lii – Übersetzung – Keybot-Wörterbuch

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Keybot 26 Ergebnisse  www.agr.ca
  A finer screening of wh...  
Between 2007 and 2009, 160 wheat samples were harvested at four growing locations in Québec (Eastern Canada) and evaluated individually for their performance in whole-grain bread (all grain fractions) and white bread prepared with a long-fermentation process (3 h).
De 2007 à 2009, nous avons récolté 160 échantillons de blé dans quatre localités du Québec (est du Canada) et évalué leur efficacité respective pour la préparation de pain de grains entiers (toutes les fractions du grain) et de pain blanc par un processus de fermentation longue (3 h). Pour chaque échantillon, nous avons combiné les résultats des deux essais de cuisson afin d’obtenir une évaluation complète de la capacité de rétention des gaz. Comparativement au cultivar et à l’année de récolte, la localité n’a eu qu’un effet mineur sur le potentiel global des échantillons pour la fabrication de pain. Les 4 lignées de blé d’hiver ont donné de moins bons résultats que les 21 cultivars de blé de printemps pour la fabrication de pain de grains entiers. De plus, nous avons observé peu de corrélation entre la stabilité de la pâte au pétrissage et les propriétés de rétention des gaz. La teneur en gluten fort (gluten sec × indice de gluten) pourrait s’avérer un indicateur utile pour la sélection précoce des cultivars de blé.
  Residual effects of top...  
A 1997–2000 study looked at four (0, 50, 100 and 150%) topsoil replacement depths (TRD) and five amendments [compost, manure, alfalfa (Medicago sativa L.) hay, wheat (Triticum aestivum L.) straw, check] in the reclamation of three natural gas wellsites in Alberta.
Restaurer les puits abandonnés dépend de la capacité du site à retrouver et à maintenir un sol d’une qualité semblable à celle du sol qui existait avant la perturbation. Dans le cadre d’une étude qui a duré de 1997 à 2000, les auteurs ont examiné l’incidence de quatre couches de remplacement du sol de surface (0, 50, 100 et 150 %) (CRS) et de cinq amendements [compost, fumier, luzerne (Medicago sativa L.), foin, paille de blé (Triticum aestivum L.), témoin] sur la restauration de trois puits de gaz naturel en Alberta. En 2007 (10 an après l’aménagement), ils ont prélevé de nouveaux échantillons pour établir l’effet résiduel des traitements sur les propriétés du sol. En 2007, la concentration de carbone organique dans le sol était identique pour les traitements de 50, 100 et 150% CRS, ce qui était significativement plus élevé que la concentration relevée avec le traitement 0% CRS (18% en moyenne). Par conséquent, ajouter la moitié du sol de surface (50 %) 10 ans plus tôt permet d’améliorer la concentration de carbone organique à long terme (comparativement à 0 % CRS), mais il n’y a aucune amélioration supplémentaire quand on augmente l’épaisseur de la couche de sol de surface davantage (100 ou 150 %). La quantité de sol organique (profondeur de 0 à 15 cm) s’accroît significativement (+8%) avec l’addition de compost et de fumier (tous les sites et tous les traitements CRS), comparativement à ce qui se produit avec l’addition de paille ou de luzerne, ou avec le traitement témoin, après 10 ans. Ces résultats indiquent que bonifier d’emblée le sol des sites à restaurer avec un amendement organique peut avoir des effets résiduels sur la qualité du sol.
  A sustainable managemen...  
Field experiments were initiated in 2010 and conducted for 2 yr at four sites in central and southern Alberta to compare the impact of cultivar selection, seeding date, and seeding rate on grain yield, grain quality, and other agronomic traits.
Le triticale (× Triticosecale Wittmack), qui constitue une culture céréalière de moindre importance en Alberta, a récemment suscité un intérêt particulier comme matière première pour la production de biocarburant. On manque de données agronomiques de base sur les cultivars de triticale mis en circulation depuis 1990. En 2010, nous avons entrepris des expériences au champ d’une durée de deux ans à quatre sites du centre et du sud de l’Alberta dans le but de comparer les effets de la sélection des cultivars, de la date d’ensemencement et du taux d’ensemencement sur le rendement grainier, la qualité des grains et d’autres caractères agronomiques. Six cultivars de triticale mis en circulation entre 1996 et 2011 ainsi qu’un cultivar de blé tendre blanc de printemps (Triticum aestivum L.) ont été évalués selon deux dates d’ensemencement, respectivement antérieure et postérieure à la date où 15 % des degrés-jours de croissance (DJC; base = 0 °C) de la saison étaient écoulés. Les taux d’ensemencement employés pour l’évaluation des cultivars ont été de 250, 375 et 500 semences m-2. Les cultivars de triticale plus anciens ont affiché des rendements grainiers supérieurs, mais une qualité des grains plus faible que les cultivars mis en circulation après 2000. Les cultivars de triticale ont produit plus de grains que le cultivar de blé tendre blanc de printemps dans cinq des sept environnements étudiés; le cultivar de blé tendre blanc de printemps a cependant fourni des grains de meilleure qualité que les cultivars de triticale. Le rendement a généralement augmenté de façon linéaire avec le taux d’ensemencement, mais le meilleur rendement du capital investi a été obtenu avec un taux de 375 semences m-2. En l’absence de gelée précoce, le triticale semé après le moment où 15 % des DJC saisonniers étaient écoulés a produit un rendement grainier similaire au triticale semé plus tôt. Pour assurer une gestion durable des récoltes de triticale, il faut des cultivars modernes, une date d’ensemencement permettant d’accumuler 1 750 DJC avant la gelée et une densité d’ensemencement d’au moins 375 semences m-2.
  Role of plant phenology...  
The role of spotted knapweed phenology on the attack rate of two seed-head insects Urophora affinis and Larinus minutus was assessed in a series of field studies at four study sites in south-eastern British Columbia, Canada.
Le rôle de la phénologie de la centaurée maculée dans les taux d’attaque de deux insectes infestant les capitules fructifères, l’Urophora affinis et le Larinus minutus, a été évalué dans le cadre d’une série d’études réalisées sur le terrain à quatre endroits différents du sud-est de la Colombie-Britannique, au Canada. Les sujets à croissance lente ou plus tardive comportaient un plus grand nombre de capitules contenant seulement une ou plusieurs larves d’U. affinis, tandis que les sujets à croissance hâtive ou plus rapide comptaient un plus grand nombre de capitules abritant uniquement des larves de L. minutus ou des larves des deux espèces. Au moment de la ponte, les L. minutus femelles n’ont pas fait de distinction entre les capitules contenant des larves d’U. affinis et ceux qui n’en contenaient pas. Toutefois, les capitules abritant plusieurs larves d’U. affinis ont produit moins de L. minutus que prévu. La probabilité qu’une ou plusieurs galles d’U. affinis soi(en)t présente(s) augmentait en fonction du diamètre du capitule mais non en fonction de sa hauteur. Le taux d’attaque par le L. minutus augmentait en fonction du diamètre des capitules mesurant plus de 5 mm et atteignait sa valeur minimale dans les capitules formés à plus de 50 cm de hauteur. Deux mécanismes semblent donc favoriser la coexistence des deux espèces sur la plante hôte : réactions différentes des deux espèces à la phénologie du développement des capitules fructifères et augmentation de la survie de l’U. affinis dans les capitules comportant plusieurs galles d’U. affinis par compétition par interférence pour la niche. Ces mécanismes fournissent une explication possible à la persistance de populations d’U. affinis sur la centaurée maculée en dépit des taux de mortalité élevés observés dans les capitules fortement infestés par le L. minutus.
  Integrating cropping sy...  
A study was conducted from 2001 to 2005 at four Canadian Prairie locations to determine the influence of repeated cultural and herbicidal management practices on wild oat population density, biomass, and seed production, and on barley biomass and seed yield.
La folle avoine (Avena fatua) occasionne davantage de pertes de rendement et de dépenses en herbicides que toute autre mauvaise herbe des Prairies canadiennes. De 2001 à 2005, nous avons mené dans quatre localités des Prairies une étude visant à déterminer l’effet de pratiques répétées de lutte culturale et chimique sur la densité, la biomasse et la production grainière des populations de folle avoine ainsi que sur la biomasse et le rendement grainier de l’orge. Nous avons utilisé deux types de cultivars d’orge (plante courte ou plante haute), deux taux d’ensemencement de l’orge (normal ou double), deux régimes de culture (culture d’orge continue ou rotation orge-canola-orge-pois) ainsi que trois doses d’herbicide, chaque dose étant appliquée d’une année à l’autre aux mêmes parcelles de toutes les cultures. Dans le cas de l’orge, nous avons également utilisé dans chaque parcelle le même type de cultivar et le même taux d’ensemencement d’une année à l’autre. Les pratiques culturales optimales (plante haute, taux d’ensemencement double et rotation des cultures) ont permis de réduire le taux de levée, la biomasse et la production grainière de la folle avoine et d’accroître la biomasse et le rendement grainier de l’orge, particulièrement dans le cas des faibles doses d’herbicide. Avec l’utilisation du quart de la dose normale d’herbicide, la production grainière de la folle avoine a été réduite de 91 % en 2001, de 95 % en 2003 et de 97 % en 2005, dans le cas des pratiques optimales par rapport aux moins bonnes pratiques (plante courte, taux normal d’ensemencement et culture d’orge continue). L’effet synergique des pratiques culturales optimales a permis de réduire le taux de levée, la biomasse et la production grainière de la folle avoine et d’accroître le rendement de l’orge. À titre d’exemple, avec le quart de la dose normale d’herbicide, l’utilisation d’une seule des pratiques optimales a réduit la biomasse de folle avoine de 2 à 3 fois, l’utilisation de deux des pratiques l’a réduite de 6 à 7 fois, tandis que l’utilisation des trois l’a réduite de 19 fois. Les pertes de rendement de l’orge associées aux moins bonnes pratiques culturales ont été partiellement compensées par l’utilisation de doses complètes d’herbicide. Cependant, les pratiques optimales combinées à la plus faible dose d’herbicide ont souvent donné un meilleur rendement en orge que les moins bonnes pratiques combinées à une dose plus élevée d’herbicide.