at four – -Translation – Keybot Dictionary

Spacer TTN Translation Network TTN TTN Login Deutsch Français Spacer Help
Source Languages Target Languages
Keybot 20 Results  www5.agr.gc.ca
  Determining the minimum...  
The efficacy of two herbicides (glyphosate and glufosinate), each applied at four rates (0X, ½ X, ¾ X and 1X) relative to respective label rates (1X), was tested in two crops of corn and soybean cultivars resistant to glyphosate (Roundup Ready® [RR]) and glufosinate (Liberty Link® [LL]).
L’expérience a été réalisée dans les parcelles de la Station Agronomique de l’Université Laval à Québec durant trois années, en 2006, 2007 et 2008. L’efficacité des deux herbicides (glyphosate et glufosinate), chacun appliqué à quatre doses (0X, ½ X, ¾ X et 1X) à partir de la dose de l’étiquette (1X), était testée dans le maïs et le soya tolérants au glyphosate (Roundup Ready® [RR]) et au glufosinate (Liberty Link® [LL]). Un total des 32 traitements (combinaisons de huit séquences culturales des deux cultures en rotation et quatre doses d’application) ont été établis au même site pour les trois années de l’étude. Les séquences culturales étaient : 1) Maïs RR-Maïs RR-Maïs RR ; 2) Maïs RR-Maïs LL-Maïs LL ; 3) Maïs RR-Soya RR-Maïs RR ; 4) Maïs LL-Maïs LL-Maïs LL ; 5) Maïs LL-Maïs RR-Maïs LL ; 6) Maïs LL-Soya RR-Maïs LL ; 7) Soya RR-Maïs RR-Maïs RR ; 8) Soya RR-Maïs LL-Maïs LL.
  Covered Grains in Naked...  
The objectives of this study were to evaluate the effects of environment, herbicide, and genotype on the proportion of covered grains, to study the relation between the presence of awns and the proportion of covered grains, and to determine the location of covered grains on the plant (tiller) and on the panicle. Eight oat lines were evaluated over 2 yr at four experimental sites.
L’avoine nue (Avena sativa L.) cultivée au Québec (Canada), produit en moyenne 10 % de grains vêtus. Dans l’étude présentée ici, nous visions à évaluer les effets de l’environnement, de divers herbicides et du génotype sur la proportion de grains vêtus afin d’étudier la relation entre la présence d’arêtes et la proportion de grains vêtus et pour déterminer la position des grains vêtus sur la plante (talle) et sur la panicule. Pour ce faire, nous avons évalué 8 lignées d’avoine pendant une période de 2 ans dans 4 sites expérimentaux. Nous avons traité chaque lignée au bromoxynil/MCPA, au dicamba/MCPA ou au thifensulfuron-méthyle/tribénuron-méthyle aux stades 12-13 selon l’échelle Zadoks et nous avons comparé les cultures traitées avec une culture témoin désherbée à la main. Les plus fortes proportions de grains vêtus, soit 5,5 et 6,9 %, ont été observées dans différents sites en 2006 et 2007. Le traitement au dicamba/MCPA a fait augmenter la proportion de grains vêtus chez les lignées en produisant normalement une proportion plus élevée, mais les lignées en produisant peu ont été moins touchées. Nous avons constaté des différences mineures entre les autres traitements désherbants. Aucune relation n’a été mise en évidence entre la présence d’arêtes et la proportion de grains nus. Les grains vêtus étaient surtout produits sur la tige maîtresse, et leur position sur la panicule dépendait du génotype et du traitement désherbant.
  Yields in mixtures of r...  
The objective of this study was to evaluate if such cultivar mixtures could cause significant yield losses and to identify the proper ratio of resistant and susceptible cultivars in a mixture. Three powdery mildew resistant cultivars were mixed with 0, 10, 20, or 30% of a susceptible cultivar, and gown in replicated trials at four locations over 2 yr in western Canada.
La résistance des cultivars de pois (Pisum sativum L.) au blanc (causé par Erysiphe pisi var. pisi DC.) est codée par le gène dominant er1. La monoculture de varié tés portant ce gène pourrait aboutir à l’évolution de l’agent pathogène par l’apparition de races plus virulentes qui surmonteraient cette résistance. Les auteurs préconisent l’usage de mélanges contenant des cultivars résistants et sensibles afin de ralentir l’évolution de l’agent pathogène et de préserver la résistance des variétés existantes. L’étude devait établir si de tels mélanges réduisent sensiblement le rendement et préciser la proportion adéquate de cultivars résistants et sensibles dans le mélange. Trois cultivars résistant au blanc ont é té mélangés à 0, 10, 20 ou 30 pour cent de variétés sensibles, puis cultivés pendant deux ans sur des doubles parcelles expérimentales à quatre endroits, dans l’ouest du Canada. Les résultats indiquent qu’une forte infection par le blanc entraîne des pertes de rendement de 21 à 24 %. La concentration maximale de cultivars sensibles dans le mélange dépend du rendement potentiel et de la performance des cultivars, de la gravité de l’infection par le blanc et des conditions dans lesquelles le mélange est cultivé. Quand la maladie est très présente et que le cultivar résistant donne un bon rendement, on pourrait mélanger 10 à 30 % de cultivar sensible au cultivar résistant sans diminution importante du rendement, comparativement à la culture pure de la variété résistante. L’étude laisse croire que de tels mélanges pourraient être utilisés pour la culture du pois de plein champ, de manière à laisser de la place à l’agent pathogène et à retarder la victoire de ce dernier sur le gène de résistance er1.
  Feasibility of Seed Pro...  
Our objective was to quantify seed production on nonflowering orchardgrass clones selected in cold-winter climates, but grown for seed in mild-winter climates. We evaluated 98 orchardgrass clones for seed production traits at four locations.
L’utilisation de dactyle pelotonné (Dactylis glomerata L.) à floraison nulle ou clairsemée pourrait grandement simplifier la gestion des systèmes de pâturage intensif en rotation. Nous avons voulu quantifier la production de graines chez des clones à floraison nulle qui avaient été sélectionnés sous des climats à hivers froids, mais étaient cultivés pour leurs graines sous des climats à hivers doux. Nous avons ainsi évalué 98 clones de dactyle quant à divers caractères déterminant la production de graines, dans quatre localités. La plupart des sujets ( 92 %) ont fleuri dans les trois localités nordiques, mais seulement 38 % ont fleuri à Parlier, en Californie, où les hivers étaient peut-être trop doux pour permettre une bonne induction florale et une bonne vernalisation. Le nombre moyen de panicules par plante était le plus faible (11) chez les sujets sélectionnés dans la localité ayant les hivers les plus doux, et il était le plus élevé (37) chez ceux sélectionnés dans la localité ayant les hivers les plus froids. Ces résultats confirment que, comme nous nous y attendions, les sujets ayant les caractères les plus souhaitables (floraison nulle sous climat à hivers froids et floraison normale sous climat à hivers doux) devraient résulter d’une sélection sous climat à hivers froids. Si la sélection de sujets à floraison nulle est effectuée sous climat à hivers doux, elle ne fait que produire des sujets dont la floraison est nulle sous tout climat. Nos résultats montrent que chaque génotype de dactyle pelotonné peut avoir un phénotype double, en fleurissant sous les climats à hivers doux et en ne fleurissant pas sous les climats à hivers froids, et que l’expression de ce caractère dépend à la fois de la localité de sélection et de la localité d’évaluation.
  The effect of residual ...  
Nine field studies were conducted over a 3-yr period (2005 to 2007) at four locations in Ontario, Canada, to determine the minimum interval for re-seeding to soybean following the application of residual corn herbicides.
Dans de rares cas, il arrive qu’on supprime de piè tres peuplements de maïs pour ressemer du soja, plus tard au printemps, bien que des herbicides résiduels aient déjà été appliqués. En l’espace de trois ans (de 2005 à 2007), les auteurs ont procédé à neuf études sur le terrain à quatre endroits de l’Ontario (Canada) en vue d’établir l’intervalle minimum entre l’application d’herbicides résiduels au maïs et les semis de soja. Ils ont utilisé pour cela cinq prémélanges ou mélanges extemporanés courants d’herbicides résiduels qu’ils ont appliqués 6, 4, 2 ou 0 semaines avant de semer du soja. En général, les dommages s’aggravent quand l’intervalle entre l’application des herbicides et les semis diminue. L’isoxaflutole additionné d’atrazine entraîne jusqu’à 28 % de dommages et réduit les peuplements, la biomasse ainsi que le rendement de jusqu’à 7, 49 et 42 %, respectivement. Le s-métolachlore/atrazine et le s-métolachlore additionné de mésotrione et d’atrazine engendrent des dommages de 0 à 17 %, sans incidence sur le peuplement, la biomasse et le rendement, hormis une diminution de 18% de la biomasse lorsque le s-métolachlore additionné de mésotrione et d’atrazine est appliqué la même semaine que les semis. Le rimsulfuron additionné de s-métolachlore et de dicamba cause jusqu’a` 68 % de dommages et réduit le peuplement, la biomasse et le rendement de jusqu’à 18, 56 et 26 %, respectivement. Le diméthenamide additionné de dicamba/atrazine engendre jusqu’à 90 %de dommages et réduit le peuplement, la biomasse et le rendement de jusqu’à 43, 77 et 54 %, respectivement. Compte tenu de ces résultats, on conseille aux producteurs de maïs de choisir des herbicides moins dommageables pour le soja à mesure qu’avance la période printanière des semis. De cette manière, ils pourront ressemer du soja advenant le cas où la saison serait trop avancée pour que la culture du maïs ne devienne plus rentable.
  Role of plant phenology...  
The role of spotted knapweed phenology on the attack rate of two seed-head insects Urophora affinis and Larinus minutus was assessed in a series of field studies at four study sites in south-eastern British Columbia, Canada.
Le rôle de la phénologie de la centaurée maculée dans les taux d’attaque de deux insectes infestant les capitules fructifères, l’Urophora affinis et le Larinus minutus, a été évalué dans le cadre d’une série d’études réalisées sur le terrain à quatre endroits différents du sud-est de la Colombie-Britannique, au Canada. Les sujets à croissance lente ou plus tardive comportaient un plus grand nombre de capitules contenant seulement une ou plusieurs larves d’U. affinis, tandis que les sujets à croissance hâtive ou plus rapide comptaient un plus grand nombre de capitules abritant uniquement des larves de L. minutus ou des larves des deux espèces. Au moment de la ponte, les L. minutus femelles n’ont pas fait de distinction entre les capitules contenant des larves d’U. affinis et ceux qui n’en contenaient pas. Toutefois, les capitules abritant plusieurs larves d’U. affinis ont produit moins de L. minutus que prévu. La probabilité qu’une ou plusieurs galles d’U. affinis soi(en)t présente(s) augmentait en fonction du diamètre du capitule mais non en fonction de sa hauteur. Le taux d’attaque par le L. minutus augmentait en fonction du diamètre des capitules mesurant plus de 5 mm et atteignait sa valeur minimale dans les capitules formés à plus de 50 cm de hauteur. Deux mécanismes semblent donc favoriser la coexistence des deux espèces sur la plante hôte : réactions différentes des deux espèces à la phénologie du développement des capitules fructifères et augmentation de la survie de l’U. affinis dans les capitules comportant plusieurs galles d’U. affinis par compétition par interférence pour la niche. Ces mécanismes fournissent une explication possible à la persistance de populations d’U. affinis sur la centaurée maculée en dépit des taux de mortalité élevés observés dans les capitules fortement infestés par le L. minutus.
  Fertilizer Source Influ...  
A field experiment was conducted during three growing seasons (2004–2006) on a clay soil (fine, mixed, frigid Typic Humaquept) under corn (Zea mays L.) to evaluate the impact of N fertilizer source and application rate on N2O emissions. Treatments consisted of three sources of N fertilizer (urea–NH4NO3 32% [UAN], Ca–NH4NO3 [CAN], and aqua NH3 [AA]) at four different rates (0, 100, 150, and 200 kg N ha-1).
Les engrais azotés synthétiques sont une source importante d’émissions dans le sol. On a procédé à une expérience sur le terrain au cours de trois saisons de croissance (de 2004 à 2006) sur un sol argileux (fin, mélangé, à régime de température frigide, Humaquept typique) sur du maïs (Zea mays L.) afin d’évaluer l’impact des sources et des doses d’application d’engrais azoté sur les émissions de N2O. Les traitements comprenaient trois sources d’engrais azoté (urée–NH4NO3 à 32 % [UAN], Ca–NH4NO3 [CAN] et hydroxyde d’ammonium [AA]) à quatre concentrations différentes (0, 100, 150, et 200 kg N ha-1). Les engrais ont été épandus en bandes à 5 cm de profondeur entre des rangées de maïs au stade de croissance de six feuilles, et les émissions de N2O ont été mesurées chaque semaine. Pour chacune des trois années de l’étude, on a constaté une diminution des émissions cumulatives de N2O suivant l’ordre UAN ≥ CAN ≥ AA. En moyenne pour ces trois années, les émissions attribuables aux engrais après l’épandage en bandes latérales étaient supérieures au facteur par défaut (0,01 kg N2O–N kg-1 N) établi par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), les valeurs atteignant 0,038, 0,033, et 0,027 kg N2O–N kg-1 N respectivement pour les parcelles UAN, CAN, et AA. Les émissions de N2O ont augmenté de façon linéaire avec l’augmentation de la dose de N, et ce, même à des doses dépassant la teneur optimale pour le rendement grainier. Les pointes du flux de N2O sont survenues les jours suivants l’application d’engrais ainsi qu’au début de l’automne quand les sols ont été de nouveau mouillés. Les émissions de N2O étaient supérieures dans les espaces interstitiels remplis d’eau > 0,57 m3 m-3, et étaient également liées au contenu en N inorganique dans le sol et en C organique extractible à l’eau. Les résultats obtenus confirment que les sources d’engrais azoté et la dose d’application peuvent avoir une incidence sur les émissions de N2O, mais que les effets sont modulés par les conditions du sol.
  Effect of form, placeme...  
A 3-yr study was initiated in 2000 to determine the effect of nitrogen (N) form [urea (U) and anhydrous ammonia (AA)], placement [broadcast (Br), side-band (SB) or mid-row band (MRB)], timing (fall or spring) and rate (0 to 90 or 120 kg N ha-1), and phosphorus (P) placement (7 to 10 kg P ha-1) on plant density, seed and straw yield, seed protein content, and N uptake of spring wheat (Triticum aestivum L.) under no-till at four sites representing different agro-ecological zones in Saskatchewan.
Dans les Prairies canadiennes, on recourt couramment à la technique qui consiste à semer et à fertiliser en un seul passage, sans travail du sol. Cependant, la proximité de l’engrais et de la graine peut causer des dommages aux plantules, consécutivement à la salinisation du sol ou à la toxicité de l’ammoniaque, ou les deux. Les fabricants y ont remédié en créant des socs permettant de placer les graines et l’engrais dans des bandes distinctes. En 2000, les auteurs ont entrepris une étude de trois ans pour vérifier l’incidence du type d’engrais azoté (N) (urée et ammoniac), de la méthode de placement [à la volée, en bande latérale (BL) ou en bande à mi-rang (BMR)], du moment de la fertilisation (automne ou printemps) et du taux d’application (0 à 90 ou 120 kg de N par hectare), ainsi que de la méthode de placement du phosphore (P) (7 à 10 kg de P par hectare) sur la densité du peuplement, le rendement en grain et en paille, la teneur en protéines de la graine, et l’absorption de N par le blé de printemps (Triticum aestivum L.) sans travail du sol, à quatre sites représentatifs des différentes écozones agricoles de la Saskatchewan. Le taux d’application a l’effet le plus marqué sur les variables agronomiques, tandis que le type d’engrais, la méthode de placement et le moment de l’application n’ont que des effets mineurs. En général, les méthodes BL et BMR donnent des résultats comparables pour le rendement grainier, l’absorption du N et la teneur en protéines du grain. Sur le plan pratique, on pourrait recourir aux deux méthodes et obtenir un succès identique avec de l’urée ou de l’ammoniac. Le placement d’engrais P en bande latérale entraîne une réaction similaire au placement de l’engrais avec la semence, sauf par temps très sec, où la première méthode donne de meilleurs résultats. Dans l’ensemble, le placement d’urée en bande s’avère plus efficace qu’une application à la volée, tandis que la fertilisation à l’automne donne de moins bons résultats qu’une fertilisation au printemps.
  Performance of Geneva® ...  
Local rootstock research as well as ad hoc field investigations in Nova Scotia’s Annapolis Valley, have pointed to opportunities for the use of rootstocks in the semi-dwarfing to semi-vigorous range. In this study, the performance Geneva® 30 (G.30) apple (M. domestica Borkh.) rootstock was evaluated at four grower sites within the Annapolis Valley of Nova Scotia, over a period of 6 years.
Les pommiers cultivés en Nouvelle-Écosse, région où la saison est particulièrement courte et fraîche, ont généralement une taille d’environ 25 % inférieure à celle des arbres d’un bon nombre d’autres régions de pomiculture en Amérique du Nord. La recherche de porte-greffes locaux, de même que les études de terrain spéciales réalisées dans la vallée d’Annapolis, en Nouvelle-Écosse, ont révélé des possibilités pour les porte-greffes de type semi-nanisant à semi-vigoureux. Dans l’étude présentée ici, nous avons évalué la performance du pommier (M. domestica Borkh.) porte-greffe Geneva® 30 (G.30) dans quatre localités de la vallée d’Annapolis, pendant 6 ans. À Kingston et à Rockland, le porte-greffe G.30 a été comparé aux porte-greffes traditionnels M.26 et MM.106, avec le cultivar ‘Jonagold’ comme greffon; à Morristown, le G.30 a été comparé aux porte-greffes M.26 et M.7, avec le ‘Royal Cort’ comme greffon, et à Blomidon, il a été comparé aux porte-greffes M.26 et M.7, avec le ‘Northern Spy’ comme greffon. Dans toutes les localités, le G.30 s’est révélé aussi vigoureux que les porte-greffes MM.106 et M.7, et sa taille était à peu près supérieure de 30 % à celle du porte-greffe M.26 lorsque la superficie de la section transversale du tronc a servi d’indice de volume du houppier. En outre, le G.30 possédait le caractère de fructification précoce comme le M.26, mais son rendement a été meilleur que celui du M.26 dans les quatre localités. À Blomidon, le G.30 a été de loin supérieur au M.7, tant pour sa fructification précoce que pour le rendement cumulatif de ‘Northern Spy’, un cultivar reconnu pour sa longue phase de transition à rendement faible et sa tendance à l’alternance. Le porte-greffe G.30 peut donc être recommandé à la place du M.26 pour les sols secs de la vallée d’Annapolis; dans ce type de sols, il devrait produire un arbre de taille moyenne. Dans des situations plus favorables à la vigueur, il pourrait très bien se révéler trop robuste pour les plantations de grande densité.
  Grain N and P relations...  
Maize grain yield, and N and P concentrations were determined at harvest. Increasing N fertilization increased grain N concentration at most site-years but decreased grain P concentration and increased the N to P ratio at four of the 10 site-years.
Nous avons caractérisé chez le maïs (Zea mays. L.) les relations entre les concentrations de P et de N dans la biomasse des pousses et de la feuille à gaine la plus haute en vue d’utiliser la stœchiométrie N/P pour mettre au point une méthode de diagnostic, d’après la plante, de la carence en P durant la saison de végétation. Nos connaissances sont beaucoup moins étendues sur la relation du N et du P du grain et sur son utilité possible pour l’évaluation a posteriori de l’état nutritionnel du maïs. Cette étude visait les objectifs suivants : 1) déterminer l’effet de la fertilisation azotée sur les concentrations de P et de N dans le grain, 2) étudier la relation entre les concentrations de P et de N dans le grain produit dans des localités où la teneur du sol en P est adéquate et 3) déterminer les valeurs déterminantes de concentrations de P et de N dans le grain et de rapport N/P pouvant servir à diagnostiquer a posteriori les carences en P et en N. Nous avons réalisé une expérience au champ portant sur 10 combinaisons de localité et d’année (2004‑2009) au Québec (Canada) où ont été utilisés de trois à six taux de fertilisation azotée (0–250 kg ha-1). Le rendement grainier de maïs ainsi que les concentrations de P et de N dans le grain ont été déterminés à la récolte. L’augmentation de la fertilisation azotée a entraîné une augmentation de la concentration de N dans le grain pour la plupart des combinaisons de localité et d’année, mais, dans quatre cas, la concentration de P dans le grain a diminué, et le rapport N/P a augmenté. En général, la concentration de P dans le grain a légèrement baissé avec l’augmentation de la concentration de N dans le grain (P = 1,32 + 0,38 N −0,02 N2, R2 = 0,32; P < 0,001). Vu que cette relation est faible et que le changement de la concentration de P n’est pas important lorsque la concentration de N augmente, ces paramètres sont d’une utilité limitée pour le diagnostic a posteriori d’une carence en P du maïs. Le risque que le rendement grainier relatif soit faible était généralement plus élevé lorsque le rapport N/P était inférieur à 4,0. Nous en avons conclu que, contrairement à ce qui a été constaté dans le cas des tissus végétatifs, il n’y a pas de rapport stœchiométrique entre le N et le P des grains de maïs, ce qui limite les possibilités d’utilisation à des fins diagnostiques de la relation entre les concentrations de ces deux éléments dans le grain.
  Colonization and establ...  
Two braconid parasitoids (Hymenoptera) of European origin, Peristenus relictus and Peristenus digoneutis, were released into non-crop vegetation at four locations in the Monterey Bay region of coastal Central California for their permanent establishment and control of Lygus spp.
Deux parasitoïdes originaires d’Europe, le Peristenus relictus et le Peristenus digoneutis (Hymenoptera : Braconidae), ont été relâchés dans des zones de végétation sauvage à quatre endroits distincts de la région de la baie de Monterey, le long de la côte du centre de la Californie. Ces lâchers avaient pour but de permettre aux deux parasitoïdes de s’établir en permanence à titre d’agents de lutte contre les punaises du genre Lygus (Hemiptera: Miridae) dans les fraisières. À deux sites, les parasitoïdes ont été relâchés parmi des plantes sauvages abritant des populations de Lygus spp., à proximité de fraisières faisant l’objet de mesures de lutte classique. Les parasitoïdes ont également été relâchés dans des cultures-appâts intercalaires de luzerne (Medicago sativa) ciblant les Lygus spp. dans deux fraisières biologiques. Le P. relictus a persisté pendant plus de 4 ans au site de lâcher original de végétation sauvage et pendant 2 ans au premier site de lâcher dans une fraisière biologique. Une corrélation significative a été relevée entre les effectifs du P. relictus et le nombre de Lygus spp. recueillis dans les cultures-appâts de luzerne de 2005 à 2007 (r2 = 0,60; p < 0,005). À cette fraisière biologique, les densités moyennes de Lygus spp. parmi les plants de fraise ont chuté de façon significative (p < 0,05), passant d’un sommet saisonnier de 2,7 larves par 50 succions (aspirateur à punaises ou « bug vac ») avant le lâcher en 2003 à 0,8 larves en 2007. La végétation sauvage adjacente composée d’annuelles d’hiver et de printemps à trois sites différents abritait des Lygus spp. indigènes et le Closterotomus (=Calocoris) norvegicus, un Miridae exotique en Californie qui est attaqué par le P. relictus en Europe. Le C. norvegicus était l’espèce dominante dans les échantillons de végétation prélevés au printemps et au début de l’été, alors que les Lygus spp. étaient presque absents. La présence de cette espèce a permis au P. relictus de persister et de proliférer rapidement en périphérie de l’agroécosystème de fraisière, et aucun dommage appréciable n’a été décelé dans les fraisières. Aucune population hivernante de P. digoneutis n’a été observée aux quatre sites de lâcher.
  Evaluating greenhouse g...  
The objective of the current study was to compare the effects of selected management practices on net whole-farm emissions, expressed in CO2 equivalents (CO2e) from a beef production system, as estimated for hypothetical farms at four disparate locations in western Canada.
Comme l’agriculture est responsable d’environ 8 % des émissions de gaz à effet de serre (GES) du Canada, le fait de réduire les émissions d’origine agricole ferait grandement diminuer les émissions totales de GES du Canada. L’évaluation des pratiques d’atténuation n’est pas toujours facile, en raison de la complexité des systèmes d’agriculture, dans lesquels un changement peut avoir à lui seul une incidence sur de multiples processus et sur les émissions qui y sont associées. L’objectif de l’étude a été de comparer les effets de certaines pratiques de gestion sur les émissions totales d’une ferme donnée, exprimées en équivalents CO2 (éq. CO2) provenant d’un système de production de bovins de boucherie, estimées pour des fermes hypothétiques situées à quatre endroits différents de l’Ouest canadien. Les émissions totales d’une ferme (en tonnes d’éq. CO2) par unité de protéines (en tonnes) de 11 systèmes de gestion (tableau 2) ont été comparées, pour chaque ferme, au moyen d’un modèle basé en partie sur les équations du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Par rapport au scénario de gestion de référence, c’est le fait de garder les bovins dans des pâturages de luzerne qui s’est traduit par la plus grande diminution des émissions (de 0,53 à 1,08 tonnes d’éq. CO2/tonnes de protéines) et ce, à tous les sites. Donner de la nourriture de moins bonne qualité aux bovins pendant l’hiver a entraîné la plus grande augmentation des émissions par unité de protéines pour les fermes du sud et du Nord de l’Alberta, c. à-d. des augmentations de 1,36 et 2,22 tonnes d’éq. CO2/tonnes de protéines, respectivement. Le fait d’éliminer la fertilisation des pâturages a mené à la plus grande augmentation (4,20 tonnes d’éq. CO2/tonnes de protéines) des émissions par unité de protéines pour la ferme de la Saskatchewan, tandis que le fait de réduire de moitié l’apport d’engrais pour toutes les cultures s’est traduit par la plus grande augmentation (11,40 tonnes d’éq. CO2/tonnes de protéines) pour la ferme du Manitoba. Les résultats, bien qu’approximatifs, illustrent l’importance de tenir compte de tous les gaz à effet de serre simultanément, et montrent que les pratiques les plus efficaces pour réduire les émissions peuvent varier en fonction du site. Les résultats suggèrent également qu’il serait préférable de comparer les émissions en se basant sur les tonnes d’éq. CO2 par unité de protéines exportées à l’extérieur de la ferme, plutôt qu’en se basant
  Long-term no-till manag...  
The objective of this study was to assess the impact of long-term NT vs. CT management on soil microbial community structure at four different sites on the Canadian prairies using phospholipid fatty acid analysis (PLFA) and DNA fingerprinting.
Les systèmes de culture sans travail du sol (ST) réduisent de beaucoup les perturbations physiques du sol et peuvent entraîner une stratification des éléments nutritifs et de la matière organique. Par conséquent, la dynamique des interactions microbiennes dans les sols peut être modifiée par le fait que les résidus de culture restent à la surface. L’abondance et la diversité microbienne sont de bons indicateurs de l’impact relatif du type d’exploitation du sol quant à la durabilité des systèmes de culture à long terme. Notre étude vise à comparer l’impact à long terme de l’exploitation ST et de celle avec travail du sol classique (TC) sur la structure de la communauté microbienne du sol dans quatre localités des Prairies canadiennes en utilisant l’analyse des acides gras phospholipidiques (AGP) et l’empreinte génétique. L’analyse de l’ADNr 16S et 18S à l’aide d’électrophorèse en gel de gradient dénaturant a révélé une variabilité inhérente élevée des communautés bactériennes et fongiques parmi les répétitions. Les différences de filiation bactérienne et fongique étaient liées à la profondeur dans le profil pédologique plutôt qu’à la méthode de travail du sol. On a trouvé plus de biomarqueurs AGP individuels (7 à 86 p. 100) dans le sol ST près de la surface (profondeur 0 à 5 cm), sauf à Ellison en 2005, où la biomasse était plus grande dans le sol TC. Les résultats étaient plus variés pour les profondeurs 5 à 10 cm et 10 à 15 cm, et dans certains cas, la biomasse était plus importante dans le sol CT que dans le sol ST. L’analyse ordinale des profils AGP a montré une séparation claire des communautés selon la profondeur, mais pas selon le travail du sol. Les biomarqueurs de stress physiologique ont été corrélés avec des mesures simples de concentration de nutriments et indiquaient que la présence des ressources était probablement le déterminant principal de la structure de la communauté. Nous en avons conclu qu’à long terme, les perturbations physiques dues au labour ne constituaient pas un facteur prépondérant dans la composition de la communauté microbienne des sols ST et CT étudiés. Il faudrait un examen plus poussé de l’interaction entre la fréquence de mise en culture et le travail du sol pour mieux comprendre les effets des perturbations dues au travail du sol sur la décomposition microbienne des résidus végétaux.
  Assessment of changes i...  
The use of extended rotations to maintain soil health and overall sustainable agricultural practices were evaluated under commercial organic potato (Solanum tuberosum L.) production systems in Atlantic Canada. A 2-year study quantified the changes in soil health for each phase of 5-year potato/grain/forage rotations at four organic potato production sites.
Nous avons évalué l’utilité de rotations longues pour maintenir la santé des sols et la durabilité globale des pratiques agricoles dans les systèmes de production commerciale de pommes de terre (Solanum tuberosum L.) biologiques employés au Canada atlantique. Nous avons mené une étude de 2 années pour quantifier les changements survenant dans la santé des sols durant chacune des 5 années d’une rotation pomme de terre - céréales - plantes fourragères, dans quatre exploitations produisant des pommes de terre biologiques. Nous avons suivi l’évolution, dans la couche superficielle du sol (0 à 15 cm), de diverses propriétés physico-chimiques (densité apparente, fraction légère de la matière organique, pH, C organique total (COT), N organique total) et biologiques (C de la biomasse microbienne (CBM), quotient CBM/COT, C minéralisable, quotient métabolique (qCO2), abondance et biomasse des vers de terre). Nous avons mesuré les niveaux témoins de ces paramètres dans des champs longtemps utilisés comme pâturages permanents dans les quatre localités. Au sein de la rotation, nous n’avons constaté aucun effet significatif de la culture d’une année donnée sur les propriétés physico-chimiques du sol; la culture de pomme de terre a eu un effet négatif sur les propriétés biologiques du sol, mais celles-ci, selon les observations des deux années, revenaient à leurs niveaux témoins au cours de la rotation. En 2006 et 2007, la culture de pomme de terre a entraîné une réduction significative du CBM (297,4 et 217,9 μg C g-1 de sol), du quotient CBM/COT (1,48 et 1,28 %), de l’abondance des vers de terre (73,5 et 31,2 m-2) ainsi que de leur biomasse (32,15 et 12,15 g m-2). Selon les observations de 2006, le CBM revenait au niveau témoin (780,7 μg C g-1 de sol) au bout de 3 années (627,0 μg C g-1 de sol); selon celles de 2007, il ne revenait pas au niveau témoin (621,6 μg C g-1 de sol) au cours de la rotation. Selon les observations de 2006, le quotient CBM/COT revenait au niveau témoin (3,69 %) en 3 années (2,85 %); selon celles de 2007, il revenait au niveau témoin (2,80 %) en 4 années (2,79 %). La culture de l’année a eu un effet significatif sur le C minéralisable une des années, mais cela n’a eu aucun effet sur le quotient métabolique. Selon les observations de 2006, la biomasse de vers se rétablissait au niveau témoin (215,44 g m2) en 3 années (152,00 g m2); selon celles de 2007, elle se rétablissait au niveau témoin (158,21 g m2) en 4 années (156,93 g m2). L’abondance des
  Pyramided QTL underlyin...  
The percentage of seedling death was measured over 2 years (2007 and 2008) in the field at four naturally infested locations in Canada and China following additional soil infestation and in the greenhouse following inoculation with Phytophthora sojae isolate.
En Amérique du Nord, la pourriture phytophthoréenne (PP) du soja (Glycine max (L.) Merr.) est la deuxième cause de perte de rendement attribuable à la maladie, le nématode à kystes étant la première (Wrather et al. in Can J Plant Pathol 23:115-121, 2001). La tolérance est un moyen de lutte contre la maladie qui peut être utile, sur le plan économique, le soja tolérant étant partiellement résistant à la PP. Dans les travaux présentés ici, nous avons cherché à identifier de nouveaux locus de caractères quantitatifs (QTL) associés à la tolérance à la PP et nous avons évalué les effets de locus empilés, ou en pyramide, sur le degré de tolérance. Pour ce faire, nous avons croisé un cultivar nord américain, ‘Conrad’, tolérant à la PP, avec un cultivar du nord est de la Chine, ‘Hefeng 25’, tolérant à la PP. Par filiation unipare, nous avons produit 140 lignées pures recombinantes F2:5 et 2:6. En tout, nous avons utilisé 164 microsatellites marqueurs pour élaborer une carte de liaisons génétiques. Pendant 2 ans (2007 et 2008), nous avons mesuré la mortalité des plantules au champ dans quatre lieux naturellement infectés, au Canada et en Chine, après une nouvelle infection du sol, et, en serre, après inoculation d’un isolat de Phytophthora sojae. En tout, nous avons trouvé huit QTL de tolérance à la PP, dans cinq groupes de liaison (F, D1b+w, A2, B1 et C2). La variation phénotypique attribuable aux locus allait de 4,24 à 27,98 %. ‘Conrad’ a fourni l’allèle bénéfique de QPRR 1 (situé dans l’intervalle borné par les microsatellites marqueurs Satt325 et Satt343 du groupe de liaison F), de QPRR 2 (situé dans l’intervalle borné par les marqueurs Satt005 et Satt600 du groupe de liaison D1b+w) et de QPRR 3 (situé dans l’intervalle borné par les marqueurs Satt579 et Sat_089 du groupe de liaison D1b+w). Ils se trouvaient à des emplacements chromosomiques associés à la tolérance à la PP dans du matériel génétique de différentes origines. Nous avons trouvé cinq QTL dont les allèles bénéfiques provenaient de ‘Hefeng 25’. Les QTL (QPRR 1 à QPRR 7) que nous avons trouvés dans au moins trois des milieux étudiés ont été retenus pour l’empilement de locus ainsi que pour l’analyse de la relation entre le nombre de locus de tolérance et les pertes causées par la maladie. L’accumulation de locus de tolérance s’est révélée être en corrélation positive avec la baisse des pertes dues à la maladie. La pyramide de locus associés à la tolérance à la PP a permis de fournir du matériel génét
  A finer screening of wh...  
Between 2007 and 2009, 160 wheat samples were harvested at four growing locations in Québec (Eastern Canada) and evaluated individually for their performance in whole-grain bread (all grain fractions) and white bread prepared with a long-fermentation process (3 h).
De 2007 à 2009, nous avons récolté 160 échantillons de blé dans quatre localités du Québec (est du Canada) et évalué leur efficacité respective pour la préparation de pain de grains entiers (toutes les fractions du grain) et de pain blanc par un processus de fermentation longue (3 h). Pour chaque échantillon, nous avons combiné les résultats des deux essais de cuisson afin d’obtenir une évaluation complète de la capacité de rétention des gaz. Comparativement au cultivar et à l’année de récolte, la localité n’a eu qu’un effet mineur sur le potentiel global des échantillons pour la fabrication de pain. Les 4 lignées de blé d’hiver ont donné de moins bons résultats que les 21 cultivars de blé de printemps pour la fabrication de pain de grains entiers. De plus, nous avons observé peu de corrélation entre la stabilité de la pâte au pétrissage et les propriétés de rétention des gaz. La teneur en gluten fort (gluten sec × indice de gluten) pourrait s’avérer un indicateur utile pour la sélection précoce des cultivars de blé.
  Regional differences in...  
To evaluate their commercial potential in several major production regions of Canada, 10 Canadian breeding selections and two standard cultivars of apple (Malus x domestica Borkh.) were planted at four locations: one in British Columbia, two in Ontario and one in Nova Scotia.
Les auteurs ont planté dix sélections canadiennes et deux cultivars ordinaires de pommier (Malus x domestica Borkh.) à quatre endroits (1 en Colombie-Britannique, 2 en Ontario et 1 en Nouvelle-Écosse) en vue d’en évaluer le potentiel commercial dans plusieurs grandes régions productrices du Canada. Les objectifs secondaires étaient d’établir s’il vaudrait la peine d’élargir les essais sur les sélections prometteuses et de glaner plus d’informations afin d’aider les améliorateurs à choisir des pommiers qui s’acclimateront mieux. Les arbres ont été plantés en blocs totalement aléatoires à chaque endroit, avec huit répétitions. Un pommier constituait l’unité de réplication. Les données ont été recueillies pendant 7 ans (5 saisons culturales). Pour déterminer le rendement du verger, les auteurs ont mesuré le taux de survie des arbres, la surface transversale du tronc, la hauteur finale de l’arbre et l’envergure de la frondaison, la précocité, le moment de la floraison et de la récolte, le rendement, l’efficacité du rendement et le calibre moyen des fruits. Les effets de l’emplacement, du génotype et de l’interaction génotype x emplacement sont statistiquement significatifs pour toutes les variables-réactions. Les deux cultivars ordinaires, Royal Gala et Summerland McIntosh, se caractérisent par une précocité, une vigueur et un rendement intermédiaires à élevés, comme c’est le cas du calibre des fruits. Aucun cultivar n’a dépassé les autres à tous les endroits pour ces caractéristiques. Parmi les sélections, S23-06-153 et 8S-27-43 ont toujours donné une bonne performance eu égard au taux de survie des arbres, à la vigueur des arbres, au rendement, à l’efficience du rendement, à la chute prématurée des fruits et au calibre des fruits. Les sélections 8S6923 (Aurora Golden Gala MC) et Silken ont également donné de bons résultats, si ce n’est que leurs fruits étaient plus petits dans l’est du Canada. Beaucoup de sélections sont parvenues plus rapidement à maturité en Nouvelle-Écosse et en Ontario qu’en Colombie-Britannique. Ces résultats laissent croire qu’il serait bon d’effectuer des essais régionaux pour vérifier les caractères, tels la survie des arbres, le rendement, la chute prématurée des fruits et la convenance du climat (à savoir les dates de floraison et de récolte), qui affectent considérablement la valeur commerciale du cultivar. Si l’on peut généraliser les résultats de l’étude, l’amélioration et la sélection de nouveaux génotypes à un seul endroit co
  Acute but not chronic e...  
Exposure of plants to an acute single dose of UVC, UVB or X-ray radiation resulted in a decrease of the transgene expression level, whereas exposure to high temperature increased it. In most of the cases, the expression changed at one to two hours post exposure and returned to normal at four hours.
La performance d’une plante transgénique repose sur l’expression stable du transgène intégré. Dans le présent article, nous avons analysé la stabilité du promoteur constitutif le plus souvent utilisé, le promoteur 35S du virus de la mosaïque du chou fleur (CaMV). Nous avons utilisé plusieurs lignées transgéniques indépendantes de Nicotiana tabacum exprimant le gène de la luciférase (LUC) ou des gènes encodant la protéine fluorescente verte (GFP) commandés par le même promoteur 35S. Comme indication du niveau d’expression, nous avons mesuré le taux d’ARN, la teneur en protéines et l’activité des protéines à l’équilibre. L’exposition des plantes à une dose unique aiguë d’UVC, d’UVB ou de rayons X se traduisait par une réduction du niveau d’expression du transgène, alors qu’une exposition à une température élevée l’augmentait. Dans la plupart des cas, l’expression était modifiée une à deux heures après l’exposition et était revenue à la normale quatre heures après. Par contre, les plantes mises à germer et cultivées en présence d’une faible dose de rayons UVB ou de CuSO4 pendant deux semaines ne présentaient aucune modification du niveau d’expression. Nous concluons qu’une exposition aiguë peut modifier transitoirement le niveau d’expression des transgènes commandés par le promoteur 35S, mais qu’une faible exposition constante n’entraîne aucune modification importante.