. Elles apprécient en particulier la stabilité politique et la sécurité juridique, la qualité de vie et le climat social.
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Die Schweiz ge­niesst bei in­ternatio­na­len Un­ternehmen ei­nen sehr gu­ten Ruf: 20 Pro­zent der Un­ternehmen bezeichnen die Schweiz – ne­ben Deutsch­land – als ei­nen der at­traktivs­ten Stand­or­te welt­weit.
La Suisse jouit d’une très bonne réputation auprès des entreprises internationales : 20 % d’entre elles considèrent la Suisse – comme l’Allemagne – comme une des places économiques les plus attrayantes au monde. Cependant, l’attrait du système fiscal helvétique n’occupe que le onzième rang dans le classement des facteurs les plus importants (4e rang en 2007). Tels sont les résultats d’une étude réalisée par la société d’audit et de conseil Ernst & Young concernant l’attrait de la place économique suisse. Pour cette étude, des managers de 700 entreprises actives à l’échelle internationale ont été interrogés. Parmi elles, 204 mènent des activités en Suisse.
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Aus Sicht der Be­frag­ten kann sich der Stand­ort Schweiz trotz der Wirt­schafts­krise als Topstand­ort behaup­ten. 93 Pro­zent der Be­frag­ten sind zuversichtlich, dass die Schweiz die Krise erfolg­reich bewältigen kann.
D’après les sondés, la Suisse peut, malgré la crise économique, se considérer comme une place économique d’exception. D’après 93 % des personnes interrogées, la Suisse est en mesure de surmonter la crise. Selon 44 % d’entre elles, la Suisse est même le pays qui, parmi tous les pays européens, dispose des meilleurs atouts pour y faire face. Deux managers sur trois évoquent comme principal facteur de succès la solidité du système bancaire.
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Aus Sicht der Be­frag­ten kann sich der Stand­ort Schweiz trotz der Wirt­schafts­krise als Topstand­ort behaup­ten. 93 Pro­zent der Be­frag­ten sind zuversichtlich, dass die Schweiz die Krise erfolg­reich bewältigen kann.
D’après les sondés, la Suisse peut, malgré la crise économique, se considérer comme une place économique d’exception. D’après 93 % des personnes interrogées, la Suisse est en mesure de surmonter la crise. Selon 44 % d’entre elles, la Suisse est même le pays qui, parmi tous les pays européens, dispose des meilleurs atouts pour y faire face. Deux managers sur trois évoquent comme principal facteur de succès la solidité du système bancaire.
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Im in­ternatio­na­len Ver­gleich kann die Schweiz in zen­tra­len Be­rei­chen punk­ten: 27 Pro­zent der be­frag­ten Un­ternehmen ge­ben an, dass die Schweiz der at­traktivste Stand­ort für den Be­reich Verwal­tung/Rech­nungs­wesen sei.
Par rapport à d’autres pays, la Suisse marque des points dans des domaines centraux : 27 % des entreprises interrogées affirment que la Suisse est le site le plus attrayant pour ce qui est de l’administration et de la comptabilité. Notre pays se trouve également en tête dans le domaine de la logistique (24 %) ainsi que dans celui de la distribution et du marketing (22 %).
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Dieses bein­haltet eine Erhöhung des Deckungs­satzes bei der Lieferan­ten­kredit­ver­sicherung von 85 auf 95 Pro­zent sowie die vier neuen Pro­dukte Fabri­kations­ver­sicherung, Bond­garantie, Refinan­zie­rungs­garan­tie und Akkredi­tiv­bestä­ti­gungs­ver­sicherung.
Dans le cadre des mesures de stabilisation conjoncturelles, le Conseil fédéral a décidé d’améliorer l’offre de l’Assurance suisse contre les risques à l’exportation pour soutenir les entreprises suisses axées sur l’exportation. Il prévoit un relèvement du taux de couverture de 85 % à 95 % en ce qui concerne l’assurance de crédit fournisseur ainsi que quatre nouveaux produits : l’assurance de crédit de fabrication, la garantie de « Bonds », la garantie de refinancement et l’assurance de confirmation d’accréditif.
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Der gu­te Ruf der Marke „Swiss ma­de“ zahlt sich für die Schwei­zer Un­ternehmen aus. Gemäss Studi­en be­trägt der „Swissness“-Mehrwert bis zu 20 Pro­zent des Verkaufs­prei­ses. Das zieht aber auch Trittbrettfah­rer an.
La bonne réputation de la marque « Swiss made » présente des avantages financiers pour les entreprises helvétiques. D’après des études, la plus-value apportée par la référence à la provenance suisse peut atteindre jusqu’à 20 % du prix de vente. Cela attire aussi les fraudeurs. Pendant longtemps, notre pays n’a pas pris les mesures adéquates contre les fabricants qui faisaient produire leurs biens en grande partie à l’étranger et qui les vendaient tout de même avec le label « Swiss made ». Il ne faut plus accepter de tels abus. Le Conseil fédéral a élaboré un projet relatif à la « Swissness » qui améliore la protection des marques et qui permet de lutter contre l’utilisation abusive de la marque « Suisse ». L’exercice ne sera pas simple. En effet, si le niveau de protection est placé trop haut, même des produits traditionnels intégralement fabriqués en Suisse ne pourraient plus arborer le label « Swiss made ». De plus, le projet risque d’être détourné dans le but d’ériger de nouveaux obstacles au commerce, ce qui est contraire à la volonté d’ouverture de la Suisse. Il revient donc aux milieux politiques de créer une loi acceptable pour les branches et pragmatique afin de renforcer durablement la marque Suisse et la place industrielle Suisse.