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At that moment arouses in Berlioz the sly telitale who keeps his mouth shut, waiting for the right moment. Woland asks him whether there's no devil either. When Berlioz notices that young Ivan is ready to reply "no" to this question, he whispers: «Don't contradict him», and he did this, as Bulgakov described it, «with his lips only, dropping behind the professor's back and making faces».
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À ce moment réveille dans Berlioz le dénonciateur rusé qui garde sa bouche fermée, en attendant le juste moment. Woland lui demande s'il n'y a pas de diable non plus. Quand Berlioz voit que le jeune Ivan est prêt à répondre «Non» à cette question, il chuchote : «Ne le contredis pas» et il le faisait, comme Boulgakov le décrit, «se renversant sur le dossier du banc, en envoyant des clins d’œil derrière le dos du professeur». Mais, hélas, quand il court à la cabine téléphonique la plus proche, pour informer le bureau des étrangers que, voilà, «il y a ici, à l’étang du Patriarche, un étranger, qui se présente comme un spécialiste appelé en consultation, et qui se trouve dans un état manifestement anormal», il est décapité par un tram.
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