bee – -Translation – Keybot Dictionary

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Keybot 7 Results  sciencepourlepublic.ca
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The authors also speculate that honey bees may also use these electrical signals as a form of social communication. Scientists found that positively charged honey-bee wings can cause antennae to move approximately 10 times more than when airflow is deflected off uncharged wings, increasing antennae communication between bees.
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Les auteurs pensent également que les abeilles utiliseraient peut-être ces signaux électriques dans le cadre d’une forme de communication sociale. Ils ont déterminé que leurs antennes se mouvaient dix fois plus lorsqu’elles étaient en présence d’ailes chargées positivement que lorsqu’elles n’étaient soumises qu’à la simple poussée de l’air générée par des ailes non chargées, accroissant ainsi la communication entre elles via leurs antennes.
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Buzzing through the headlines recently is the disturbing global disappearance of entire honey bee colonies both in North America and Europe. Some areas of the U.S. in particular have reported yearly losses 15 per cent higher than average since 2006.
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Récemment, le buzz des manchettes portait sur la disparition inquiétante à l’échelle mondiale de colonies d’abeilles mellifères tant en Amérique du Nord qu’en Europe. Certaines régions des États-Unis ont rapporté une augmentation des pertes annuelles de 15 %, en moyenne, depuis 2006. Environ trois millions de colonies d’abeilles mellifères se trouvent sur le territoire des États-Unis, mais chaque année, des centaines de milliers de colonies disparaissent.
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Buzzing through the headlines recently is the disturbing global disappearance of entire honey bee colonies both in North America and Europe. Some areas of the U.S. in particular have reported yearly losses 15 per cent higher than average since 2006.
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Récemment, le buzz des manchettes portait sur la disparition inquiétante à l’échelle mondiale de colonies d’abeilles mellifères tant en Amérique du Nord qu’en Europe. Certaines régions des États-Unis ont rapporté une augmentation des pertes annuelles de 15 %, en moyenne, depuis 2006. Environ trois millions de colonies d’abeilles mellifères se trouvent sur le territoire des États-Unis, mais chaque année, des centaines de milliers de colonies disparaissent.
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Economically, bees pollinate approximately $15 billion dollars worth of crops in the U.S. each year, according to the United States Department of Agriculture. In Canada the value of bee pollination is estimated to be more than $700 million per year, according to the B.C. Ministry of Agriculture and Lands.
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Sur le plan économique, les abeilles se chargent de polliniser annuellement environ 15 milliards de dollars de récoltes sur le seul territoire des États-Unis, selon le Département de l’agriculture de ce pays. Au Canada, la valeur de la pollinisation des abeilles dépasse les 700 millions de dollars par an, selon le ministère de l’Agriculture et des Terres de la Colombie-Britannique. Sans les services des agents pollinisateurs, il faudrait que la pollinisation se fasse manuellement – une tâche quasiment impossible dans le cadre du modèle d’agriculture industrialisée actuel.
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The movement of tiny hairs on their body could explain how bumble bees, and possibly honey bees, detect the electric charge.[3] Another recently published experiment not only confirms the suspicion that both types of bee detect the charge through movements in their antennae, but also indicates that the movement triggers a reaction in a special group of sensory cells, called the Johnston’s organ, located at the base of the antenna.
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Le mouvement des minuscules poils couvrant les bourdons et les abeilles pourrait expliquer comment ils parviennent à déceler la charge électrique des fleurs.[3] Une autre expérience récemment publiée confirme non seulement que les abeilles auraient la capacité de ressentir une charge électrique à travers le mouvement de leurs antennes, mais également que ce mouvement engendre une réaction chez un groupe de cellules sensorielles situé à la base de leurs antennes, que l’on appelle l’organe de Johnston.[4]
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But why are honey bee colonies failing? Defined as Colony Collapse Disorder (CCD), it is the sudden and mysterious disappearance of worker bees from the colony. No worker bee bodies can be found and the queen and her larvae remain in the hive and appear healthy.
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Mais pourquoi les colonies d’abeilles mellifères battent-elles de l’aile? Le syndrome d’effondrement des colonies (SEC) est la disparition soudaine et mystérieuse des ouvrières de la colonie. Le corps d’aucune abeille-ouvrière n’est retrouvé, et la reine et ses larves demeurent dans la ruche et semblent en santé. Pourtant, sans les ouvrières, les larves meurent de faim, et la reine leur emboîte rapidement le pas. Les scientifiques comme les apiculteurs sont confondus et les débats concernant la cause exacte du SEC font rage. Parmi les théories proposées, notons l’utilisation des pesticides, la pollution de l’air, le changement climatique, les virus, les champignons et les mites. Les recherches semblent indiquer qu’il pourrait s’agir d’une combinaison de ces facteurs, comme une diminution des sources de nourriture et la maladie, qui rend la colonie plus susceptible aux stresseurs.
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But why are honey bee colonies failing? Defined as Colony Collapse Disorder (CCD), it is the sudden and mysterious disappearance of worker bees from the colony. No worker bee bodies can be found and the queen and her larvae remain in the hive and appear healthy.
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Mais pourquoi les colonies d’abeilles mellifères battent-elles de l’aile? Le syndrome d’effondrement des colonies (SEC) est la disparition soudaine et mystérieuse des ouvrières de la colonie. Le corps d’aucune abeille-ouvrière n’est retrouvé, et la reine et ses larves demeurent dans la ruche et semblent en santé. Pourtant, sans les ouvrières, les larves meurent de faim, et la reine leur emboîte rapidement le pas. Les scientifiques comme les apiculteurs sont confondus et les débats concernant la cause exacte du SEC font rage. Parmi les théories proposées, notons l’utilisation des pesticides, la pollution de l’air, le changement climatique, les virus, les champignons et les mites. Les recherches semblent indiquer qu’il pourrait s’agir d’une combinaison de ces facteurs, comme une diminution des sources de nourriture et la maladie, qui rend la colonie plus susceptible aux stresseurs.