bsa – -Translation – Keybot Dictionary

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Keybot 5 Results  www5.agr.gc.ca
  Selection of single cha...  
In this study, four monensin-specific single chain variable fragments (scFvs) were isolated from a hyperimmunized phage-displayed library originating from splenocytes of a mouse immunized with monensin conjugated to bovine serum albumin (BSA).
En raison de préoccupations concernant la présence de l’antibiotique vétérinaire monensin (MM : 671 Da) dans l’eau et les aliments pour animaux, la mise au point d’une méthode de détection rapide s’imposait. Dans la présente étude, nous avons isolé quatre fragments variables à chaîne unique (scFv) spécifiques du monensin d’une banque de phages hyperimmunisés provenant de splénocytes d’une souris immunisée par du monensin conjugué à de l’albumine bovine. Les séquences codantes des scFv ont été modifiées dans l’ordre 5′-VL-linker-VH-3′, où l’adaptateur code les acides aminés Gly10Ser7Arg. Nous avons effectué trois cycles de sélection contre du monensin conjugué à de l’ovalbumine de poulet et à de l’hémocyanine de patelle, en alternance. Au troisième cycle de sélection, nous avons utilisé deux stratégies distinctes, lesquelles différaient dans le nombre de lavages et la concentration des conjugués d’enrobage, pour sélectionner des agents liants spécifiques du monensin. En tout, nous avons recherché les liaisons spécifiques des conjugués de monensin chez 376 clones obtenus aux cycles deux et trois, et nous avons séquencé les clones positifs. Nous avons observé que 80 % des clones du cycle trois contenait un codon non sens. Après le retrait de ce codon par mutagenèse dirigée, nous avons sous-cloné dix agents liants portant des séquences d’acides aminés différentes dans le vecteur pMED2 pour expression soluble dans la souche HB2151 d’Escherichia coli. Quatre de ces scFv se sont liés au monensin libre, comme nous l’avons déterminé à l’aide des essais compétitifs de polarisation de fluorescence. Les valeurs de CI50 étaient comprises entre 0,031 et 231 μM. Une épreuve de réaction croisée contre la salinomycine, le lasalocide A, la kanamycine et l’ampicilline a révélé que les deux meilleurs agents liants étaient hautement spécifiques du monensin.
  Effect of milking frequ...  
In the quarters milked once daily, milk BSA concentration increased, indicating an increase in tight junction leakiness, and zymographic analysis of milk enzymes showed increased activity of several proteases.
La présente étude visait à évaluer l’effet de la fréquence des traites sur la production et la composition du lait ainsi que sur la prolifération des cellules mammaires, l’apoptose et l’expression de gènes. Pour ce faire, nous avons sélectionné 10 vaches Holstein en milieu de lactation qui étaient traites deux fois par jour. Pour l’étude de la traite différentielle, deux quartiers ont été traits une fois par jour et les deux autres, trois fois par jour pendant 8 semaines. Après cette période, nous avons repris la traite à raison de deux fois par jour pour tous les quartiers, et des données ont été recueillies pendant 6 semaines additionnelles. Des biopsies des glandes mammaires ont été faites 1 semaine avant la traite différentielle (semaine 1) et après 4 et 8 semaines de traite différentielle. Des échantillons de lait ont été prélevés chaque semaine tout au long de l’expérience. La traite une fois par jour a entraîné une réduction immédiate du rendement en lait, alors que la traite trois fois par jour a donné lieu à un rendement accru en lait. Pendant la traite différentielle, le rendement quotidien en lait des quartiers traits une fois par jour a baissé de 0,54 kg/sem., en moyenne, mais il est demeuré constant dans les quartiers traits trois fois par jour. Une partie de la différence de rendement en lait entre les paires de glandes a persisté après la reprise de la traite deux fois par jour. La concentration d’albumine bovine dans le lait des quartiers traits une fois par jour a augmenté, indiquant une baisse de l’étanchéité de la jonction serrée, et l’analyse zymographique des enzymes du lait a révélé une activité accrue de plusieurs protéases. La réduction de la fréquence des traites a aussi entraîné une augmentation de l’apoptose des cellules mammaires et, ce qui est surprenant, une prolifération des cellules mammaires. Fait intéressant, les teneurs du lait en stanniocalcine 1 et en facteur de croissance analogue à l’insuline 1 ainsi que l’expression de plusieurs gènes dans la glande mammaire ont aussi été modulées par la fréquence des traites. Par exemple, l’expression du récepteur du facteur de croissance analogue à l’insuline 1 a diminué durant la traite une fois par jour. Enfin, l’expression des isoformes longue et courte du récepteur de la prolactine et du gène CSN2 (β-caséine) s’est accrue pendant la traite trois fois par jour. Ensemble, ces données donnent à penser que la fréquence des traites a non seulement des effets sur le remodelage de la
  Local control of mammar...  
The drying off of 2 quarters increased the milk production of the quarters that were milked by 30%. Milk proteinase activity and BSA and STC-1 concentrations increased in the nonmilked quarters, but remained unchanged in the milked quarters.
Il existe un corpus de données appréciable qui permet de supposer l’existence d’un mécanisme local contrôlant l’involution de la glande mammaire, mais la nature exacte de ce mécanisme demeure inconnu. La stanniocalcine 1 (STC 1), une hormone mammalienne récemment découverte, semble intervenir dans le processus de la lactation et pourrait jouer un rôle dans le contrôle de l’involution. Dans une première démarche pour étudier cette hypothèse, nous avons mesuré le changement de la concentration de STC 1 dans le lait et le sérum durant le tarissement. Pour ce faire, nous avons trait neuf vaches Holstein en fin de lactation deux fois par jour du même côté de la glande, les deux quartiers de l’autre moitié n’étant pas traits pendant une période de 14 jours. Nous avons prélevé des échantillons de lait et de sang et fait des biopsies mammaires les jours -7, 1, 2, 7 et 14, le jour 0 étant le début de la période sèche. Pour déterminer la concentration de STC 1 dans le sérum et le lait, nous avons fait des dosages radioimmunologiques. La concentration d’albumine et l’activité protéinase dans le lait ont aussi été déterminées. L’apoptose des cellules de l’épithélium mammaire a été quantifiée au moyen d’un marquage des extrémités coupées au dUTP avec médiation par désoxynucléotidyltransférase terminale. Enfin, les effets du lait sur l’activité et l’apoptose cellulaires ont été évalués in vitro sur des cellules épithéliales mammaires par la mesure de l’utilisation du sel de tétrazolium et le dénombrement des cellules positives au marquage des extrémités coupées au dUTP avec médiation par désoxynucléotidyltransférase terminale. Le tarissement de deux quartiers a entraîné une augmentation de 30 % de la production de lait des quartiers traits. L’activité protéinase du lait et la concentration d’albumine bovine sérique et de STC 1 ont augmenté dans les quartiers non traits, mais n’ont pas changé dans les quartiers traits. De plus, au jour 2, le taux d’apoptose des cellules mammaires était plus élevé dans les quartiers non traits que dans les quartiers traits (0,22 ± 0,04 contre 0,07 ± 0,04 %). Enfin, l’expérience in vitro a révélé que, au jour 14, le nombre de cellules apoptotiques parmi les cellules épithéliales mammaires cultivées en présence de lait provenant des quartiers en involution sont trois fois plus nombreuses que dans les cultures de cellules dans lesquelles on a utilisé du lait provenant des quartiers traits. Nous avons constaté une baisse de métabolisme de 14
  A protease additive inc...  
The enzyme product was shown to be an alkaline protease (optimum pH > 8.5) of approximately 30 kDa. Specificity in the absence of ruminal fluid showed that the enzyme was active against gelatin and casein to the same extent, whereas it had limited (21% of the total) activity on BSA.
Nous avons fait des expériences in vitro pour étudier les caractéristiques et le mode d’action d’une protéase qui accroît la digestibilité ruminale des fibres du foin de luzerne. Nous avons analysé une protéase de source commerciale (Protex 6L, Genencor International, Rochester, NY) dont les principales activités sont déjà caractérisées pour déterminer son activité en fonction du pH, sa taille moléculaire au moyen de la technique SDS-PAGE, sa spécificité de dégradation de substrats modèles ou d’aliments du bétail, sa réaction à l’autoclavage ainsi que l’action de certains inhibiteurs de protéase en l’absence ou en présence de liquide ruminal. En outre, nous avons fait des cultures en discontinu in vitro dans du liquide ruminal tamponné pour comparer le produit enzymatique aux sources de protéase purifiée ainsi que des études dose réponse (de 0 à 10 µL/g de matière sèche fourragère) avec du foin de luzerne comme substrat. Nous avons constaté que le produit enzymatique est une protéase alcaline (pH optimal > 8,5) d’environ 30 kDa. L’étude de la spécificité en l’absence de liquide ruminal a révélé que l’enzyme agit sur la gélatine et la caséine dans une même mesure, tandis que son action sur l’albumine sérique bovine est limitée (21 % du total). Avec des aliments du bétail comme substrats, nous avons constaté qu’en présence de liquide ruminal, la protéase accroît (P < 0,05) la disparition de la matière sèche in vitro de 22 heures (%) du foin de luzerne, de l’ensilage de maïs frais, du maïs aplati à sec et d’une ration mixte totale comprenant ces trois ingrédients (39,5 par comparaison à 44,7; 50,3 par comparaison à 54,5; 63,8 par comparaison à 68,4; et 55,4 par comparaison à 56,4, respectivement, pour le témoin par comparaison à la protéase de chaque aliment). Les études d’inhibition en l’absence de liquide ruminal ont permis de constater que l’enzyme est surtout inhibée par un inhibiteur de la sérine-protéase, mais non par les inhibiteurs de la cystéine-protéase ou de la métallo-protéase (10 par comparaison à 1,9 % et à 0,1 %, respectivement). En présence de liquide ruminal, l’inhibiteur de la sérine-protéase a renversé (P < 0,05) l’effet d’accroissement que l’enzyme exerce sur de la disparition de la matière sèche in vitro de la luzerne, si bien que la disparition mesurée était semblable à celle du traitement témoin. La comparaison de différentes protéases a révélé que seulement la subtilisine pure a déterminé des augmentations de la disparition de la mati
  Inheritance and Molecul...  
For CPB resistance, a 1:3 resistant to susceptible ratio in BC1 populations confirmed polygenic inheritance. Molecular marker analysis combined with bulked segregating analysis (BSA) was carried out in the F1 and BC1 populations for fine mapping late blight resistant gene Rpi1 in S. pinnatisectum.
Le mildiou (Phytophthora infestans) et le doryphore de la pomme de terre (Leptinotarsa decemlineata) sont les pires problèmes de maladie ou d’insecte auxquels sont confrontées les cultures de pomme de terre. La mise au point de cultivars possédant une résistance élevée au mildiou et au doryphore est donc devenue une priorité des programmes canadiens d’amélioration de la pomme de terre. De nouveaux gènes conférant une résistance à cette maladie et à cet insecte ont été trouvés chez le Solanum pinnatisectum, espèce diploïde à EBN1 vivant à l’état sauvage au Mexique, et ces gènes ont pu être transférés par fusion de protoplastes à du matériel génétique de pomme de terre cultivée. Cependant, la mise au point de cultivars résistant au mildiou et au doryphore s’est révélée difficile et fastidieuse. Pour pouvoir isoler plus rapidement les gènes de résistance, il faudrait disposer de marqueurs ADN étroitement liés à ces gènes. Dans la présente étude, nous avons employé une espèce diploïde sensible, le S. cardiophyllum, comme parent mâle que nous avons croisé avec le S. pinnatisectum. Nous avons ensuite évalué les populations F1 et BC1 quant à leur résistance au mildiou et au doryphore, par la méthode de la feuille détachée. Une épreuve pathologique faisant appel à un isolat du type sexuel US-8/A2 a révélé que tous les sujets F1 étaient résistants au mildiou. Dans les populations BC1, il y avait autant de sujets résistants au mildiou que de sujets sensibles. Ces résultats confirment qu’un seul gène dominant Rpi1 confère au S. pinnatisectum sa résistance au mildiou. Dans le cas de la résistance au doryphore, nous avons observé dans les populations BC1 une proportion de 1 sujet résistant pour 3 sujets sensibles, ce qui confirme le caractère polygénique de cette résistance. Par ailleurs, nous avons soumis les populations F1 et BC1 à une analyse par marqueurs moléculaires combinée à une analyse de ségrégation en mélange (bulked segregating analysis, ou BSA), afin de situer de manière plus précise le gène Rpi1 dans le génome du S. pinnatisectum. Nous avons mis au point 27 amorces PCR spécifiques, à partir des données de séquence fournies par les marqueurs EST et STS situés entre les marqueurs RFLP TG20A et CP56 du chromosome VII de la pomme de terre. Plusieurs des nouveaux marqueurs ADN présentaient une liaison étroite avec le gène Rpi1 de résistance au mildiou. En analysant un grand nombre de sujets des populations BC1, nous avons pu constater que deux marqueurs, S1c9